La république a détruit les libertés
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Monsieur Trololo
Edouard de Montmonrency
Tancrède de Hauteville
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La république a détruit les libertés
Après une période de grands désordres pendant les dix premières années de la révolution française, Napoléon a adopté des mesures qui ont installé la république sur un socle solide, puisqu’il dure encore. Voyons cela de plus près.
C’est, tout d’abord, la mise en place des préfets. A première vue, on pourrait penser qu’il n’a fait que perpétuer les intendants de l’ancien régime. C’est tout le contraire. « L’intendant d’Ancien Régime est d’abord un informateur du roi sur l’état de la généralité qui lui a été confiée » (Lectures françaises de décembre 2021). Certes « ils furent les instruments d’une centralisation administrative nécessaire après les désordres des guerres de religion, des régences et de la Fronde. Ainsi leur compétence englobait la justice, la police et ls finances. Mais leur pouvoir était limité par les ‘’corps intermédiaires’’, les franchises et les libertés locales ». Au contraire, le préfet mis en place par Napoléon avait les pleins pouvoirs au niveau de son département, sans les organes de contre-pouvoir local que la Révolution s’est empressée de supprimer.
Un autre volet du pouvoir napoléonien est la mise en place du Code Civil. Apparemment, ce fut là aussi un grand progrès. Mais quand on rentre dans le détail, on s’aperçoit à quel point l’individualisme promu par l’article 4 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 est mis en valeur. « Benjamin Constant a d’ailleurs souligné son absence de tout sens moral. (…) S’agissant de la famille, la perspective dominante est contradictoire. D’une part, on réprouve le célibat, considérant que la prospérité de la société nécessite des ‘’reproducteurs’’ et des ‘’consommateurs’’. (…) D’autre part, l’individualisme des Lumières exalte le célibat laïque. Le célibat est fait pour l’élite, le mariage destiné à la perpétuation de l’espèce humaine est pour le peuple, pour la masse. ». D’où la remarque pertinente de D’Holbach : « une nation corrompue se remplit de célibataires ». C’est bien ce que nous vivons aujourd’hui. Si l’on se rappelle que la famille est le berceau de la liberté, on comprend pourquoi la république veut par tous les moyens la détruire.
Le troisième volet de la réforme napoléonienne de la société est l’Université. « Napoléon avait sur ce sujet deux idées bien arrêtées : un profond dédain de l’instruction populaire et la volonté d’utiliser l’école comme le moyen de façonner l’esprit de la jeunesse ». Certes nous avons connu les heures de gloire de l’école de Jules Ferry. Mais, avec le recul, force est de constater que celle-ci était l’outil nécessaire pour détruire tout le tissu d’écoles chrétiennes issues de la royauté. Et que voyons-nous maintenant ? Le règne du « pédagogisme », cette idéologie qui interdit aux enseignants de transmettre le savoir, celui-ci devant être découvert par l’élève lui-même. Quant à façonner l’esprit de la jeunesse, plusieurs moyens sont mis en œuvre : le sabotage de l’enseignement de l’histoire, transformé en un vaste outil de propagande, la réduction de l’apprentissage du français au strict minimum (800 heures d’enseignement ont été supprimées entre le primaire et le secondaire) et un frein à l’apprentissage du raisonnement par l’élève en sont quelques exemples.
Le quatrième volet est la censure. « Dès le début du Consulat, en janvier 1800, un décret supprime en une seule fois soixante des soixante-treize journaux du département de la Seine et rétablit l’autorisation préalable, abolie en 1789. (…) Toute publication de livre nécessite le passage par une multitude de filtres avant sa diffusion. Le livre n’est plus qu’un instrument de propagande étatique ». Aujourd’hui, on peut croire qu’on a retrouvé toute une liberté, mais ce n’est qu’apparent du fait de l’introduction de « lois mémorielles » qui interdisent toute publication dans certains domaines historiques.
Ces quatre piliers de la république sont, comme nous venons de le voir, quatre moyens d’oppression étatique. C’est pourquoi toute tentative de réformer le système est vaine : c’est tout un carcan qu’il faut détruire. Une contre-révolution est donc nécessaire.
C’est, tout d’abord, la mise en place des préfets. A première vue, on pourrait penser qu’il n’a fait que perpétuer les intendants de l’ancien régime. C’est tout le contraire. « L’intendant d’Ancien Régime est d’abord un informateur du roi sur l’état de la généralité qui lui a été confiée » (Lectures françaises de décembre 2021). Certes « ils furent les instruments d’une centralisation administrative nécessaire après les désordres des guerres de religion, des régences et de la Fronde. Ainsi leur compétence englobait la justice, la police et ls finances. Mais leur pouvoir était limité par les ‘’corps intermédiaires’’, les franchises et les libertés locales ». Au contraire, le préfet mis en place par Napoléon avait les pleins pouvoirs au niveau de son département, sans les organes de contre-pouvoir local que la Révolution s’est empressée de supprimer.
Un autre volet du pouvoir napoléonien est la mise en place du Code Civil. Apparemment, ce fut là aussi un grand progrès. Mais quand on rentre dans le détail, on s’aperçoit à quel point l’individualisme promu par l’article 4 de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789 est mis en valeur. « Benjamin Constant a d’ailleurs souligné son absence de tout sens moral. (…) S’agissant de la famille, la perspective dominante est contradictoire. D’une part, on réprouve le célibat, considérant que la prospérité de la société nécessite des ‘’reproducteurs’’ et des ‘’consommateurs’’. (…) D’autre part, l’individualisme des Lumières exalte le célibat laïque. Le célibat est fait pour l’élite, le mariage destiné à la perpétuation de l’espèce humaine est pour le peuple, pour la masse. ». D’où la remarque pertinente de D’Holbach : « une nation corrompue se remplit de célibataires ». C’est bien ce que nous vivons aujourd’hui. Si l’on se rappelle que la famille est le berceau de la liberté, on comprend pourquoi la république veut par tous les moyens la détruire.
Le troisième volet de la réforme napoléonienne de la société est l’Université. « Napoléon avait sur ce sujet deux idées bien arrêtées : un profond dédain de l’instruction populaire et la volonté d’utiliser l’école comme le moyen de façonner l’esprit de la jeunesse ». Certes nous avons connu les heures de gloire de l’école de Jules Ferry. Mais, avec le recul, force est de constater que celle-ci était l’outil nécessaire pour détruire tout le tissu d’écoles chrétiennes issues de la royauté. Et que voyons-nous maintenant ? Le règne du « pédagogisme », cette idéologie qui interdit aux enseignants de transmettre le savoir, celui-ci devant être découvert par l’élève lui-même. Quant à façonner l’esprit de la jeunesse, plusieurs moyens sont mis en œuvre : le sabotage de l’enseignement de l’histoire, transformé en un vaste outil de propagande, la réduction de l’apprentissage du français au strict minimum (800 heures d’enseignement ont été supprimées entre le primaire et le secondaire) et un frein à l’apprentissage du raisonnement par l’élève en sont quelques exemples.
Le quatrième volet est la censure. « Dès le début du Consulat, en janvier 1800, un décret supprime en une seule fois soixante des soixante-treize journaux du département de la Seine et rétablit l’autorisation préalable, abolie en 1789. (…) Toute publication de livre nécessite le passage par une multitude de filtres avant sa diffusion. Le livre n’est plus qu’un instrument de propagande étatique ». Aujourd’hui, on peut croire qu’on a retrouvé toute une liberté, mais ce n’est qu’apparent du fait de l’introduction de « lois mémorielles » qui interdisent toute publication dans certains domaines historiques.
Ces quatre piliers de la république sont, comme nous venons de le voir, quatre moyens d’oppression étatique. C’est pourquoi toute tentative de réformer le système est vaine : c’est tout un carcan qu’il faut détruire. Une contre-révolution est donc nécessaire.
Tancrède de Hauteville- Chef
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Re: La république a détruit les libertés
... Sans notion de peuple UN est Indivisible (un truisme), il n'y a plus de notion de : Liberté, égalité, fraternité, laïcité. (où elles sont à géométries tellement variables que ça en devient risible).
Edouard de Montmonrency- Vénérable
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Re: La république a détruit les libertés
Thésée a écrit:Après une période de grands désordres pendant les dix premières années de la révolution française, Napoléon a adopté des mesures qui ont installé la république sur un socle solide, puisqu’il dure encore. Voyons cela de plus près..
Si je puis me permettre, Napoléon n'était pas un républicain mais un autocrate.
Monsieur Trololo- Vénérable
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Re: La république a détruit les libertés
Quelle république? Car il y en a eu plusieurs.
Et les préfets c'est Napoléon, consulta/empire, pas la république. Bien sur cela suit la révolution et le redécoupage en département (qui était une bonne chose au niveau de l’égalité des territoire.)
L'idée du préfet n'est pas mauvaise, d’ailleurs beaucoup de pays ont adopté ce système qui est un modèle en bien des points le problème c'est qui choisi le préfet? Si c'est l’exécutif qui choisi...... C'est sûr que ça ne le fait pas.
@Thésée, évidement que Napoléon a récompensé ses bailleurs de fonds quand il écrit le code civil.
Pour ça que le code civil parle en long en large et en travers du droit de propriété.
Alors la réforme du système éducatif sous Napoléon faut se mettre à l'époque. C'était le retour d'une méritocratie qu'on attendait depuis des siècle. Ça allait avec les réformes de l'armée.
Faut dire que sur ce point là c'est dur de lui reprocher quoi que ce soit.
La preuve on se reporte plus sur Jules Ferry.
Cocnernnat la censure, faut vori que dans l'ancien régime, on laisser pisser mais il y avait des organes de censure forts, donc à la révolution la libertée de la presse à explosé. Enfin ça c'était jusqu'à ce que l'ont renrte en guerre et que l'ennemi s'informe du déplacement de nos troupes en lsiant les journaux locaux. Là on a commencé à moins déconner.
Ça s'est dégradé rapidement au point que Napoléon a mis la presse sous ses ordres, bah ça n'a choqué personne, de plus il y avait les grande campagne les manœuvre militaire à garder secret.. L'espionnage tout ci tout ça.
Après Napoléon les gens ont essayé de mettre la presse aux ordre par la force.
Ça ne marchait plus, pour mettre la presse aux ordre après ça marché par copinage et corruption. Et d'ailleurs encore de nos jours c'est la carotte qui fait avancer tout le schmil blic..
Il faut se mettre à jour avec la guerre froide culturel (qui mène la danse) de Frances Stonor Saunder ou la fabrique du consentement et les dernière méthode de la CIA pour contrôler l'opinion publique et la presse. #Opértaion mocking bird.
Et les préfets c'est Napoléon, consulta/empire, pas la république. Bien sur cela suit la révolution et le redécoupage en département (qui était une bonne chose au niveau de l’égalité des territoire.)
L'idée du préfet n'est pas mauvaise, d’ailleurs beaucoup de pays ont adopté ce système qui est un modèle en bien des points le problème c'est qui choisi le préfet? Si c'est l’exécutif qui choisi...... C'est sûr que ça ne le fait pas.
@Thésée, évidement que Napoléon a récompensé ses bailleurs de fonds quand il écrit le code civil.
Pour ça que le code civil parle en long en large et en travers du droit de propriété.
Alors la réforme du système éducatif sous Napoléon faut se mettre à l'époque. C'était le retour d'une méritocratie qu'on attendait depuis des siècle. Ça allait avec les réformes de l'armée.
Faut dire que sur ce point là c'est dur de lui reprocher quoi que ce soit.
La preuve on se reporte plus sur Jules Ferry.
Cocnernnat la censure, faut vori que dans l'ancien régime, on laisser pisser mais il y avait des organes de censure forts, donc à la révolution la libertée de la presse à explosé. Enfin ça c'était jusqu'à ce que l'ont renrte en guerre et que l'ennemi s'informe du déplacement de nos troupes en lsiant les journaux locaux. Là on a commencé à moins déconner.
Ça s'est dégradé rapidement au point que Napoléon a mis la presse sous ses ordres, bah ça n'a choqué personne, de plus il y avait les grande campagne les manœuvre militaire à garder secret.. L'espionnage tout ci tout ça.
Après Napoléon les gens ont essayé de mettre la presse aux ordre par la force.
Ça ne marchait plus, pour mettre la presse aux ordre après ça marché par copinage et corruption. Et d'ailleurs encore de nos jours c'est la carotte qui fait avancer tout le schmil blic..
Il faut se mettre à jour avec la guerre froide culturel (qui mène la danse) de Frances Stonor Saunder ou la fabrique du consentement et les dernière méthode de la CIA pour contrôler l'opinion publique et la presse. #Opértaion mocking bird.
Plaristes Evariste- Vénérable
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Date d'inscription : 04/06/2020
La république a détruit les libertés
Monsieur Trololo a écrit:Thésée a écrit:Après une période de grands désordres pendant les dix premières années de la révolution française, Napoléon a adopté des mesures qui ont installé la république sur un socle solide, puisqu’il dure encore. Voyons cela de plus près..
Si je puis me permettre, Napoléon n'était pas un républicain mais un autocrate.
Je veux bien, mais c'est quand même lui qui a consolidé la république.
Tancrède de Hauteville- Chef
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Date d'inscription : 08/09/2021
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Localisation : Paris
La république a détruit les libertés
Plaristes a écrit:Quelle république? Car il y en a eu plusieurs.
Et les préfets c'est Napoléon, consulta/empire, pas la république. Bien sur cela suit la révolution et le redécoupage en département (qui était une bonne chose au niveau de l’égalité des territoire.)
L'idée du préfet n'est pas mauvaise, d’ailleurs beaucoup de pays ont adopté ce système qui est un modèle en bien des points le problème c'est qui choisi le préfet? Si c'est l’exécutif qui choisi...... C'est sûr que ça ne le fait pas.
@Thésée, évidement que Napoléon a récompensé ses bailleurs de fonds quand il écrit le code civil.
Pour ça que le code civil parle en long en large et en travers du droit de propriété.
Alors la réforme du système éducatif sous Napoléon faut se mettre à l'époque. C'était le retour d'une méritocratie qu'on attendait depuis des siècle. Ça allait avec les réformes de l'armée.
Faut dire que sur ce point là c'est dur de lui reprocher quoi que ce soit.
La preuve on se reporte plus sur Jules Ferry.
Concernant la censure, faut voir que dans l'ancien régime, on laisser pisser mais il y avait des organes de censure forts, donc à la révolution la liberté de la presse à explosé. Enfin ça c'était jusqu'à ce que l'ont rentre en guerre et que l'ennemi s'informe du déplacement de nos troupes en lisant les journaux locaux. Là on a commencé à moins déconner.
Ça s'est dégradé rapidement au point que Napoléon a mis la presse sous ses ordres, bah ça n'a choqué personne, de plus il y avait les grande campagne les manœuvre militaire à garder secret.. L'espionnage tout ci tout ça.
Après Napoléon les gens ont essayé de mettre la presse aux ordre par la force.
Ça ne marchait plus, pour mettre la presse aux ordre après ça marché par copinage et corruption. Et d'ailleurs encore de nos jours c'est la carotte qui fait avancer tout le schmil blic..
Il faut se mettre à jour avec la guerre froide culturel (qui mène la danse) de Frances Stonor Saunder ou la fabrique du consentement et les dernière méthode de la CIA pour contrôler l'opinion publique et la presse. #Opértaion mocking bird.
Je ne vais pas rentrer dans le détail de nos points de divergence. Abordons seulement la question de la presse.
Sur le constat, nous sommes d'accord : la presse est entre les mains de l'oligarchie mondialiste (même si tu l'appelles autrement).
Cependant, la liberté totale de la presse, cela n'existe pas. C'est une utopie ou un slogan démago.
Dans le projet de société royaliste que je défends, la liberté de la presse sera totale, à condition de respecter l'Evangile. C'est en effet une loi qui s'impose à tous les hommes, qu'ils soient croyants ou non croyants. C'est la loi de la civilisation de l'amour.
Tancrède de Hauteville- Chef
- Messages : 1118
Date d'inscription : 08/09/2021
Age : 84
Localisation : Paris
Re: La république a détruit les libertés
Bien sûr comme le rappelle Bruno Guigue, la liberté de la presse n'est que la loi de la jungle, celui qui a le plus gros mégaphone.
Pour qu'un information un voix ait de la valeur il faut faire taire les autre.
Ce qui rend une parole importante c'est son statut privilégié, le faîte qu'elle ne soit pas filtré.
Et ça la CIA l'a compris.
ll y a une guerre, de l'info une guerer du sens "a war of meaning" comme on le dit dans deus EX. Et dans Deus ex ils emploient un terme que j'apprécie particulièrement : Arsenaux de communication.
Pas moyens de communication. Arseneaux. Ce sont des armes.
Au vénézuela, dans la constitution au côté du pouvoir législatif/executif etc. Ils ont inscrit la notion de pouvoir médiatique.
Dans les ateleirs constituant de chouards tous sont d'accord pour maintenir une certaine neutralité de la presse.
Dans le CNR des mesures avaient été prise pour éviter que la presse ne tombe entre les main "des féodalités économiques."
Ceci dit comme l'ont prouvé ces dernière décennies, les "féodaliétes économiques" en question trouvent toujours un moyen d’abroger ces mesures. "L'état a plus de sous? Ils pourrait pas nous vendre TF1."
Il faut donc les abolir.
Pour qu'un information un voix ait de la valeur il faut faire taire les autre.
Ce qui rend une parole importante c'est son statut privilégié, le faîte qu'elle ne soit pas filtré.
Et ça la CIA l'a compris.
ll y a une guerre, de l'info une guerer du sens "a war of meaning" comme on le dit dans deus EX. Et dans Deus ex ils emploient un terme que j'apprécie particulièrement : Arsenaux de communication.
Pas moyens de communication. Arseneaux. Ce sont des armes.
Au vénézuela, dans la constitution au côté du pouvoir législatif/executif etc. Ils ont inscrit la notion de pouvoir médiatique.
Dans les ateleirs constituant de chouards tous sont d'accord pour maintenir une certaine neutralité de la presse.
Dans le CNR des mesures avaient été prise pour éviter que la presse ne tombe entre les main "des féodalités économiques."
Ceci dit comme l'ont prouvé ces dernière décennies, les "féodaliétes économiques" en question trouvent toujours un moyen d’abroger ces mesures. "L'état a plus de sous? Ils pourrait pas nous vendre TF1."
Il faut donc les abolir.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
La république a détruit les libertés
Je t'ai déjà dit que nous sommes d'accord.Plaristes a écrit:Bien sûr comme le rappelle Bruno Guigue, la liberté de la presse n'est que la loi de la jungle, celui qui a le plus gros mégaphone.
Pour qu'un information un voix ait de la valeur il faut faire taire les autre.
Ce qui rend une parole importante c'est son statut privilégié, le faîte qu'elle ne soit pas filtré.
Et ça la CIA l'a compris.
ll y a une guerre, de l'info une guerer du sens "a war of meaning" comme on le dit dans deus EX. Et dans Deus ex ils emploient un terme que j'apprécie particulièrement : Arsenaux de communication.
Pas moyens de communication. Arseneaux. Ce sont des armes.
Au vénézuela, dans la constitution au côté du pouvoir législatif/executif etc. Ils ont inscrit la notion de pouvoir médiatique.
Dans les ateleirs constituant de chouards tous sont d'accord pour maintenir une certaine neutralité de la presse.
Dans le CNR des mesures avaient été prise pour éviter que la presse ne tombe entre les main "des féodalités économiques."
Ceci dit comme l'ont prouvé ces dernière décennies, les "féodaliétes économiques" en question trouvent toujours un moyen d’abroger ces mesures. "L'état a plus de sous? Ils pourrait pas nous vendre TF1."
Il faut donc les abolir.
Mais que ferais-tu si tu étais au pouvoir ?
Tancrède de Hauteville- Chef
- Messages : 1118
Date d'inscription : 08/09/2021
Age : 84
Localisation : Paris
Re: La république a détruit les libertés
Thésée a écrit:Monsieur Trololo a écrit:Thésée a écrit:Après une période de grands désordres pendant les dix premières années de la révolution française, Napoléon a adopté des mesures qui ont installé la république sur un socle solide, puisqu’il dure encore. Voyons cela de plus près..
Si je puis me permettre, Napoléon n'était pas un républicain mais un autocrate.
Je veux bien, mais c'est quand même lui qui a consolidé la république.
Il a consolidé la république de l'époque, mais maintenant à cause de lui en partie, la république est fragilisée (plus assez représentative, trop rigide et verticale, et avec un mode de scrutin tactique et non proportionnel) ... a trop vouloir protéger on déprotège.
Edouard de Montmonrency- Vénérable
- Messages : 20645
Date d'inscription : 02/01/2022
Re: La république a détruit les libertés
Thésée a écrit:Je t'ai déjà dit que nous sommes d'accord.Plaristes a écrit:Bien sûr comme le rappelle Bruno Guigue, la liberté de la presse n'est que la loi de la jungle, celui qui a le plus gros mégaphone.
Pour qu'un information un voix ait de la valeur il faut faire taire les autre.
Ce qui rend une parole importante c'est son statut privilégié, le faîte qu'elle ne soit pas filtré.
Et ça la CIA l'a compris.
ll y a une guerre, de l'info une guerer du sens "a war of meaning" comme on le dit dans deus EX. Et dans Deus ex ils emploient un terme que j'apprécie particulièrement : Arsenaux de communication.
Pas moyens de communication. Arseneaux. Ce sont des armes.
Au vénézuela, dans la constitution au côté du pouvoir législatif/executif etc. Ils ont inscrit la notion de pouvoir médiatique.
Dans les ateleirs constituant de chouards tous sont d'accord pour maintenir une certaine neutralité de la presse.
Dans le CNR des mesures avaient été prise pour éviter que la presse ne tombe entre les main "des féodalités économiques."
Ceci dit comme l'ont prouvé ces dernière décennies, les "féodaliétes économiques" en question trouvent toujours un moyen d’abroger ces mesures. "L'état a plus de sous? Ils pourrait pas nous vendre TF1."
Il faut donc les abolir.
Mais que ferais-tu si tu étais au pouvoir ?
D’abord le démantèlement des féodalités économiques qui est le 5° pilier de cette rioublique. #Turgot & scie. A la limitte necker mais necker n'était pas désintéressé par la santé de l’économie du royaume, il était colbertien avant d'être physiocrate. Ce qui fait la force de ces gens avant tout chose, ça été la fin des corvées et du corporatisme, pour l'arrivée du marché du travail, où est libre de choisir son exploiteur. (Je ne pense pas que retourner aux corporations soit une bonne chose cependant....)
C'est grâce à ça qu'ils créent l’inégalité des richesses pharamineuses qui leur permet de corrompre et d'acheter tout à leur guise. Si tout le monde était riche, ou pauvre. La corruption serait bien plus dur. Ils monopolisent l’accumulation de richesse, et se gardent bien de laisser les autres aussi accumuler.
Pour ça qu'ils continuent à accumuler bien qu'ils aient déjà trop.
De plus le contrôle de l’économie en soi permet de faire pression sur les états.
Ensuite :
Je diviserai la presse. Une presse gouvernemental officielle, une presse indépendante surveillée par une association citoyennes si possible constitué d'ancien juristes/journalistes chargé du code de déontologie de cette presse là. Et un presse privée minoritaire tolérée à l'échelle locale.
Pour la pref je pense qu'il faut faire élire le préfet par le département.
Et avoir une organisation de citoyens tiré au sort pour assurer le service d'ordre durant les manifs. Voir un tirage au sort à chaque manif. Comme avec le jurée d'un procès.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: La république a détruit les libertés
"..Si tout le monde était riche, ou pauvre. La corruption serait bien plus dur."
C'est bien plariste de rappeler des Lapalissades (surtout pour certains). Et une des valeurs de notre République (l'égalité) afin de tendre vers un peuple un est indivisible.
C'est bien plariste de rappeler des Lapalissades (surtout pour certains). Et une des valeurs de notre République (l'égalité) afin de tendre vers un peuple un est indivisible.
Edouard de Montmonrency- Vénérable
- Messages : 20645
Date d'inscription : 02/01/2022
La république a détruit les libertés
J'ai fait un constat. Cela ne veut pas dire que j'approuve.blablabla-le-couplet a écrit:Thésée a écrit:Monsieur Trololo a écrit:Thésée a écrit:Après une période de grands désordres pendant les dix premières années de la révolution française, Napoléon a adopté des mesures qui ont installé la république sur un socle solide, puisqu’il dure encore. Voyons cela de plus près..
Si je puis me permettre, Napoléon n'était pas un républicain mais un autocrate.
Je veux bien, mais c'est quand même lui qui a consolidé la république.
Il a consolidé la république de l'époque, mais maintenant à cause de lui en partie, la république est fragilisée (plus assez représentative, trop rigide et verticale, et avec un mode de scrutin tactique et non proportionnel) ... à trop vouloir protéger on déprotège.
La république n'est pas fragilisée : elle a mis en place des gouvernements quasiment tous sous influence franc-maçonne. Et il est hors de question que la FM cède son pouvoir à de quelconques représentants du peuple.
Tancrède de Hauteville- Chef
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La république a détruit les libertés
(...)Plaristes a écrit:
Je t'ai déjà dit que nous sommes d'accord.
Mais que ferais-tu si tu étais au pouvoir ?
Je diviserai la presse. Une presse gouvernemental officielle, une presse indépendante surveillée par une association citoyennes si possible constitué d'anciens juristes/journalistes chargé du code de déontologie de cette presse là. Et une presse privée minoritaire tolérée à l'échelle locale.[/quote]
Tout le problème est dans "le code de déontologie".
Il faut des critères simples, sinon cela ne peut pas marcher. Mao avait inventé la distinction entre :
- les contradictions entre bourgeoisie et prolétariat,
- les contradictions au sein du peuple.
Je ne dis pas que cela clarifie les choses. C'est juste un exemple historique.
Mais la méthode est intéressante : sur quel critère ne peut-on plus tolérer (c'est ton expression) la presse concernée ?
Autant dire le supprimer, puisque l'élection existe déjà : ce sont les présidents de départements et de région.Plaristes a écrit:
Pour la pref je pense qu'il faut faire élire le préfet par le département.
L'inconvénient, c'est que le pouvoir central n'est plus relayé. C'est l'anarchie.
C'est complètement idiot ! Si on organise une manif, c'est pour qu'elle soit efficace et, donc, pour qu'elle ne puisse être détournée de son objectif par des éléments parasites. Il faut donc un service d'ordre très conscient des risques et capable de s'y opposer.Plaristes a écrit:
Et avoir une organisation de citoyens tirée au sort pour assurer le service d'ordre durant les manifs. Voir un tirage au sort à chaque manif. Comme avec le jurée d'un procès.
Tancrède de Hauteville- Chef
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Ferdinand de Talmont- Vénérable
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Tancrède de Hauteville- Chef
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Re: La république a détruit les libertés
"La république a détruit les libertés"
La République Française c'est liberté, égalité,fraternité, laïcité ... s'il n'y a plus de liberté (ou une autre valeur républicaine) alors il n'y a plus de République tout court, ça devient un autre régime politique de fait.
La République Française c'est liberté, égalité,fraternité, laïcité ... s'il n'y a plus de liberté (ou une autre valeur républicaine) alors il n'y a plus de République tout court, ça devient un autre régime politique de fait.
Edouard de Montmonrency- Vénérable
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La république a détruit les libertés
La définition classique de la liberté depuis 1789 est « fais ce qu’il te plait dans la limite de ce qui gêne autrui ». Remarquons au passage qu’il y a là un encouragement à toutes les dépravations morales, alors que, tout au contraire, le roi, lieutenant de Dieu sur terre, se doit de mener une politique qui élève la vertu du peuple.blablabla-le-couplet a écrit:"La république a détruit les libertés"
La République Française c'est liberté, égalité,fraternité, laïcité ... s'il n'y a plus de liberté (ou une autre valeur républicaine) alors il n'y a plus de République tout court, ça devient un autre régime politique de fait.
La liberté donc, c’est en particulier la liberté d’entreprendre. Or celle-ci peut conduire à un niveau de revenu que n’aura pas la personne qui reste en bas de l’échelle sociale. Le principe d’égalité ne sera pas respecté.
Inversement, si le gouvernement républicain veut à tout prix imposer l’égalité, il devra le faire par la contrainte – ce qui se passait en URSS par exemple – et dans ce cas c’est le principe de liberté qui n’est pas respecté.
En résumé, liberté et égalité sont incompatibles
Venons-en à la fraternité. Puisque, depuis 1789, on a choisi d’établir une société sans Dieu, le dieu qui l’a remplacé est le dieu-argent. Et ceci se vérifie tous les jours : nous vivons dans un environnement dominé par l’argent omniprésent. Comment alors parler de fraternité puisque les rapports humains sont réglés par l’argent ? La conclusion est évidente :
Il y a incompatibilité entre une société sans Dieu et la fraternité
J'ajoute un point : comment parler de fraternité alors qu'il y a aujourd'hui en France 300.000 SDF ? Et comme ils ne votent pas, aucun candidat ne s'en soucie.
Tancrède de Hauteville- Chef
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Re: La république a détruit les libertés
... Non c'est le différentiel entre liberté et égalité qui tue la République.
Si j'ai la liberté de concentrer la plupart des richesses à moi tout seul, les autres vont pas être contents ;-)
La liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres.
Il n'y a pas de société démocratique apaisée sans la notion d'égalité décente, ou alors il faut une dictature (oligarchique). Si les géométries sont trop variables, c'est foutu.
Si j'ai la liberté de concentrer la plupart des richesses à moi tout seul, les autres vont pas être contents ;-)
La liberté des uns s'arrête là où commence celle des autres.
Il n'y a pas de société démocratique apaisée sans la notion d'égalité décente, ou alors il faut une dictature (oligarchique). Si les géométries sont trop variables, c'est foutu.
Edouard de Montmonrency- Vénérable
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Date d'inscription : 02/01/2022
Re: La république a détruit les libertés
Thésée a écrit:La liberté donc, c’est en particulier la liberté d’entreprendre. Or celle-ci peut conduire à un niveau de revenu que n’aura pas la personne qui reste en bas de l’échelle sociale. Le principe d’égalité ne sera pas respecté.
Cette pensée est à mettre en lien plutôt avec le libéralisme. La liberté d'entreprendre, on y voit tout de suite entreprise. Effectivement dans ce cadre là, on s'accapare les richesses. Or, ce n'est pas la liberté qui à permis d'accroître son revenu par rapport à autrui. Notre liberté est insuffisante pour développer son revenu. La nécessité d'une coopération avec autrui dont les égalités respectives sont dépendantes des parties prenantes.
Autrement dit, l'échelle sociale dépend des étapes (des barreaux de l'échelle). A chaque étape pour grimper l'échelle, quelles sont les conditions à mettre en oeuvre et surtout sont elles toutes égalitaires?
Pour que chacun puisse avancer, donc être libre, il faut respecter d'abord l'égalité de chacun.
Thésée a écrit:Il y a incompatibilité entre une société sans Dieu et la fraternité
J'ajoute un point : comment parler de fraternité alors qu'il y a aujourd'hui en France 300.000 SDF ? Et comme ils ne votent pas, aucun candidat ne s'en souci
Sans liberté et égalité, point de fraternité. Une société régit par des normes imparfaites et souvent dénuées de morale, il est concevable de voir naître une fraternité éreintée.
Si une société ne prends pas en compte ces SDF comme vous dîtes, elle exclut une partie de ses "frères" et ne peut être perçue comme une société fraternelle.
Oligark- Impétrant
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La république a détruit les libertés
C'est quoi; ce charabia marxiste ?Oligark a écrit:Thésée a écrit:La liberté donc, c’est en particulier la liberté d’entreprendre. Or celle-ci peut conduire à un niveau de revenu que n’aura pas la personne qui reste en bas de l’échelle sociale. Le principe d’égalité ne sera pas respecté.
Cette pensée est à mettre en lien plutôt avec le libéralisme. La liberté d'entreprendre, on y voit tout de suite entreprise. Effectivement dans ce cadre là, on s'accapare les richesses. Or, ce n'est pas la liberté qui à permis d'accroître son revenu par rapport à autrui. Notre liberté est insuffisante pour développer son revenu. La nécessité d'une coopération avec autrui dont les égalités respectives sont dépendantes des parties prenantes.
Autrement dit, l'échelle sociale dépend des étapes (des barreaux de l'échelle). A chaque étape pour grimper l'échelle, quelles sont les conditions à mettre en œuvre et surtout sont elles toutes égalitaires?
Pour que chacun puisse avancer, donc être libre, il faut respecter d'abord l'égalité de chacun.
Nous vivons dans un régime libéral qui permet à quelques dizaines de personnes de posséder la moitié de la richesse mondiale.
Vous pouvez toujours faire le vœu de "respecter l'égalité de chacun". Il faut pour cela 1) changer de régime politique ; 2) décider si, dans le nouveau régime, on est payé en fonction de la compétence de chacun ou selon une autre logique.
J'ai démontré plus haut que liberté et égalité sont incompatibles : si on veut la liberté, il n'y a pas d'égalité ; et si on veut l'égalité, alors il n'y a pas de liberté.Oligark a écrit:Thésée a écrit:Il y a incompatibilité entre une société sans Dieu et la fraternité
J'ajoute un point : comment parler de fraternité alors qu'il y a aujourd'hui en France 300.000 SDF ? Et comme ils ne votent pas, aucun candidat ne s'en soucie
Sans liberté et égalité, point de fraternité. Une société régie par des normes imparfaites et souvent dénuées de morale, il est concevable de voir naître une fraternité éreintée.
Si une société ne prends pas en compte ces SDF comme vous dîtes, elle exclut une partie de ses "frères" et ne peut être perçue comme une société fraternelle.
L'article 4 de la DDHC de 1789 déclare : "fais ce que tu veux du moment que tu ne gênes pas le voisin". Donc la DDHC promeut l'individualisme, l'égoïsme. Impossible, avec une telle doctrine, de parler de fraternité.
Tancrède de Hauteville- Chef
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Re: La république a détruit les libertés
Thésée a écrit:...
J'ai démontré plus haut que liberté et égalité sont incompatibles : si on veut la liberté, il n'y a pas d'égalité ; et si on veut l'égalité, alors il n'y a pas de liberté...
C'est pas une démonstration, c'est un contre-sens ... il n'y a pas de démocratie apaisée sans une notion d'égalité importante, du coup, sans sureté, pas de liberté non plus.
Pour de grosses disparités d'argent, il faut une dictature comme régime politique (une Oligarchie ou Monarchie, etc)
Edouard de Montmonrency- Vénérable
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La république a détruit les libertés
Vous le dites vous-même : réduire les inégalités ne peut se faire que par une privation de libertés.blablabla-le-couplet a écrit:Thésée a écrit:...
J'ai démontré plus haut que liberté et égalité sont incompatibles : si on veut la liberté, il n'y a pas d'égalité ; et si on veut l'égalité, alors il n'y a pas de liberté...
C'est pas une démonstration, c'est un contre-sens ... il n'y a pas de démocratie apaisée sans une notion d'égalité importante, du coup, sans sureté, pas de liberté non plus.
Pour de grosses disparités d'argent, il faut une dictature comme régime politique (une Oligarchie ou Monarchie, etc)
Plus généralement, la recherche de l'égalité est une absurdité. Les hommes ne sont pas égaux.
Je reviens à ma démonstration initiale, que vous n'avez pas contestée :
1) le remplacement des intendants royaux par les préfets a privé le peuple de libertés : leur pouvoir était limité par les ‘’corps intermédiaires’’, les franchises et les libertés locales.
2) tout le code civil est basé sur la défense de la propriété individuelle, au détriment des corps intermédiaires, que la révolution s'est dépêchée de dissoudre. Or leur rôle était de constituer des contre-pouvoirs par rapport au pouvoir central.
3) l'enseignement public est organisé pour fabriquer des abrutis, tout le contraire de la liberté de développer les esprits.
4) la censure : on ne peut l'éviter. Mais il faut choisir entre la censure des idées perverses (celle qui s'opposent aux valeurs chrétiennes) et la censure des écrivains qui recherchent la vérité (cf les lois mémorielles).
Tancrède de Hauteville- Chef
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Re: La république a détruit les libertés
Thésée a écrit:Vous le dites vous-même : réduire les inégalités ne peut se faire que par une privation de libertés.blablabla-le-couplet a écrit:Thésée a écrit:...
J'ai démontré plus haut que liberté et égalité sont incompatibles : si on veut la liberté, il n'y a pas d'égalité ; et si on veut l'égalité, alors il n'y a pas de liberté...
C'est pas une démonstration, c'est un contre-sens ... il n'y a pas de démocratie apaisée sans une notion d'égalité importante, du coup, sans sureté, pas de liberté non plus.
Pour de grosses disparités d'argent, il faut une dictature comme régime politique (une Oligarchie ou Monarchie, etc)
Plus généralement, la recherche de l'égalité est une absurdité. Les hommes ne sont pas égaux.
Je reviens à ma démonstration initiale, que vous n'avez pas contestée :
1) le remplacement des intendants royaux par les préfets a privé le peuple de libertés : leur pouvoir était limité par les ‘’corps intermédiaires’’, les franchises et les libertés locales.
2) tout le code civil est basé sur la défense de la propriété individuelle, au détriment des corps intermédiaires, que la révolution s'est dépêchée de dissoudre. Or leur rôle était de constituer des contre-pouvoirs par rapport au pouvoir central.
3) l'enseignement public est organisé pour fabriquer des abrutis, tout le contraire de la liberté de développer les esprits.
4) la censure : on ne peut l'éviter. Mais il faut choisir entre la censure des idées perverses (celle qui s'opposent aux valeurs chrétiennes) et la censure des écrivains qui recherchent la vérité (cf les lois mémorielles).
Tout ce que je sais c'est qu'une démocratie avec un peuple non unis ne peut pas vivre dans la concorde (et les grandes disparités d'argent en font partie aussi, c'est pas pour rien que sur les frontons des Mairies il y a écrit "..., égalité, ..." tout court aussi)
Edouard de Montmonrency- Vénérable
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Re: La république a détruit les libertés
blablabla-le-couplet a écrit:
Tout ce que je sais c'est qu'une démocratie avec un peuple non uni ne peut pas vivre dans la concorde (et les grandes disparités d'argent en font partie aussi, c'est pas pour rien que sur les frontons des Mairies il y a écrit "..., égalité, ..." tout court aussi)
Vous avez raison, mais cela n'a rien à voir avec l'égalité.
Cela vous dit quelque chose "le grand remplacement" ? C'est exactement le modèle de ce qu'il ne faut pas faire.
Pour qu'un peuple soit uni, il faut qu'il ait les mêmes valeurs. Le plus logique et le plus efficace, ce sont les valeurs chrétiennes.
Ce que je dis n'est pas partisan, car Dieu existe pour les croyants et les non-croyants.
Tancrède de Hauteville- Chef
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Date d'inscription : 08/09/2021
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Re: La république a détruit les libertés
Thésée a écrit:blablabla-le-couplet a écrit:
Tout ce que je sais c'est qu'une démocratie avec un peuple non uni ne peut pas vivre dans la concorde (et les grandes disparités d'argent en font partie aussi, c'est pas pour rien que sur les frontons des Mairies il y a écrit "..., égalité, ..." tout court aussi)
Vous avez raison, mais cela n'a rien à voir avec l'égalité.
Cela vous dit quelque chose "le grand remplacement" ? C'est exactement le modèle de ce qu'il ne faut pas faire.
Pour qu'un peuple soit uni, il faut qu'il ait les mêmes valeurs. Le plus logique et le plus efficace, ce sont les valeurs chrétiennes.
Ce que je dis n'est pas partisan, car Dieu existe pour les croyants et les non-croyants.
Dans notre République, il faut s'intégrer pour faire un seul "NOUS" un est indivisible Patriote.
Il n'y a pas de place pour plusieurs petits "nous", sinon c'est la République qui est en danger.
PS: Et un grand "NOUS" continental UE, ou Mondialiste/Universel n'est qu'une utopie pour les bisounours.
Edouard de Montmonrency- Vénérable
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