Propos de bistro
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Frère Barnabé
Henry
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Re: Propos de bistro
si je suis chrétienne , alors t'es un transexuel avec des seins artificielle de femme !El Rachid Ibn Youssoufi a écrit:Arrête de faire la chrétienne! T'es athée
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: Propos de bistro
ILS ONT DE LA CHANCE? LES MUSULMANS? ILS ONT LE DROIT A LA PHEDOPHILIE
OU A LA ZOOPHILIE
OU A LA ZOOPHILIE
michou- Sage
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Re: Propos de bistro
Une vraie cinglée
El Rachid Ibn Youssoufi2- Maître
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Re: Propos de bistro
Il jeta un seau d'eau.Rien.Deuxième seu d'eau rien.
Au troisième seau d'eau le Prophète put enfin se dégager.
Fou de colère il ordonna d'exterminer tous les chiens de l'Arabie.
Le lendemain calmé il émit deux hadiths:
"Les anges n'entreront pas dans une maison où il ya des chiens"
"Dans les lattrines utilisez toujours un nombre impair de pierres pour vous nettoyer"
Et c'est ainsi qu'Allah est grand.
Voici quelques citations de Khomeyni (pour Boukhari il faut attendre un peu).
L'homme peut avoir le plaisir sexuel d'un enfant aussi jeune qu'un bébé. Cependant il ne doit pas pénétrer, mais sodomiser l'enfant. Si l'homme pénètre et cause des dégâts à l'enfant alors il devrait être responsable pour l'existence de cette fille pour toute sa vie. Cette fille, cependant ne compte pas comme une de ses quatre femmes permanentes. Cet homme ne peut pas épouser la sur de cette fille.
(Livre de Khomeini, "Tahrirolvasyleh", quatrième volume, Darol Orm, Gom, Iran, 1990)
Il est préférable pour une fille d'être mariée dans un tel temps quand elle commence sa première menstruation dans la maison de son mari plutôt que la maison de son père. Un tel père qui donne en mariage une fille si jeune aura une place permanente au Paradis[/color].
(Du livre de Khomeini, "Tahrirolvasyleh", quatrième volume,Darol Orme, Gom, Iran, 1990)
L'homme peut avoir des rapports sexuels avec des animaux tel que les moutons, vaches, chameaux et ainsi de suite. Cependant il doit égorger l'animal après qu'il a eu son orgasme. Il ne doit pas ... la via
michou- Sage
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Re: Propos de bistro
arrètes de te faire passer pour un saint , tu n'es que mauvais sang pollué hallal ,aussi tout ton corps , toute ton ame voué à muhammed et jibril ,et non pas à Dieu !!!El Rachid Ibn Youssoufi a écrit:Une vraie cinglée
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: Propos de bistro
Apprends à écrire français...
El Rachid Ibn Youssoufi2- Maître
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Re: Propos de bistro
de un(e) qui ose dire qu'il n'est pas français(e)
et est ce un péché, c'est haram???
et est ce un péché, c'est haram???
Frère Barnabé- Vénérable
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Localisation : saint Etienne
Re: Propos de bistro
est ce haram , mon écrit Français ????El Rachid Ibn Youssoufi a écrit:Apprends à écrire français...
Frère Barnabé- Vénérable
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Localisation : saint Etienne
Re: Propos de bistro
attend le Saïd
je lui réserve d'autre chose sur son prophète le porc
je lui réserve d'autre chose sur son prophète le porc
michou- Sage
- Messages : 3023
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Re: Propos de bistro
a presse occidentale a moins relevé ce qui s’est passé en Arabie Séoudite lorsque le roi a parlé de s’associer au processus de paix entre les pays arabes et Israël. Un certain nombre d’ulémas fondamentalistes ont rappelé vertement qu’il ne saurait y avoir de paix avec les infidèles. Selon la sharî’a, le monde est divisé entre « domaine de l’Islam » (dâr al-Islâm) et « domaine de la guerre » (dâr al-harb), et si le conflit n’est pas permanent de fait avec celui-ci, il l’est de droit. Aussi un pays musulman ne déclarait-il jamais la guerre, autrefois, à un pays non-musulman, mais tout au plus pouvait-il « déclarer une trêve », généralement de dix, ou au plus de vingt ans, qui devenait caduque d’elle-même au bout de ce délai sans autre acte juridique. Le roi d’Arabie n’a pas discuté sur ce point, mais il a simplement déclaré que les ulémas qui s’opposaient à lui entraient en rébellion et qu’il était décidé à leur appliquer les « peines légales » appropriées. Ce qui a suffi pour réduire au silence les protestataires.
4Nous avons donc deux exemples, l’un de violence effective, l’autre de violence « symbolique », où la persistance de fait, dans la vie politique actuelle des pays musulmans, du droit classique est invoquée à l’encontre de tout processus révolutionnaire, fut-il « islamique ». Comment peut-on en arriver là ? Pour le comprendre il faut tenir compte de quatre éléments qui constituent l’ossature du phénomène :
la mise en place, par le Coran, d’un crime de rébellion contre le Prophète ;
la transmission des prérogatives du Prophète au souverain légitime : le calife ;
l’acceptation de fait de la revendication de ces prérogatives par les détenteurs du pouvoir qui ne l’ont pas obtenu par délégation du calife ;
les difficultés de définir l’« imâm injuste » contre lequel seul la rébellion serait légitime.
1 Cf. par exemple Genèse 32,14.
2 Traduction Blachère.
5Dans le Coran l’idée de rébellion est d’abord celle de « révolte contre Dieu », marquée par les mots de taghwâ, tughyân... Elle est invoquée pour des épisodes anciens, notamment celui de Pharaon contre Moïse (XX, 27, 45), ou avant même pour les contemporains de Noé (LIII, 52), qui ont tous connu le châtiment ; mais elle peut être invoquée d’une façon générale et intemporelle (LXXVIII, 21-23 ; LI, 53 ; LXVIII, 31 ; XXXVII, 29 ; XXXVIII, 55 ; XXIII, 75). Alors que la Bible peut opposer la mansuétude de Dieu non seulement aux manquements des hommes – ce que fait aussi le Coran – mais aussi à leur révolte1, le Coran exclut formellement le pardon dans ce dernier cas : « Si nous leur faisions miséricorde et écartions le mal qui est sur eux, ils persisteraient, certes, à marcher en aveugles dans leur rébellion (fî tughyânihim) » (XXIII, 75)2. En outre il faut remarquer que le vocabulaire qui désigne cette rébellion contre Dieu désigne aussi l’idée d’être injuste, oppresseur.
6Ce dernier aspect est naturellement renforcé lorsque le Prophète, passant de la Mecque à Médine, passe du statut d’« avertisseur » à celui de chef temporel. Ensuite, contre les castors de Médine, notamment, qui acceptaient le message monothéiste mais pas la suprématie politique du Prophète, le Coran lance l’accusation d’« hypocrisie ». Celle-ci est très vite rattachée à celle de révolte, y compris, cette fois, au sens politique : « N’as-tu point vu ceux qui ont été hypocrites (al-ladhîna nâfaqû) ». Ils disaient à ceux de leurs frères qui, parmi les Détenteurs de l’Écriture, ont été impies (al-ladhîna kafarû) :
3 Traduction Blachère.
« Si vous êtes expulsés, nous partirons, certes, avec vous, et nous n’obéirons jamais à personne contre vous. Si l’on vous combat, certes, nous vous porterons secours ! » (LIX, 11)3.
7Il y a donc l’affirmation d’un lien étroit entre la foi et la soumission à celui qui représente l’unité de la communauté.
8C’est ce que montre à l’évidence un hadîth :
« La vraie religion consiste à être loyal envers Dieu, envers Son Prophète, à l’égard des chefs de la communauté musulmane et de la communauté toute entière. »
4 Sahîh, éd. Dâr al-qalam, Beyrouth, 1987, t. I, p. 93. Traduction Houdas : El-Bokhari, les traditio (...)
9Ce hadîth, qui est rapporté par Bukhârî4 en conclusion du chapitre de la foi, est rattaché par lui à la parole coranique (IX, 92) :
« Pourvu qu’ils soient sincères envers Dieu et Son Prophète. »
10Dans une autre section du recueil de Bukhârî, on trouve des récits d’une répression féroce exercée par le Prophète contre des tribus qui avaient apostasié :
« Le Prophète leur fit couper les mains et les pieds et crever les yeux ; puis on les laissa mourir sans cautériser leurs plaies. On les jeta dans la Harra : ils demandèrent à boire en vain, on ne les abreuva pas. »
11Bukhârî donne à la suite quatre récits, qui ne diffèrent que par des détails, de cette répression, pour bien marquer s
4Nous avons donc deux exemples, l’un de violence effective, l’autre de violence « symbolique », où la persistance de fait, dans la vie politique actuelle des pays musulmans, du droit classique est invoquée à l’encontre de tout processus révolutionnaire, fut-il « islamique ». Comment peut-on en arriver là ? Pour le comprendre il faut tenir compte de quatre éléments qui constituent l’ossature du phénomène :
la mise en place, par le Coran, d’un crime de rébellion contre le Prophète ;
la transmission des prérogatives du Prophète au souverain légitime : le calife ;
l’acceptation de fait de la revendication de ces prérogatives par les détenteurs du pouvoir qui ne l’ont pas obtenu par délégation du calife ;
les difficultés de définir l’« imâm injuste » contre lequel seul la rébellion serait légitime.
1 Cf. par exemple Genèse 32,14.
2 Traduction Blachère.
5Dans le Coran l’idée de rébellion est d’abord celle de « révolte contre Dieu », marquée par les mots de taghwâ, tughyân... Elle est invoquée pour des épisodes anciens, notamment celui de Pharaon contre Moïse (XX, 27, 45), ou avant même pour les contemporains de Noé (LIII, 52), qui ont tous connu le châtiment ; mais elle peut être invoquée d’une façon générale et intemporelle (LXXVIII, 21-23 ; LI, 53 ; LXVIII, 31 ; XXXVII, 29 ; XXXVIII, 55 ; XXIII, 75). Alors que la Bible peut opposer la mansuétude de Dieu non seulement aux manquements des hommes – ce que fait aussi le Coran – mais aussi à leur révolte1, le Coran exclut formellement le pardon dans ce dernier cas : « Si nous leur faisions miséricorde et écartions le mal qui est sur eux, ils persisteraient, certes, à marcher en aveugles dans leur rébellion (fî tughyânihim) » (XXIII, 75)2. En outre il faut remarquer que le vocabulaire qui désigne cette rébellion contre Dieu désigne aussi l’idée d’être injuste, oppresseur.
6Ce dernier aspect est naturellement renforcé lorsque le Prophète, passant de la Mecque à Médine, passe du statut d’« avertisseur » à celui de chef temporel. Ensuite, contre les castors de Médine, notamment, qui acceptaient le message monothéiste mais pas la suprématie politique du Prophète, le Coran lance l’accusation d’« hypocrisie ». Celle-ci est très vite rattachée à celle de révolte, y compris, cette fois, au sens politique : « N’as-tu point vu ceux qui ont été hypocrites (al-ladhîna nâfaqû) ». Ils disaient à ceux de leurs frères qui, parmi les Détenteurs de l’Écriture, ont été impies (al-ladhîna kafarû) :
3 Traduction Blachère.
« Si vous êtes expulsés, nous partirons, certes, avec vous, et nous n’obéirons jamais à personne contre vous. Si l’on vous combat, certes, nous vous porterons secours ! » (LIX, 11)3.
7Il y a donc l’affirmation d’un lien étroit entre la foi et la soumission à celui qui représente l’unité de la communauté.
8C’est ce que montre à l’évidence un hadîth :
« La vraie religion consiste à être loyal envers Dieu, envers Son Prophète, à l’égard des chefs de la communauté musulmane et de la communauté toute entière. »
4 Sahîh, éd. Dâr al-qalam, Beyrouth, 1987, t. I, p. 93. Traduction Houdas : El-Bokhari, les traditio (...)
9Ce hadîth, qui est rapporté par Bukhârî4 en conclusion du chapitre de la foi, est rattaché par lui à la parole coranique (IX, 92) :
« Pourvu qu’ils soient sincères envers Dieu et Son Prophète. »
10Dans une autre section du recueil de Bukhârî, on trouve des récits d’une répression féroce exercée par le Prophète contre des tribus qui avaient apostasié :
« Le Prophète leur fit couper les mains et les pieds et crever les yeux ; puis on les laissa mourir sans cautériser leurs plaies. On les jeta dans la Harra : ils demandèrent à boire en vain, on ne les abreuva pas. »
11Bukhârî donne à la suite quatre récits, qui ne diffèrent que par des détails, de cette répression, pour bien marquer s
michou- Sage
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Date d'inscription : 16/09/2022
Re: Propos de bistro
Bonjour à tous ... et les mecs...le titre de ce topic c'est " bonjour à tous"... vous êtes en plein délire les gars !
Henry- Connaisseur
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Date d'inscription : 27/07/2022
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Re: Propos de bistro
Henry a écrit:Bonjour à tous ... et les mecs...le titre de ce topic c'est " bonjour à tous"... vous êtes en plein délire les gars !
bonjour a tous, il porte bien son nom
michou- Sage
- Messages : 3023
Date d'inscription : 16/09/2022
Re: Propos de bistro
c'est devenu Bonsoir à tous , des mecs sur la mecque!Henry a écrit:Bonjour à tous ... et les mecs...le titre de ce topic c'est " bonjour à tous"... vous êtes en plein délire les gars !
Frère Barnabé- Vénérable
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