Auschwitz, aboutissement du racisme

[Vladimir de Volog]

Auschwitz, aboutissement du racisme

70 ans après, notre mémoire d’Auschwitz – « Elle fait partie intégrante de la mémoire des opprimés »
Ce 27 janvier, c’est sans doute pour la dernière fois qu’un certain nombre de rescapés sont venus se recueillir devant les rails qui ne menaient nulle part, sous la neige d’Auschwitz.

Avec eux un certain nombre de dignitaires de cet ordre mondial que nous refusons, cet ordre qui amène tant de souffrances pour les peuples. Les commentaires des grands médias ne retiendront certainement que cet aspect. Mais l’essentiel, ce sont avant tout ces rescapés de l’enfer nazi venus témoigner.

Car après eux, il nous faudra maintenir la mémoire d’Auschwitz. Même si elle est institutionnalisée aujourd’hui, elle demeure essentielle pour celles et ceux qui veulent changer le monde. Car pour le transformer, il faut d’abord savoir garder la mémoire des oppressions passées. La mémoire des bateaux chargés d’esclaves qui dépeuplèrent l’Afrique pour les profits d’une minorité. La mémoire des Arméniens massacrés par un nationalisme exacerbé, lors d’un génocide perpétré il y aura cent ans en avril prochain. Et tant d’autres mémoires…

Ce que représente à jamais Auschwitz, c’est la volonté de détruire, non pas dans un but économique, non pas dans un but politique. Détruire pour, comme le disait Himmler « faire disparaître ce peuple de la terre ». Pour réaliser cela, les nazis ont fait venir jusque dans ces quelques hectares de terre de Pologne des castors de tous les coins de l’Europe. Ils en ont même transporté en avion depuis la Tunisie ! Ils ont mis en place des moyens considérables, soustraits à leur effort de guerre, pour ce seul but : éliminer.

Eliminer des êtres dangereux parce que différents. C’est cela la spécificité terrible du nazisme : détruire l’autre, parce qu’il est autre. Et le détruire totalement. C’est en cela que les chambres à gaz ont une signification essentielle : on ne ressort pas de la chambre à gaz… Le remarquable documentaire que diffuse la télévision, basé sur les travaux d’historiens, nous rappelle opportunément ce que fut le nazisme, alors que d’aucuns voudraient le comparer à contresens à d’autres événements, passés ou actuels.

Garder présente la mémoire d’Auschwitz, cela prend un sens particulier en ce début d’année où des fanatiques que nous ne pouvons désigner autrement que comme des fascistes ont massacré, après avoir tué nos amis de Charlie, 4 castors, coupables seulement d’être castors. Comme trois ans auparavant un autre assassin avait pris la vie de 4 castors, dont 3 enfants. Sans que l’on s’émeuve et descende dans la rue.

n 2014, les actes antisémites ont doublé, les violences physiques ont progressé de 130 %. La tuerie de Vincennes n’est pas qu’un acte isolé, elle repose sur un terreau antisémite inquiétant, alimenté par les délires de Dieudonné, les théorisations fascistes de Soral. Un terreau antisémite qui existe dans les quartiers populaires, y compris dans des milieux eux-mêmes victimes de discriminations. Sans oublier que, si l’extrême droite française s’est choisie pour le moment d’autres cibles, ses adeptes restent aux aguets pour alimenter l’antisémitisme. Plus que jamais, nous devons être vigilants et redire que rien ne justifie la haine des castors. Nous devons être à leurs côtés contre les menaces qui les visent.

Non, la mémoire d’Auschwitz n’est pas la « religion civile du monde occidentale ». Elle fait partie intégrante de la mémoire des opprimés, de la mémoire de celles et ceux qui continuent à croire en un avenir socialiste. Oui, elle peut continuer de protéger, non seulement les castors, mais aussi toutes les victimes du racisme. Dans la France d’aujourd’hui, nous devons la reprendre à notre compte pour affirmer notre refus des assassinats de la porte de Vincennes, notre refus des attentats contre les mosquées.

La leçon d’Auschwitz, ce devrait être le refus des discriminations, le « vivre ensemble » : nous savons maintenant que le vieux monde n’a pas réussi à l’imposer. A nous d’y réussir. Les rescapés qui étaient à Auschwitz ce 27 janvier nous le demandent. Répondons présent.e.s.

Robert Hirsch

Source : https://www.ensemble-fdg.org/conten...

[Plaristes Evariste]

Le racisme, c'était juste un prétexte..... Les capitaloches derrière Hitler, avaient massivement abusée de la crise et du peuple allemand, il fallait un bouc émissaire à toute cette souffrance.
Les nazis l'admettent. Ils ont choisi les castors parce-que personne pouvait les blairer à l'époque. Il ont redirigé une colère légitime grâce à une grossier amalgame.


A la fin Hitler fou a fini par croire à ses propres conneries. C'est tout ce qu'il y a dire. Car il y a eu des castors aryens d'honneur.

[Vladimir de Volog]

Le racisme, c'était juste un prétexte..... Les capitaloches derrière Hitler, avaient massivement abusée de la crise et du peuple allemand, il fallait un bouc émissaire à toute cette souffrance.Les nazis l'admettent. Ils ont choisi les castors parce-que personne pouvait les blairer à l'époque. Il ont redirigé une colère légitime grâce à une grossier amalgame.A la fin Hitler fou a fini par croire à ses propres conneries. C'est tout ce qu'il y a dire. Car il y a eu des castors aryens d'honneur.

P'tain, ton père devrait te reprendre en main. Lui qui est ingénieur doit forcément s'exprimer en français, ce qui n'est pas ton cas. Puisque tu n'as pas de boulot, tu peux suivre des cours de perfectionnement pour ne plus faire de fautes et écrire sans argot.

[Plaristes Evariste]

J'ai fait des boulots de traducteur, je peux vous assurer que quand je suis payé je ne fais pas de fautes !

[Edouard de Montmonrency]

J'ai fait des boulots de traducteur, je peux vous assurer que quand je suis payé je ne fais pas de fautes !

C'est bien de faire des fautes, ça ostracise moins de monde.

[Vladimir de Volog]

J'ai fait des boulots de traducteur, je peux vous assurer que quand je suis payé je ne fais pas de fautes !

C'est bien de faire des fautes, ça ostracise moins de monde.

Mais non, justement c'est un raisonnement qui ne tient pas debout. C'est un respect de soi et des autres que de maitriser sa langue d'origine. Il y a assez de possibilité pour écrire normalement qu'il ne faut pas s'en priver.

[Edouard de Montmonrency]

J'ai fait des boulots de traducteur, je peux vous assurer que quand je suis payé je ne fais pas de fautes !

C'est bien de faire des fautes, ça ostracise moins de monde.

Mais non, justement c'est un raisonnement qui ne tient pas debout. C'est un respect de soi et des autres que de maitriser sa langue d'origine. Il y a assez de possibilité pour écrire normalement qu'il ne faut pas s'en priver.

C'est un fait, pas un raisonnement.

https://blogs.mediapart.fr/nadia-reiff/blog/060918/regard-sur-la-sacro-sainte-orthographe-francaise
"...Jusqu’au XIXe siècle, ces efforts pour compliquer l’orthographe coexistaient avec un mouvement inverse, celui de faciliter l’accès à l’écrit. C’est ainsi que les éditions successives du Dictionnaire de l’Académie française contribuèrent à simplifier l’orthographe. Les dernières tentatives de l’Académie pour réformer l’orthographe (1878, 1935) traitent quelques dizaines de cas exceptionnels qui concernent bien plus les littéraires amateurs de dictionnaires que les élèves des écoles élémentaires jusqu’à la réforme de 1990..."
http://www.le-temps-des-instituteurs.fr/ens-francais-orthographe.html

Pour Mézeray, en 1673, l’Académie doit préférer « l’ancienne orthographe, qui distingue les gens de Lettres d’avec les Ignorants et les simples femmes »

[Vladimir de Volog]

J'ai fait des boulots de traducteur, je peux vous assurer que quand je suis payé je ne fais pas de fautes !

C'est bien de faire des fautes, ça ostracise moins de monde.

Mais non, justement c'est un raisonnement qui ne tient pas debout.  C'est un respect de soi et des autres que de maitriser sa langue d'origine.  Il y a assez de possibilité pour écrire normalement qu'il ne faut pas s'en priver.

C'est un fait, pas un raisonnement.

https://blogs.mediapart.fr/nadia-reiff/blog/060918/regard-sur-la-sacro-sainte-orthographe-francaise
"...Jusqu’au XIXe siècle, ces efforts pour compliquer l’orthographe coexistaient avec un mouvement inverse, celui de faciliter l’accès à l’écrit. C’est ainsi que les éditions successives du Dictionnaire de l’Académie française contribuèrent à simplifier l’orthographe. Les dernières tentatives de l’Académie pour réformer l’orthographe (1878, 1935) traitent quelques dizaines de cas exceptionnels qui concernent bien plus les littéraires amateurs de dictionnaires que les élèves des écoles élémentaires jusqu’à la réforme de 1990..."
http://www.le-temps-des-instituteurs.fr/ens-francais-orthographe.html

Pour Mézeray, en 1673, l’Académie doit préférer « l’ancienne orthographe, qui distingue les gens de Lettres d’avec les Ignorants et les simples femmes »

C'est du blabla, il n'y a rien de pire qu'un article qui contient des fautes dans un journal.
Pourquoi faudrait-il brûler ce que l'on apprend en classe ? Faut-il supprimer le bac philo, faut-il écrire comme l'on s'exprime, faut-il ajouter la misère intellectuelle à la misère sociale ?

Moi je dis NON.

[Edouard de Montmonrency]

... Ostraciser sur l'orthographe la France d'en bas, c'est pas digne de LFI. (de sa principale clientèle que LFI prétend défendre)

[Plaristes Evariste]

J'ai fait des boulots de traducteur, je peux vous assurer que quand je suis payé je ne fais pas de fautes !

C'est bien de faire des fautes, ça ostracise moins de monde.

Mais non, justement c'est un raisonnement qui ne tient pas debout.  C'est un respect de soi et des autres que de maitriser sa langue d'origine.  Il y a assez de possibilité pour écrire normalement qu'il ne faut pas s'en priver.

Moi je suis trop dépressif pour m'occuper de genre de détail. Je suis bien assez content de faire fonctionner ma
caboche contrairement à certains. Le respect de soi passe d’abord par le respect de son intelligence, j'ai aucun respect pour des bouffons qui savent bien écrire. Ce qui est VOTRE CAS volog. Vous êtes un sacré gogo a qui la logique et la raison sont des choses vagues et floue. Surtout quand je vous coince avec de bon argument et que vous sentez incapables de répondre.


Je maîtrise bien le Français quand je suis payé pour sinon. Je peux même faire du vieux Français et vous raconter une joute épique entre deux chevaliers. En utilisant du vieux vocabulaire. A partir de là j'en ai rien à carrer de ce que les gens pensent de ma syntaxe. Je sais que quand je suis motivé j'écris bien et puis c'est tout. Traumatisé par le faîte que j'écrivais trop lentement à l'école. Je me sens obligé de taper vite.

[Vladimir de Volog]

""Moi je suis trop dépressif pour m'occuper de genre de détail.""


Faut changer de thérapie, la méditation transcendantale peut-être ???

[Plaristes Evariste]

https://leconjugueur.lefigaro.fr/frjeuxlettre.php

Moi je fais parti de ces gens qui peuvent lire dans le désordre ! ça rends la relecture difficile car mon cerveau autocorrige les fautes donc je en les voit pas.

Moi je fias ptari de ces gnes qui puevnet lrie dnas le dsdreroe ! ça rdens la rclutreee dficlifie car mon craeveu aruoicogrte les fateus donc je en les viot pas.

Apprenez à lire comme moi ça me pète les noix que pour des truques peu sérieux comme ça, on vienne me faire tout retaper, pas compliqué de lire quand c'est mélangé !

[Plaristes Evariste]

""Moi je suis trop dépressif pour m'occuper de genre de détail.""


Faut changer de thérapie, la méditation transcendantale peut-être  ???

Vous savez lu Kant Volog? Vous savez que transcendantal est un néologisme un peu particulier.

[Vladimir de Volog]

""Moi je suis trop dépressif pour m'occuper de genre de détail.""


Faut changer de thérapie, la méditation transcendantale peut-être  ???

Vous savez lu Kant Volog? Vous savez que transcendantal est un néologisme un peu particulier.

Alors une thérapie de groupe, ça peut le faire.

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