Les médecins, sont-ils les nouvelles «p.tains» de l’air du temps ?

[Ferdinand de Talmont]

Bon an mal an et jusqu’à un passé récent, les médecins avaient au fond une assez bonne réputation. Ils étaient perçus à la fois comme compétents et altruistes. De même que «Monsieur le curé» et l’instituteur, le «docteur» était lui aussi considéré comme une autorité morale, une sorte de «garde-fou» sur lequel, quand tout allait mal, on pouvait comptait.

Or, en l’espace de deux petites générations (en gros, depuis la fin de la deuxième guerre mondiale), la perception du grand public à leur égard aura radicalement changé. Ils sont aujourd’hui, dans l’ensemble, considérés- hélas, à juste titre- comme des sortes de « larbins en chefs » du système, toujours prêts à ramper devant la dictature du moment. Oui, ces dernières décennies, les médecins n’auront fait qu’osciller entre l’appât du gain d’un côté et un lâche conformisme de l’autre, ils auront systématiquement raté le train de l’histoire. Bref, ils n’auront fait que s’aplatir devant le diktat du moment.

Je propose, en m’appuyant sur quatre exemples simples, d’essayer de convaincre les bonnes âmes qui seraient encore bercées d’illusions…

1) Dans les années trente en Allemagne, la majorité des médecins s’est couchée avec zèle devant les thèses abominables de Hitler, en soutenant le parti nazi. C’est seulement après la capitulation du Troisième Reich que l’ordre des médecins allemand a fait semblant de condamner les thèses eugénistes qu’il n’avait pourtant cessé de soutenir auparavant.

2) Dans les années soixante-dix, et notamment en France, les médecins se sont quasiment tout de suite carpétisés devant les lobbys féministo-maçonniques en approuvant (contre l’évidence biologique) la légalisation du meurtre des enfants-à-naître (avortement). Certes, il y a aura eu quelques exceptions notoires (qui confirment la règle) comme, en France, le grand professeur Jérôme Le Jeune, père de la génétique moderne ou encore le docteur Xavier Dor.

3) En 2018, la radio allemande « Deutschlandfunk » (j’avais écouté l’émission en direct) rapportait que 70% des chirurgiens allemands – et ce chiffre est très probablement le même dans les autres pays occidentaux- ne se laisseraient pas opérer s’ils étaient à la place de leurs patients. En clair, cela signifie que dans 70% des cas, les chirurgiens n’opèrent que pour gagner….du fric (Eh oui).

4) Depuis 2021 et jusqu’à maintenant, les médecins se couchent devant les directives de la dictature de l’hygiène (contre l’évidence des chiffres et du bon sens). Ici encore, outre leur lâcheté et leur incapacité à lutter contre la pression du groupe médiatique dominant, l’appât du gain jouera un rôle primordial. Rappelons que certains d’entre eux ont gagné (et cela continue aujourd’hui) de véritables fortunes en vaccinant «à la chaîne». Notons, qu’il en va de même pour les pharmaciens qui s’en sont mis « plein les poches » avec les tests covids payants…

Alors, me direz-vous : «oui, mais les toubibs ne sont pas les seuls à ramper devant la dictature». Certes, ils ne sont pas les seuls. Avec eux, nous trouvons, en effet, la grande majorité des journalistes, politiciens, et autre «philosophes» de l’establishment, de même d’ailleurs que l’occidental moyen; bref, au fond nous trouvons « Monsieur tout le monde ».

En revanche, les médecins sont bien les seuls à avoir la connaissance qui aurait dû leur permettre de dénoncer cette dictature de l’hygiène qui écrase sous nos yeux l’humanité; chose qu’ils ne font pas. C’est pourquoi, nous sommes en droit d’attendre d’eux, un peu plus que leur pitoyable suivisme docile, saupoudré de soumission au fric. Et c’est pourquoi, il est de notre devoir de leur témoigner ouvertement notre mépris et notre colère.

C’est justement par respect à l’endroit des grands thérapeutes de l’histoire qui parfois ont donné leur vie pour sauver leurs patients, que nous devons condamner sans ambages ce vil asservissement « participatif » des médecins contemporains. Ne pas le faire, serait une faute, car seul le courage de la vérité pourra (peut-être) un jour crever l’abcès; cela est la condition «sine qua non» à tout renouveau.

Jean-Pierre Aussant

[Compte supprimé Ejainiste]

Les temps changent ... Comme les virus, le serment d’Hippocrate a muté en serment d'hypocrite
Idem pour la gauche qui s'est mué en gôchiaSSe

[Henry]

70% des chirurgiens allemands – et ce chiffre est très probablement le même dans les autres pays occidentaux- ne se laisseraient pas opérer s’ils étaient à la place de leurs patients... si je n'avais pas été opéré je serais mort ....

[Clavier]

Je regarde les médecins de plateaux télé et je note qu'ils ont presque tous des noms à consonnance étrangère ....qu'ils sont encartés dans des partis politiques du pouvoir
et que si je devais rentrer dans leur cabinet médical, je serais fort inquiet pour leur réelle compétence .....
J'ai parmi mes connaissances quelques vieux médecins de très haut niveau professionnel ( dont un qui a failli devenir directeur de Pfizer USA ...)qui partagent mes appréhensions face à l'ambiance actuelle....

[Compte supprimé Ejainiste]

En France, les vieux blancs vivent trop longtemps et coutent cher ... Donc soignons les peu et mal et ainsi les finances du pays ne s'en porteront que mieux

[Plaristes Evariste]

Bah ils ne sont plus maître de diagnostique désormais ce sont des techniciens de santé, d'ailleurs dans les hôpitaux le diagnostique est automatique.

[Jeannot Lapin]

Je regarde les médecins de plateaux télé et je note qu'ils ont presque tous des noms à consonance étrangère ....qu'ils sont encartés dans des partis politiques du pouvoir
et que si je devais rentrer dans leur cabinet médical, je serais fort inquiet pour leur réelle compétence .....
J'ai parmi mes connaissances quelques vieux médecins de très haut niveau professionnel ( dont un qui a failli devenir directeur de Pfizer USA ...) qui partagent mes appréhensions face à l'ambiance actuelle....

Oui, effectivement pour les noms à consonance étrangère, mais c'est vrai de la plupart des médecins.
Ca s'expliquait assez facilement naguère. Pour bosser dans l'administration, il fallait être français depuis au moins 10 ans (et il fallait attendre au moins 5 ans avant d'être naturalisé après avoir montré son assiduité à devenir français, par exemple en demandant un refus de sa précédente nationalité). Pour certaines responsabilités il fallait être français de naissance, et il était d'usage que, dans l'armée, les hauts gradés et personnes à responsabilité, soient d'origine nobiliaire. Tout ça relèvait du bon sens (qui n'existe plus dans la conduite de la France). Et puis le cooptage maintenait un peu les mêmes de père en fils dans les administrations et les statuts protégés. Or pour les métiers libéraux et notamment ceux protégés (qui ne s'apprennent pas juste en quelques années de cours universitaires), il n'est pas rare non plus que les gens fassent le même métier de père en fils...

J'ai remarqué que la règle du nom à consonance française n'est pas très fiable, beaucoup trop généraliste et on peut changer de nom. Il faut plutôt aller regarder dans le passé familial. C'est plus dur mais autrement plus fiable. On retrouve par exemple que tel politicien français et tel autre américain sont cousins... et pour les hommes d'affaires ou médecins, idem. Même famille, au sein du même business il y 100 ans pour les arrière grands parents respectifs, même village d'origine de tel contrée éloignée...
C'est ça la vraie nature des relations. Je l'ai constaté à maintes reprises.
Le groupes ethniques, religieux, linguistiques, c'est trop vague.

[Jeannot Lapin]

Bah ils ne sont plus maître de diagnostique désormais ce sont des techniciens de santé, d'ailleurs dans les hôpitaux le diagnostique est automatique.

Il y a une baisse du niveau et donc de la valeur de la connaissance. Les reste prend alors le relais et les jobards prennent d'assaut le métier.
La baisse du niveau a lieu du primaire au Bac. Les médecins sont autant impactés que les ingénieurs et autres universitaires chercheurs, et probablement un peu plus que les techniciens et ouvriers à qui on ne demande pas d'imaginer et concevoir, ni prendre des décisions, mais tout semble indiquer que tous les métiers de haut en bas sont impactés et qu'une partie des jeunes de 18 ans, en France, ne sont pas aptes à travailler où que ce soit...
Egalisation par le bas, effondrement du niveau général... on a ce qu'on mérite.

[Edouard de Montmonrency]

...
La baisse du niveau a lieu du primaire au Bac. Les médecins sont autant impactés que les ingénieurs et autres universitaires chercheurs, ...

Ca ne les empêchera pas d'avoir les mêmes salaires (la même récompense des mérites) que les anciens.

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