Quand les communards de la NUPES se battent entre eux...

[Jean-Louis de Toqueville]

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Après l'affaire de la candidature de Roussel, qui a coûté un second tour à mélenchon, voilà que le vieux de LFI cartonne à nouveau Roussel, qui lui a fait une nouvelle vacherie. Ambiance...

mélenchon est revenu sur l'affaire Taha Bouhafs, le journaliste militant qui a finalement retiré sa candidature dans la circonscription de Vénissieux dans le Rhône après avoir été prévenu de l'ouverture d'une enquête interne pour des accusations de violences sexuelles.

"Je tiens à souligner le caractère odieux de la campagne raciste contre Taha Bouhafs (avant même ces accusations) et ça, ça restera parce que c'est à ce moment-là que Fabien Roussel est intervenu", a souligné mélenchon sur France 3 dans l'émission Dimanche en politique.

"Personnellement je reste sous le choc d'avoir vu intervenir en pleine campagne raciste un dirigeant politique de notre famille pour attaquer quelqu'un", a-t-il ajouté.


Ça va se régler au couteau de boucher entre eux....

https://www.bfmtv.com/politique/taha-bouhafs-melenchon-s-en-prend-a-roussel-et-son-intervention-lors-d-une-campagne-raciste_AD-202205150198.html#xtor=AL-68


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[Vladimir de Volog]

Interrogé sur l’affaire Taha Bouhafs, du nom de ce journaliste militant investi dans une circonscription avant que ne soit révélée une enquête interne pour violence sexuelles, Jean-Luc Mélenchon s’en est pris à l'attitude du chef de file des communistes, Fabien Roussel.
Jean-Luc Mélenchon est revenu sur l'affaire Taha Bouhafs, le journaliste militant qui a finalement retiré sa candidature dans la circonscription de Vénissieux dans le Rhône après avoir été prévenu de l'ouverture d'une enquête interne pour des accusations de violences sexuelles.

"Je tiens à souligner le caractère odieux de la campagne raciste contre Taha Bouhafs (avant même ces accusations) et ça, ça restera parce que c'est à ce moment-là que Fabien Roussel est intervenu", a souligné Jean-Luc Mélenchon sur France 3 dans l'émission Dimanche en politique.

"Je reste sous le choc"
"Personnellement je reste sous le choc d'avoir vu intervenir en pleine campagne raciste un dirigeant politique de notre famille pour attaquer quelqu'un", a-t-il ajouté.
Il a distingué ce point "de la question que pose les violences sexistes et sexuelles que notre commission a tranché" en "cinq jours", puisque "à notre époque, la parole des femmes est prioritaire et c'est elles qu'on croit d'abord".

La France insoumise a annoncé mercredi avoir ouvert une enquête interne après des accusations de violences sexuelles à l'encontre Taha Bouhafs.
S.A. avec AFP

[Vladimir de Volog]

"Dimanche en politique". Invité : Jean-Luc Mélenchon
Le 15 mai 2022, "Dimanche en politique", le magazine politique de France 3, reçoit Jean-Luc Mélenchon. Il est interrogé par Francis Letellier.

Au sommaire
La période actuelle entre deux élections se prête au doute et aux impatiences. Dans la majorité, les membres du gouvernement retiennent leur souffle. Qui sera le Premier ministre et qui l'accompagnera pour mettre en œuvre le projet présidentiel ?

Pendant ce temps, la campagne des législatives est lancée dans les états-majors parisiens, où sont accordées les investitures, qui passent plus ou moins bien dans les circonscriptions.

La Nouvelle union populaire écologique et sociale (NUPES) prend ses marques, menée par Jean-Luc Mélenchon qui regarde davantage du côté de Matignon que de Marseille.

Marine Le Pen, candidate à Hénin-Beaumont, ne semble pas croire à un revirement majoritaire dans le vote des Français. Elle n’a d'ailleurs pas choisi l’union avec Eric Zemmour.

Quelle majorité à l’Assemblée nationale ? Quel Premier ministre ? Quel avenir pour cette nouvelle union des forces de gauche après les législatives ? Quel avenir pour le leader de La France insoumise s’il n’est plus député ?
https://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-3/dimanche-en-politique/dimanche-en-politique-du-dimanche-15-mai-2022_5105131.html

[Vladimir de Volog]

Dimanche en politique : "la Constitution prévoit que c'est le Premier ministre qui dirige la nation", assure Jean-Luc Mélenchon

À quelques semaines des élections législatives, Jean-Luc Mélenchon, à la tête de la Nouvelle union populaire, économique et sociale, était l'invité de Francis Letellier, dimanche 15 mai, dans "Dimanche en politique".

Jean-Luc Mélenchon, à la tête de la Nouvelle union populaire, économique et sociale (Nupes), était l'invité de Francis Letellier dans "Dimanche en politique", dimanche 8 mai. Il désire l'élection d'une majorité de députés Nupes, afin de pouvoir prétendre au poste de Premier ministre. Il sait d'avance que la cohabitation avec Emmanuel Macron ne serait pas simple. "C'est un personnage volontaire, je le suis moi-même, mais il faudra s'en tenir à la Constitution, puisque c'est elle qui s'applique, et la Constitution prévoit que c'est le Premier ministre qui dirige la politique de la nation, pas le président de la République", détaille Jean-Luc Mélenchon.

Un Smic à 1 500 euros
"Il faut augmenter le salaire minimum", assure Jean-Luc Mélenchon. La proposition de la Nupes était de remonter le Smic à 1 400 euros, mais le salaire minium ayant déjà augmenté, il sera valorisé de 15 %, pour arriver à 1 500 euros. Pour les questions européennes, Jean-Luc Mélenchon se dit "contre tout élargissement, tant qu'on n'a pas fait d'harmonisation sociale". Il prend l'exemple du salaire minimum ukrainien, qui est de 180 euros et qui favoriserait le dumping social.
https://www.francetvinfo.fr/politique/nupes/dimanche-en-politique-la-constitution-prevoit-que-c-est-le-premier-ministre-qui-dirige-la-nation-assure-jean-lucmelenchon_5139949.html

[Jean-Louis de Toqueville]

Dimanche en politique : "la Constitution prévoit que c'est le Premier ministre qui dirige la nation", assure Jean-Luc Mélenchon

À quelques semaines des élections législatives, Jean-Luc Mélenchon, à la tête de la Nouvelle union populaire, économique et sociale, était l'invité de Francis Letellier, dimanche 15 mai, dans "Dimanche en politique".

FAUX !!! Le Premier ministre ne "dirige pas la nation", mais détermine et conduit la politique de la nation,  ce qui n'est pas la même chose (voir article 20 de la Constitution reproduit ci-dessous.

"ARTICLE 20.
Le Gouvernement détermine et conduit la politique de la nation.
Il dispose de l'administration et de la force armée.
Il est responsable devant le Parlement dans les conditions et suivant les procédures prévues aux articles 49 et 50."

De plus, mélenchon joue un peu hâtivement au devin, tous les sondages donnant jusqu'ici une très nette majorité aux législatives à la nouvelle majorité présidentielle.

Enfin, en cas de miracle et de victoire de l'extrême gauche méluchienne, Macron nommera, à sa discrétion, qui il veut et surement pas le mélenchon de service, ce repris de justice braillard, condamné à une peine de prison et ayant plusieurs affaires judiciaire en cours (que je vais citer dans un autre post). Ce type-là n'aurait, pour ces motifs, aucune crédibilité ou autorité en interne et serait la risée et la honte de la France à l'extérieur, tout comme l'avaient été les ministres communards en 1981.


De plus, ce mélenchon est susceptible d'être convoqué par la justice à n'importe quel moment pour avoir à répondre de délits présumés qui lui sont reprochés.


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