Sauvegardons, nos traditions : blasphémons !

[Marie-Pauline de Crécy]

"Le 9 décembre 1905, la loi de séparation des Églises et de l'État est votée. Depuis, la religion est considérée comme une croyance privée. À compter de cette date, le blasphème n'est plus considéré comme un délit. Il se retrouve au même rang que les sarcasmes, les moqueries déplaisantes et les caricatures malvenues."
(justifit.fr)

[Plaristes Evariste]

Le blasphème gratos j'aime pas trop c'est comme si tu te balladais dans la rue rt que tu disais salut connard au premier passant.
Ceci je comprends la france riposte laïque.

[Marie-Pauline de Crécy]

Ce n'est pas tellement gratos : le pape est au Canada pour l'histoire du massacre des autochtones dans les pensionnats tenus par les catholiques et les orphelins de Duplessis sont en justice pour avoir été placés, enfants, en hôpital psychiatrique.
Ils étaient en bonne santé mentale mais comme ça, les enfants enlevés s'occupaient des vrais malades, placés là par leur famille.
Ils ont fait le calcul, ça a fait gagner 70 millions à l'Eglise, quelque chose comme ça.

Non seulement, le blasphème, ce n'est rien mais en plus, on comprend pourquoi quelques moines "innocents" ont été assassinés !
C'était peut-être des gens qui aimaient leurs enfants, à la différence des Tuyau-de-Poil qui - comme des putes - accepteront 10 balles pour qu'il n'y ait pas de scandale et que l'Eglise puisse continuer à violer et torturer des enfants.

[Minos de Rhadamanthe]

Winipinkibubonepakolé, certaines femmes sont de vraies salopes, cela justifie-t-il pour autant le viol et l'assassina d'autres femmes?

Ce n'est pas parce que certains prêtres défroqués ont fait le mal que tous les prêtres sont mauvais !
Attention aux généralités !!! Sinon, on pourrait dire que toutes les femmes, sur les forum, sont des cruches !!

[Marie-Pauline de Crécy]

Non, on est bien d'accord, mais c'est précisément ce qu'a fait l'Eglise !
Et non pas à des salopes mais des femmes avant-gardistes, qui plus est : les vraies salopes, ce sont les bonnes sœurs !



Enlèvements d'enfants, maltraitance des enfants et de leur mère, esclavage, faux certificats de maladies ... corps jetés dans une fosse septique.
Des psychopathes dangereux !

[Marie-Pauline de Crécy]

On n'entend pas de prêtes s'opposer, vous admettrez : plutôt des complices disant "qu'il était normal à l'époque de se comporter comme cela".

Chez les psychopathes peut-être, mais chez les gens sains, non !



Je vous invite à avoir les bonnes lectures !

[Marie-Pauline de Crécy]

Arrêter un tueur, y compris par une balle dans la tête, n'est pas un assassinat !

[Minos de Rhadamanthe]

Arrêter un tueur, y compris par une balle dans la tête, n'est pas un assassinat !

Ben, SI !

Pour vous, volez un voleur, n'est pas du vol ?
Violer un violeur, n'est pas un viol ?

[Marie-Pauline de Crécy]

Si mais arrêter un tueur, ce n'est pas un assassinat : c'est de l'assistance à personne en danger !
C'est vous qui êtes complice et en tort, si vous le laissez faire !

[Marie-Pauline de Crécy]

Et si vous ne réagissez pas en cas de viol et de vol : vous favorisez le votre !

[Marie-Pauline de Crécy]

C'est ça que les pauvres connards feraient bien de se mettre dans la tête !

[Minos de Rhadamanthe]

Si mais arrêter un tueur, ce n'est pas un assassinat : c'est de l'assistance à personne en danger !
C'est vous qui êtes complice et en tort, si vous le laissez faire !

Tiens, on ne le tue plus, on l'arrête maintenant...
Le mettre hors d'état de nuire ne signifie pas le tuer...
Vous connaissez ce principe : on met les gens dangereux dans une grande maison dans laquelle ils ont des petites chambres. le principe de base est de les éloigner des gens "normaux" afin qu'ils ne puissent plus leur nuire. Une prison, je crois qu'ils appellent cela...

Quand à la notion de complicité, que dites vous d'un juge qui remet en liberté pour la Nèmes fois une multirécidiviste ?
Complice ou pas complice de son prochain forfait ?

[Marie-Pauline de Crécy]

Non, mais le mettre hors d'état de nuire peut signifier le tuer !

C'est quoi votre problème avec ça ?
Vous êtes pute à tueur, vous craignez pour votre commerce ?

[Marie-Pauline de Crécy]

C'est madame Guy Georges qui nous parle ?

[Marie-Pauline de Crécy]

Branlotin, va !

[Minos de Rhadamanthe]

Non, mais le mettre hors d'état de nuire peut signifier le tuer !

C'est quoi votre problème avec ça ?
Vous êtes pute à tueur, vous craignez pour votre commerce ?

Votre notion de la justice semble identique à celle du dialogue convivial...

Au fait, chacune de vos insultes est une preuve de votre manque d'argumentation intelligente...
MERCI !!

[Marie-Pauline de Crécy]

Je me soucie comme de ma première chemise que ce qu'un complotiste peut penser de mon argumentation !

L'insulte reste la seule chose que vous compreniez et je m'en voudrais de rompre totalement le dialogue, ce qui pourrait vous donner une excuse pour ne pas agir en prétendant que vous ne saviez pas et vous priverez de la justice !

[Marie-Pauline de Crécy]

Ganache !

[Ferdinand de Talmont]

La tradition millénaire de la France c'est d'honorer Dieu, pas de blasphémer.

[Marie-Pauline de Crécy]

Absolument pas !
La notion de crime de blasphème n’apparaît qu'au 13ème siècle en France, sous la gouvernance tyrannique d'un roi fou !

[Ferdinand de Talmont]

quel roi ?

[Marie-Pauline de Crécy]

"La définition du « blasphème » entre dans le droit français au XIIIe siècle avec la définition donnée par Thomas d'Aquin après de multiples débats avec les moralistes : un péché de langue, une « défaillance dans la profession de foi », donc une atteinte dans sa « pureté », ce qui justifie sa répression qui devient féroce avec le roi Louis IX, préoccupé par sa lutte contre les hérétiques, les j uifs et l'islam, et passe par la mutilation de la langue et des lèvres".

Jean Delumeau, Injures et blasphèmes, Imago, 1989, 159 p.

[Edouard de Montmonrency]

Dieu a de l'humour, bien plus que du second degrés, et il n'a pas besoin de qui que se soit pour le défendre ou défendre son honneur.

Le défendre c'est le minimiser.

[Marie-Pauline de Crécy]

Et puis surtout, quand on a une tête d'anneau, on cherche d'abord à combler le trou au milieu de son donut avant de prétendre parler au nom de Dieu !

[Marie-Pauline de Crécy]

On fait un peu d'étymologie en même temps, c'est sympa, non ?

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