Nouvel équipement pour la police
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Nouvel équipement pour la police
https://www.20minutes.fr/paris/4005099-20221012-nanterre-envoyez-enfants-cours-lancent-parents-eleves-apres-garde-vue-14-lyceens
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Ce mercredi matin, les rares élèves du lycée Joliot-Curie, à Nanterre, qui ont voulu se rendre en cours ont été accueillis par un cordon de CRS. La veille, une escalade de tensions lors d’une manifestation devant l’établissement s’est conclue par l’interpellation de quatorze jeunes, dont douze mineurs à proximité du lycée. Les raisons invoquées par la police : « attroupement armé par des individus masqués », « outrages » et « violences volontaires aggravées ». Les lycéens étaient mobilisés pour un retour de l’aide aux devoirs, un meilleur dialogue avec la direction de l’établissement et en soutien à leur enseignant Kai Terada, muté en septembre dernier.
Placés en garde à vue, tous les jeunes arrêtés sont en voie d’être libérés, indique le parquet de Nanterre à 20 Minutes. Trois d’entre eux seront convoqués devant le tribunal pour enfant le 1er décembre prochain pour y répondre de faits qualifiés de « violences aggravées sur personne dépositaire de l’autorité publique ». « L’implication des autres gardés-à-vue [fait] l’objet d’une étude plus approfondie du parquet », précise une source judiciaire.
Une réponse policière jugée « disproportionnée »
« Regardez ! » Samy, un lycéen présent au cours de la manifestation, tend sa main rouge et égratignée. « Hier, j’avais la main bleue », décrit-il, avant d’ajouter qu’il s’est « pris des coups de matraque ». « Quand les policiers ont gazé, il y a une fille qui est tombée sur la route, qui n’était pas bloquée », raconte Maxence*. « Le max qu’on avait, c’est des fumigènes et des cailloux, ajoute-t-il. Eux [les policiers], ils tirent au flash-ball sur des enfants en sweat à capuche. C’est disproportionné. »
« La réponse des autorités était inadaptée, considère également Jean-Pierre Bellier, adjoint à la mairie de Nanterre en charge de l’éducation. Il faut faire la différence entre la police départementale, qui a parfois des difficultés à ajuster son attitude, et celle de Nanterre. » Une répression qui tend « à créer une génération antiflics », regrette Samy, élève au lycée Joliot-Curie.
Nuage de gaz lacrymogène
« Votre enfant est absent ce jour » ont reçu des parents ce mercredi matin de la part du lycée. « Voilà, c’est la seule communication qu’on ait avec la direction, après ce qu’il s’est passé », s’indigne Houria, mère d’un élève de terminale. Peu rassurée, elle a décidé que son fils n’irait pas au lycée « tant qu’[elle] n’aura pas eu de discussion avec la direction, et qu’il y a toujours des CRS devant l’établissement. » Ce mercredi, de nombreux cours ont été annulés en raison du manque d’élèves. Depuis mardi soir, les parents se transmettent par message un communiqué incitant à ne « pas envoyer [les] enfants au lycée pour protester ».
Dès le premier blocage, lundi, Houria a craint d’envoyer son fils en cours. « Je voulais qu’il reste à la maison mardi, mais comme la situation était plutôt calme, au début, je l’ai appelé pour lui dire d’y aller », raconte-t-elle. Houria travaille dans un immeuble situé en face du lycée. Dès les premières charges policières, elle a vu par la fenêtre un nuage de gaz lacrymogène, et des jeunes « qui couraient dans tous les sens ». Elle s’est « tout de suite précipitée pour récupérer [son] fils ». Pour cette ancienne étudiante engagée, « la situation s’est énormément dégradée » lors des manifestations.
Une dotation exceptionnelle de 150 heures supplémentaires
« Quand on en vient à demander à la police d’intervenir devant un établissement scolaire, c’est que l’Education nationale a failli quelque part », considère Sabrina Sebaihi, députée Nupes de la 4e circonscription des Hauts-de-Seine. « C’est au politique de prendre des mesures », complète le député (Nupes) du Val-de-Marne Louis Boyard, qui s’est rendu au commissariat de Nanterre pour « visiter les lycéens » en garde à vue. Sabrina Sebaihi souhaite notamment « l’interdiction des tirs de LBD et des grenades de désencerclement, à plus fortes raisons devant un établissement scolaire. »
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Il faut d'urgence équiper nos forces de l'ordre de lance-pierres pour affronter les hordes de sauvageons exotiques
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Ce mercredi matin, les rares élèves du lycée Joliot-Curie, à Nanterre, qui ont voulu se rendre en cours ont été accueillis par un cordon de CRS. La veille, une escalade de tensions lors d’une manifestation devant l’établissement s’est conclue par l’interpellation de quatorze jeunes, dont douze mineurs à proximité du lycée. Les raisons invoquées par la police : « attroupement armé par des individus masqués », « outrages » et « violences volontaires aggravées ». Les lycéens étaient mobilisés pour un retour de l’aide aux devoirs, un meilleur dialogue avec la direction de l’établissement et en soutien à leur enseignant Kai Terada, muté en septembre dernier.
Placés en garde à vue, tous les jeunes arrêtés sont en voie d’être libérés, indique le parquet de Nanterre à 20 Minutes. Trois d’entre eux seront convoqués devant le tribunal pour enfant le 1er décembre prochain pour y répondre de faits qualifiés de « violences aggravées sur personne dépositaire de l’autorité publique ». « L’implication des autres gardés-à-vue [fait] l’objet d’une étude plus approfondie du parquet », précise une source judiciaire.
Une réponse policière jugée « disproportionnée »
« Regardez ! » Samy, un lycéen présent au cours de la manifestation, tend sa main rouge et égratignée. « Hier, j’avais la main bleue », décrit-il, avant d’ajouter qu’il s’est « pris des coups de matraque ». « Quand les policiers ont gazé, il y a une fille qui est tombée sur la route, qui n’était pas bloquée », raconte Maxence*. « Le max qu’on avait, c’est des fumigènes et des cailloux, ajoute-t-il. Eux [les policiers], ils tirent au flash-ball sur des enfants en sweat à capuche. C’est disproportionné. »
« La réponse des autorités était inadaptée, considère également Jean-Pierre Bellier, adjoint à la mairie de Nanterre en charge de l’éducation. Il faut faire la différence entre la police départementale, qui a parfois des difficultés à ajuster son attitude, et celle de Nanterre. » Une répression qui tend « à créer une génération antiflics », regrette Samy, élève au lycée Joliot-Curie.
Nuage de gaz lacrymogène
« Votre enfant est absent ce jour » ont reçu des parents ce mercredi matin de la part du lycée. « Voilà, c’est la seule communication qu’on ait avec la direction, après ce qu’il s’est passé », s’indigne Houria, mère d’un élève de terminale. Peu rassurée, elle a décidé que son fils n’irait pas au lycée « tant qu’[elle] n’aura pas eu de discussion avec la direction, et qu’il y a toujours des CRS devant l’établissement. » Ce mercredi, de nombreux cours ont été annulés en raison du manque d’élèves. Depuis mardi soir, les parents se transmettent par message un communiqué incitant à ne « pas envoyer [les] enfants au lycée pour protester ».
Dès le premier blocage, lundi, Houria a craint d’envoyer son fils en cours. « Je voulais qu’il reste à la maison mardi, mais comme la situation était plutôt calme, au début, je l’ai appelé pour lui dire d’y aller », raconte-t-elle. Houria travaille dans un immeuble situé en face du lycée. Dès les premières charges policières, elle a vu par la fenêtre un nuage de gaz lacrymogène, et des jeunes « qui couraient dans tous les sens ». Elle s’est « tout de suite précipitée pour récupérer [son] fils ». Pour cette ancienne étudiante engagée, « la situation s’est énormément dégradée » lors des manifestations.
Une dotation exceptionnelle de 150 heures supplémentaires
« Quand on en vient à demander à la police d’intervenir devant un établissement scolaire, c’est que l’Education nationale a failli quelque part », considère Sabrina Sebaihi, députée Nupes de la 4e circonscription des Hauts-de-Seine. « C’est au politique de prendre des mesures », complète le député (Nupes) du Val-de-Marne Louis Boyard, qui s’est rendu au commissariat de Nanterre pour « visiter les lycéens » en garde à vue. Sabrina Sebaihi souhaite notamment « l’interdiction des tirs de LBD et des grenades de désencerclement, à plus fortes raisons devant un établissement scolaire. »
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Il faut d'urgence équiper nos forces de l'ordre de lance-pierres pour affronter les hordes de sauvageons exotiques
Compte supprimé Ejainiste- Sage
- Messages : 3041
Date d'inscription : 04/09/2020
Localisation : DentonQ
Re: Nouvel équipement pour la police
Val-d’Oise ce vendredi matin. Il a fallu une forte mobilisation des gendarmes et des policiers pour arrêter le 19 tonnes qui a foncé sur eux à Saint-Ouen-l’Aumône. Les forces de l’ordre ont effectué une trentaine de tirs avec leurs armes de service pour arrêter le chauffeur qui n’a pas été blessé mais a terminé sa course sur le bord de la route. Au cours de son périple qui a duré une vingtaine de minutes, il aurait emprunté à contresens une portion de la Francilienne. Plusieurs particuliers ont été percutés, des accidents matériels qui n’ont pas occasionné de blessures parmi les usagers de la route qui l’ont croisé. Le parcours exact depuis Méry-sur-Oise aux alentours de 8h30 du camion n’est pas connu avec certitude. Il y aurait eu un premier accrochage dans le secteur de Beauchamp puis un autre au niveau du garage Peugeot, entre Méry et Saint-Ouen-l’Aumône, route de Pontoise. Les pompiers sont alertés à 8h35. Ils prennent en charge l’automobiliste qui n’est que légèrement touché et ne sera pas conduit à l’hôpital par les secours. Le conducteur du camion est indemne C’est là, semble-t-il, que les policiers municipaux demandent au chauffeur de s’arrêter. Ce dernier appuie au contraire sur l’accélérateur, et prend la fuite. À la suite de ce refus d’obtempérer, les policiers municipaux l’ont pris en charge non sans alerter les gendarmes, compétents sur ce secteur du Val-d’Oise. Lorsque ces derniers interviennent, il refuse toujours de s’arrêter, ayant la ferme intention de les semer. Le chauffeur poursuit ainsi sa course folle en direction de Saint-Ouen-l’Aumône. Les services de police sont également alertés en cours de route de l’arrivée sur leur zone de compétence du fuyard qui roule pied au plancher. Malgré la présence devant lui d’un véhicule de la gendarmerie et d’un second de la police nationale, stationnés dans le but de le contraindre à s’arrêter, il percute les deux véhicules, se fraye un passage pour s’échapper. Il essuie alors une trentaine de tirs de la part des gendarmes et des policiers qui visent en priorité les pneus du camion, lequel parvient à parcourir encore 500 mètres avant de terminer sa course dans le dévers herbeux de la route, dans la zone d’activités d’Epluches, le pneu avant gauche totalement détruit. Âgé de 39 ans, l’homme est indemne. Il n’a pas été touché par les tirs des forces de l’ordre. Le parquet a confirmé ce vendredi soir son placement en garde à vue. L’enquête a été confiée aux gendarmes du groupement du Val-d’Oise et de la Section de recherche de Versailles. Selon le site Actu 17, le mis en cause serait connu des services de police et, à l’origine du périple, aurait grillé un feu rouge. L’enquête devra déterminer si le mis en cause avait consommé de l’alcool ou des produits stupéfiants, ce qui n’a pas été précisé ce vendredi soir.
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De très bons tireurs, nos policiers et gendarmes !
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De très bons tireurs, nos policiers et gendarmes !
Compte supprimé Ejainiste- Sage
- Messages : 3041
Date d'inscription : 04/09/2020
Localisation : DentonQ
Re: Nouvel équipement pour la police
Ces débiles de gauchistes sont manipulés par la pref pour former les keufs à foncer dans le taf et mutiler le peuple. Lorsque ce dernier en aura marre, il se peux que les CRS restent pas à la maison.
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Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Nouvel équipement pour la police
Il a peut-être consommé du Coran...Ejainiste a écrit:L’enquête devra déterminer si le mis en cause avait consommé de l’alcool ou des produits stupéfiants, ce qui n’a pas été précisé ce vendredi soir.
Jeannot Lapin- Sage
- Messages : 9228
Date d'inscription : 31/07/2021
Re: Nouvel équipement pour la police
Près de 10.000 militaires et policiers ont été déployés samedi dès l'aube autour de Soyapango, à la périphérie de San Salvador, dans le cadre de la guerre contre les gangs lancée en mars par le président salvadorien Nayib Bukele.
"A partir de maintenant, la commune de Soyapango est totalement encerclée. 8.500 soldats et 1.500 agents ont cerné la ville" de 242.000 habitants, située à l'est de la capitale, a écrit le président Bukele sur son compte Twitter.
Le président avait annoncé le 23 novembre que des villes seraient encerclées afin que les militaires puissent fouiller les domiciles un par un et procéder à l'arrestation de membres de gangs. Soyapango est la première ville où cette procédure est appliquée.
Les soldats et les policiers étaient stationnés dès l'aube dans toutes les rues d'accès à la ville, en interdisant à quiconque d'entrer ou de sortir sans être contrôlé. Les forces de l'ordre sont chargées d'arrêter un par un, "tous les membres de gangs qui se trouveraient encore là", a déclaré le président Bukele.
Quelques heures après le début de l'opération, le ministre salvadorien de la Justice et la Sécurité, Gustavo Villatoro, a annoncé que "douze membres des gangs ont déjà pu être arrêtés, tous avec des antécédents judiciaires".
Des véhicules militaires et de police parcouraient les rues, tandis que des drones survolaient la zone à la recherche de membres des gangs. Quarante "points de contrôle" ont été mis en place dans la commune de Soyapango, a précisé le ministre salvadorien de la Défense, René Merino.
"Ca nous a surpris, ils nous demandent nos papiers d'identité afin de vérifier notre domicile, mais ça va, c'est pour notre sécurité", a déclaré à l'AFP une habitante, Guadalupe Perez, 53 ans.
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Faudra t-il un jour procéder à l'encerclement de Marseille
"A partir de maintenant, la commune de Soyapango est totalement encerclée. 8.500 soldats et 1.500 agents ont cerné la ville" de 242.000 habitants, située à l'est de la capitale, a écrit le président Bukele sur son compte Twitter.
Le président avait annoncé le 23 novembre que des villes seraient encerclées afin que les militaires puissent fouiller les domiciles un par un et procéder à l'arrestation de membres de gangs. Soyapango est la première ville où cette procédure est appliquée.
Les soldats et les policiers étaient stationnés dès l'aube dans toutes les rues d'accès à la ville, en interdisant à quiconque d'entrer ou de sortir sans être contrôlé. Les forces de l'ordre sont chargées d'arrêter un par un, "tous les membres de gangs qui se trouveraient encore là", a déclaré le président Bukele.
Quelques heures après le début de l'opération, le ministre salvadorien de la Justice et la Sécurité, Gustavo Villatoro, a annoncé que "douze membres des gangs ont déjà pu être arrêtés, tous avec des antécédents judiciaires".
Des véhicules militaires et de police parcouraient les rues, tandis que des drones survolaient la zone à la recherche de membres des gangs. Quarante "points de contrôle" ont été mis en place dans la commune de Soyapango, a précisé le ministre salvadorien de la Défense, René Merino.
"Ca nous a surpris, ils nous demandent nos papiers d'identité afin de vérifier notre domicile, mais ça va, c'est pour notre sécurité", a déclaré à l'AFP une habitante, Guadalupe Perez, 53 ans.
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Faudra t-il un jour procéder à l'encerclement de Marseille
Compte supprimé Ejainiste- Sage
- Messages : 3041
Date d'inscription : 04/09/2020
Localisation : DentonQ
Re: Nouvel équipement pour la police
... La modernité nous fait retourner aux méthodes du moyen-âge, des états de sièges dignes des prises de châteaux forts ;-)
Edouard de Montmonrency- Vénérable
- Messages : 20681
Date d'inscription : 02/01/2022
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