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Présidence française de l’UE : Macron est le président des riches, en Europe comme en France
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Francis XV
Plaristes Evariste
El Lobo
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Présidence française de l’UE : Macron est le président des riches, en Europe comme en France
Présidence française de l’UE : Macron est le président des riches, en Europe comme en France.
Le 9 décembre, Emmanuel Macron a présenté ses priorités pour la Présidence Française de l’Union Européenne (PFUE), qui débute en janvier.
Il entend ainsi « passer d’une Europe de coopération à l’intérieur de nos frontières à une Europe puissante dans le monde, pleinement souveraine, libre de ses choix et maître de son destin » ; faire avancer « l’Europe de la défense » en définissant la « boussole stratégique » de l’Europe ; « refonder en profondeur » la relation entre l’Afrique et l’Europe, « grand projet géopolitique des prochaines décennies » ; développer une « modèle européen de croissance » via la construction de « filières industrielles fortes et intégrées » ; « parachever une Europe bancaire, un vrai marché des capitaux, une Europe financière enfin intégrée » ; renforcer la lutte contre le changement climatique ; le tout pour construire une « Europe humaine »…
On cherchera en vain une mesure concrète dans les annonces du président. Et pour cause, derrière les grands discours, la déclinaison pratique de ces formules creuses risque de se résumer à une liste de courses formulée par quelques grands groupes multinationaux.
On savait déjà que la Présidence française de l’Union européenne, qui n’arrive qu’une fois tous les 14 ans et aurait pu, dans l’intérêt national et européen, être décalée de 6 mois pour ne pas être écourtée par la campagne présidentielle, sera instrumentalisée au service de sa campagne. 400 événements sont déjà prévus pour alimenter la mise en scène de « Macron Champion de l’Europe ». Ce dernier va vouloir imposer le faux débat « pour ou contre l’Europe », pour occulter son absence de stratégie sérieuse sur les enjeux. On a désormais la confirmation que cette présidence française a été préparée en étroite collaboration avec les groupes industriels et bancaires, sur les demandes desquels le gouvernement français s’est aligné. C’est ce que montre le rapport mis en ligne ces derniers jours par l’Observatoire des multinationales et Corporate Europe Observatory « Une présidence sous influence ? Les priorités biaisées du gouvernement français pour l’UE ».
Ce rapport rappelle que derrière les grands discours sur la « souveraineté » ou l’« autonomie stratégique » européenne, Macron est le président des riches, en Europe comme en France.
Le 9 décembre, Emmanuel Macron a présenté ses priorités pour la Présidence Française de l’Union Européenne (PFUE), qui débute en janvier.
Il entend ainsi « passer d’une Europe de coopération à l’intérieur de nos frontières à une Europe puissante dans le monde, pleinement souveraine, libre de ses choix et maître de son destin » ; faire avancer « l’Europe de la défense » en définissant la « boussole stratégique » de l’Europe ; « refonder en profondeur » la relation entre l’Afrique et l’Europe, « grand projet géopolitique des prochaines décennies » ; développer une « modèle européen de croissance » via la construction de « filières industrielles fortes et intégrées » ; « parachever une Europe bancaire, un vrai marché des capitaux, une Europe financière enfin intégrée » ; renforcer la lutte contre le changement climatique ; le tout pour construire une « Europe humaine »…
On cherchera en vain une mesure concrète dans les annonces du président. Et pour cause, derrière les grands discours, la déclinaison pratique de ces formules creuses risque de se résumer à une liste de courses formulée par quelques grands groupes multinationaux.
On savait déjà que la Présidence française de l’Union européenne, qui n’arrive qu’une fois tous les 14 ans et aurait pu, dans l’intérêt national et européen, être décalée de 6 mois pour ne pas être écourtée par la campagne présidentielle, sera instrumentalisée au service de sa campagne. 400 événements sont déjà prévus pour alimenter la mise en scène de « Macron Champion de l’Europe ». Ce dernier va vouloir imposer le faux débat « pour ou contre l’Europe », pour occulter son absence de stratégie sérieuse sur les enjeux. On a désormais la confirmation que cette présidence française a été préparée en étroite collaboration avec les groupes industriels et bancaires, sur les demandes desquels le gouvernement français s’est aligné. C’est ce que montre le rapport mis en ligne ces derniers jours par l’Observatoire des multinationales et Corporate Europe Observatory « Une présidence sous influence ? Les priorités biaisées du gouvernement français pour l’UE ».
Ce rapport rappelle que derrière les grands discours sur la « souveraineté » ou l’« autonomie stratégique » européenne, Macron est le président des riches, en Europe comme en France.
El Lobo- Postulant
- Messages : 334
Date d'inscription : 18/11/2021
Age : 56
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Re: Présidence française de l’UE : Macron est le président des riches, en Europe comme en France
Frexit? C'est au programme non?
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Présidence française de l’UE : Macron est le président des riches, en Europe comme en France
Plaristes a écrit:Frexit? C'est au programme non?
Sinon à propos de Brexit j'ai de la famille expat comment c'est la merde on ne peut même plus se voir avec le COVID.
Francis XV- Sage
- Messages : 6981
Date d'inscription : 28/07/2020
Re: Présidence française de l’UE : Macron est le président des riches, en Europe comme en France
Je suis d'acc le Brexit c'était ce qui était à ne pas faire si on voulais uqitter l'€urope déjà apsser par l'article 50....
N'en déplaise à Asselinoche.
Le R.U partait en plus dans des conditions de départ plus optimale que la France, le RU étaient plus avantagée par l'€urope que la France certes, mais c'était surtout lié à son oligarchie de la city complètement cramée du bulble qui se voyait poing et main liés par l'€urope plus que le statut spécial du RU.
Par exemple il n'étaient pas dans la zone €uro, ça veut dire que la BC€ ne pouvait leur faire à l’envers durant la négociation.
En faîte si le Brexit était un fiasco c'était surtout à cause des motivations des gens qui l'ont mené.
Asselinoche a de bien meilleures convictions et intentions. Ceci dit il en comprends pas que c'est justement pour ça que bruxelle sera encore plus impitoyable avec nous.
N'en déplaise à Asselinoche.
Le R.U partait en plus dans des conditions de départ plus optimale que la France, le RU étaient plus avantagée par l'€urope que la France certes, mais c'était surtout lié à son oligarchie de la city complètement cramée du bulble qui se voyait poing et main liés par l'€urope plus que le statut spécial du RU.
Par exemple il n'étaient pas dans la zone €uro, ça veut dire que la BC€ ne pouvait leur faire à l’envers durant la négociation.
En faîte si le Brexit était un fiasco c'était surtout à cause des motivations des gens qui l'ont mené.
Asselinoche a de bien meilleures convictions et intentions. Ceci dit il en comprends pas que c'est justement pour ça que bruxelle sera encore plus impitoyable avec nous.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Présidence française de l’UE : Macron est le président des riches, en Europe comme en France
Pour sortir de l’Union européenne, ne surtout pas utiliser le miroir aux alouettes de l’article 50 du traite de Lisbonne !
Jusqu’à présent, le Mouvement politique d’émancipation populaire, devenu depuis le Parti de l’émancipation du peuple, a considéré que la sortie de l’Union européenne, et donc de la zone euro, pouvait se faire au moyen de l’activation de l’article 50 du Traité de Lisbonne (voir cet article intégralement à la fin de ce texte). Comme nous pensons que la sortie de l’Union européenne et de l’euro est la condition fondamentale pour résoudre les difficultés du pays, et principalement le chômage et la précarité, même si elle ne suffit pas, nous avons donc préconisé la sortie par l’article 50. Aujourd’hui, après de nombreuses discussions, notamment avec des juristes, et surtout après l’expérience de la Grèce, nous arrivons au constat que la sortie de l’Union européenne en utilisant l’article 50 est non seulement illusoire, mais qu’elle est extrêmement dangereuse. Elle constitue une grave diversion ne pouvant aboutir qu’à l’enlisement du processus de retrait et à la démobilisation de la population. La sortie de l’Union européenne et de l’euro doit au contraire se faire par une décision unilatérale d’un pays, en créant une situation de fait, démarche qui ressemble à la politique de la « chaise vide » menée par le Général de Gaulle entre juin 1965 et janvier 1966.Respecter la parole de la France ?
On entend dire, ici ou là, que ne pas utiliser l’article 50 du Traité de Lisbonne, qui permettrait précisément de sortir légalement de l’Union européenne, puisque c’est écrit, reviendrait à ne pas respecter la parole de la France, notre pays ayant ratifié ce Traité. Mais c’est exactement le contraire ! Ce serait en activant l’article 50 que la souveraineté du peuple français serait bafouée ! En effet, le Traité de Lisbonne est illégitime depuis 2005. Il ne faudrait quand même pas oublier que le peuple français, le 29 mai 2005, à 55%, a dit NON au Traité constitutionnel européen. Or le Traité de Lisbonne n’est qu’un résumé du Traité constitutionnel européen. En outre, le Traité de Lisbonne a été ratifié par la France à la suite d’un coup d’État parlementaire. Le Congrès (réunion de l’Assemblée nationale et du Sénat) a d’abord révisé la Constitution française le 4 février 2008 pour introduire un Titre XV intitulé « De l’Union européenne » qui fait de l’appartenance à l’Union européenne, en citant le Traité de Lisbonne, une obligation constitutionnelle. Puis, le 8 février, le Congrès (PS, droite, verts) a ratifié le Traité de Lisbonne, passant outre le vote du peuple lors du référendum.
Si nos concitoyens votaient pour la sortie de l’Union européenne et de l’euro, la France aurait alors toute légitimité pour en sortir par un acte unilatéral, sans passer par l’article 50. Ajoutons que le mandat politique donné à la nouvelle majorité imposera qu’elle le respecte ce qui est incompatible avec le recours à l’article 50.La sortie par l’article 50 est illusoire car c’est un parcours du combattant organisé pour empêcher toute sortie de l’UE
Une lecture attentive de l’article 50, éclairée par l’expérience grecque, montre le caractère parfaitement illusoire de l’utilisation de l’article 50. Qu’on en juge :
Un processus de négociation qui dépend uniquement du bon vouloir du Conseil européen
L’alinéa 2 de l’article 50 stipule que « l’Union négocie et conclut avec cet État [celui qui veut sortir de l’UE] un accord fixant les modalités de son retrait ». Pour nous, la souveraineté d’un État ne peut se « négocier ». Certes, il est évident que des discussions doivent s’engager entre l’État qui veut sortir de l’UE et les représentants de l’UE au niveau du Conseil. Mais en aucun cas il ne peut s’agir de « négociations », ce ne peut être que des discussions, pouvant déboucher – ou non – sur un protocole d’accord. Si aucun « accord » n’est trouvé, l’État souhaitant sortir sera bien obligé de prendre une décision. Par conséquent, autant prendre cette décision le plus vite possible afin d’éviter d’entrer dans le processus de l’article 50.
En outre, cet « accord » doit être « négocié » conformément à l’article 188 N, paragraphe 3 du Traité sur le fonctionnement de l’Union européenne (TFUE). Ce dernier prévoit que « la Commission […] présente des recommandations au Conseil, qui adopte une décision autorisant l’ouverture des négociations. » Autrement dit, le Conseil peut décider de ne pas ouvrir de « négociations ». C’est une raison supplémentaire pour se passer de son avis et indiquer au Conseil, si ce dernier tarde ou refuse d’ouvrir ces « négociations » ou les retarde, les conditions mises par l’État sortant.
Il faut « l’approbation du Parlement européen »
Si le Parlement européen vote pour la sortie de l’État demandeur (dans quels délais ?), il ouvre la voie à la décision du Conseil. Mais s’il vote contre, que va-t-il se passer ? Une nouvelle fois, le plus simple est de ne pas entrer dans ce garrot et de prendre une décision unilatérale.
Le Conseil doit statuer à la majorité qualifiée
Celle-ci est définie par l’article 205 du TFUE, paragraphe 3, point b, qui stipule : « la majorité qualifiée se définit comme étant égale à au moins 72% des membres du Conseil représentant les États membres participants, réunissant au moins 65% de la population de ces États. » Ainsi, une majorité « qualifiée » peut refuser la sortie d’un État souverain qui le demande, ou lui proposer des conditions inacceptables. Là encore le plus simple est de ne pas mettre le doigt dans cet engrenage.
Les délais peuvent atteindre deux ans !
Le délai commence à partir de la « notification » de l’État au Conseil. Mais en deux ans il peut se passer beaucoup de choses, notamment des tentatives de déstabilisation du gouvernement qui s’engagerait dans cette voie.
Des « négociations » qui excluent le pays demandeur !
Il est en effet indiqué que l’État qui demande à bénéficier de l’article 50 « ne participe ni aux délibérations ni aux décisions du Conseil qui le concernent ». C’est cela que le Traité de Lisbonne appelle des « négociations » ! Et c’est à cette mascarade que nous avons cru jusqu’ aujourd’hui.Utiliser l’article 50 est extrêmement dangereux et même fatal
De fausses « négociations » qui placent le pays voulant sortir en position de faiblesse
Le pays qui voudrait sortir par l’article 50 se mettrait lui-même en position de faiblesse au cours de « négociations » jouées d’avance, qui reviennent à se mettre la tête dans la gueule du loup.
Offrir aux européistes de tous poils le temps de mettre la pagaille dans le pays sortant.
L’exemple de la Grèce au cours de l’année 2015 doit être médité. Si le Premier ministre Tsipras a capitulé, c’est aussi à la suite des pressions énormes exercées par les oligarques européens et leurs relais en Grèce : grand patronat, grands médias, certains syndicats… Les conditions mises par l’article 50 sont telles, qu’elles sont de nature à empêcher toute réaction immédiate de l’État concerné à des attaques des marchés financiers ou à des troubles organisés par les classes dirigeantes.
Étaler une profonde incohérence politique
Un gouvernement qui s’engagerait dans cette voie serait un gouvernement à 60%, avec un président de la République qui accepterait de sacrifier 40% de son mandat (2 années sur 5) au nom du respect de la signature de la France d’un traité dont il veut pourtant se débarrasser. Où est la cohérence de cette position qui consiste à respecter à 100% les traités européens pendant les deux années de la « négociation », pour pouvoir ensuite en sortir totalement, mais uniquement passé ce délai ? C’est une attitude totalement incompréhensible pour la population à qui on expliquerait qu’elle doit attendre deux ans pour voir appliquer le programme pour lequel elle a voté. C’est même franchement ridicule et suicidaire.
L’article 50 vise en réalité à engluer dans des procédures juridiques interminables et incompréhensibles pour la majorité de la population, les États qui voudraient sortir de l’UE.Sortir vite en créant un état de fait
Charles de Gaulle, dans C’était de Gaulle, tome 2, d’Alain Peyrefitte, écrit que « C’est de la rigolade ! Vous avez déjà vu un grand pays s’engager à rester couillonné, sous prétexte qu’un traité n’a rien prévu au cas où il serait couillonné ? Non. Quand on est couillonné, on dit : « Je suis couillonné. Eh bien, voilà, je fous le camp ! Ce sont des histoires de juristes et de diplomates, tout ça » ». Nous sommes entièrement d’accord avec cette remarque frappée au coin du bon sens.
La sortie de la France de l’Union européenne ne se fera surtout pas au moyen de l’article 50 du traité de Lisbonne. Pour sortir, la France invoquera les articles 61 et 62 de la Convention de Vienne du 23 mai 1969 sur le droit des traités. Ces articles décrivent le droit de retrait d’un traité international par un État, au motif notamment d’un « changement fondamental de circonstances ».
La sortie de l’Union européenne devra être rapide et unilatérale, autrement dit la France décidera, seule, de sortir. Son geste, à n’en pas douter, provoquera une réaction en chaîne souhaitable, incitant les peuples des autres pays à se mobiliser pour retrouver leur liberté.
La sortie de l’Union européenne s’accompagnera d’un référendum pour réviser la Constitution française afin d’en éliminer tous les articles qui placent le droit français sous la tutelle du droit communautaire européen, particulièrement ceux contenus dans le titre XV intitulé « De l’Union européenne ».
La tragédie grecque démontre qu’aucune négociation n’est possible avec les représentants de l’Union européenne. Ses dignitaires ont dit à plusieurs reprises que les pays membres de la zone euro y étaient pour toujours. Il faut donc éviter la moindre naïveté et préparer dès à présent nos concitoyens à des épreuves qui ne pourront pas être « sereines ». L’angélisme, le juridisme, la naïveté, réels ou simulés, constituent une très grave faute politique.
La voie juridique de l’article 50, ce miroir aux alouettes, est une impasse politique aux conséquences désastreuses.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Présidence française de l’UE : Macron est le président des riches, en Europe comme en France
J'ai discuté récément avec un Jean Michel UPR.
Il m'a inventé une historie de tutelle qui n'est nulle part inscrite dans la convention de Vienne :
Il m'a inventé une historie de tutelle qui n'est nulle part inscrite dans la convention de Vienne :
Lui a écrit:Vous êtes encore un ignorant , si vous pensé qu'il suffit de dénoncé les traités devant la convention de Vienne , le ,tribunal de Vienne vous indiquera qu'il faut vous adresser à votre tutelle (l'UE) puisque la France à ratifié ces traités, ont ne peux pas renié un traité signé, l'article 50 du TUE est l'unique façon de quitter l'UE.Le RU à utilisé cet article pour quitter l'UE.
Ma personne a écrit:@Cronenberger vincent Elle ne les a jamais ratifié, on a dit non. Donc la ratification est nulle et non avenue. Car il y a eu usurpation de la souveraineté populaire
hé bien si la France à ratifié le traité de Lisbonne , et c'est celui qui à défini l'UE , ce traité à été instauré par Sarkosy qui l'avais mis dans sont programme et il à été élu et donc c'est légal
@Cronenberger vincent Nul et non avenu. Surtout si on prouve que les élections ont été truquées par des votes blancs ou nul qui sont passé Sarkozy ou macron !
hé bien il faut présenté ces preuves !! jusqu'à présent il n'y a eu aucunes enquêtes donc Nul et non avenu
@Cronenberger vincent On les aura une fois au pouvoir s'ils ne brulent pas les archives, et au pire, si vraiment sont bornés, on fait comme avec Guaido et les ONG d'ingérences américaines qui contestent les élections des pays ennemis des U.S.A
continuez de rêver en étant réveillé
Il faut rêver de chose, que l'ont peut réaliser et s'en donner les moyens !
choses réalisables oui car comme je l'ai dit avant pour dénoncé un traité il faut s'adresser à sa tutelle, dans le cas du traité de Lisbonne il aurait fallut faire l'enquête pendant la mandat de Saroky, maintenant que ce mandat est révolu il n'y a plus de raisons.Seul l'article 50 du TUE reste valable
@Cronenberger vincent Il y a une continuité derrière ces mandats, si l'ont prouve que justement la république n'a jamais été vraiment démocratique même avec l’arrivée de l'€urope, on pourra montrer que derrière cette illusion c'était le règne continue de mêmes personnes !
Si on révèle l'existence d'un état profond en France (qui a d'ailleurs contribué à la construction €uropéenne et la vassalisation de la France par les U.S.A) ces considération juridiques deviendront sans importances. Ça sera un changement drastique de circonstances. L'article 50 ne nous met pas sur un pied d'égalité, alors que là le traité sera rompu.
Article 62. Changement fondamental de circonstances
1. Un changement fondamental de circonstances qui s'est produit par rapport à celles qui existaient au moment de la conclusion d'un traité et qui n'avait pas été prévu par les parties ne peut pas être invoqué comme motif pour mettre fin au traité ou pour s'en retirer, à moins que :
a) l'existence de ces circonstances n'ait constitué une base essentielle du consentement des parties à être liées par le traité ; et que
b) ce changement n'ait pour effet de transformer, radicalement la portée des obligations qui restent à exécuter en vertu du traité.
_________________________________________________________________________
Article 65. Procédure à suivre concernant la nullité d'un traité, son extinction, le retrait d'une partie ou la suspension de l'application du traité
1. La partie qui, sur la base des dispositions de la présente Convention, invoque soit un vice de son consentement à être liée par un traité, soit un motif de contester la validité d'un traité, d'y mettre fin, de s'en retirer ou d'en suspendre l'application, doit notifier sa prétention aux autres parties. La notification doit indiquer la mesure envisagée à l'égard du traité et les raisons de celle-ci.
2. Si, après un délai qui, sauf en cas d'urgence particulière, ne saurait être inférieur à une période de trois mois à compter de la réception de la notification, aucune partie n'a fait d'objection, la partie qui a fait la notification peut prendre, dans les formes prévues à l'article 67, la mesure qu'elle a envisagée.
3. Si toutefois une objection a été soulevée par une autre partie, les parties devront rechercher une solution par les moyens indiqués à l'article 33 de la Charte des Nations Unies.
4. Rien dans les paragraphes qui précèdent ne porte atteinte aux droits ou obligations des parties découlant de toute disposition en vigueur entre elles concernant le règlement des différends. 5. Sans préjudice de l'article 45, le fait qu'un État n'ait pas adressé la notification prescrite au paragraphe 1 ne l'empêche pas de faire cette notification en réponse à une autre partie qui demande l'exécution du traité ou qui allègue sa violation.
De plus l'article 70 nous garantie des négociation billatérales avec chaque état membre qui ne passent pas par bruxelle ! (Souvenez-vous des pêcheurs anglais.)
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Présidence française de l’UE : Macron est le président des riches, en Europe comme en France
.
Il n'y aura pas de Frexit, ce n'est pas l'intérêt de la France, principalement en raison de son économie faible et non performante qui entrainerait une chute du franc reconstitué.
Ni les français, ni les partis politiques de gouvernement (non extrémistes) ne veulent du frexit. Vous pouvez aller vous rhabiller les frexiteurs-boys !
.
Il n'y aura pas de Frexit, ce n'est pas l'intérêt de la France, principalement en raison de son économie faible et non performante qui entrainerait une chute du franc reconstitué.
Ni les français, ni les partis politiques de gouvernement (non extrémistes) ne veulent du frexit. Vous pouvez aller vous rhabiller les frexiteurs-boys !
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Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
- Messages : 11688
Date d'inscription : 03/12/2021
Re: Présidence française de l’UE : Macron est le président des riches, en Europe comme en France
Jeanlouis12 a écrit:Il n'y aura pas de Frexit, ce n'est pas l'intérêt de la France, principalement en raison de son économie faible et non performante qui entrainerait une chute du franc reconstitué.
Bien sûr et heureusement pour nous les français.
gaucho49- Chef
- Messages : 1386
Date d'inscription : 04/10/2020
Re: Présidence française de l’UE : Macron est le président des riches, en Europe comme en France
quoi qu'il en soit la france ne produit plus de bénéfices , d'excédent commerciale depuis des lustres, sauf peut être sur l'armement militaire en les vendant aussi à des états voyous , pour rester la tête au dessus de l'eau et ne pas ce noyer!Jeanlouis12 a écrit:.
Il n'y aura pas de Frexit, ce n'est pas l'intérêt de la France, principalement en raison de son économie faible et non performante qui entrainerait une chute du franc reconstitué.
Ni les français, ni les partis politiques de gouvernement (non extrémistes) ne veulent du frexit. Vous pouvez aller vous rhabiller les frexiteurs-boys !
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Frère Barnabé- Vénérable
- Messages : 29046
Date d'inscription : 11/05/2017
Age : 61
Localisation : saint Etienne
Re: Présidence française de l’UE : Macron est le président des riches, en Europe comme en France
Jeanlouis12 a écrit:.
Il n'y aura pas de Frexit, ce n'est pas l'intérêt de la France, principalement en raison de son économie faible et non performante qui entrainerait une chute du franc reconstitué.
Ni les français, ni les partis politiques de gouvernement (non extrémistes) ne veulent du frexit. Vous pouvez aller vous rhabiller les frexiteurs-boys !
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Sauf que ça serait de la déflation compétitive !
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Présidence française de l’UE : Macron est le président des riches, en Europe comme en France
Plaristes a écrit:Frexit? C'est au programme non?
Non, c'est le mirage des bênets, des nationalistes béats et des anti-européens trop cons pour comprendre ce qu'est l'UE.
Tu te situes où dans cette petite liste ?
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Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
- Messages : 11688
Date d'inscription : 03/12/2021
Re: Présidence française de l’UE : Macron est le président des riches, en Europe comme en France
Jeanlouis12 a écrit:.
Il n'y aura pas de Frexit, ce n'est pas l'intérêt de la France, principalement en raison de son économie faible et non performante qui entrainerait une chute du franc reconstitué.
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Je pense exactement le contraire, il y aura frexit non pas a cause de l'offre, mais à cause de la demande (67 millions de consommateurs) et de notre balance commerciale déficitaire depuis trop longtemps, sans parler de notre exception culturelle (la laïcité à la Française).
Qu'on le veuille ou non.
Le premier qui fera un référendum sur ce sujet sera fixé. (bizarrement il n'y en a pas depuis 2005)
La seule solution pour ferrer l'affaire UE fédérale, c'est de faire l'armée européenne, le non retour arrière possible. Et partager notre bouton nucléaire. (et je ne suis pas sur que les autres membres UE soient d'accord).
Edouard de Montmonrency- Vénérable
- Messages : 20684
Date d'inscription : 02/01/2022
Re: Présidence française de l’UE : Macron est le président des riches, en Europe comme en France
Plaristes a écrit:Frexit? C'est au programme non?
asselineau et son petit 1% n'y arrivera pas ... alors ... Que faire,............... comme disait tu sais qui ?
Invité- Invité
Re: Présidence française de l’UE : Macron est le président des riches, en Europe comme en France
Stun'Eneb a écrit:Plaristes a écrit:Frexit? C'est au programme non?
asselineau et son petit 1% n'y arrivera pas ... alors ... Que faire,............... comme disait tu sais qui ?
Frexit c'est le terme symbolique et générique pour dire retour des souverainismes nationaux.
L'Europe géographique et les coopérations inter-nations ne vont pas disparaître pour autant.
Bref, nous auront toujours les mêmes voisins ou voisines ;-) ... (mais sans les dumpings sociaux, salariaux, fiscaux, and Co)
Edouard de Montmonrency- Vénérable
- Messages : 20684
Date d'inscription : 02/01/2022
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