Une Bastille est tombée, il en reste mille à prendre

[Vladimir de Volog]

Une Bastille est tombée, il en reste mille à prendre.

Le 14 juillet, c’est l’irruption du peuple sur la scène de l’histoire. C’est la destruction d’une Bastille qui fonde notre République. C’est un moment gênant que la bourgeoisie est bien obligée de fêter. Nous devons leur rappeler : la Révolution française n’est pas finie. On a pris une Bastille, il nous en reste mille autres à prendre.

[Jean-Louis de Toqueville]

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Toi et tes bandits politiques, vous ne prendrez rien du tout et surtout pas la République, que vous piétinez régulièrement (laïcité, communautarisme, antisémitisme, coups de butoir permanents sur les valeurs historiques qui fondent la démocratie française).

Avec votre programme politique stalino-fasciste, vous êtes condamnés à rester éternellement dans l'opposition creuse, beuglarde et braillarde, telle la panote, la poissonnière de l'Assemblée.

https://politique.forum-actif.net/t33776-denoncons-le-fascisme-dextreme-gauche-des-lfi-pcf-npa#480211

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[Ferdinand de Talmont]

La prise de la Bastille, encore une grande manip :

Tous les événements foncièrement révolutionnaires, les journées du 14 juillet, des 5 et 6 octobre 1789, etc., furent l’œuvre d’une imperceptible minorité de révolutionnaires hardis et violents. Si elles réussirent, cela tient uniquement à ce que la grande majorité des citoyens s’éloigna du théâtre des événements ou y assista inerte, attirée par la curiosité et augmentant ainsi, en apparence, l’importance du mouvement.

https://viveleroy.net/la-prise-de-la-bastille-le-14-juillet-1789-par-frantz-funck-brentano/

[Edouard de Montmonrency]

"Une Bastille est tombée, il en reste mille à prendre."

... Mais elles ne sont plus à Paris.
Ca va être plus dur, l'€mpire a considérablement grossit.

[Jean-Louis de Toqueville]

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Je vous suis complètement prince sur ce sujet et le document produit est explicite sur la réalité de ce que fut la révolution.

Nos petits cochons du stalinisme, merluchon ou autre, glosent sur la révolution, l'appelant de leurs voeux, tel ici le pantin insulteur et ultra-idéologisé volog.

L'époque n'a guère changé. Au-delà des discours vengeurs des gôchistes révolos, ce n'est qu'une infime minorité d'individus violents, voyous et idéologisés qui parlent de révolution, laquelle pas plus aujourd'hui qu'hier, n'est pas du tout populaire.

Sauf qu'aujourd'hui n'est pas 1789. Si quelques centaine,s voire quelques milliers de révolos tentaient une action similaire à celle de l'époque, ils se feraient rapidement tailler en pièces, tant le pouvoir est armé et paré à tous égards pour "recevoir" les insurgés. Le sang des premières victimes et surtout leurs abattis sanguinolents auraient vite fait de décourager les nouveaux arrivants, si tant est qu'il y en ait.

Déjà dit, mais le principal handicap de la réussite de cette "entreprise" est l'absence chez les jeunes et moins jeunes de toute conscience révolutionnaire et d'esprit de révolte. Le soixante-huitisme est mort, définitivement enterré.


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[Edouard de Montmonrency]

... Et pourtant, il y aura forcement encore des guerres et des révolutions sur notre petite Planète Terre. (c'est empirique).

[Clavier]

Oui il faudra prendre une bastille et ce sera sans doute l'occasion de régler pas mal de comptes entre souverainistes et nupistes
le centre mou maconien comme d'habitude nous regardera tirer les marrons du feu pour eux....mais pas sûr qu'ils puissent en profiter longtemps si nous devenons assez forts

[Edouard de Montmonrency]

Oui il faudra prendre une bastille  et ce sera sans doute l'occasion de régler pas mal de comptes entre souverainistes et nupistes
le centre mou maconien comme d'habitude nous regardera tirer les marrons du feu pour eux....mais pas sûr qu'ils puissent en profiter longtemps si nous devenons assez forts

L'extrême centre est déjà mentalement expatrié ... se sont des "citoyens du monde noborders" dans l'âme.
Ils iront et fuiront dans des paradis fiscaux, comme présentement mais plus massivement, les autres retourneront une fois de plus leurs vestes.

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