Alliance, le syndicat d'extrême droite réclame la continuité du droit de tuer...
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Vladimir de Volog
don Salluste
Plaristes Evariste
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Alliance, le syndicat d'extrême droite réclame la continuité du droit de tuer...
Alliance, le syndicat d'extrême droite réclame la continuité du droit de tuer...
Alliance, le syndicat d'extrême droite réclame la continuité du droit de tuer... Ce groupuscule de fachos devrait être interdit... https://www.francetvinfo.fr/.../police-le-syndicat...
https://www.facebook.com/flx/warn/?u=https%3A%2F%2Fwww.francetvinfo.fr%2Ffaits-divers%2Fpolice%2Fviolences-policieres%2Fpolice-le-syndicat-alliance-ecrit-au-ministre-de-l-interieur-pour-demander-le-maintien-du-controle-tete_4003553.html%3Futm_medium%3DSocial%26utm_source%3DFacebook%26Echobox%3D1591850344%26fbclid%3DIwAR1oKchfSSvFESCZSobOyChVGwwJPWwhSURjMTcwSOfH7DnQ4vBGx-GkDSk%23xtor%3DCS1-746&h=AT2GrIA-B1Y3XqU4A_mow5bYjyJueEq8Y04GHVxXODea3mxMZCmTLTe80wf8L6G_toJREEwRvyr1ltUJXGIaFvX0iBTlkVf5O6XOBzz4MdYp3k-dXiiHL5HaHoQMI1OuMkl-3_EW0CAmZF_m52qlbded1ovBlky3kz5jFPChaoEi5Gp4pAxKVYVDrGzfeZOiNSgWgdaqrmnk__1oUoRfg5NySt1ZtblGIjGIb_QerImzWV57SVAkR2O7F0Sm36TO
Alliance, le syndicat d'extrême droite réclame la continuité du droit de tuer... Ce groupuscule de fachos devrait être interdit... https://www.francetvinfo.fr/.../police-le-syndicat...
https://www.facebook.com/flx/warn/?u=https%3A%2F%2Fwww.francetvinfo.fr%2Ffaits-divers%2Fpolice%2Fviolences-policieres%2Fpolice-le-syndicat-alliance-ecrit-au-ministre-de-l-interieur-pour-demander-le-maintien-du-controle-tete_4003553.html%3Futm_medium%3DSocial%26utm_source%3DFacebook%26Echobox%3D1591850344%26fbclid%3DIwAR1oKchfSSvFESCZSobOyChVGwwJPWwhSURjMTcwSOfH7DnQ4vBGx-GkDSk%23xtor%3DCS1-746&h=AT2GrIA-B1Y3XqU4A_mow5bYjyJueEq8Y04GHVxXODea3mxMZCmTLTe80wf8L6G_toJREEwRvyr1ltUJXGIaFvX0iBTlkVf5O6XOBzz4MdYp3k-dXiiHL5HaHoQMI1OuMkl-3_EW0CAmZF_m52qlbded1ovBlky3kz5jFPChaoEi5Gp4pAxKVYVDrGzfeZOiNSgWgdaqrmnk__1oUoRfg5NySt1ZtblGIjGIb_QerImzWV57SVAkR2O7F0Sm36TO
Invité- Invité
Re: Alliance, le syndicat d'extrême droite réclame la continuité du droit de tuer...
articles en provenance de : https://www.reddit.com/r/france/comments/tv9hm5/les_policiers_et_la_pr%C3%A9sidentielle_mon_probl%C3%A8me/
Un avis de policier :
«Mon problème, ce sont les fachos, les vrais, et il y en a un paquet chez nous»
Alors, fachos les policiers ? Les statistiques complètes sur le vote des bleus varient mais la réputation existe : les agents seraient a minima de droite extrême, voire en majorité d’extrême droite. Pourtant, on ne connaît pas tellement les avis des femmes et des hommes sous l’uniforme. Pas ceux qui montent sur l’estrade devant l’Assemblée nationale pour clamer que «le problème de la police, c’est la justice». Le discours politique de la police nationale est monopolisé par des syndicats majoritaires puissants, présents dans les médias et rompus à l’exercice de l’influence.
Aussi, peut-être surtout, les policiers sont soumis à un devoir de réserve qui les empêche de prendre la parole publiquement. Libération a cherché à savoir ce que pensent ces personnes, exposées parfois quotidiennement à la violence, à la misère sociale, à ces faits divers qui remplissent les colonnes de la presse et les écrans des chaînes d’information en continu. Comment leur travail influence-t-il leur politisation et leur vote ? Est-il possible d’être policier et de se considérer de gauche ? Peut-on débattre sereinement, dans la voiture de patrouille, dans le vestiaire, à la cafétéria, avec les collègues ?
Un avis de policier :
«Mon problème, ce sont les fachos, les vrais, et il y en a un paquet chez nous»
Alors, fachos les policiers ? Les statistiques complètes sur le vote des bleus varient mais la réputation existe : les agents seraient a minima de droite extrême, voire en majorité d’extrême droite. Pourtant, on ne connaît pas tellement les avis des femmes et des hommes sous l’uniforme. Pas ceux qui montent sur l’estrade devant l’Assemblée nationale pour clamer que «le problème de la police, c’est la justice». Le discours politique de la police nationale est monopolisé par des syndicats majoritaires puissants, présents dans les médias et rompus à l’exercice de l’influence.
Aussi, peut-être surtout, les policiers sont soumis à un devoir de réserve qui les empêche de prendre la parole publiquement. Libération a cherché à savoir ce que pensent ces personnes, exposées parfois quotidiennement à la violence, à la misère sociale, à ces faits divers qui remplissent les colonnes de la presse et les écrans des chaînes d’information en continu. Comment leur travail influence-t-il leur politisation et leur vote ? Est-il possible d’être policier et de se considérer de gauche ? Peut-on débattre sereinement, dans la voiture de patrouille, dans le vestiaire, à la cafétéria, avec les collègues ?
Dernière édition par Sergei le Mer 8 Juin 2022 - 16:25, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: Alliance, le syndicat d'extrême droite réclame la continuité du droit de tuer...
«Un officier posait uniquement “Valeurs actuelles” tous les jours sur le bureau»
Jules (1), 36 ans, officier de police judiciaire
«Les policiers ne voient que des Noirs et des Arabes en garde à vue, mais [c’est parce qu’]ils ne vont interpeller, consciemment ou non, que des Noirs et des Arabes. Et même celui qui n’est pas raciste va être pris dans l’engrenage : la police nationale est un collectif auquel il faut adhérer. Sinon, on est mis à l’écart. Quasiment tous se sentent attaqués dès qu’un article dénonce des violences policières. Ils ont le syndrome de “la forteresse assiégée” : ils s’imaginent que tout le monde leur crache dessus. Parce que j’assume une opinion de gauche, certains collègues ne me font plus confiance, ils me voient comme un traître. Or, il est impossible de travailler dans ce métier sans la confiance de ses pairs. C’est en partie pour cela que je vais quitter la police.
«Certaines personnes viennent de milieux ruraux et se retrouvent dans des quartiers sensibles sans transition. Dans leur tête, ils travaillent sur un théâtre de guerre. Ça cloisonne la pensée policière, qui manque d’ouverture. Moi-même j’ai pensé comme ça à un moment de ma carrière. Je comprends qu’on puisse devenir aigri, facho et voter à l’extrême droite. Ce que je ne comprends pas, c’est l’encadrement : ces gens qui dirigent la police, qui ont du recul, ne sont pas dans le stress quotidien, la violence ; mais qui ne jouent pas leur rôle de réflexion. Ils entretiennent l’engrenage. Depuis 2015 et les attentats, la parole d’extrême droite s’est libérée dans la police. Le summum, c’est Alliance police qui fait le podium pour Zemmour. Pour moi, on a franchi la ligne rouge absolue. C’est un marchepied au totalitarisme. Malheureusement, la voix des policiers républicains ne porte plus.
«Ceci sans compter la minorité prosélyte qui essaie de recruter à mort. Par exemple, dans mon service, un officier posait uniquement Valeurs actuelles tous les jours sur le bureau. Quand j’essayais de poser d’autres journaux, ils étaient jetés à la poubelle.
«Ma première manifestation était au lycée, contre Le Pen au second tour en 2002. Mon premier vote, c’était Sarkozy en 2007. J’en suis vite revenu. En 2012, j’ai voté blanc. En 2017, j’ai voté Macron, pensant qu’il y avait cette idée de renouveau. J’y ai cru, naïvement. Et maintenant, j’en suis au point où je pense que je ne vais pas voter du tout. Il n’y a personne. Le seul qui a une approche différente, c’est Jean Lassalle. Ou éventuellement Jean-Luc Mélenchon pour le contenu de son programme mais le personnage, ce n’est pas possible. Pourtant je pense qu’il est le seul à avoir un programme, sur la sécurité notamment. C’est difficile, mais maintenant je me sens beaucoup mieux à gauche, gauche radicale même. J’essaie d’avoir une analyse plus globale plutôt qu’uniquement sécuritaire. La géopolitique, l’écologie, le pouvoir d’achat, le bien-être finalement, me semblent plus essentiels que la sécurité.»
Jules (1), 36 ans, officier de police judiciaire
«Les policiers ne voient que des Noirs et des Arabes en garde à vue, mais [c’est parce qu’]ils ne vont interpeller, consciemment ou non, que des Noirs et des Arabes. Et même celui qui n’est pas raciste va être pris dans l’engrenage : la police nationale est un collectif auquel il faut adhérer. Sinon, on est mis à l’écart. Quasiment tous se sentent attaqués dès qu’un article dénonce des violences policières. Ils ont le syndrome de “la forteresse assiégée” : ils s’imaginent que tout le monde leur crache dessus. Parce que j’assume une opinion de gauche, certains collègues ne me font plus confiance, ils me voient comme un traître. Or, il est impossible de travailler dans ce métier sans la confiance de ses pairs. C’est en partie pour cela que je vais quitter la police.
«Certaines personnes viennent de milieux ruraux et se retrouvent dans des quartiers sensibles sans transition. Dans leur tête, ils travaillent sur un théâtre de guerre. Ça cloisonne la pensée policière, qui manque d’ouverture. Moi-même j’ai pensé comme ça à un moment de ma carrière. Je comprends qu’on puisse devenir aigri, facho et voter à l’extrême droite. Ce que je ne comprends pas, c’est l’encadrement : ces gens qui dirigent la police, qui ont du recul, ne sont pas dans le stress quotidien, la violence ; mais qui ne jouent pas leur rôle de réflexion. Ils entretiennent l’engrenage. Depuis 2015 et les attentats, la parole d’extrême droite s’est libérée dans la police. Le summum, c’est Alliance police qui fait le podium pour Zemmour. Pour moi, on a franchi la ligne rouge absolue. C’est un marchepied au totalitarisme. Malheureusement, la voix des policiers républicains ne porte plus.
«Ceci sans compter la minorité prosélyte qui essaie de recruter à mort. Par exemple, dans mon service, un officier posait uniquement Valeurs actuelles tous les jours sur le bureau. Quand j’essayais de poser d’autres journaux, ils étaient jetés à la poubelle.
«Ma première manifestation était au lycée, contre Le Pen au second tour en 2002. Mon premier vote, c’était Sarkozy en 2007. J’en suis vite revenu. En 2012, j’ai voté blanc. En 2017, j’ai voté Macron, pensant qu’il y avait cette idée de renouveau. J’y ai cru, naïvement. Et maintenant, j’en suis au point où je pense que je ne vais pas voter du tout. Il n’y a personne. Le seul qui a une approche différente, c’est Jean Lassalle. Ou éventuellement Jean-Luc Mélenchon pour le contenu de son programme mais le personnage, ce n’est pas possible. Pourtant je pense qu’il est le seul à avoir un programme, sur la sécurité notamment. C’est difficile, mais maintenant je me sens beaucoup mieux à gauche, gauche radicale même. J’essaie d’avoir une analyse plus globale plutôt qu’uniquement sécuritaire. La géopolitique, l’écologie, le pouvoir d’achat, le bien-être finalement, me semblent plus essentiels que la sécurité.»
Invité- Invité
Re: Alliance, le syndicat d'extrême droite réclame la continuité du droit de tuer...
«Les seules fois où j’ai vécu le racisme, c’est dans la police nationale»
Samia (1), 44 ans, sous-brigadier
«J’ai pas mal de bouteille, bientôt vingt et un ans de police. J’ai toujours voté, depuis mes 18 ans. C’est évidemment 2002 qui m’a le plus marquée. Je me sens plutôt de gauche, je me considère comme une humaniste. Défendre la veuve et l’orphelin, je l’ai toujours fait et c’est aussi pour ça que je suis entrée dans la police. Malheureusement, la société s’est individualisée. C’est la course à celui qui arrivera le premier. Même dans notre travail : le plus rapidement gradé, celui qui va taper dans l’œil de la hiérarchie… Et dehors, les gens ne se saluent plus, ils ne se connaissent plus. Même dans les familles, on se rend compte, parfois en intervention, qu’il n’y a plus de lien entre les parents et les enfants, entre les frères et les sœurs.
«Mais tout est aussi lié au pouvoir d’achat. Quand vous voyez des parents qui ont deux ou trois emplois pour joindre les deux bouts à la fin du mois, cela signifie qu’ils ne sont pas chez eux de la journée. Quand vous avez une maman qui part à 4 heures du matin, le père à 7 heures, et qui ne rentrent pas avant 19 heures ou 22 heures, les enfants sont livrés à eux-mêmes. On voit ces personnes, ces familles, qui ont tout simplement été abandonnées par l’Etat.
«J’ai l’habitude que certains collègues me provoquent en m’expliquant qu’ils votent RN ou Zemmour, ils attendent une réaction de ma part. Alors que je me fiche de ton vote tant que tu es correct dans ton travail. Mon problème, ce sont les fachos, les vrais, et il y en a un paquet chez nous. Maintenant, je sais m’imposer face à eux au moindre débordement. J’ai des collègues qui me demandent si je me sens plus française ou musulmane. Faisant l’amalgame entre origine maghrébine et religion. Est-ce que je leur demande s’ils vont à la messe le dimanche ? Il y a aussi les réflexions : “Toi, tu es carrée.” C’est raciste et stupide. “Toi, tu n’es pas une Arabe comme les autres.” Les seules fois où j’ai vécu le racisme, c’est dans la police nationale.
«Que des gens votent de telle ou telle façon, ça les regarde. Le problème c’est que certains qui votent extrême droite ont un comportement d’extrême droite dans leur quotidien. Ils restent entre eux. Si vous n’êtes pas comme eux, ils vous sortent du cadre. Ils font du sectarisme. Mais dire que plus de la moitié des flics votent RN, alors que nous n’avons pas les chiffres… Cela me paraît erroné et renvoie une image négative de l’institution.»
Samia (1), 44 ans, sous-brigadier
«J’ai pas mal de bouteille, bientôt vingt et un ans de police. J’ai toujours voté, depuis mes 18 ans. C’est évidemment 2002 qui m’a le plus marquée. Je me sens plutôt de gauche, je me considère comme une humaniste. Défendre la veuve et l’orphelin, je l’ai toujours fait et c’est aussi pour ça que je suis entrée dans la police. Malheureusement, la société s’est individualisée. C’est la course à celui qui arrivera le premier. Même dans notre travail : le plus rapidement gradé, celui qui va taper dans l’œil de la hiérarchie… Et dehors, les gens ne se saluent plus, ils ne se connaissent plus. Même dans les familles, on se rend compte, parfois en intervention, qu’il n’y a plus de lien entre les parents et les enfants, entre les frères et les sœurs.
«Mais tout est aussi lié au pouvoir d’achat. Quand vous voyez des parents qui ont deux ou trois emplois pour joindre les deux bouts à la fin du mois, cela signifie qu’ils ne sont pas chez eux de la journée. Quand vous avez une maman qui part à 4 heures du matin, le père à 7 heures, et qui ne rentrent pas avant 19 heures ou 22 heures, les enfants sont livrés à eux-mêmes. On voit ces personnes, ces familles, qui ont tout simplement été abandonnées par l’Etat.
«J’ai l’habitude que certains collègues me provoquent en m’expliquant qu’ils votent RN ou Zemmour, ils attendent une réaction de ma part. Alors que je me fiche de ton vote tant que tu es correct dans ton travail. Mon problème, ce sont les fachos, les vrais, et il y en a un paquet chez nous. Maintenant, je sais m’imposer face à eux au moindre débordement. J’ai des collègues qui me demandent si je me sens plus française ou musulmane. Faisant l’amalgame entre origine maghrébine et religion. Est-ce que je leur demande s’ils vont à la messe le dimanche ? Il y a aussi les réflexions : “Toi, tu es carrée.” C’est raciste et stupide. “Toi, tu n’es pas une Arabe comme les autres.” Les seules fois où j’ai vécu le racisme, c’est dans la police nationale.
«Que des gens votent de telle ou telle façon, ça les regarde. Le problème c’est que certains qui votent extrême droite ont un comportement d’extrême droite dans leur quotidien. Ils restent entre eux. Si vous n’êtes pas comme eux, ils vous sortent du cadre. Ils font du sectarisme. Mais dire que plus de la moitié des flics votent RN, alors que nous n’avons pas les chiffres… Cela me paraît erroné et renvoie une image négative de l’institution.»
Invité- Invité
Re: Alliance, le syndicat d'extrême droite réclame la continuité du droit de tuer...
«Les pensées des gens sont de plus en plus manichéennes»
Issa (1), 29 ans, officier de police judiciaire
«Le problème est que l’on parle trop de la sécurité, partout, tout le temps. On a l’impression que nous sommes à l’aube d’une guerre civile. Ce n’est pas la guerre dehors, ça ne sert à rien de faire peur aux gens. Je travaille en banlieue parisienne : oui, il y a de la précarité, de la délinquance, tout ce que tu veux. Mais ce n’est pas la guerre.»
Issa (1), 29 ans, officier de police judiciaire
«Le problème est que l’on parle trop de la sécurité, partout, tout le temps. On a l’impression que nous sommes à l’aube d’une guerre civile. Ce n’est pas la guerre dehors, ça ne sert à rien de faire peur aux gens. Je travaille en banlieue parisienne : oui, il y a de la précarité, de la délinquance, tout ce que tu veux. Mais ce n’est pas la guerre.»
Invité- Invité
Re: Alliance, le syndicat d'extrême droite réclame la continuité du droit de tuer...
pris sur le net :
Petit rappel que quand la gauche dit des phrases comme "la police tue" ou "les policiers sont des connards", c'est une réalité statistique et institutionnelle, pas individuelle/absolue.
Il y a des bons policiers, ça existe, il y a des gens qui rentrent dans la police plein d'espoirs en s'imaginant qu'ils vont aider la société et la rendre meilleure.
Mais ils sont extrêmement minoritaires, et ils subissent une pression énorme de la part de leurs collègues et hiérarchie, au point de :
devenir comme les autres
finir par quitter la police (exemple de Jules dans l'article)
se suicider
se faire tuer par les autres (rare mais il y a eu des cas)
La police est un outil du système capitaliste pour assurer le maintient du système et la défense de la propriété privée avant tout. Elle aide parfois les gens, et c'est bien quand elle le fait, mais ce n'est pas sa première raison d'être. Et le système capitaliste n'a aucun intérêt à la rendre meilleure, uniquement obéissante.
Petit rappel que quand la gauche dit des phrases comme "la police tue" ou "les policiers sont des connards", c'est une réalité statistique et institutionnelle, pas individuelle/absolue.
Il y a des bons policiers, ça existe, il y a des gens qui rentrent dans la police plein d'espoirs en s'imaginant qu'ils vont aider la société et la rendre meilleure.
Mais ils sont extrêmement minoritaires, et ils subissent une pression énorme de la part de leurs collègues et hiérarchie, au point de :
devenir comme les autres
finir par quitter la police (exemple de Jules dans l'article)
se suicider
se faire tuer par les autres (rare mais il y a eu des cas)
La police est un outil du système capitaliste pour assurer le maintient du système et la défense de la propriété privée avant tout. Elle aide parfois les gens, et c'est bien quand elle le fait, mais ce n'est pas sa première raison d'être. Et le système capitaliste n'a aucun intérêt à la rendre meilleure, uniquement obéissante.
Invité- Invité
Re: Alliance, le syndicat d'extrême droite réclame la continuité du droit de tuer...
L’éternelle contradiction entre les réalités du terrain et l'impératif de justice.
Vous savez qu'à pas qu'alliance qui parle des réalités du Terrain Vigi Police aussi.
Vous savez qu'à pas qu'alliance qui parle des réalités du Terrain Vigi Police aussi.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Alliance, le syndicat d'extrême droite réclame la continuité du droit de tuer...
Plaristes a écrit:L’éternelle contradiction entre les réalités du terrain et l'impératif de justice. Vous savez qu'à pas qu'alliance qui parle des réalités du Terrain Vigi Police aussi.
Alliance est le type même du syndicat fachiste gangréné par l'extrême droite, faut avoir le courage de l'admettre.
Invité- Invité
Re: Alliance, le syndicat d'extrême droite réclame la continuité du droit de tuer...
Sergei a écrit:Plaristes a écrit:L’éternelle contradiction entre les réalités du terrain et l'impératif de justice. Vous savez qu'à pas qu'alliance qui parle des réalités du Terrain Vigi Police aussi.
Alliance est le type même du syndicat fachiste gangréné par l'extrême droite, faut avoir le courage de l'admettre.
FASCISTE et non pas fachiste , connard . Apprends au moins à écrire correctement ce que tu veux dénoncer !
don Salluste- Impétrant
- Messages : 502
Date d'inscription : 03/05/2021
Re: Alliance, le syndicat d'extrême droite réclame la continuité du droit de tuer...
« L’extrême-droite pèse tellement lourd dans l’institution policière »
.Noam Anouar est musulman de parents algériens. Il a rejoint la police à 30 ans où il surveillait les réseaux liés à l’Islam radical. Il a été suspendu de ses fonctions et s’estime victime de racisme et d’islamophobie. Dans un entretien exclusif à La Tribune des Pirates, Noam Anouar parle du racisme et de l’islamophobie qui gangrènent la police française.
« L’extrême droite pèse tellement lourd dans l’institution policière que personne n’ose s’y attaquer parce qu’il n’y a pas de contrepoids. »
« Même si la communauté musulmane existe, elle pèse zéro en terme de rapport de force. »
« Il y a une violence dans les échanges verbaux entre certains policiers qui est une violence raciste inadmissible condamnable par la loi et l’IGPN ferme les yeux. »
« Je suis passé, le 3 janvier 2017 à la télévision pour dénoncer les actes racistes dans la police. Ça été le premier acte de mon passage à tabac administratif ».
Noam Anouar, suspendu de ses fonctions
Le policier Noam Anouar paie lourdement ses prises de parole syndicales, selon ViGi-Police, le ministre de l’Intérieur a «demandé sa tête» en conseil de discipline. Il est suspendu six mois sans salaire.
« Pendant six mois je vais donc être sans salaire et s’ils trouvent, lorsque je m’exprime, qu’il y a des propos ‘borderline’ qui portent atteinte à l’image de la police, je peux avoir 18 mois de suspension ferme en plus toujours sans salaire. J’ai une épée de Damoclès au-dessus de la tête », déplore Noam Anouar dans une vidéo publiée sur Twitter.
Dans sa convocation il était évoqué des manquements « aux devoirs d’exemplarité, d’obéissance, de réserve, aux obligations de rendre compte, de loyauté » et de la « négligence professionnelle », rapporte L’Humanité. Le policier évoquait publiquement les « violences policières » dénoncées depuis plus d’un an par les Gilets jaunes.
https://www.alnas.fr/actualite/buzz/noam-anouar-lextreme-droite-pese-tellement-lourd-dans-linstitution-policiere-video/
.Noam Anouar est musulman de parents algériens. Il a rejoint la police à 30 ans où il surveillait les réseaux liés à l’Islam radical. Il a été suspendu de ses fonctions et s’estime victime de racisme et d’islamophobie. Dans un entretien exclusif à La Tribune des Pirates, Noam Anouar parle du racisme et de l’islamophobie qui gangrènent la police française.
« L’extrême droite pèse tellement lourd dans l’institution policière que personne n’ose s’y attaquer parce qu’il n’y a pas de contrepoids. »
« Même si la communauté musulmane existe, elle pèse zéro en terme de rapport de force. »
« Il y a une violence dans les échanges verbaux entre certains policiers qui est une violence raciste inadmissible condamnable par la loi et l’IGPN ferme les yeux. »
« Je suis passé, le 3 janvier 2017 à la télévision pour dénoncer les actes racistes dans la police. Ça été le premier acte de mon passage à tabac administratif ».
Noam Anouar, suspendu de ses fonctions
Le policier Noam Anouar paie lourdement ses prises de parole syndicales, selon ViGi-Police, le ministre de l’Intérieur a «demandé sa tête» en conseil de discipline. Il est suspendu six mois sans salaire.
« Pendant six mois je vais donc être sans salaire et s’ils trouvent, lorsque je m’exprime, qu’il y a des propos ‘borderline’ qui portent atteinte à l’image de la police, je peux avoir 18 mois de suspension ferme en plus toujours sans salaire. J’ai une épée de Damoclès au-dessus de la tête », déplore Noam Anouar dans une vidéo publiée sur Twitter.
Dans sa convocation il était évoqué des manquements « aux devoirs d’exemplarité, d’obéissance, de réserve, aux obligations de rendre compte, de loyauté » et de la « négligence professionnelle », rapporte L’Humanité. Le policier évoquait publiquement les « violences policières » dénoncées depuis plus d’un an par les Gilets jaunes.
https://www.alnas.fr/actualite/buzz/noam-anouar-lextreme-droite-pese-tellement-lourd-dans-linstitution-policiere-video/
Invité- Invité
Re: Alliance, le syndicat d'extrême droite réclame la continuité du droit de tuer...
Quand l’extrême droite prolifère dans la police
C’est au travers d’une large panoplie de signes, insignes, symboles, slogans, etc, que des policiers visiblement sans honte ni crainte de leur hiérarchie, affichent publiquement, leur amour de la violence, du thème de la vengeance, et parfois, du racisme, de la mort, voire des idéologies nazie ou fasciste.
Je suis policier, puis-je porter mes bien aimés symboles d’extrême-droite sur ma tenue d’uniforme?
Non. L’article 113-18 prohibe le port sur la tenue d’uniforme de tout élément, signe, ou insigne, qui puisse être en rapport avec tout type d’appartenance à une organisation politique, syndicale, confessionnelle ou associative.
La loi est précise, néanmoins, des policiers continuent à exhiber dans l’exercice de leurs fonctions et sur la place publique leur affection pour des symboles d’extrême droite. A plusieurs reprises, des policiers de différentes compagnies (police nationale, CRS ou BAC) ont été rappelés à la loi. Néanmoins, malgré ces rappels, soit du Ministre de l’Intérieur ou des préfets de police, les forces de l’ordre n’arrivent pas à purger ces agents qui méprisent les principes de la neutralité politique.
C'est au travers d'une large panoplie de signes, insignes, symboles, slogans, etc, que des policiers visiblement sans honte ni crainte de leur hiérarchie, affichent publiquement, leur amour de la violence, du thème de la vengeance, et parfois, du racisme, de la mort, voire des idéologies fascistes ou nazis. Comportements chez la police, tellement gênants, que même le journal (centre-droit) le Point les exposé dans l'article : Des nazis dans la police. Ces agents de police, en totale adoration de l'extrême droite, cherchent des symboles qui puissent définir et représenter leur identité. Ils s'identifient à des personnages de BD Marvel ou DC Comics, ils sont un Punisher, un Captain America.
C’est au travers d’une large panoplie de signes, insignes, symboles, slogans, etc, que des policiers visiblement sans honte ni crainte de leur hiérarchie, affichent publiquement, leur amour de la violence, du thème de la vengeance, et parfois, du racisme, de la mort, voire des idéologies nazie ou fasciste.
Je suis policier, puis-je porter mes bien aimés symboles d’extrême-droite sur ma tenue d’uniforme?
Non. L’article 113-18 prohibe le port sur la tenue d’uniforme de tout élément, signe, ou insigne, qui puisse être en rapport avec tout type d’appartenance à une organisation politique, syndicale, confessionnelle ou associative.
La loi est précise, néanmoins, des policiers continuent à exhiber dans l’exercice de leurs fonctions et sur la place publique leur affection pour des symboles d’extrême droite. A plusieurs reprises, des policiers de différentes compagnies (police nationale, CRS ou BAC) ont été rappelés à la loi. Néanmoins, malgré ces rappels, soit du Ministre de l’Intérieur ou des préfets de police, les forces de l’ordre n’arrivent pas à purger ces agents qui méprisent les principes de la neutralité politique.
C'est au travers d'une large panoplie de signes, insignes, symboles, slogans, etc, que des policiers visiblement sans honte ni crainte de leur hiérarchie, affichent publiquement, leur amour de la violence, du thème de la vengeance, et parfois, du racisme, de la mort, voire des idéologies fascistes ou nazis. Comportements chez la police, tellement gênants, que même le journal (centre-droit) le Point les exposé dans l'article : Des nazis dans la police. Ces agents de police, en totale adoration de l'extrême droite, cherchent des symboles qui puissent définir et représenter leur identité. Ils s'identifient à des personnages de BD Marvel ou DC Comics, ils sont un Punisher, un Captain America.
Invité- Invité
Re: Alliance, le syndicat d'extrême droite réclame la continuité du droit de tuer...
Les affaires de Dieu et de la Guerre
Ces agents de la police aveuglés par le repli identitaire, deviennent des Templiers, des Spartiates. Le “Force et Honneur” qui émerge du militantisme au sein du Front national/Rassemblement National ou d’autres slogans d’extrême droite, débordent au sein de la police. D’autres agents arborent aussi la fleur de lys, symbole de la monarchie française, de la chrétienté.
Ces agents de la police aveuglés par le repli identitaire, deviennent des Templiers, des Spartiates. Le “Force et Honneur” qui émerge du militantisme au sein du Front national/Rassemblement National ou d’autres slogans d’extrême droite, débordent au sein de la police. D’autres agents arborent aussi la fleur de lys, symbole de la monarchie française, de la chrétienté.
Invité- Invité
Re: Alliance, le syndicat d'extrême droite réclame la continuité du droit de tuer...
Policier à Manosque le 17 mai 2016 – Tete de mort et Fleur de Lys.
Policier à Manosque le 17 mai 2016 – Écusson sur le bras droit du policier « Le pardon est l’affaire de Dieu – Notre rôle est d’organiser la rencontre » – http://www.anti-k.org/2018/04/05/la-symbolique-fasciste-a-la-mode-dans-la-police/
« Le pardon est l’affaire de Dieu – notre rôle est d’organiser la rencontre »
Que pouvons nous interpréter de ces mots sur l’écusson ?
Depuis des années, plusieurs photos ou vidéos ont tourné sur les réseaux sociaux dénonçant l’utilisation de symboles d’extrême droite non-conformes à la loi. Nous ne pouvons pas négliger le pouvoir que ces “écussons” avec des têtes de mort et autres insignes ont sur les citoyens. Il faut avoir en tête que la symbologie derrière ces symboles est très méconnue pour une grande partie de la population. Dans une situation où la police intervient, le calme, le respect et la neutralité religieuse, politique, de genre, ou sexuelle, sont des facteurs exigés très importants pour éviter l’escalade de la violence. Lorsqu’un.e citoyen.ne face à la police aperçoit une tête-de-mort sur la tenue d’uniforme du policier, des mots qu’il ne comprend pas, le logo du FN, le holster avec un guerrier templier, ou des tatouages chrétiens, cela peut-être choquant et déclencher la peur. Encore pire, pour les communautés musulmanes en France, les réfugiés, les sans-papiers, les gens du voyages, souvent victimes de contrôles au faciès par la police.
Invité- Invité
Re: Alliance, le syndicat d'extrême droite réclame la continuité du droit de tuer...
“Le policier s’est vite rendu compte qu’il attirait les photographes après que j’en ai parlé à mes collègues sur le terrain et il m’a semblé mal à l’aise, je l’ai vu cacher l’autocollant”, se souvient Yann Levy.”
Invité- Invité
Re: Alliance, le syndicat d'extrême droite réclame la continuité du droit de tuer...
Voir tout l'article sur : https://blogs.mediapart.fr/ricardo-parreira/blog/230520/quand-l-extreme-droite-prolifere-dans-la-police
Invité- Invité
Re: Alliance, le syndicat d'extrême droite réclame la continuité du droit de tuer...
Invité a écrit:Alliance, le syndicat d'extrême droite réclame la continuité du droit de tuer...
Alliance, le syndicat d'extrême droite réclame la continuité du droit de tuer... Ce groupuscule de fachos devrait être interdit... https://www.francetvinfo.fr/.../police-le-syndicat...
https://www.facebook.com/flx/warn/?u=https%3A%2F%2Fwww.francetvinfo.fr%2Ffaits-divers%2Fpolice%2Fviolences-policieres%2Fpolice-le-syndicat-alliance-ecrit-au-ministre-de-l-interieur-pour-demander-le-maintien-du-controle-tete_4003553.html%3Futm_medium%3DSocial%26utm_source%3DFacebook%26Echobox%3D1591850344%26fbclid%3DIwAR1oKchfSSvFESCZSobOyChVGwwJPWwhSURjMTcwSOfH7DnQ4vBGx-GkDSk%23xtor%3DCS1-746&h=AT2GrIA-B1Y3XqU4A_mow5bYjyJueEq8Y04GHVxXODea3mxMZCmTLTe80wf8L6G_toJREEwRvyr1ltUJXGIaFvX0iBTlkVf5O6XOBzz4MdYp3k-dXiiHL5HaHoQMI1OuMkl-3_EW0CAmZF_m52qlbded1ovBlky3kz5jFPChaoEi5Gp4pAxKVYVDrGzfeZOiNSgWgdaqrmnk__1oUoRfg5NySt1ZtblGIjGIb_QerImzWV57SVAkR2O7F0Sm36TO
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Alliance, le syndicat d'extrême droite réclame la continuité du droit de tuer...
Invité a écrit:Quand l’extrême droite prolifère dans la police
C’est au travers d’une large panoplie de signes, insignes, symboles, slogans, etc, que des policiers visiblement sans honte ni crainte de leur hiérarchie, affichent publiquement, leur amour de la violence, du thème de la vengeance, et parfois, du racisme, de la mort, voire des idéologies nazie ou fasciste.
Je suis policier, puis-je porter mes bien aimés symboles d’extrême-droite sur ma tenue d’uniforme?
Non. L’article 113-18 prohibe le port sur la tenue d’uniforme de tout élément, signe, ou insigne, qui puisse être en rapport avec tout type d’appartenance à une organisation politique, syndicale, confessionnelle ou associative.
La loi est précise, néanmoins, des policiers continuent à exhiber dans l’exercice de leurs fonctions et sur la place publique leur affection pour des symboles d’extrême droite. A plusieurs reprises, des policiers de différentes compagnies (police nationale, CRS ou BAC) ont été rappelés à la loi. Néanmoins, malgré ces rappels, soit du Ministre de l’Intérieur ou des préfets de police, les forces de l’ordre n’arrivent pas à purger ces agents qui méprisent les principes de la neutralité politique.
C'est au travers d'une large panoplie de signes, insignes, symboles, slogans, etc, que des policiers visiblement sans honte ni crainte de leur hiérarchie, affichent publiquement, leur amour de la violence, du thème de la vengeance, et parfois, du racisme, de la mort, voire des idéologies fascistes ou nazis. Comportements chez la police, tellement gênants, que même le journal (centre-droit) le Point les exposé dans l'article : Des nazis dans la police. Ces agents de police, en totale adoration de l'extrême droite, cherchent des symboles qui puissent définir et représenter leur identité. Ils s'identifient à des personnages de BD Marvel ou DC Comics, ils sont un Punisher, un Captain America.
Il convient ce citer les sources ici, invité... si tu caches à la fois ton pseudo et tes sources, tu te rapproches du dénonciateur anonyme ou du fantôme, invité... dans les deux cas, ce n'est élégant, ni en ton honneur.... invité ! Par ailleurs, je crois bien que je t'ai démasqué.... invité ! Tu ressembles trop à un sombre personnage qui sévit sur ce forum.......
Source: le canard rouge sombre médiapart:
https://blogs.mediapart.fr/ricardo-parreira/blog/230520/quand-l-extreme-droite-prolifere-dans-la-police
Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
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patatisanspatata aime ce message
Re: Alliance, le syndicat d'extrême droite réclame la continuité du droit de tuer...
Invité a écrit:Les affaires de Dieu et de la Guerre
Ces agents de la police aveuglés par le repli identitaire, deviennent des Templiers, des Spartiates. Le “Force et Honneur” qui émerge du militantisme au sein du Front national/Rassemblement National ou d’autres slogans d’extrême droite, débordent au sein de la police. D’autres agents arborent aussi la fleur de lys, symbole de la monarchie française, de la chrétienté.
Tu récidives,
Source: le canard rouge du sombre communard de service, le plenel=
https://blogs.mediapart.fr/ricardo-parreira/blog/230520/quand-l-extreme-droite-prolifere-dans-la-police
Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
- Messages : 11689
Date d'inscription : 03/12/2021
Re: Alliance, le syndicat d'extrême droite réclame la continuité du droit de tuer...
Jean-Louis de Toqueville a écrit:Invité a écrit:Les affaires de Dieu et de la Guerre
Ces agents de la police aveuglés par le repli identitaire, deviennent des Templiers, des Spartiates. Le “Force et Honneur” qui émerge du militantisme au sein du Front national/Rassemblement National ou d’autres slogans d’extrême droite, débordent au sein de la police. D’autres agents arborent aussi la fleur de lys, symbole de la monarchie française, de la chrétienté.
Tu récidives,volinvité.... je t'ai déjà dit de citer tes sources.... t'es un petit cachotier, invité.... tu caches ton pseudo, tu caches les articles que tu copies et maintenant, voilà que tu caches ton écriture....volo.... invité !!!!
Source: le canard rouge du sombre communard de service, le plenel=
https://blogs.mediapart.fr/ricardo-parreira/blog/230520/quand-l-extreme-droite-prolifere-dans-la-police
tu caches ton écriture.... volo .
possible !.
patatisanspatata- Sage
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Date d'inscription : 14/09/2022
Re: Alliance, le syndicat d'extrême droite réclame la continuité du droit de tuer...
Accordons leur ce droit élémentaire de pouvoir faire leur travail sans être entravés par de ridicules dispositions administratives ......
Clavier- Sage
- Messages : 4304
Date d'inscription : 18/02/2019
Localisation : Golfe du Morbihan
Re: Alliance, le syndicat d'extrême droite réclame la continuité du droit de tuer...
Après les merdias et la justice, les islamogôchiSStes exigent que les FDO trahissent aussi la nation.
Ils ne sont jamais contents ces traitres
Ils ne sont jamais contents ces traitres
Compte supprimé Ejainiste- Sage
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Date d'inscription : 04/09/2020
Localisation : DentonQ
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