Réformes, début du "quoi qu'il vous en coutera"

[Compte supprimé Ejainiste]

Réformes, fin du "quoi qu'il en coûte"

Les mois à venir s'annoncent donc difficiles, marqués par l'arrivée de réformes contestée.. Dans un premier temps, le plan sobriété, dont la première ministre Élisabeth Borne va annoncer les contours devant l'université d'été du Medef, à la fin du mois. Sur le plan économique, en évoquant la fin "des liquidités sans coût", le président semble sonner l'arrêt du "quoi qu'il en coûte", d'après Matthieu Croissandeau, notamment en matière d'énergie.

Enfin, avec les réformes de l'assurance chômage et des retraites, Emmanuel Macron prépare les Français à "travailler plus".

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Préparons les mouchoirs

[atchoum]

Réformes, fin du "quoi qu'il en coûte"

Les mois à venir s'annoncent donc difficiles, marqués par l'arrivée de réformes contestée.. Dans un premier temps, le plan sobriété, dont la première ministre Élisabeth Borne va annoncer les contours devant l'université d'été du Medef, à la fin du mois. Sur le plan économique, en évoquant la fin "des liquidités sans coût", le président semble sonner l'arrêt du "quoi qu'il en coûte", d'après Matthieu Croissandeau, notamment en matière d'énergie.

Enfin, avec les réformes de l'assurance chômage et des retraites, Emmanuel Macron prépare les Français à "travailler plus".

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Préparons les mouchoirs

Oui j'ai entendu ce bouffon qui nous prédit du pire et qui a prévenu que ça sera la fin de l'abondance..;il sait pas cette tête de con qu'il y a dix millions de pauvres en France . Merci l'abondance .

[Edouard de Montmonrency]

Réformes, fin du "quoi qu'il en coûte"

Les mois à venir s'annoncent donc difficiles, marqués par l'arrivée de réformes contestée.. Dans un premier temps, le plan sobriété, dont la première ministre Élisabeth Borne va annoncer les contours devant l'université d'été du Medef, à la fin du mois. Sur le plan économique, en évoquant la fin "des liquidités sans coût", le président semble sonner l'arrêt du "quoi qu'il en coûte", d'après Matthieu Croissandeau, notamment en matière d'énergie.

Enfin, avec les réformes de l'assurance chômage et des retraites, Emmanuel Macron prépare les Français à "travailler plus".

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Préparons les mouchoirs

Parait-il, ils vont remettre les jeunes retraités de moins de 70 ans au boulot (comme dans les autres pays membres de l'UE) ... la trop jeune génération est mauvaise, pas assez productive et fidèle ;-)

[Frère Barnabé]

Réformes, fin du "quoi qu'il en coûte"

Les mois à venir s'annoncent donc difficiles, marqués par l'arrivée de réformes contestée.. Dans un premier temps, le plan sobriété, dont la première ministre Élisabeth Borne va annoncer les contours devant l'université d'été du Medef, à la fin du mois. Sur le plan économique, en évoquant la fin "des liquidités sans coût", le président semble sonner l'arrêt du "quoi qu'il en coûte", d'après Matthieu Croissandeau, notamment en matière d'énergie.

Enfin, avec les réformes de l'assurance chômage et des retraites, Emmanuel Macron prépare les Français à "travailler plus".

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Préparons les mouchoirs

Oui j'ai entendu ce bouffon qui nous prédit du pire et qui a prévenu que ça sera la fin de l'abondance..;il sait pas cette tête de con qu'il y a dix millions de pauvres en France . Merci l'abondance .

ça sera l'abondance pour les multinationales du CAC 40 (plus de dividendes )

[Jeannot Lapin]

Mon père a regardé : il est parti en retraite (tout en travaillant toujours) à 72 ans, forcé par un oukase de Villepin, invalidé par la suite (mais bon il était trop tard et il aurait fallu faire partie des gens qui le contestaient juridiquement). Je continue d'ailleurs, à plus de 85 ans, de le payer au noir pour des services professionnels, dont il est difficile que je me passe. Je paie pas moins d'impôts mais je fais nettement moins de paperasse.

[Edouard de Montmonrency]

Mon père a regardé : il est parti en retraite (tout en travaillant toujours) à 72 ans, forcé par un oukase de Villepin, invalidé par la suite (mais bon il était trop tard et il aurait fallu faire partie des gens qui le contestaient juridiquement). Je continue d'ailleurs, à plus de 85 ans, de le payer au noir pour des services professionnels, dont il est difficile que je me passe. Je paie pas moins d'impôts mais je fais nettement moins de paperasse.

Fut un temps (révolu) ... certains cadres ne voulaient pas partir en AS-FNE (même avec 80% du net a 55 ans).

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