Re: Élisabeth Borne, la casse sociale comme ADN politique

[lambertini]

j espère qu elle n est pas a gauche, elle serait de droite
c est bien mieux

[Vladimir de Volog]

Avec la politique fiscale de la France le ruissellement est impossible ! Tout est à sec avant d'arriver à la gouttière !!

Sauf pour les dividendes..... https://www.ouest-france.fr/economie/des-dividendes-records-pour-les-actionnaires-en-2021-b78d062c-4627-11ec-ac19-c516ed4d7a4b

[Minos de Rhadamanthe]

Avec la politique fiscale de la France le ruissellement est impossible ! Tout est à sec avant d'arriver à la gouttière !!

Sauf pour les dividendes.....  https://www.ouest-france.fr/economie/des-dividendes-records-pour-les-actionnaires-en-2021-b78d062c-4627-11ec-ac19-c516ed4d7a4b

FAUX !
Les dividendes sont imposés comme TOUS les revenus !!!

[Vladimir de Volog]

Avec la politique fiscale de la France le ruissellement est impossible ! Tout est à sec avant d'arriver à la gouttière !!

Sauf pour les dividendes.....  https://www.ouest-france.fr/economie/des-dividendes-records-pour-les-actionnaires-en-2021-b78d062c-4627-11ec-ac19-c516ed4d7a4b

FAUX !
Les dividendes sont imposés comme TOUS les revenus !!!

Cesse donc de débiter des conneries, il y a eu dividendes records pour les actionnaires, et ils sont pas à sec aprés la fiscalité, tu mens, la preuve : quand une entreprise vous verse des dividendes, ces versements de dividendes ne sont pas taxés ni imposés dans le PEA et/ou l’assurance-vie. https://revenusetdividendes.com/guides/guide-de-la-fiscalite-des-dividendes/

[Minos de Rhadamanthe]

Avec la politique fiscale de la France le ruissellement est impossible ! Tout est à sec avant d'arriver à la gouttière !!

Sauf pour les dividendes.....  https://www.ouest-france.fr/economie/des-dividendes-records-pour-les-actionnaires-en-2021-b78d062c-4627-11ec-ac19-c516ed4d7a4b

FAUX !
Les dividendes sont imposés comme TOUS les revenus !!!

Cesse donc de débiter des conneries, il y a eu dividendes records pour les actionnaires, et ils sont pas à sec aprés la fiscalité, tu mens, la preuve  :  quand une entreprise vous verse des dividendes, ces versements de dividendes ne sont pas taxés ni imposés dans le PEA et/ou l’assurance-vie.  https://revenusetdividendes.com/guides/guide-de-la-fiscalite-des-dividendes/

Sur un PEA, les dividendes sont bloqués et ne peuvent être QUE réinvestit !!!
Et si vous les sortez du PEA, ils sont taxés !!!
Idem pour une assurance vie !!! (Sauf si elle à plus de 8 ans !)

L’imposition qui s’applique dans le PEA ou l’assurance-vie a lieu uniquement au moment du retrait.

Vous ne lisez même pas votre propres liens !!! (De plus, la CSG à 18%, elle s'applique !!)

VOUS débitez des conneries !!!
De plus, les pertes, elles ne sont pas comptabilisés en réduction de vos autres revenus !!
Et les actionnaires, ont perdu des milliards (mais cette partie, là, bizarrement, vous semblez l'oublier pour ne vous concentrer QUE sur la partie des gains !!)

[Vladimir de Volog]

VOUS débitez des conneries !!! Ne prends pas ton cas pour une généralité, la connerie c'est toi espèce de petit prétentieux je sais tout.

Et les actionnaires, ont perdu des milliards (mais cette partie, là, bizarrement, vous semblez l'oublier pour ne vous concentrer QUE sur la partie des gains !!)

Mais non, ils ne perdent de l'argent qu'en cas de vente à la baisse, s'ils ne vendent pas, ils ne perdent rien, encore une connerie.


Un exemple .
« Les actionnaires se gavent et on a des cacahuètes » : à Cholet, les salariés de Thales en colère
https://www.msn.com/fr-fr/finance/other/les-actionnaires-se-gavent-et-on-a-des-cacahu%C3%A8tes-%C3%A0-cholet-les-salari%C3%A9s-de-thales-en-col%C3%A8re/ar-AAVc1l0
Les syndicats comparent le coût de leur revendication (« 40 millions d’euros » à l’échelle du groupe) aux résultats « records » enregistrés par Thales en 2021, avec un bénéfice net consolidé supérieur au milliard d’euros (+125 %), dont 500 millions reversés en dividendes aux actionnaires (+ 45 %).

« Ils se gavent et nous, qui créons la richesse, on a des cacahuètes, dénonce Pierre Denez, représentant CFDT au comité économique et social. Il n’y a aucune redistribution, alors que les salariés ont consenti beaucoup d’efforts, notamment en travaillant le samedi. » La hausse de la rémunération des dirigeants (« + 157 % sur leurs parts variables ») est également pointée.

[Vladimir de Volog]

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Élisabeth Borne, la casse sociale comme ADN politique.

Il était question pour Emmanuel Macron d’envoyer un signal à la gauche, mais, entre la réforme de l’assurance-chômage et celle de la SNCF, la nouvelle première ministre a beau avoir été proche du PS, elle incarne la continuité d’un quinquennat très à droite.

Emmanuel Macron voulait nommer une femme. C’est fait. Il cherchait un profil capable de mener la « planification écologique », voire d’envoyer un message aux électeurs de centre gauche. C’est raté. À 61 ans, Élisabeth Borne n’incarne pas non plus le renouveau ou la « méthode nouvelle » souhaitée à l’Élysée. Membre de tous les gouvernements depuis 2017, sa nomination comme première ministre est l’aboutissement d’un parcours classique en Macronie, fait d’allers-retours entre la haute fonction publique et les conseils d’administration de grandes entreprises.

Fille de patrons dans l’industrie pharmaceutique, elle a le cursus scolaire d’une parfaite « techno » : polytechnicienne, diplômée des Ponts et chaussées et du Collège des ingénieurs, avant de faire ses premières armes au ministère de l’Équipement en 1987. C’est alors qu’elle se rapproche de plusieurs figures du PS, sans jamais prendre sa carte au parti – contrairement à la République en marche, qu’elle rejoint en 2017. Après un passage rapide à la Sonacotra, elle intègre divers cabinets de ministères socialistes, puis, en 1997, entre à Matignon comme conseillère technique chargée des transports.

Cette thématique est en effet devenue la spécialité d’Élisabeth Borne, qui lui vaudra d’être nommée en 2002 directrice de la stratégie de la SNCF, puis de la RATP, entre 2015 et 2017.
 Élisabeth Borne n’y a pas laissé un souvenir impérissable en matière de défense du service public.

[lepape]

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Élisabeth Borne, la casse sociale comme ADN politique.

Il était question pour Emmanuel Macron d’envoyer un signal à la gauche, mais, entre la réforme de l’assurance-chômage et celle de la SNCF, la nouvelle première ministre a beau avoir été proche du PS, elle incarne la continuité d’un quinquennat très à droite.

Emmanuel Macron voulait nommer une femme. C’est fait. Il cherchait un profil capable de mener la « planification écologique », voire d’envoyer un message aux électeurs de centre gauche. C’est raté. À 61 ans, Élisabeth Borne n’incarne pas non plus le renouveau ou la « méthode nouvelle » souhaitée à l’Élysée. Membre de tous les gouvernements depuis 2017, sa nomination comme première ministre est l’aboutissement d’un parcours classique en Macronie, fait d’allers-retours entre la haute fonction publique et les conseils d’administration de grandes entreprises.

Fille de patrons dans l’industrie pharmaceutique, elle a le cursus scolaire d’une parfaite « techno » : polytechnicienne, diplômée des Ponts et chaussées et du Collège des ingénieurs, avant de faire ses premières armes au ministère de l’Équipement en 1987. C’est alors qu’elle se rapproche de plusieurs figures du PS, sans jamais prendre sa carte au parti – contrairement à la République en marche, qu’elle rejoint en 2017. Après un passage rapide à la Sonacotra, elle intègre divers cabinets de ministères socialistes, puis, en 1997, entre à Matignon comme conseillère technique chargée des transports.

Cette thématique est en effet devenue la spécialité d’Élisabeth Borne, qui lui vaudra d’être nommée en 2002 directrice de la stratégie de la SNCF, puis de la RATP, entre 2015 et 2017.
 Élisabeth Borne n’y a pas laissé un souvenir impérissable en matière de défense du service public.

Allume vite ta télé il y a la garido sur Cnew , qui deverse ces inepties . Heureusement en face elle a du costaud...charles concini

[lepape]

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Élisabeth Borne, la casse sociale comme ADN politique.

Il était question pour Emmanuel Macron d’envoyer un signal à la gauche, mais, entre la réforme de l’assurance-chômage et celle de la SNCF, la nouvelle première ministre a beau avoir été proche du PS, elle incarne la continuité d’un quinquennat très à droite.

Emmanuel Macron voulait nommer une femme. C’est fait. Il cherchait un profil capable de mener la « planification écologique », voire d’envoyer un message aux électeurs de centre gauche. C’est raté. À 61 ans, Élisabeth Borne n’incarne pas non plus le renouveau ou la « méthode nouvelle » souhaitée à l’Élysée. Membre de tous les gouvernements depuis 2017, sa nomination comme première ministre est l’aboutissement d’un parcours classique en Macronie, fait d’allers-retours entre la haute fonction publique et les conseils d’administration de grandes entreprises.

Fille de patrons dans l’industrie pharmaceutique, elle a le cursus scolaire d’une parfaite « techno » : polytechnicienne, diplômée des Ponts et chaussées et du Collège des ingénieurs, avant de faire ses premières armes au ministère de l’Équipement en 1987. C’est alors qu’elle se rapproche de plusieurs figures du PS, sans jamais prendre sa carte au parti – contrairement à la République en marche, qu’elle rejoint en 2017. Après un passage rapide à la Sonacotra, elle intègre divers cabinets de ministères socialistes, puis, en 1997, entre à Matignon comme conseillère technique chargée des transports.

Cette thématique est en effet devenue la spécialité d’Élisabeth Borne, qui lui vaudra d’être nommée en 2002 directrice de la stratégie de la SNCF, puis de la RATP, entre 2015 et 2017.
 Élisabeth Borne n’y a pas laissé un souvenir impérissable en matière de défense du service public.

Allume vite ta télé il y a la garido sur Cnew , qui deverse ces inepties . Heureusement en face elle a du costaud...charles concini excuses , c'est pas le sujet mais c'est pour te rendre service

[Minos de Rhadamanthe]

VOUS débitez des conneries !!!   Ne prends pas ton cas pour une généralité, la connerie c'est toi espèce de petit prétentieux je sais tout.

Et les actionnaires, ont perdu des milliards (mais cette partie, là, bizarrement, vous semblez l'oublier pour ne vous concentrer QUE sur la partie des gains !!)

  Mais non, ils ne perdent de l'argent qu'en cas de vente à la baisse, s'ils ne vendent pas, ils ne perdent rien, encore une connerie.

(...)

Vous êtes INCAPABLE de lire VOS propres liens !!
Qui disent le contraire de ce que vous annoncez de manière péremptoire et c'est moi le prétentieux ...!
Si je suis un prétentieux, c'est surement par rapport à vos connaissances en matière de fiscalité et là, en effet, il m'est facile de me sentir largement au dessus de vous !!! (Mais franchement, je ne m'en fais pas une gloire, être plus malin qu'un lecteur de tract de la CGT n'est pas vraiment un titre glorieux...)

[Vladimir de Volog]

Charles Consigny : le sursaut d’un réac. Grande gueule de droite, le chroniqueur et avocat Charles Consigny s’élève contre la «nouvelle doxa» incarnée par les éditorialistes de CNews.

Charles Consigny. Dans le jeu de rôles, c’est un réac bon teint. Rien ne le distingue apparemment des autres réacs qui ont colonisé en bande cet espace-là. Sauf ce jour-là. Il est question des tensions à la frontière entre le Bélarus et la Pologne, à propos de plusieurs centaines de migrants que le premier souhaite expulser vers la seconde.

Sur CNews, des politiques et des chroniqueurs habitués ont laissé entendre qu’on pourrait bien laisser les migrants et leurs enfants mourir de froid ou pourquoi pas, plus expéditif, leur tirer dessus («doit-on tirer ? C’est une vraie question, je ne la balaie pas comme ça», estime le journaliste du Figaro Ivan Rioufol). Plus de la moitié de la durée d’un débat entre les candidats de la primaire LR a été consacrée à l’immigration et à la sécurité. Bref, le zemmourisme, inexorablement, à vue d’œil, gangrène ce qu’on pouvait appeler «la droite traditionnelle».

Et Consigny se lance. Contre la «doxa». Mais pas la «doxa» ciblée habituellement par les médias zemmourisés (la «doxa» de gauche). Contre l’autre. La nouvelle. Celle d’en face. «La doxa a changé, dit-il. Aujourd’hui, il y a une nouvelle doxa.
https://www.liberation.fr/idees-et-debats/opinions/charles-consigny-le-sursaut-dun-reac-20211122_FUFYJLFOU5EAPEQNK75VFQHJ4Y/

et lepape le considère comme un costaud, lepape est zemmourien, à gerber.

[Vladimir de Volog]

ÉLISABETH BORNE : NI DE GAUCHE, NI DE GAUCHE

[Ferdinand de Talmont]

Charles Consigny : le sursaut d’un réac.  Grande gueule de droite, le chroniqueur et avocat Charles Consigny s’élève contre la «nouvelle doxa» incarnée par les éditorialistes de CNews.

La Réaction dans toute sa virilité !

[lambertini]

ne pas être de gauche, c est une qualité

[Edouard de Montmonrency]

ne pas être de gauche, c est une qualité

Le tout Libéral (pan économique et social) et Libertaire (le pan sociétal) NoBorders de notre extrême centre actuel, c'est un énorme défaut aussi ... le sens entraves c'est le retour à la loi de la jungle (l'anarchie et la loi du plus fort du moment).

Il y a un juste milieu.

[Vladimir de Volog]

ne pas être de gauche, c est une qualité

Silence l'imbécile illettré ..

[lambertini]

ne pas être de gauche, c est une qualité

Silence l'imbécile illettré ..

c est bien une réponse de gauchiste

tu te ridiculise

[Vladimir de Volog]

[Vladimir de Volog]

[Edouard de Montmonrency]

C'est tout l'art du en même temps. ;-)

[Vladimir de Volog]

C'est tout l'art du en même temps. ;-)

Oui c'est c'la ...

[Edouard de Montmonrency]

La pensée est complexe ;-)

[Vladimir de Volog]

Mélenchon mettrait même en doute le fait qu'elle soit une femme...

[Vladimir de Volog]

[Vladimir de Volog]

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