Medvedev menace le Kazakhstan de l'attaquer.
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Medvedev menace le Kazakhstan de l'attaquer.
Après que la Russie ait lancée des messages partout aux pays indépendants de l'URSS qu'ils rejoindront à nouveau la Russie.
Medvedev menance le Kazakhstan en déclarant que c'est un état artificiel qui pratiquerait le génocide des russes.
Cette accusation avait été lancée par la Russie contre l'Ukraine avant son invasion.
La Russie a-t-elle les capacités de s'attaquer au Kazakhstan en même temps qu'à L'Ukraine ? Avec les moyens actuellement utilisés contre l'Ukraine, c'est assez possible, mais à condition de mobiliser des appelés fraîchement formés. Les Kazakhstan offrirait probablement moins de résistance que l'Ukraine, avec nettement moins de matériel militaire et des soldats et serait nettement moins préparé. Par ailleurs parmi la forte minorité russophone il pourrait s'en trouver qui aiderait à un coup d'Etat.
Mais ce deuxième champs de bataille probablement plus facile à première vue risque de mettre en difficulté la Russie sur les deux fronts à terme. D'autant plus que pour le coup, les pays asiatiques et la Turquie n'en resteraient plus à compter les points et se joindraient au Kazakhstan contre la Russie. Il est même probable que la Chine ne laisserait pas faire.
Pour rappel, le Kazakhstan s'est éloigné de la Russie lors de l'occupation de l'Ukraine, a annoncé sortir de l'union monétaire avec les russes, de passer à l'alphabet latin dès 2024, imposé y compris en russe, et qu'il compenserait tout le pétrole que la Russie ne livrerait pas à l'UE et à ses alliés. Et pendant ce temps l'administration Kazakhe, organise des entrevues avec les Etats-Unis et scelle des liens avec l'UE. Dans les dents de la Russie.
Medvedev menance le Kazakhstan en déclarant que c'est un état artificiel qui pratiquerait le génocide des russes.
Cette accusation avait été lancée par la Russie contre l'Ukraine avant son invasion.
La Russie a-t-elle les capacités de s'attaquer au Kazakhstan en même temps qu'à L'Ukraine ? Avec les moyens actuellement utilisés contre l'Ukraine, c'est assez possible, mais à condition de mobiliser des appelés fraîchement formés. Les Kazakhstan offrirait probablement moins de résistance que l'Ukraine, avec nettement moins de matériel militaire et des soldats et serait nettement moins préparé. Par ailleurs parmi la forte minorité russophone il pourrait s'en trouver qui aiderait à un coup d'Etat.
Mais ce deuxième champs de bataille probablement plus facile à première vue risque de mettre en difficulté la Russie sur les deux fronts à terme. D'autant plus que pour le coup, les pays asiatiques et la Turquie n'en resteraient plus à compter les points et se joindraient au Kazakhstan contre la Russie. Il est même probable que la Chine ne laisserait pas faire.
Pour rappel, le Kazakhstan s'est éloigné de la Russie lors de l'occupation de l'Ukraine, a annoncé sortir de l'union monétaire avec les russes, de passer à l'alphabet latin dès 2024, imposé y compris en russe, et qu'il compenserait tout le pétrole que la Russie ne livrerait pas à l'UE et à ses alliés. Et pendant ce temps l'administration Kazakhe, organise des entrevues avec les Etats-Unis et scelle des liens avec l'UE. Dans les dents de la Russie.
Jeannot Lapin- Sage
- Messages : 9222
Date d'inscription : 31/07/2021
Re: Medvedev menace le Kazakhstan de l'attaquer.
Gramsci.
Le dictateur de Kazhakstan ej peux pas le blairer de tout manière ils descendent d'apparatchiks traitres à l'URSS.
Sont pas des fous furieux comme Kolomoïski et autre. Mais bon... Je paris que les nouveaux sont dans le même genre.
Lisez notre article sur le sujet :
https://cercle-duclos.fr/le-kazakhstan-serait-il-victime-dune-revolution-de-couleur/
La crise kazakh est potentiellement une version édulcorée de la crise ukrainienne, écrit Tim Kirby.
Il semble qu'un scénario très similaire aux révolutions de couleur commence à se mettre en place au Kazakhstan, comme ce fut le cas dans de nombreuses anciennes républiques soviétiques.
La grande question pour ceux qui se préoccupent réellement des droits de l'homme est de savoir si cela va dégénérer en un scénario de type Maidan ukrainien n’apportant qu’oppression, guerres et misère aux masses. Alors, où tout cela va-t-il et pourquoi cela se produit-il à ce moment de l'histoire ?
Dans le cas du Kazakhstan, c'est le prix du gaz naturel qui a (ironiquement) déclenché des manifestations massives et très organisées qui semblent sortir de nulle part. Les revendications des mécontents pendant une révolution de couleur sont toujours soit abstraites, soit impossibles. Les demandes abstraites sont des choses comme "nous voulons la démocratie même si nous ne pouvons pas la définir" et les demandes impossibles comme "le gouvernement entier doit se retirer à cause des sentiments" en sont des exemples parfaits. Au Kazakhstan, les manifestants demandent actuellement que le gouvernement s'en aille tranquillement dans la nuit de son plein gré.
Ayant vécu au Kazakhstan pendant deux ans, je pouvais vraiment ressentir le paradoxe d'un Kazakhstan nouvellement nationaliste et pourtant favorable à la langue russe. L'interprétation d'événements historiques comme la révolution russe et la Seconde Guerre mondiale était rapidement réécrite. À l'époque, on pouvait également constater (tout comme en Ukraine) que le Kazakhstan s'efforçait d'évincer la culture russe tout en veillant à ce que chaque enfant apprenne un anglais de haut niveau avec des films hollywoodiens à profusion à la télévision. Kiev et Astana/Nur-Sultan ont tous deux essayé pendant des années (même avant le Maidan) d'exercer une pression gouvernementale sur la langue russe. Il s'agit d'un exemple réel de "racisme institutionnel" dont nos amis aux cheveux arc-en-ciel parlent toujours, mais parce que cela arrive aux méchants Russes, cela ne compte jamais.
Le Kazakhstan a réussi à chasser environ la moitié de sa population russe par diverses formes d'intimidation et de pratiques d'embauche racistes au sein du gouvernement et des grandes entreprises. Les non-Kazakhs, en particulier les Russes, se sont plaints à moi qu'ils n'avaient tout simplement pas d'autre choix que de partir ou de rester éternellement au bas de l'échelle économique de la société.
Cet article a été écrit le 9 janvier.
D'après ce que je comrpends, on est plus du du Jean Michel frontiste niveau racisme que le banderiste de pravi sector
Il y a aussi pa sla même population el cocktail est d'apparence moisn explosif.
À bien des égards, l'Ukraine et le Kazakhstan se ressemblent, mais ils sont loin de se ressembler. Bien que le territoire du Kazakhstan fasse partie de la Russie depuis des centaines d'années et que la majorité de la population préfère encore parler russe, l'Ukraine est le berceau inaliénable de la civilisation russe, tandis que le Kazakhstan est un ajout ultérieur charmant. Vous ne pouvez tout simplement pas faire remonter les Tsars jusqu'à l'ancienne Almaty. Bien que la population russophone de la steppe orientale soit importante, il s'agit pour la plupart de Russes non ethniques, ce qui peut diviser les sentiments, contrairement aux russophones d'Ukraine, qui se considèrent pour la plupart comme russes.
Russe ethnique = Ruski.
Le dictateur de Kazhakstan ej peux pas le blairer de tout manière ils descendent d'apparatchiks traitres à l'URSS.
Sont pas des fous furieux comme Kolomoïski et autre. Mais bon... Je paris que les nouveaux sont dans le même genre.
Lisez notre article sur le sujet :
https://cercle-duclos.fr/le-kazakhstan-serait-il-victime-dune-revolution-de-couleur/
La crise kazakh est potentiellement une version édulcorée de la crise ukrainienne, écrit Tim Kirby.
Il semble qu'un scénario très similaire aux révolutions de couleur commence à se mettre en place au Kazakhstan, comme ce fut le cas dans de nombreuses anciennes républiques soviétiques.
La grande question pour ceux qui se préoccupent réellement des droits de l'homme est de savoir si cela va dégénérer en un scénario de type Maidan ukrainien n’apportant qu’oppression, guerres et misère aux masses. Alors, où tout cela va-t-il et pourquoi cela se produit-il à ce moment de l'histoire ?
Dans le cas du Kazakhstan, c'est le prix du gaz naturel qui a (ironiquement) déclenché des manifestations massives et très organisées qui semblent sortir de nulle part. Les revendications des mécontents pendant une révolution de couleur sont toujours soit abstraites, soit impossibles. Les demandes abstraites sont des choses comme "nous voulons la démocratie même si nous ne pouvons pas la définir" et les demandes impossibles comme "le gouvernement entier doit se retirer à cause des sentiments" en sont des exemples parfaits. Au Kazakhstan, les manifestants demandent actuellement que le gouvernement s'en aille tranquillement dans la nuit de son plein gré.
Ayant vécu au Kazakhstan pendant deux ans, je pouvais vraiment ressentir le paradoxe d'un Kazakhstan nouvellement nationaliste et pourtant favorable à la langue russe. L'interprétation d'événements historiques comme la révolution russe et la Seconde Guerre mondiale était rapidement réécrite. À l'époque, on pouvait également constater (tout comme en Ukraine) que le Kazakhstan s'efforçait d'évincer la culture russe tout en veillant à ce que chaque enfant apprenne un anglais de haut niveau avec des films hollywoodiens à profusion à la télévision. Kiev et Astana/Nur-Sultan ont tous deux essayé pendant des années (même avant le Maidan) d'exercer une pression gouvernementale sur la langue russe. Il s'agit d'un exemple réel de "racisme institutionnel" dont nos amis aux cheveux arc-en-ciel parlent toujours, mais parce que cela arrive aux méchants Russes, cela ne compte jamais.
Le Kazakhstan a réussi à chasser environ la moitié de sa population russe par diverses formes d'intimidation et de pratiques d'embauche racistes au sein du gouvernement et des grandes entreprises. Les non-Kazakhs, en particulier les Russes, se sont plaints à moi qu'ils n'avaient tout simplement pas d'autre choix que de partir ou de rester éternellement au bas de l'échelle économique de la société.
Cet article a été écrit le 9 janvier.
D'après ce que je comrpends, on est plus du du Jean Michel frontiste niveau racisme que le banderiste de pravi sector
Il y a aussi pa sla même population el cocktail est d'apparence moisn explosif.
À bien des égards, l'Ukraine et le Kazakhstan se ressemblent, mais ils sont loin de se ressembler. Bien que le territoire du Kazakhstan fasse partie de la Russie depuis des centaines d'années et que la majorité de la population préfère encore parler russe, l'Ukraine est le berceau inaliénable de la civilisation russe, tandis que le Kazakhstan est un ajout ultérieur charmant. Vous ne pouvez tout simplement pas faire remonter les Tsars jusqu'à l'ancienne Almaty. Bien que la population russophone de la steppe orientale soit importante, il s'agit pour la plupart de Russes non ethniques, ce qui peut diviser les sentiments, contrairement aux russophones d'Ukraine, qui se considèrent pour la plupart comme russes.
Russe ethnique = Ruski.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Medvedev menace le Kazakhstan de l'attaquer.
Si Poutine est logique .....il devrait régler ce problème énergiquement !
Clavier- Sage
- Messages : 4302
Date d'inscription : 18/02/2019
Localisation : Golfe du Morbihan
Re: Medvedev menace le Kazakhstan de l'attaquer.
Espéreront que l'ultimatum de mevedev aboutisse à des néociations et un accord.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Medvedev menace le Kazakhstan de l'attaquer.
Plaristes a écrit:Espéreront que l'ultimatum de mevedev aboutisse à des néociations et un accord.
Medvedev vient de se dégonfler. Probablement pas assez d'armée pour deux fronts...
Il aurait subi un piratage de son compte sur son réseau social russe...
Jeannot Lapin- Sage
- Messages : 9222
Date d'inscription : 31/07/2021
Re: Medvedev menace le Kazakhstan de l'attaquer.
Ouais... Aussi ça.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
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