Pour François Ruffin, « le pays est bloqué » car « personne n’a de légitimité »...

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Pour François Ruffin, « le pays est bloqué » car « personne n’a de légitimité »...

« Emmanuel Macron n’a pas aujourd’hui de légitimité pour imposer son projet, Marine Le Pen n’a pas de légitimité pour imposer son projet. Mais il faut le dire, nous n’avons pas non plus de majorité et de légitimité pour imposer notre projet », a-t-il déclaré sur LCI.

Le camp d’Emmanuel Macron « ne pourra passer ses projets que par violence sur la société française », a-t-il estimé.

[Invité]

[Jean-Louis de Toqueville]

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Ruffin est dans la merde, son parti communiste a perdu et il veut tenter de précipiter les autres dans la merde aussi. C'est très communard comme démarche.

Sauf que la nature a horreur du vide et il faut bien gouverner.

Comme cela a été fait à d'autres époques en France et comme cela se pratique dans tous les autres pays à démocratie parlementaire, un nouveau gouvernement sera constitué et il présentera sa politique générale devant le parlement, en s'étant assuré auparavant qu'il dispose d'une majorité, ce qui sera le cas.

Le gouvernement pourra compter sur quelques députés de gauche non nupes et non communards, il y en a 25 environ + ceux de droite hors RN + des divers centre + divers droite, le compte y est largement....

Ceux qui sont dans la merde et qui ont perdu, ce sont les fieux et mélenchon, qui se ramasse pour la 6ème fois au moins, hors élections locales: présidentielles de 2012, 2017, 2022, législatives de 2012, 2017 et 2022, sans compter les gamelles que vous avez prises aux régionales, aux européennes et aux départementales.

Les fieux, on devrait vous décorer de la légion d'horreur des élections.... normal, le communisme s'accomode mal des élections, il n'y est pas habitué !


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[Invité]

Christophe Castaner a été battu au second tour des élections législatives.

Le président du groupe LREM à l’Assemblée nationale s’est fait battre par le candidat d’alliance historique de la gauche, Léo Walter (NUPES).

Un camouflet pour Emmanuel Macron.

Son ancien ministre de l’Intérieur,[/b] surnommé « l’éborgneur » pendant la mobilisation historique des Gilets Jaunes, [b]ne retournera pas au Parlement cinq années de plus.

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