Re: Pole Emploi : symbole d'une politique inefficace qui laisse exploser le chômage depuis 40 ans!

[Oligark]

7 . La logique contractuelle qui fonde le RSA est une imposture. La logique contractuelle du RSA est flouée. Comment considérer que le consentement de l’allocataire est libre et éclairé, quand il est sous contrainte de perdre le minimum vital ? Beaucoup a été écrit sur l’aide contrainte qui ne fonctionne pas en travail social. L’ANAS explique cela très bien. Les assistants de service social sont bien placés pour connaitre ce sujet. Et que dire de l’idéologie méritocratique, selon laquelle chacun doit sa situation sociale à son mérite propre, cette fable est nécessaire pour justifier les rémunérations astronomiques de certains par le talent, l’effort, l’audace, il faut que tout en bas aussi, l’échelle sociale soit perçue comme régie par le mérite ?

[Oligark]

8 . Comment exiger la reprise d’un emploi quand il en manque ? C’est un argument essentiel : À en croire certains responsables politiques, le plein-emploi ne dépendrait que de la motivation des chômeurs. Il faut quand même avoir une certaine dose de cynisme pour expliquer cela. Les faits sont là : en 2019, avant même la crise sanitaire, 5,5 millions de personnes étaient inscrites à Pôle emploi. Rappelons par exemple que les statistiques de pôle emploi faisaient apparaître que 203.000 postes n’avaient pas été pourvus en 2017, faute de candidats. La moitié de ces postes étaient des CDD de moins de six mois. Il faut comptabiliser entre 110 000 à 181 000 offres non pourvues faute de candidats pour des emplois durables de plus de 6 mois. Pôle Emploi ne gèrant que 40% des offres environ. Cela permet de considérer une fourchette de 400.000 offres d’emplois non pourvues chaque année en France, faute de candidats. La moitié concerne des CDI. Nous avons donc d’un coté 400.000 offres d’emploi non pourvues en France contre 5.621.000 personnes qui sont en recherche d’emploi et sont pour cela inscrites à Pôle Emploi même sans être indemnisée. Faites la différence, il resterait si ces emplois sont pourvus 5.221.000 demandeurs d’emploi sur le carreau. Et ne pensez pas que la situation se soit améliorée en 2020.

[Vladimir de Volog]

Le gouvernement se félicite des derniers chiffres du chômage, avec une baisse du nombre de chômeurs sans aucune activité (catégorie A) de 5,5 % au troisième trimestre 2021. D’après lui, ce serait la preuve que l’économie repart.


En réalité, si le nombre de chômeurs de catégorie A a diminué, le nombre d’inscrits dans les catégories B et C, c’est-à-dire ceux qui ont une activité réduite, a augmenté. Certains chômeurs qui ne travaillaient pas du tout ont donc retrouvé un emploi, mais souvent très précaire. Les patrons multiplient les contrats d’intérim de plus en plus courts, de quelques semaines ou même quelques jours. Ils veulent des travailleurs utilisables en fonction de leurs besoins. Au total, le nombre de chômeurs des catégories A, B et C a un peu diminué depuis cet été mais reste massif, à 5,87 millions, DOM et TOM compris, c’est-à-dire un niveau supérieur à celui d’avant la crise sanitaire.

D’autre part, une partie des travailleurs en CDI se voient eux aussi imposer une activité réduite, avec le chômage partiel et, le plus souvent, une baisse de salaire. Fin août, presque un demi-million de travailleurs subissaient encore du chômage partiel, notamment dans l’aéronautique, l’hébergement et la restauration, le spectacle, mais aussi dans l’automobile, avec les usines arrêtées par la pénurie de semi-conducteurs. Les patrons peuvent ainsi faire travailler certains jours avec des cadences record, et mettre les travailleurs au chômage dès qu’ils le décident, en faisant payer les salaires par l’État.

Ce que montrent en fait les statistiques officielles, c’est la poursuite de l’évolution qui conduit vers des emplois de plus en plus précaires, au bon vouloir des patrons.

[Vladimir de Volog]

La coupe a débordé. Ce mardi, l’ensemble des syndicats de Pôle emploi (CFDT, CFE-CGC, CFTC, CGT, FO, Snap, SNU, STC, SUD, Unsa) appelle à la grève dans toute la France. Cette mobilisation d’une rare ampleur fait écho à l’avalanche de plans et dispositifs tombés sur les agents ces derniers mois : remobilisation des chômeurs de longue durée et de très longue durée, contrat engagement jeune (CEJ), renforcement des contrôles des privés d’emploi, réforme de l’assurance-chômage… En cette année électorale, les mesures imposées par Emmanuel Macron ne laissent aucun répit à des conseillers également touchés par le Covid. Si Jean Bassères, directeur général de Pôle emploi, a assuré dans les Échos comprendre la « fatigue » des salariés, les réponses n’ont pas été à la hauteur. « Quand nous avons demandé en CSE central de détendre certains dispositifs, on nous a répondu que c’était hors de question pour ceux du gouvernement, raconte Guillaume Bourdic, représentant de la CGT dans cette instance. La direction n’a concédé que des broutilles. En novembre et décembre 2021, les collègues ont dû recevoir de manière individuelle ou collective tous les demandeurs d’emploi de longue durée et certains de très longue durée pour leur imposer une prestation ou une formation. Cela a été très mal vécu en interne. Ça remet complètement en cause le travail des conseillers. Nous ne voulons pas être au ser vice d’un candidat pour l’élection présidentielle. »

« Nous devons appliquer les ordres, et basta ! »
Les négociations annuelles sur les salaires ont achevé de remuer le couteau dans la plaie. La direction générale a promis 1 % d’augmentation aux agents de droit privé et confirmé un royal 0 % à ceux de droit public. « On nous a même dit que nous pourrions avoir 1,5 % de hausse si nous renoncions à la grève, poursuit le syndicaliste. Les agents de droit privé ont vu leurs revenus chuter de 13,4 % et ceux de droit public de 20 % par rapport à l’inflation depuis dix ans. Nous demandons juste une forme de rattrapage. » Seule une catégorie de personnel voit sa rémunération grimper : l’encadrement. Les directeurs d’agence et les responsables d’équipe pourront percevoir une prime de performance en fonction de la réalisation des objectifs individuels et collectifs. Pour les récompenser, Pôle emploi a débloqué une enveloppe de 9 millions d’euros. Dans un contexte de pression exacerbée, cette décision n’est pas sans risques. Un peu partout, les conditions de travail des conseillers se détériorent. Pendant que le gouvernement affiche une baisse du chômage de 5,9 % au quatrième trimestre.
https://www.humanite.fr/social-eco/pole-emploi/greve-pole-emploi-sous-haute-tension-736507

[Oligark]

Le gouvernement se félicite des derniers chiffres du chômage, avec une baisse du nombre de chômeurs sans aucune activité (catégorie A) de 5,5 % au troisième trimestre 2021. D’après lui, ce serait la preuve que l’économie repart.


En réalité, si le nombre de chômeurs de catégorie A a diminué, le nombre d’inscrits dans les catégories B et C, c’est-à-dire ceux qui ont une activité réduite, a augmenté. Certains chômeurs qui ne travaillaient pas du tout ont donc retrouvé un emploi, mais souvent très précaire. Les patrons multiplient les contrats d’intérim de plus en plus courts, de quelques semaines ou même quelques jours. Ils veulent des travailleurs utilisables en fonction de leurs besoins. Au total, le nombre de chômeurs des catégories A, B et C a un peu diminué depuis cet été mais reste massif, à 5,87 millions, DOM et TOM compris, c’est-à-dire un niveau supérieur à celui d’avant la crise sanitaire.

D’autre part, une partie des travailleurs en CDI se voient eux aussi imposer une activité réduite, avec le chômage partiel et, le plus souvent, une baisse de salaire. Fin août, presque un demi-million de travailleurs subissaient encore du chômage partiel, notamment dans l’aéronautique, l’hébergement et la restauration, le spectacle, mais aussi dans l’automobile, avec les usines arrêtées par la pénurie de semi-conducteurs. Les patrons peuvent ainsi faire travailler certains jours avec des cadences record, et mettre les travailleurs au chômage dès qu’ils le décident, en faisant payer les salaires par l’État.

Ce que montrent en fait les statistiques officielles, c’est la poursuite de l’évolution qui conduit vers des emplois de plus en plus précaires, au bon vouloir des patrons.

Des bonbons des bonbons on veut des bonbons ! Mais attention y'en aura pas pour tout le monde les enfants.

[Cedille]

 La direction nous a présenté un projet de réorganisation qui prévoit de nouvelles suppressions de postes, des fermetures d’agences et des mobilités forcées, dénonce Philippe Allard, secrétaire général de la CGT-Pôle emploi. Nous sommes contraints de nous mobiliser pour défendre nos missions

[Oligark]

Le gouvernement se félicite des derniers chiffres du chômage, avec une baisse du nombre de chômeurs sans aucune activité (catégorie A) de 5,5 % au troisième trimestre 2021. D’après lui, ce serait la preuve que l’économie repart.


En réalité, si le nombre de chômeurs de catégorie A a diminué, le nombre d’inscrits dans les catégories B et C, c’est-à-dire ceux qui ont une activité réduite, a augmenté. Certains chômeurs qui ne travaillaient pas du tout ont donc retrouvé un emploi, mais souvent très précaire. Les patrons multiplient les contrats d’intérim de plus en plus courts, de quelques semaines ou même quelques jours. Ils veulent des travailleurs utilisables en fonction de leurs besoins. Au total, le nombre de chômeurs des catégories A, B et C a un peu diminué depuis cet été mais reste massif, à 5,87 millions, DOM et TOM compris, c’est-à-dire un niveau supérieur à celui d’avant la crise sanitaire.

D’autre part, une partie des travailleurs en CDI se voient eux aussi imposer une activité réduite, avec le chômage partiel et, le plus souvent, une baisse de salaire. Fin août, presque un demi-million de travailleurs subissaient encore du chômage partiel, notamment dans l’aéronautique, l’hébergement et la restauration, le spectacle, mais aussi dans l’automobile, avec les usines arrêtées par la pénurie de semi-conducteurs. Les patrons peuvent ainsi faire travailler certains jours avec des cadences record, et mettre les travailleurs au chômage dès qu’ils le décident, en faisant payer les salaires par l’État.

Ce que montrent en fait les statistiques officielles, c’est la poursuite de l’évolution qui conduit vers des emplois de plus en plus précaires, au bon vouloir des patrons.

Des bonbons des bonbons on veut des bonbons ! Mais attention y'en aura pas pour tout le monde les enfants.

Arrêtez de troll les sujets merci, un travail sans valeur ça les calme, ils ne servent à rien!

[Cedille]

Enfin, les travailleurs sont confrontés à une situation où les patrons peuvent licencier sans aucune justification, et sans avoir à payer de préavis. C’est ce qui s’est passé dans l’usine de textile Tati, à Saint-Etienne, où le PDG a annoncé le licenciement de 800 personnes

[Oligark]

Enfin, les travailleurs sont confrontés à une situation où les patrons peuvent licencier sans aucune justification, et sans avoir à payer de préavis. C’est ce qui s’est passé dans l’usine de textile Tati, à Saint-Etienne, où le PDG a annoncé le licenciement de 800 personnes

Et alors? quel est le rapport avec Pôle Emploi?

[Oligark]

Comment exiger la reprise d’un emploi quand il en manque ? C’est un argument essentiel :

À en croire certains responsables politiques, le plein-emploi ne dépendrait que de la motivation des chômeurs.
Il faut quand même avoir une certaine dose de cynisme pour expliquer cela.
Les faits sont là : en 2019, avant même la crise sanitaire, 5,5 millions de personnes étaient inscrites à Pôle emploi.

Rappelons par exemple que les statistiques de pôle emploi faisaient apparaître que 203.000 postes n’avaient pas été pourvus en 2017, faute de candidats. La moitié de ces postes étaient des CDD de moins de six mois.

Il faut comptabiliser entre 110 000 à 181 000 offres non pourvues faute de candidats pour des emplois durables de plus de 6 mois. Pôle Emploi ne gèrant que 40% des offres environ. Cela permet de considérer une fourchette de 400.000 offres d’emplois non pourvues chaque année en France, faute de candidats.

La moitié concerne des CDI. Nous avons donc d’un coté 400.000 offres d’emploi non pourvues en France contre 5.621.000 personnes qui sont en recherche d’emploi et sont pour cela inscrites à Pôle Emploi même sans être indemnisée. Faites la différence, il resterait si ces emplois sont pourvus 5.221.000 demandeurs d’emploi sur le carreau. Et ne pensez pas que la situation se soit améliorée en 2020.

[Cedille]

En 2017, le gouvernement n’a pas craint de parler de « déserts médicaux », avant de reculer devant une levée de boucliers. Il est vrai qu’en 2019, le bilan du docteur Touraine s’est avéré plutôt mitigé.

[Cedille]

Le taux d’offre pourvue de candidats est passé de 61% en 2004 à 47% en 2018.

Rappelons que le chiffre de 2,2 millions de chômeurs en France métropolitaine a été publié à deux reprises.

En 2013, un rapport du Ministère de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social constatait que la France avait perdu 1,7 million d’emplois depuis 1996.

La baisse de l’emploi a été particulièrement marquée dans les secteurs publics

[Vladimir de Volog]

Le taux d’offre pourvue de candidats est passé de 61% en 2004 à 47% en 2018.

Rappelons que le chiffre de 2,2 millions de chômeurs en France métropolitaine a été publié à deux reprises.

En 2013, un rapport du Ministère de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social constatait que la France avait perdu 1,7 million d’emplois depuis 1996.

La baisse de l’emploi a été particulièrement marquée dans les secteurs publics

P'tain pour une IA le raisonnement est vraiment faiblard, l'IA n'est vraiment pas au top !!!

[Edouard de Montmonrency]

Le taux d’offre pourvue de candidats est passé de 61% en 2004 à 47% en 2018.
Rappelons que le chiffre de 2,2 millions de chômeurs en France métropolitaine a été publié à deux reprises.
En 2013, un rapport du Ministère de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social constatait que la France avait perdu 1,7 million d’emplois depuis 1996.
La baisse de l’emploi a été particulièrement marquée dans les secteurs publics

P'tain pour une    IA     le raisonnement est vraiment faiblard,  l'IA n'est vraiment pas au top  !!!

Fais gaffe, les IAs progressent vite, elle va prendre ton boulot en moins de deux ... et hop Volog au chomdu ;-)

[Jeannot Lapin]

ANPE, Pole Emploi : des administrations inutiles pour caser du fonctionnaire. Il faut dissoudre tout ça et remettre les gens qui y sévissent au boulot !

[Jeannot Lapin]

Le taux d’offre pourvue de candidats est passé de 61% en 2004 à 47% en 2018.

Rappelons que le chiffre de 2,2 millions de chômeurs en France métropolitaine a été publié à deux reprises.

En 2013, un rapport du Ministère de l’Emploi, de la Formation professionnelle et du Dialogue social constatait que la France avait perdu 1,7 million d’emplois depuis 1996.

La baisse de l’emploi a été particulièrement marquée dans les secteurs publics

Secteurs publics = mélange des genres.
Quand Renault est devenu entreprise à la place d'une régie, elle a quitté le secteur public, mais n'a pas disparu pour autant, se porte même mieux. Ces statistiques sont biaisées.

Ce qui compte c'est de savoir si c'est un secteur productif ou de l'administration. Moi je parie que l'administration, la bureaucratie, a explosé depuis 50 ans. On cache les vrai chiffrés. Les coquins et copains fainéants énarques et autres ronds de cuir bavards sont au pouvoir et nous racontent des salades. Le problème, la verrue sur notre économie et notre bien être, c'est eux.

Le Fisc qui gère 500 000 employés dans compter les sous-directions planquées. La fonction publique a grossi d'1 million de nouveaux agents donc de 20% en 20 ans (et deux millions durant les 30 ans qui ont précédé), et ce alors que le chômage explose du fait des impôts et des contraintes administratives. Par ailleurs le différentiel entre la rémunération des fonctionnaires, alors qu'ils foutent pas grand chose, nettement moins de 35h et qu'on peut pas les virer, et la rémunération dans le secteur productif qui tient ces fonctionnaires, inutiles pour beaucoup, n'a cessé de se creuser.

La rémunération des fonctionnaires à doublé celle du privé dans les années 90. Et sans compter les nombreux avantages en nature. Aujourd'hui elle est à plus de 1.5 fois celle du secteur productif qui croule sous les impôts et taxes, les diktats écologistes et les interdictions de toute nature avec la justice, le fisc et les URSSAF sur leur dos à épier le moindre de leur geste professionnel. Pendant ce temps les fonctionnaires et pas seulement ceux des finances publiques font ce qu'ils veulent, se servent dans les "cagnottes publiques" sans que personne ne les dérange.

Quand vous rentrez dans un hôpital public, vous rencontrez surtout... des bureaucrates qui vont vous emmerder dans des queues et avec de la paperasse, alors que vous êtes malade. Et vous allez remarquer des aides soignants, avec peu d'expertise dans les soins car sachant à peine lire, se trompant souvent de patient et de médicament, qui papotent et qu'il faudra surtout pas déranger pendant leurs discussions, c'est à dire 90% de leur temps... et quelques infirmières et médecins que vous verrez 5 minutes au lance pierre dans le parcours du combattant hospitalier... et bien sûr vous serez entourés de non Français, malades, venus de l'étranger se faire soigner sous des pseudonymes avec de fausses cartes vitales à vos frais.
Voilà ce que vous payez quand vous payez votre assurance maladie.
Normal, que les allemands, malgré leur age moyen plus avancé, payent moins et qu'ils soient nettement mieux soignés.

[Oligark]

Avec la politique actuelle c'est "Travailler Moins pour Gagner Moins!"

[Edouard de Montmonrency]

Avec la politique actuelle c'est "Travailler Moins pour Gagner Moins!"

C'est le progressisme, les IAs et robots travaillent plus (sans rien gagner) et les humains travaillent moins en gagnant moins.

Il va falloir taxer les robots et IAs.

[don Salluste]

Tu ne vas pas à pôle emploi pour chercher du travail , mais un statut social . Merci Sarkozy qui a regroupé l'ANPE et l' Assédic . Les agents de pôle emploi ne s'occupe plus que du volet Assédic .

[Minos de Rhadamanthe]

Avec la politique actuelle c'est "Travailler Moins pour Gagner Moins!"

C'est le progressisme, les IAs et robots travaillent plus (sans rien gagner) et les humains travaillent moins en gagnant moins.

Il va falloir taxer les robots et IAs.

Si on pouvait taxer la connerie... Certains combleraient rapidement la dette de la France...

[Edouard de Montmonrency]

Avec la politique actuelle c'est "Travailler Moins pour Gagner Moins!"

C'est le progressisme, les IAs et robots travaillent plus (sans rien gagner) et les humains travaillent moins en gagnant moins.

Il va falloir taxer les robots et IAs.

Si on pouvait taxer la connerie... Certains combleraient rapidement la dette de la France...

lol ... Oui, une seule suffirait, la tienne n'a pas de prix ;-)

[Minos de Rhadamanthe]

Si on pouvait taxer la connerie... Certains combleraient rapidement la dette de la France...

lol ... Oui, une seule suffirait, la tienne n'a pas de prix ;-)

Rappelez nous QUI fait de l'insulte ad personam ?
Vous trollez toujours...

[Edouard de Montmonrency]

Si on pouvait taxer la connerie... Certains combleraient rapidement la dette de la France...

lol ... Oui, une seule suffirait, la tienne n'a pas de prix ;-)

Rappelez nous QUI fait de l'insulte ad personam ?
Vous trollez toujours...

Je réponds à votre humour par de l'humour.

Vous n'aimez pas mon humour ?

[Cedille]

Avec la politique actuelle c'est "Travailler Moins pour Gagner Moins!"

C'est le progressisme, les IAs et robots travaillent plus (sans rien gagner) et les humains travaillent moins en gagnant moins.

Il va falloir taxer les robots et IAs.

Mais pour cela il faut des lois, et pour cela il faut des députés.

Et pour cela il faut des citoyens.

Ce qui est bien avec le progrès c'est qu'il n'y a pas besoin de citoyens pour le mettre en place.

[Minos de Rhadamanthe]

Si on écoutait certains, ici, on taxerai tout ce qui n'est pas une pelle ou une pioche...
Vous avec un cheval ? TAXABLE !
Vous avez un tracteur, DOUBLE TAXE !
Tout progrès doit être taxé car il enlève du travail aux travailleurs (qui ne veut plus travailler de toute manière). Le fait que le travail soit rendu moins pénible n'entre pas en ligne de compte, il faut creuser à la pelle et à la pioche !!
Du grand n'importe quoi !!!

PS : Imaginez ce que vous devriez payer comme taxes sur l'ordinateur ou le téléphone à partir duquel vous osez cracher sur le progrès que vous utilisez pourtant tous les jours, si on vous écoutait !!! (Revenons à la plume et au parchemin...)

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