Nazisme et communisme, même poubelle ?
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michou
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Jean-Louis de Toqueville
Ferdinand de Talmont
Plaristes Evariste
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Nazisme et communisme, même poubelle ?
Erm
Prince ne mettez pas communisme et nazisme sur le même plan.
Faudra vous mettre en tête qu'à l'heure du télétravail et de l'industrie le corporatisme est dépassé on est la seule vrai alternative au libéralisme.
Pour le reste je suis d'acc la naïveté de Lapinou vis à vis de la perfidie de sa classe.
https://www.weforum.org/agenda/2022/09/my-carbon-an-approach-for-inclusive-and-sustainable-cities/
Prince ne mettez pas communisme et nazisme sur le même plan.
Faudra vous mettre en tête qu'à l'heure du télétravail et de l'industrie le corporatisme est dépassé on est la seule vrai alternative au libéralisme.
Pour le reste je suis d'acc la naïveté de Lapinou vis à vis de la perfidie de sa classe.
Rien de débile dans toutes ces mesures. Le béaba du dressage des masses, c'est de faire obéir à des ordres de plus en plus absurdes. Si vous étudiez le sujet vous verrez que tout ceci est ingénieux, et qu'on peut arriver à faire faire n'importe quoi à des individus suffisamment faibles et conditionnés (voir les expériences de Milgram).
https://www.weforum.org/agenda/2022/09/my-carbon-an-approach-for-inclusive-and-sustainable-cities/
1. COVID-19 was the test of social responsibility – A huge number of unimaginable restrictions for public health were adopted by billions of citizens across the world. There were numerous examples globally of maintaining social distancing, wearing masks, mass vaccinations and acceptance of contact-tracing applications for public health, which demonstrated the core of individual social responsibility.
Plaristes Evariste- Vénérable
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Re: Nazisme et communisme, même poubelle ?
Plaristes Evariste a écrit:
Prince ne mettez pas communisme et nazisme sur le même plan.
Bon si vous voulez, mais dans la même poubelle alors.
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Ferdinand de Talmont- Vénérable
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Re: Nazisme et communisme, même poubelle ?
C'est ça pourrissez dans la monde qu'à bâtit Turgot !
Le premier à avoir dénoncé le populicide Vendéen c'est Gracchus Babeuf un proto-communiste !
Vous choisissez mal vos ennemis.
Ha mon avis vous ne savait pas ce qu'est le socialisme. Vous gobez tous les mensonges bourgeois.
Le premier à avoir dénoncé le populicide Vendéen c'est Gracchus Babeuf un proto-communiste !
Vous choisissez mal vos ennemis.
Ha mon avis vous ne savait pas ce qu'est le socialisme. Vous gobez tous les mensonges bourgeois.
Plaristes Evariste- Vénérable
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Re: Nazisme et communisme, même poubelle ?
Franchement les bourgeois et libéraux ont menti sur l'ancien régime, pourquoi ne mentiraient-ils pas sur notre compte?
Est-il impossible que certains des vôtres ont été assez con pour gober les mensonges de la bourgeoisie libérale ripoublicaine?
Moi à votre place je me poserai la question mon bon prince.
Est-il impossible que certains des vôtres ont été assez con pour gober les mensonges de la bourgeoisie libérale ripoublicaine?
Moi à votre place je me poserai la question mon bon prince.
Plaristes Evariste- Vénérable
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Re: Nazisme et communisme, même poubelle ?
Plaristes Evariste a écrit:
Le premier à avoir dénoncé le populicide Vendéen c'est Gracchus Babeuf un proto-communiste !
Et si ça avait été Marc Dutroux, je n'en serais pas moins un adversaire de la pédophilie.
Votre manière de raisonner manque de rigueur intellectuelle.
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Ferdinand de Talmont- Vénérable
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Re: Nazisme et communisme, même poubelle ?
Plaristes Evariste a écrit:
Ha mon avis vous ne savait pas ce qu'est le socialisme. Vous gobez tous les mensonges bourgeois.
C'est une utopie aussi désuète que vos expressions soixante-huitardes, non ?
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Ferdinand de Talmont- Vénérable
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Re: Nazisme et communisme, même poubelle ?
Plaristes Evariste a écrit:Franchement les bourgeois et libéraux ont menti sur l'ancien régime, pourquoi ne mentiraient-ils pas sur notre compte?
Est-il impossible que certains des vôtres ont été assez con pour gober les mensonges de la bourgeoisie libérale ripoublicaine?
Moi à votre place je me poserai la question mon bon prince.
Pas besoin des bourgeois pour connaître le communisme, ses millions de morts font toute sa notoriété.
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Ferdinand de Talmont- Vénérable
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Date d'inscription : 06/02/2010
Re: Nazisme et communisme, même poubelle ?
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Pour l'UE, c'est ni l'un ni l'autre. Et il est parfois bon de rappeler ce que furent les horreurs nazies et communistes, que l'on peut, sur ce registre morbide, mettre sur le même plan, sauf pour le nombre de victimes (4 fois plus pour le communisme par rapport au nazisme).
E. considérant que si les crimes du régime nazi ont été jugés et punis lors du procès de Nuremberg, il reste urgent de sensibiliser l’opinion publique, de dresser un bilan moral de cette période et de mener des enquêtes judiciaires sur les crimes du stalinisme et d’autres dictatures;
F. considérant que, dans certains États membres, la loi interdit les idéologies communiste ou nazie;
I. considérant que la commémoration des victimes des régimes totalitaires, la reconnaissance et la prise de conscience des séquelles, communes à toute l’Europe, laissées par les crimes commis par les dictatures communistes, nazie et autres revêtent une importance cruciale pour maintenir l’unité de l’Europe et de ses peuples et construire une Europe à même de résister aux menaces extérieures contemporaines;
.1 rappelle que, comme en dispose l’article 2 du traité sur l’Union européenne, l’Union est fondée sur les valeurs de respect de la dignité humaine, de liberté, de démocratie, d’égalité, de l’état de droit, ainsi que de respect des droits de l’homme, y compris des droits des personnes appartenant à des minorités; que ces valeurs sont communes à tous les États membres;
3. rappelle que les régimes communistes et nazi sont responsables de massacres, de génocide, de déportations, de pertes en vies humaines et de privations de liberté d’une ampleur sans précédent dans l’histoire de l’humanité, qui auront à jamais marqué le XXe siècle
5. demande à tous les États membres de l’Union de procéder à une évaluation claire et fondée sur les principes en ce qui concerne les crimes et actes d’agression commis par les régimes communistes totalitaires et le régime nazi;
15. maintient que la Russie reste la plus grande victime du totalitarisme communiste et que sa transformation en un État démocratique sera entravée aussi longtemps que le gouvernement, l’élite politique et la propagande politique continueront de blanchir les crimes communistes et de glorifier le régime totalitaire soviétique; invite par conséquent la société russe à accepter son passé tragique;
16. s’inquiète vivement des efforts déployés par les dirigeants de la Russie d’aujourd’hui pour déformer les faits historiques et blanchir les crimes commis par le régime totalitaire soviétique
18. constate que le maintien, dans les espaces publics (parcs, places, rues, etc.) de certains États membres, de monuments et de mémoriaux glorifiant les régimes totalitaires ouvre la voie à la dénaturation des faits historiques relatifs aux conséquences de la Seconde Guerre mondiale ainsi qu’à la propagation d’un système politique totalitaire;
https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/TA-9-2019-0021_FR.html
https://histoire-image.org/etudes/menace-communiste-france-entre-deux-guerres
https://lequintrec.nathan.fr/lequintrecterm-2020/assets/chapitre-2-tous-les-textes-en-version-dys/preview
.
Pour l'UE, c'est ni l'un ni l'autre. Et il est parfois bon de rappeler ce que furent les horreurs nazies et communistes, que l'on peut, sur ce registre morbide, mettre sur le même plan, sauf pour le nombre de victimes (4 fois plus pour le communisme par rapport au nazisme).
E. considérant que si les crimes du régime nazi ont été jugés et punis lors du procès de Nuremberg, il reste urgent de sensibiliser l’opinion publique, de dresser un bilan moral de cette période et de mener des enquêtes judiciaires sur les crimes du stalinisme et d’autres dictatures;
F. considérant que, dans certains États membres, la loi interdit les idéologies communiste ou nazie;
I. considérant que la commémoration des victimes des régimes totalitaires, la reconnaissance et la prise de conscience des séquelles, communes à toute l’Europe, laissées par les crimes commis par les dictatures communistes, nazie et autres revêtent une importance cruciale pour maintenir l’unité de l’Europe et de ses peuples et construire une Europe à même de résister aux menaces extérieures contemporaines;
.1 rappelle que, comme en dispose l’article 2 du traité sur l’Union européenne, l’Union est fondée sur les valeurs de respect de la dignité humaine, de liberté, de démocratie, d’égalité, de l’état de droit, ainsi que de respect des droits de l’homme, y compris des droits des personnes appartenant à des minorités; que ces valeurs sont communes à tous les États membres;
3. rappelle que les régimes communistes et nazi sont responsables de massacres, de génocide, de déportations, de pertes en vies humaines et de privations de liberté d’une ampleur sans précédent dans l’histoire de l’humanité, qui auront à jamais marqué le XXe siècle
5. demande à tous les États membres de l’Union de procéder à une évaluation claire et fondée sur les principes en ce qui concerne les crimes et actes d’agression commis par les régimes communistes totalitaires et le régime nazi;
15. maintient que la Russie reste la plus grande victime du totalitarisme communiste et que sa transformation en un État démocratique sera entravée aussi longtemps que le gouvernement, l’élite politique et la propagande politique continueront de blanchir les crimes communistes et de glorifier le régime totalitaire soviétique; invite par conséquent la société russe à accepter son passé tragique;
16. s’inquiète vivement des efforts déployés par les dirigeants de la Russie d’aujourd’hui pour déformer les faits historiques et blanchir les crimes commis par le régime totalitaire soviétique
18. constate que le maintien, dans les espaces publics (parcs, places, rues, etc.) de certains États membres, de monuments et de mémoriaux glorifiant les régimes totalitaires ouvre la voie à la dénaturation des faits historiques relatifs aux conséquences de la Seconde Guerre mondiale ainsi qu’à la propagation d’un système politique totalitaire;
https://www.europarl.europa.eu/doceo/document/TA-9-2019-0021_FR.html
https://histoire-image.org/etudes/menace-communiste-france-entre-deux-guerres
https://lequintrec.nathan.fr/lequintrecterm-2020/assets/chapitre-2-tous-les-textes-en-version-dys/preview
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Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
- Messages : 11689
Date d'inscription : 03/12/2021
Re: Nazisme et communisme, même poubelle ?
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Pour une majorité de nos concitoyens, le capitalisme et l'organisation libérale du fonctionnement de notre économie sont bons pour l'économie, donc bon pour le pays et pour les citoyens. Seule cette organisation est le gage d'un progrès social constant dans le temps et dans l'espace. Le système génère certes des profiteurs, des fortunes qui se créent. Et alors, tant mieux pour eux, ne versons pas dans la jalousie sociale des staliniens, des demeurés, des feignasses et des incapables ! Ces patrons investiront leurs profits, ils ne pourront pas les faire disparaître. Et il y aura toujours du ruissellement, même si le débit reste parfois faible...
Vouloir opposer au capital le concept éculé qu'est le marxisme dans le fonctionnement normal et libéral de l'économie est complètement hors sujet, parce qu'en aucun cas une organisation marxiste ne peut être plus efficiente que le libéralisme régulé.
Le marxisme et le gauchisme, mais aussi les partis de gauche radicale ont été exclus du pouvoir par le peuple. Et même lorsque ladite gauche était au pouvoir, elle n'a jamais gêné le capital, la preuve, la bourse ne s'est jamais mieux comportée qu'à cette période. Et les plus grands privatiseurs furent les élus de gauche, l'ex-trotskard Jospin en tête !
Tous ces faits, récurrents, nombreux et de même sens montrent que le marxisme post-soviétique n'a jamais pu contrarier le libéralisme, comme le montrent les immenses progrès qu'ont fait la finance, la croissance des profits, la généralisation à tous les pays développés de la planète du système libéral.
Le pire pour les bolchos est que le libéralisme réussit la prouesse de faire élire démocratiquement des élus et groupes politiques favorables à ses intérêts, en dépit des fortes et nombreuses règles que met en place l'État régulateur pour faire semblant de le museler.
Quand on connaît le niveau du revenu moyen par tête en France, il faut admettre que des millions de gens modestes ou pauvres votent pour le capital ou ses différentes représentations, alors que ce n'est pas du tout leur intérêt. Les marxistes sont donc très mauvais pour ne pas avoir contribué à expliquer aux masses que le système libéral ne leur profite pas à eux, mais à quelques milliers de privilégiés, voire d'ultra-privilégiés. Ce sont de minables communicants, de petits politicards sans envergure, de benêts ignares et incapables de convaincre, des vendus au capital pour certains. Les marxistes sont des nouilles !
Pour tous ces motifs, le capitalisme est pérenne, voire éternel. Personne en effet à ce jour n'a pu imaginer, même conceptuellement, une alternative ou un substitut crédible au fonctionnement libéral de nos sociétés.
Le capitalisme a définitivement terrassé le collectivisme, par ce qu'il apporté aux sociétés modernes et à leurs peuples prospérité générale, élévation du niveau de vie, réduction des pauvretés. Les institutions et mégastructures nationales et internationales de tous ordres qu'il a contribué à mettre en place scellent définitivement son modèle sur cette planète.
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Pour une majorité de nos concitoyens, le capitalisme et l'organisation libérale du fonctionnement de notre économie sont bons pour l'économie, donc bon pour le pays et pour les citoyens. Seule cette organisation est le gage d'un progrès social constant dans le temps et dans l'espace. Le système génère certes des profiteurs, des fortunes qui se créent. Et alors, tant mieux pour eux, ne versons pas dans la jalousie sociale des staliniens, des demeurés, des feignasses et des incapables ! Ces patrons investiront leurs profits, ils ne pourront pas les faire disparaître. Et il y aura toujours du ruissellement, même si le débit reste parfois faible...
Vouloir opposer au capital le concept éculé qu'est le marxisme dans le fonctionnement normal et libéral de l'économie est complètement hors sujet, parce qu'en aucun cas une organisation marxiste ne peut être plus efficiente que le libéralisme régulé.
Le marxisme et le gauchisme, mais aussi les partis de gauche radicale ont été exclus du pouvoir par le peuple. Et même lorsque ladite gauche était au pouvoir, elle n'a jamais gêné le capital, la preuve, la bourse ne s'est jamais mieux comportée qu'à cette période. Et les plus grands privatiseurs furent les élus de gauche, l'ex-trotskard Jospin en tête !
Tous ces faits, récurrents, nombreux et de même sens montrent que le marxisme post-soviétique n'a jamais pu contrarier le libéralisme, comme le montrent les immenses progrès qu'ont fait la finance, la croissance des profits, la généralisation à tous les pays développés de la planète du système libéral.
Le pire pour les bolchos est que le libéralisme réussit la prouesse de faire élire démocratiquement des élus et groupes politiques favorables à ses intérêts, en dépit des fortes et nombreuses règles que met en place l'État régulateur pour faire semblant de le museler.
Quand on connaît le niveau du revenu moyen par tête en France, il faut admettre que des millions de gens modestes ou pauvres votent pour le capital ou ses différentes représentations, alors que ce n'est pas du tout leur intérêt. Les marxistes sont donc très mauvais pour ne pas avoir contribué à expliquer aux masses que le système libéral ne leur profite pas à eux, mais à quelques milliers de privilégiés, voire d'ultra-privilégiés. Ce sont de minables communicants, de petits politicards sans envergure, de benêts ignares et incapables de convaincre, des vendus au capital pour certains. Les marxistes sont des nouilles !
Pour tous ces motifs, le capitalisme est pérenne, voire éternel. Personne en effet à ce jour n'a pu imaginer, même conceptuellement, une alternative ou un substitut crédible au fonctionnement libéral de nos sociétés.
Le capitalisme a définitivement terrassé le collectivisme, par ce qu'il apporté aux sociétés modernes et à leurs peuples prospérité générale, élévation du niveau de vie, réduction des pauvretés. Les institutions et mégastructures nationales et internationales de tous ordres qu'il a contribué à mettre en place scellent définitivement son modèle sur cette planète.
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Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
- Messages : 11689
Date d'inscription : 03/12/2021
Re: Nazisme et communisme, même poubelle ?
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Plariste, tu dors ???
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Plariste, tu dors ???
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Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
- Messages : 11689
Date d'inscription : 03/12/2021
Re: Nazisme et communisme, même poubelle ?
Ferdinand de Talmont a écrit:Plaristes Evariste a écrit:
Ha mon avis vous ne savait pas ce qu'est le socialisme. Vous gobez tous les mensonges bourgeois.
C'est une utopie aussi désuète que vos expressions soixante-huitardes, non ?
Non.
Basiquement le corporatisme n'a plus sa place dans notre monde, et pour des raison très longue a expliquer en à peine 2 ans on serait de retour au capitalisme.
Et vous le savez très bien Prince, le capitalisme est ce qui convient le mieux aux sataniques. Qu'ils soient libéraux ou nazis/fascistes.
Thomas Sankara, dirigeant Marxiste Léniniste, est considéré comme un saint en Afrique. C'est une dirigeant marxiste aussi saint que Lénine mais les média occidentaux n'en parle jamais. Car il fait tâche dans la propagande bourgeoise.
C'était un homme complètement honnête et intègre, sa maison il l'avait payé intégralement, pas une seule dette.
Il roulait en peugot et touchait un salaire très modeste.
https://youtu.be/s1E3ffh2_5Y
(Dans la dernière vidéo j'adore le moment où il fait dire à bas à son peuple, et ça inclut l'anarcho syndicalisme.)
Il était très dévoué à son pays et l'a sorti de la famine (donc les blague sur le communisme = famine gardez-les). Parce-que grâce au miracle capitaliste de Turgot & co dans un pays fait de 86% de paysans on crevait de faim. (les miracles économique du capitalisme.)
Il a été assassiné par son meilleur amis acheté par la CIA et service secrets Français sous Mitterand. C'est basiquement jésus trahï par Judas.
L'URSS a fait aussi des miracles, passé de puissance arriéré à rival des U.S.A en 15 piges.
Compte tenu du faîte que selon nos théories l'URSS était un paystrop arriéré pour que le socialisme réussisse là-bas, l'expérience est globalement très positive malgré son inéluctable échec du à la trahison des apparatchiks et de sa classe politique qui a vendu son peuple et pays à la découpes aux satanistes et adorateur du veau d'or en occident.
Les évènement sous Staline sont très al compris et déformé par la propagande occidentale, qui ne différentie par la Iejovchina (Folie de Iejov) aux véritables purges et procès de moscou.
Dont Iejov était à la barre des accusé justement pour avoir comploté contre Staline et avoir gâché la vie de milliers d'innocents en les exécutant ou envoyant au Goulag dans l’espoir de créer un soulèvement contre Staline.
Beacoup de genres ont été libéré du Goulag par Staline et réintégré au aprti après ces purges.
Ceci dit il y a eu des oublis des gens qui n'avaient rien fait et qu'on a laissé moisir car on avait tout simplement oublié qu'ils existaient.
L'holodomor tel que raconté par l'occident est aussi un mythe.
Concernant le nazisme et le fascisme, si vous avez lu mes écrits vous seriez vite rendu compte que ce sont des outils du capital en crise.
Ils sont pour nosu des ennemis mortels, le pacte de non agression avec l'allemagne nazie a pris tout le monde ou presque au dépourvu.
Surtout que l'Allemagne nazie et l'URSS s'étaient envoyées pendnat 5 piges des seaux de merde à la gueule.
En Russie Staline est considéré comme un saint par l’église Orthodoxe.
A votre place je me poserai des question, parce-que François a serré la main de nazbrocks ukrasseux.
Donc l'églsie Orthodoxe est certainement la bonne et a certainement Raison.
Vous devriez vous entretenir avec Seirgei Kurginyan, une communiste Russe, mais aussi un chrétien orthodoxe très pieux très très pieux.
Le leader du mouvement Essence of Time, le politologue Sergei Kurginyan examine l'histoire humaine et la situation politique actuelle du point de vue du rapport du possible et de l'impossible, du pragmatisme et des rêves, des tendances et du destin.
Prenant l'exemple de différents états, il montre comment le passage de l'effort à l'impossible, qui permettait de faire des miracles et d'obtenir des résultats fantastiques, à l'existence selon le principe « nous avons ce que nous avons » conduit finalement à la dégradation et la mort des pays.
L'analyste note que c'est l'histoire du peuple israélien, qui, après des millénaires d'apatridie, a réussi à créer un État dans des conditions difficiles et dans un environnement hostile. Mais après quelques décennies, il est passé de la mobilisation générale au consumérisme général, bien que l'hostilité de l'entourage n'ait pas diminué le moins du monde - et maintenant Israël se dirige progressivement vers le déclin.
De même, aux États-Unis, les tendances à la « bidenisation » ne promettent qu'une dégradation complète du pays. Mais en Russie aussi, les autorités ne font rien pour arracher leur peuple au sommeil du consommateur. Si - malgré tous les succès apparents du "possible" en politique étrangère - les tendances actuelles de la politique intérieure se poursuivent, le pays ne durera pas plus de dix ans.
De même, en Arménie, les personnes qui ont commis plusieurs erreurs catastrophiques, tombées entre les griffes du consortium azerbaïdjano-turc-britannique et frôlent l'inexistence, ne montrent aucun désir de vivre et de se battre pour leur vie.
Le politologue souligne qu'au début de 1917, Lénine était le seul à comprendre ce qui se passait en Russie, et grâce à cela il a pu parfaitement utiliser « l'art du possible ». Et en même temps, il a fait quelque chose qui dépasse de loin les limites du possible. Est-ce parce qu'il a pu regarder au-delà de l'horizon du possible - et comprendre quelque chose dans l'impossible ? Et n'était-ce pas parce que la Russie lui a répondu sérieusement et l'a soutenu parce qu'il a appelé à l'« impossible » ? Après tout, les bolcheviks ont combiné un rêve social avec un rêve anthropologique et un rêve cosmique - tout en restant pragmatiques. Mais le pragmatisme nu, pour toute son importance, le peuple russe, debout au bord de l'effondrement complet du pays et de l'oubli, n'aurait jamais répondu.
Kurginyan divise trois niveaux de problèmes et de défis auxquels l'humanité est confrontée : les questions de stratégie, les questions de rêves et les questions de destin. Seule leur union permet à l'humanité de survivre et de se développer.
Selon le politologue, les gens sont maintenant à la croisée des chemins.
Le premier - bio - implique le retour de l'homme à la nature : il mange sainement et vit comme il est préparé.
La deuxième voie - le transhumanisme - conduit à la connexion littérale de l'homme avec la technologie.
La troisième voie - la voie communiste - repose sur les capacités de réserve d'une personne. Dans le même temps, les deux premiers moyens détruiront complètement une personne, souligne Kurginyan.
Il rappelle que c'est l'école de Francfort avec sa théorie critique qui a perverti et détruit le marxisme. Non sans l'implication de la CIA. Le résultat de ceci est qu'en Occident toutes les idées postmodernes criminelles modernes sont appelées gauchistes et communistes. Mais ces gauchistes, cette racaille postmoderne, ont été délibérément faits pendant des décennies, souligne l'analyste.
Et pour contrer ce gauchisme, il est nécessaire de créer une alliance des forces du communisme spirituel humaniste avec toutes les forces conservatrices non fascistes et même religieusement ultra-conservatrices qui croient en l'Histoire et l'humanisme. Sans adhésion, ils ne se débrouilleront pas seuls, explique le politologue.
Le communisme réel ne peut nier le rôle fantastique du Christ, qui s'est sacrifié pour le salut de l'humanité, et le grand rôle de l'homme dans le christianisme (après tout, pour lui, la plus haute autorité s'est sacrifiée).
Dans le monde d'aujourd'hui, on ne peut résister à la descente de l'humanité en dehors des catégories d'un miracle, qui est « l'impossible, rendu possible », note Kurginyan. Seul le miracle de la transformation donne à l'humanité l'espoir et la capacité de résister au mal.
Lisez au moins le synopsis.
Selon lui le socialisme radical c'est la voie du Paradis sur Terre, et le communisme aboutit le paradis sur terre.
Et ça fait sens.
Dans la théologie orthodoxe la réconciliation avec Dieu passe par un acte de purification.
La révolution socialiste est un purification de l'humanité, l'abandon du veau d'or de son culte et de ses cultistes.
Plaristes Evariste- Vénérable
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Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Nazisme et communisme, même poubelle ?
J'ai un problème : je n'arrive pas à déterminer si les crimes contre l'humanité du régime poutinien peuvent être comptabilisés comme des crimes nazi/fachistes ou des crimes du communisme ?
Poutine est ambivalent : il se comporte comme le dictateur fasciste Hitler, mais, en même temps il regrette l'U.R.S.S. Il est vrai que, pendant deux ans, Hitler et Staline étaient alliés pour le pire. Il dit vouloir combattre les «fascistes ukrainiens», mais un de ses «amis», le terrible Evgueni Prigojine est un fervent admirateur des nazis.
Poutine est ambivalent : il se comporte comme le dictateur fasciste Hitler, mais, en même temps il regrette l'U.R.S.S. Il est vrai que, pendant deux ans, Hitler et Staline étaient alliés pour le pire. Il dit vouloir combattre les «fascistes ukrainiens», mais un de ses «amis», le terrible Evgueni Prigojine est un fervent admirateur des nazis.
gaucho49- Chef
- Messages : 1386
Date d'inscription : 04/10/2020
Re: Nazisme et communisme, même poubelle ?
le communisme, le nazisme pour moi, c'est la même choses le communisme, a commis des crimes (Polpot) pour ne citer que lui digne ,,du nazisme,
je ne méfie des politiques, qui veulent le bonheur du peuple
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Le Livre noir du communisme aurait dû être préfacé par François Furet, disparu en juillet dernier. Il considérait cette somme comme le complément de son best-seller Le Passé d'une illusion, dans lequel il s'interrogeait sur cette passion politique qui a poussé tant d'hommes à commettre tant de massacres avant, bien souvent, d'être broyés par le système qu'ils avaient servi. Peut-être la présence du grand historien aurait-elle évité à cette entreprise inédite de se terminer dans la confusion: au terme de trois ans de travail, l'éditeur a réussi à faire paraître le livre pour ce 80e anniversaire d'octobre 1917, mais ses auteurs, divisés, ne s'adressent plus la parole, anticipant les polémiques qui ne vont pas manquer de surgir. Car c'est à une autre mémoire, celle-ci encore taboue, que s'attaque Le Livre noir, en proposant le premier bilan, à l'échelle mondiale, des crimes commis par les régimes communistes. Comptabilité terrifiante: les diverses tentatives de construction de «l'homme nouveau» ont provoqué, de par le monde, la mort de 65 à 85 millions de personnes.
Sous la direction de Stéphane Courtois, une dizaine d'historiens se sont réparti la tâche selon leurs compétences régionales. La contribution de Nicolas Werth sur l'URSS, qui occupe près du tiers de l'ouvrage, constitue un apport décisif à l'histoire de la répression soviétique. Russophone, bon connaisseur des archives locales et des travaux de la nouvelle génération d'historiens russes, Nicolas Werth a réalisé une synthèse accablante sur des méthodes qui servirent de modèle dans le monde entier. A partir des archives de la période 1917-1921, il montre que l'exercice de la «terreur comme mode de gouvernement» fut conçu bien avant le déclenchement de la guerre civile et n'en fut donc pas une conséquence: l'impulsion criminelle, très précoce, revient à Lénine. Staline ne fit que reprendre l'héritage d'une dictature livrant une guerre à toute la société.
Le bilan soviétique (environ 15 millions de morts) fut largement dépassé par la Chine de Mao. Jean-Louis Margolin estime que la fourchette des victimes oscille entre 45 et 72 millions de morts. Le maoïsme ajoute cette particularité d'avoir voulu «rééduquer une société tout entière». Mais la palme de la folie meurtrière revient aux Khmers rouges, qui ont éliminé, de 1975 à 1979, entre 1,3 et 2,3 millions de personnes sur une popu-lation de 7,5 millions de Cambodgiens. L'addition entreprise par Le Livre noir se poursuit avec l'Europe de l'Est (Karel Bartosek), la Corée du Nord (Pierre Rigoulot), l'Afrique (Yves Santamaria), l'Amérique latine (Pascal Fontaine). Sans oublier le Komintern (Jean-Louis Panné et Stéphane Courtois), structure internationale paramilitaire dirigée par Moscou et qui, au cours de la guerre d'Espagne, assassina quantité de membres des Brigades internationales qui n'étaient pas «dans la ligne».
Les auteurs du Livre noir ne se sont pas divisés sur le problème de la minimisation dont ces crimes continuent de faire l'objet en Occident, et particulièrement en France. «Les crimes du communisme n'ont pas été soumis à une évaluation légitime et normale, tant du point de vue historique que du point de vue moral», précise à juste titre Stéphane Courtois. Les exemples ne manquent pas: ainsi, l'été dernier, un charnier de 9 000 victimes de Staline a été découvert dans une forêt de Carélie. La presse française n'en a soufflé mot. Les historiens ne se sont pas divisés non plus à propos de l'usage que le Front natinal, qui réclame un «Nuremberg du communisme», ne manquerait pas de faire de leurs travaux. Pour la plupart anciens communistes, maoïstes ou trotskistes, les auteurs du Livre noir, qui s'affirment toujours de gauche, s'accordent avec Stéphane Courtois pour «ne pas laisser à une extrême droite de plus en plus présente le privilège de dire la vérité: c'est au nom des valeurs démocratiques, et non des idéaux national-fascistes, que l'on doit analyser et condamner les crimes du communisme».
Le crime contre l'humanité
Leur conflit est plus profond. Et plus intéressant. Il porte sur l'interprétation de la notion de «crimes». S'agit-il de «crimes communistes» ou de «crimes du communisme»? Peut-on parler de «crimes contre l'humanité»? La rédaction initiale, par Stéphane Courtois, de l'introduction et de la conclusion a provoqué la colère de Werth, de Margolin et de Bartosek, rédacteurs des chapitres essentiels. Le conflit a été violent: rétention de manuscrits, échanges d'avocats, sommations d'huissiers, menaces de procès...
Stéphane Courtois a beaucoup modifié ses textes, mais le contenu de l'ouvrage reflète encore ces polémiques. Des textes purement historiques, avec tous les scrupules scientifiques d'usage (celui de Nicolas Werth sur l'URSS en offre un modèle), côtoient des analyses critiques ou qui plaident même pour la pénalisation des crimes évoqués. Dans un texte qui n'est plus une conclusion - «Pourquoi?» - Stéphane Courtois s'interroge sur le mystère qui a entraîné des militants engagés dans une «logique de combat politique vers une logique d'exclusion, puis vers une logique éliminationniste et, enfin, exterminationniste de tous les éléments impurs. Au bout de cette logique, il y a le crime contre l'humanité». Tous les termes du débat sont ainsi résumés. Les crimes en cause, massifs, figurent parmi les sommets de l'horreur de ce siècle, mais peut-on dire pour autant que le «crime de masse» constitue le dénominateur commun, voire l'essence, du communisme? L'absence de liberté et la répression quotidienne semblent être des critères du communisme plus universels que le «crime de masse», absent de nombreux Etats.
Quant à l'application de la notion de crime contre l'humanité, la discussion apparaît biaisée par la volonté de faire entrer à tout prix les crimes du communisme dans la définition de Nuremberg. Ils n'ont pas été jugés, et Stéphane Courtois voudrait qu'ils le soient: «La mort de faim d'un enfant de koulak ukrainien délibérément acculé à la famine par le régime stalinien ?vaut? la mort de faim d'un enfant castor du ghetto de Varsovie acculé à la famine par le régime nazi.» Voilà donc l'autre sujet de controverse: la comparaison avec les crimes du nazisme, déjà esquissée par François Furet. «Le remodelage de ces deux sociétés fut envisagé de la même manière, même si les critères d'exclusion n'étaient pas les mêmes», écrit Stéphane Courtois. Cette comparaison est légitime, mais doit être menée avec circonspection. Elle doit consister à rapprocher - parce que les dégâts humains rivalisent dans l'horreur - mais aussi à distinguer. Les projets se présentent différemment: idéologie rationaliste et universaliste, d'un côté; révolution fondée sur l'exaltation de l'instinct et de la race au profit d'un seul peuple, de l'autre. Mais il ne fait pas de doute que les cas d'élimination, en URSS, de certaines couches sociales (y compris femmes et enfants) en tant que classe héréditaire ne le cèdent en rien aux crimes nazis. De même, il semble légitime de parler de «génocide» à propos des Khmers rouges.
Entre les deux totalitarismes
Cependant, cette volonté d'équivalence sémantique n'est-elle pas historiquement réductrice? Car, si l'on peut discuter sans fin sur la comparaison entre nazisme et communisme et sur l'ampleur respective des malheurs qu'ils ont provoqués (25 millions
je ne méfie des politiques, qui veulent le bonheur du peuple
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Le Livre noir du communisme aurait dû être préfacé par François Furet, disparu en juillet dernier. Il considérait cette somme comme le complément de son best-seller Le Passé d'une illusion, dans lequel il s'interrogeait sur cette passion politique qui a poussé tant d'hommes à commettre tant de massacres avant, bien souvent, d'être broyés par le système qu'ils avaient servi. Peut-être la présence du grand historien aurait-elle évité à cette entreprise inédite de se terminer dans la confusion: au terme de trois ans de travail, l'éditeur a réussi à faire paraître le livre pour ce 80e anniversaire d'octobre 1917, mais ses auteurs, divisés, ne s'adressent plus la parole, anticipant les polémiques qui ne vont pas manquer de surgir. Car c'est à une autre mémoire, celle-ci encore taboue, que s'attaque Le Livre noir, en proposant le premier bilan, à l'échelle mondiale, des crimes commis par les régimes communistes. Comptabilité terrifiante: les diverses tentatives de construction de «l'homme nouveau» ont provoqué, de par le monde, la mort de 65 à 85 millions de personnes.
Sous la direction de Stéphane Courtois, une dizaine d'historiens se sont réparti la tâche selon leurs compétences régionales. La contribution de Nicolas Werth sur l'URSS, qui occupe près du tiers de l'ouvrage, constitue un apport décisif à l'histoire de la répression soviétique. Russophone, bon connaisseur des archives locales et des travaux de la nouvelle génération d'historiens russes, Nicolas Werth a réalisé une synthèse accablante sur des méthodes qui servirent de modèle dans le monde entier. A partir des archives de la période 1917-1921, il montre que l'exercice de la «terreur comme mode de gouvernement» fut conçu bien avant le déclenchement de la guerre civile et n'en fut donc pas une conséquence: l'impulsion criminelle, très précoce, revient à Lénine. Staline ne fit que reprendre l'héritage d'une dictature livrant une guerre à toute la société.
Le bilan soviétique (environ 15 millions de morts) fut largement dépassé par la Chine de Mao. Jean-Louis Margolin estime que la fourchette des victimes oscille entre 45 et 72 millions de morts. Le maoïsme ajoute cette particularité d'avoir voulu «rééduquer une société tout entière». Mais la palme de la folie meurtrière revient aux Khmers rouges, qui ont éliminé, de 1975 à 1979, entre 1,3 et 2,3 millions de personnes sur une popu-lation de 7,5 millions de Cambodgiens. L'addition entreprise par Le Livre noir se poursuit avec l'Europe de l'Est (Karel Bartosek), la Corée du Nord (Pierre Rigoulot), l'Afrique (Yves Santamaria), l'Amérique latine (Pascal Fontaine). Sans oublier le Komintern (Jean-Louis Panné et Stéphane Courtois), structure internationale paramilitaire dirigée par Moscou et qui, au cours de la guerre d'Espagne, assassina quantité de membres des Brigades internationales qui n'étaient pas «dans la ligne».
Les auteurs du Livre noir ne se sont pas divisés sur le problème de la minimisation dont ces crimes continuent de faire l'objet en Occident, et particulièrement en France. «Les crimes du communisme n'ont pas été soumis à une évaluation légitime et normale, tant du point de vue historique que du point de vue moral», précise à juste titre Stéphane Courtois. Les exemples ne manquent pas: ainsi, l'été dernier, un charnier de 9 000 victimes de Staline a été découvert dans une forêt de Carélie. La presse française n'en a soufflé mot. Les historiens ne se sont pas divisés non plus à propos de l'usage que le Front natinal, qui réclame un «Nuremberg du communisme», ne manquerait pas de faire de leurs travaux. Pour la plupart anciens communistes, maoïstes ou trotskistes, les auteurs du Livre noir, qui s'affirment toujours de gauche, s'accordent avec Stéphane Courtois pour «ne pas laisser à une extrême droite de plus en plus présente le privilège de dire la vérité: c'est au nom des valeurs démocratiques, et non des idéaux national-fascistes, que l'on doit analyser et condamner les crimes du communisme».
Le crime contre l'humanité
Leur conflit est plus profond. Et plus intéressant. Il porte sur l'interprétation de la notion de «crimes». S'agit-il de «crimes communistes» ou de «crimes du communisme»? Peut-on parler de «crimes contre l'humanité»? La rédaction initiale, par Stéphane Courtois, de l'introduction et de la conclusion a provoqué la colère de Werth, de Margolin et de Bartosek, rédacteurs des chapitres essentiels. Le conflit a été violent: rétention de manuscrits, échanges d'avocats, sommations d'huissiers, menaces de procès...
Stéphane Courtois a beaucoup modifié ses textes, mais le contenu de l'ouvrage reflète encore ces polémiques. Des textes purement historiques, avec tous les scrupules scientifiques d'usage (celui de Nicolas Werth sur l'URSS en offre un modèle), côtoient des analyses critiques ou qui plaident même pour la pénalisation des crimes évoqués. Dans un texte qui n'est plus une conclusion - «Pourquoi?» - Stéphane Courtois s'interroge sur le mystère qui a entraîné des militants engagés dans une «logique de combat politique vers une logique d'exclusion, puis vers une logique éliminationniste et, enfin, exterminationniste de tous les éléments impurs. Au bout de cette logique, il y a le crime contre l'humanité». Tous les termes du débat sont ainsi résumés. Les crimes en cause, massifs, figurent parmi les sommets de l'horreur de ce siècle, mais peut-on dire pour autant que le «crime de masse» constitue le dénominateur commun, voire l'essence, du communisme? L'absence de liberté et la répression quotidienne semblent être des critères du communisme plus universels que le «crime de masse», absent de nombreux Etats.
Quant à l'application de la notion de crime contre l'humanité, la discussion apparaît biaisée par la volonté de faire entrer à tout prix les crimes du communisme dans la définition de Nuremberg. Ils n'ont pas été jugés, et Stéphane Courtois voudrait qu'ils le soient: «La mort de faim d'un enfant de koulak ukrainien délibérément acculé à la famine par le régime stalinien ?vaut? la mort de faim d'un enfant castor du ghetto de Varsovie acculé à la famine par le régime nazi.» Voilà donc l'autre sujet de controverse: la comparaison avec les crimes du nazisme, déjà esquissée par François Furet. «Le remodelage de ces deux sociétés fut envisagé de la même manière, même si les critères d'exclusion n'étaient pas les mêmes», écrit Stéphane Courtois. Cette comparaison est légitime, mais doit être menée avec circonspection. Elle doit consister à rapprocher - parce que les dégâts humains rivalisent dans l'horreur - mais aussi à distinguer. Les projets se présentent différemment: idéologie rationaliste et universaliste, d'un côté; révolution fondée sur l'exaltation de l'instinct et de la race au profit d'un seul peuple, de l'autre. Mais il ne fait pas de doute que les cas d'élimination, en URSS, de certaines couches sociales (y compris femmes et enfants) en tant que classe héréditaire ne le cèdent en rien aux crimes nazis. De même, il semble légitime de parler de «génocide» à propos des Khmers rouges.
Entre les deux totalitarismes
Cependant, cette volonté d'équivalence sémantique n'est-elle pas historiquement réductrice? Car, si l'on peut discuter sans fin sur la comparaison entre nazisme et communisme et sur l'ampleur respective des malheurs qu'ils ont provoqués (25 millions
michou- Sage
- Messages : 3023
Date d'inscription : 16/09/2022
Re: Nazisme et communisme, même poubelle ?
le communisme, le nazisme pour moi, c'est la même choses le communisme, a commis des crimes (Polpot) pour ne citer que lui digne ,,du nazisme,
Polpot n'était pas communiste.
C'était un débile gauchiste anarcho-maoïste soutennu par l'OTAN contre les vietcongs.
Ce sont d ailleurs ces dernier qui nous ont débarrassé de ces FILS DE PUTE !
Le livre noire est une escroquerie intellectuelle dénoncé par plusieurs de ces co-auteurs.
Il fait frémir les experts sérieux du soviétisme comme l'immage du moyen-âge crado fait frémir les médiévistes.
A savoir que la CIA sponsorise pleins de guignols soit disant expert en Histoire de la Russie et de l'URSS pour expliquer que les Russes et les coco sont méchants.
Pas chercher la vérité.
Je sais le contrer j'ai des document officiels de la CIA attestant que Staline n'était pas un dictateur.
https://www.cia.gov/readingroom/docs/CIA-RDP80-00810A006000360009-0.pdf
Site officiel de la CIA mes FILS DE fleuriste oui fleuriste.
Et un historien anti-communiste russe ayant plongé son nez dans les archives soviétiques confirme l'existance d’une ébauche d'un programme de réforme démocratique écrit par Staline
Alexandre Pyzhikov, un virulent historie n anticommuniste, a commenté des extraits d'une ébauche d'un programme de parti de 1947 pour promouvoir davantage de démocratie et d'égalitarisme. Ce fascinant plan et jusqu'ici tout à fait inconnu, n'a jamais été publié et n'est évidemment pas encore à la disposition d'autres chercheurs.
Pyzhikov récapitule d'autres sections de ce document non publié comme suit :
« En particulier [l'ébauche] concerne le développement de la démocratisation de l'ordre soviétique. Ce plan identifié en tant qu'essentiel pour le processus universel d'entraîner les travailleurs dans la gestion de l'état, dans la gestion de l'état comme activité quotidienne et sociale sur la base d'un développement régulier du niveau culturel des masses et d'une simplification maximale des fonctions de la gestion d'état. »
« Cette ébauche propose dans la pratique de procéder à l'unification du travail productif avec la participation à la gestion des affaires de l'état, par la transition successive des fonctions [de la gestion d’état] à tous les travailleurs. Elle dissertait également sur l'idée de l'introduction de l'activité législative directe par le peuple, pour lequel ce qui suit était considéré essentiel :
Mettre en application le vote et la prise de décision au suffrage universel sur la majorité des questions les plus importantes de la vie gouvernementale dans les sphères sociales et économiques, aussi bien que dans des questions des conditions de vie et du développement culturel ;
Développer largement l'initiative législative de base, en accordant aux organismes sociaux les droits de soumettre au soviet suprême des propositions sur de nouvelles lois ;
Confirmer le droit des citoyens et des organisations sociales à soumettre directement des propositions au Soviet suprême sur les plus importantes questions de politique interne et internationale. »
Toujours selon Pyzhikov, Zhdanov a rendu compte du travail de la commission de planification au plénum du Comité central de février 1947. Il a proposé de réunir le 19ème congrès du parti à la fin 1947 ou 1948. Il également présenté un plan pour simplifier les convocations des conférences de parti une fois par an, avec "le renouvellement obligatoire" d'au moins un sixième des membres du Comité central. Si ce renouvellement en un "turn over" des membres de C.C. étant appliqué, ceci aurait signifié que les premiers secrétaires et d'autres chefs de parti dans le C.C. auraient été moins inamovibles, permettant à du sang neuf d'irriguer le principal corps du parti, facilitant la critique des chefs du parti (Pyzhikov 96).
Beaucoup des crimes donc on accuse l'URSS sont déformés, réagencé par la propagande. Voir tout simplement faux ou inexistants.
J'ai étudié les dossier je peux le prouver. (Cas par cas SVP.)
Je ne défendrai cependant pas Mao, car 1 je en connais le sujet.
2 il m'a l'air d'un fils de pute, et Staline avait raison de ne pas lui faire confiance.
3 les archives chinoises sont fermés et n'ont jamais été ouvertes. Contrairement au soviétique qui ont été ouverte dans les années 90.
Vous réalisez qu'en faîte l'oligarchie en place ment, elle a commis bien plus de meurtre que les coco n'en ont jamais fait. Collaboré avec le nazisme et l'holocasute.
https://www.c-span.org/video/?162717-1/ibm-holocaust
Edwin balck historien feuj et sionniste.
Et cherche à démoniser toute alternative à son règne.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Nazisme et communisme, même poubelle ?
@Michou Stéphane courtois est une blague pas un historien.
Pour preuve écoutez les co-auteurs du livre noir.
Les chiffres qu'il énonce sont un absurdité démographique !
https://pics.me.me/stalins-magic-theability-to-kill-80m-without-it-decreasing-your-12017533.png
Comment tuer 80 000 000 de gens sans diminuer votre population.
Population à la mort de Lénine en 1924 : 91 000 000
Population à la mort de Staline en 1953 : 107 634 000
Staline est un magicien.
Il a mangé des bébé tout cru et génocider toute Mars qui s'appelait Marx avant, et il réussi à avoir une population.
Allez soyons sérieux avec des chiffres sérieux pas sorti du trou cul, même en comptant les avortements comme des crimes du communisme...
Vous n'y êtes pas.
D’ailleurs Stéphane Courtois est passé à 60 000 000.
L'année prochaine va passer à 40 000 000..
Dans 40 ans on aura le chiffre exact.
Pour preuve écoutez les co-auteurs du livre noir.
Les chiffres qu'il énonce sont un absurdité démographique !
https://pics.me.me/stalins-magic-theability-to-kill-80m-without-it-decreasing-your-12017533.png
Comment tuer 80 000 000 de gens sans diminuer votre population.
Population à la mort de Lénine en 1924 : 91 000 000
Population à la mort de Staline en 1953 : 107 634 000
Staline est un magicien.
Il a mangé des bébé tout cru et génocider toute Mars qui s'appelait Marx avant, et il réussi à avoir une population.
Allez soyons sérieux avec des chiffres sérieux pas sorti du trou cul, même en comptant les avortements comme des crimes du communisme...
Vous n'y êtes pas.
D’ailleurs Stéphane Courtois est passé à 60 000 000.
L'année prochaine va passer à 40 000 000..
Dans 40 ans on aura le chiffre exact.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Nazisme et communisme, même poubelle ?
gaucho49 a écrit:J'ai un problème : je n'arrive pas à déterminer si les crimes contre l'humanité du régime poutinien peuvent être comptabilisés comme des crimes nazi/fachistes ou des crimes du communisme ?
Poutine est ambivalent : il se comporte comme le dictateur fasciste Hitler, mais, en même temps il regrette l'U.R.S.S. Il est vrai que, pendant deux ans, Hitler et Staline étaient alliés pour le pire. Il dit vouloir combattre les «fascistes ukrainiens», mais un de ses «amis», le terrible Evgueni Prigojine est un fervent admirateur des nazis.
mais t'es un macronnard tout le monde se fou de ton avis.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Nazisme et communisme, même poubelle ?
@Prince vous devriez mettre ce sujet dans la section histoire.
Vu que la mauvaise réputation du socialisme radicale est liée surtout à l'historie de l'URSS.
Et l'espagne mais l'Espagne est un cas à part vu que nos petits frères attardés étaient de la partie.
Vu que la mauvaise réputation du socialisme radicale est liée surtout à l'historie de l'URSS.
Et l'espagne mais l'Espagne est un cas à part vu que nos petits frères attardés étaient de la partie.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Nazisme et communisme, même poubelle ?
Mettre communisme est nazisme dans la même poubelle c'est commettre Satan et Jésus christ dans la même poubelle, alors déjà mettre Christ à la poubelle. à côté de Satan en plus.
Votre poubelle va être possédée par le démon.
Votre poubelle va être possédée par le démon.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Nazisme et communisme, même poubelle ?
Plaristes Evariste a écrit:@Prince vous devriez mettre ce sujet dans la section histoire.
Vu que la mauvaise réputation du socialisme radicale est liée surtout à l'historie de l'URSS.
Et l'espagne mais l'Espagne est un cas à part vu que nos petits frères attardés étaient de la partie.
Communisme, c'est la mise en commun des biens (le patrimoine de l'humanité, ou de la nation, etc).
Le problème c'est que ce mot a trop été galvaudé, discrédité et trahit par le passé (bref, il faut inventer un autre mot maintenant pour être crédible et surtout appliquer cette valeur fraternelle, au lieu de l'utiliser qu'en blablabla en couplets, en rhétorique seulement )
Edouard de Montmonrency- Vénérable
- Messages : 20680
Date d'inscription : 02/01/2022
Re: Nazisme et communisme, même poubelle ?
La dictature des apparatchiks de Khrouchtchev et consort n'était pas une si grosse trahison que ça.
Jusqu'à Gorbachev et Eltsine.
J'aimeria rajouetr Michou. franchement commentd es gens comem vous on pu crorie un mensonge aussi grossier? Au sujet des 80M de mort?
Pour rappel au départ c'était pas le communisme a tué 80M de mort chine inclut c'était Staline a tué 100 000 000 de personnes.
C'était le mensonge de Stéphane courtois basé sur les dire d'un dissident Soviétique à moitié zinzin nommé Alexandre Soljenitsyne.
Fada de Pinochet, Franco et de dissident soviétique étant passé côté nazi durant la seconde guerre mondiale.
Avant de réaliser que l'occident c'était aussi de la merde.
Stéphane courtois est parti en croisade pour prouver que Soljenytsyne avait raison.
Il est passé par toutes les torsion testiculaires possibles.
Pour le cas Khrouchtchev je peux prouver que c'était un apprachiks qui avait fait tout un tas de saloperies en Ukraine, et qui au moment ou Staline allait le marginaliser par sa réforme démocratique a fait assassiné l'homme qui l'avait épargné lors des purges (Staline a choisi de l’épargner contre sa collaboration contre ses amis comploteurs.) a décidé de faire porter le chapeau à Staline il a été rejoint par tout un tas de type comme lui qui avaient créé le culte de la personnalité de Staline pour pouvoir s'en servir comme bouc émissaire.
Ces affirmations qui vous semblent ahurissantes et tordues je peux les prouver. Mais j'aime pas parler dans le vide donc faut me le demander gentillement.
Jusqu'à Gorbachev et Eltsine.
J'aimeria rajouetr Michou. franchement commentd es gens comem vous on pu crorie un mensonge aussi grossier? Au sujet des 80M de mort?
Pour rappel au départ c'était pas le communisme a tué 80M de mort chine inclut c'était Staline a tué 100 000 000 de personnes.
C'était le mensonge de Stéphane courtois basé sur les dire d'un dissident Soviétique à moitié zinzin nommé Alexandre Soljenitsyne.
Fada de Pinochet, Franco et de dissident soviétique étant passé côté nazi durant la seconde guerre mondiale.
Avant de réaliser que l'occident c'était aussi de la merde.
Stéphane courtois est parti en croisade pour prouver que Soljenytsyne avait raison.
Il est passé par toutes les torsion testiculaires possibles.
Pour le cas Khrouchtchev je peux prouver que c'était un apprachiks qui avait fait tout un tas de saloperies en Ukraine, et qui au moment ou Staline allait le marginaliser par sa réforme démocratique a fait assassiné l'homme qui l'avait épargné lors des purges (Staline a choisi de l’épargner contre sa collaboration contre ses amis comploteurs.) a décidé de faire porter le chapeau à Staline il a été rejoint par tout un tas de type comme lui qui avaient créé le culte de la personnalité de Staline pour pouvoir s'en servir comme bouc émissaire.
Ces affirmations qui vous semblent ahurissantes et tordues je peux les prouver. Mais j'aime pas parler dans le vide donc faut me le demander gentillement.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Nazisme et communisme, même poubelle ?
Ils ont pas renouvelé leur dico russo-français au FSB. Les mêmes que du temps de KGB.Ferdinand de Talmont a écrit:Plaristes Evariste a écrit:
Ha mon avis vous ne savait pas ce qu'est le socialisme. Vous gobez tous les mensonges bourgeois.
C'est une utopie aussi désuète que vos expressions soixante-huitardes, non ?
Jeannot Lapin- Sage
- Messages : 9228
Date d'inscription : 31/07/2021
Re: Nazisme et communisme, même poubelle ?
si les communistes russe avaient parvenues , à étendre leurs influence, en Europe
les communiste français auraient fini au goulag
la différence entre les deux communisme, est trop forte , et incompatible
les communiste français auraient fini au goulag
la différence entre les deux communisme, est trop forte , et incompatible
michou- Sage
- Messages : 3023
Date d'inscription : 16/09/2022
Re: Nazisme et communisme, même poubelle ?
Ha je n'ai pas pu m'empêcher devant ce vaste sujet de m'étaler. Donc je suppose que vous n'avez rien lu ni rien pris au sérieux?
Je doute.
Fortement.
Il y aurait certainement des désaccords vu qu'on aurait pas été un état satellite ni un gouvernement Fantoche, à l'instar de la Yougoslavie.
Les soviet n'auraient pas pu tout nous dicter.
Mais la France aurait été endehors de l'URSS je crois. Ça aurait un état socialiste indépendant comem Cuba, le Burkinafaso etc. Et si intégré dans l'URSS on en serait rapidement sortir vu que le Kommintern nous aurait cassé les burnes.
Les Soviet avait déjà du mal à gérer l'allemagen de l'Est qui était un pays ouest Européen bien trop dvéloppé pour le modèle soviétique.
Alors immagine la France. Je ne crois pas qu'ils nou auraientc herché tantd e noises, une France socialiste indépendante ne leur aurait pas posé trop de soucis, les Russes avaient leur glacis, il était déjà bien assez épais pas besoin d'y inclure la France.
De plus ils étaient respectueux des nationalités et du droit à l'auto détermination, regardes comment Staline a géré la question Magyar :
https://en.wikipedia.org/wiki/Magyar_Autonomous_Region
Bon bah voilà.
Staline donne aux Székelys leur propre république.
Ajoutez à ça que la France communiste aurait eu un grand mouvement partisan ayant combattu dans la résistance et auraient probablement pris le pouvoir par eux-même. Sans l'aide directe des soviets. Comme en Yougoslavie.
Au prie des cas la France aurait rejoint la Yougoslavie dans son mouvement non aligné.
si les communistes russe avaient parvenues , à étendre leurs influence, en Europe
les communiste français auraient fini au goulag
la différence entre les deux communisme, est trop forte , et incompatible
Je doute.
Fortement.
Il y aurait certainement des désaccords vu qu'on aurait pas été un état satellite ni un gouvernement Fantoche, à l'instar de la Yougoslavie.
Les soviet n'auraient pas pu tout nous dicter.
Mais la France aurait été endehors de l'URSS je crois. Ça aurait un état socialiste indépendant comem Cuba, le Burkinafaso etc. Et si intégré dans l'URSS on en serait rapidement sortir vu que le Kommintern nous aurait cassé les burnes.
Les Soviet avait déjà du mal à gérer l'allemagen de l'Est qui était un pays ouest Européen bien trop dvéloppé pour le modèle soviétique.
Alors immagine la France. Je ne crois pas qu'ils nou auraientc herché tantd e noises, une France socialiste indépendante ne leur aurait pas posé trop de soucis, les Russes avaient leur glacis, il était déjà bien assez épais pas besoin d'y inclure la France.
De plus ils étaient respectueux des nationalités et du droit à l'auto détermination, regardes comment Staline a géré la question Magyar :
https://en.wikipedia.org/wiki/Magyar_Autonomous_Region
Bon bah voilà.
Staline donne aux Székelys leur propre république.
Ajoutez à ça que la France communiste aurait eu un grand mouvement partisan ayant combattu dans la résistance et auraient probablement pris le pouvoir par eux-même. Sans l'aide directe des soviets. Comme en Yougoslavie.
Au prie des cas la France aurait rejoint la Yougoslavie dans son mouvement non aligné.
Plaristes Evariste- Vénérable
- Messages : 25190
Date d'inscription : 04/06/2020
Re: Nazisme et communisme, même poubelle ?
.
Les français n'auraient pas supporté une France communiste et se seraient révoltés. De plus, comme on l'a vu, l'audience des communistes n'a cessé de baisser depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, jusqu'à ne plus exister de nos jours.
Enfin, tu sembles oublier que la France est un pays démocratique, dont les dirigeants sont élus démocratiquement par le peuple. Tes potes communards ayant été au pouvoir ici ou là n'ont pas été élus, ils se sont imposés au pouvoir par la violence et ont dictatorié ensuite.
.
Les français n'auraient pas supporté une France communiste et se seraient révoltés. De plus, comme on l'a vu, l'audience des communistes n'a cessé de baisser depuis la fin de la deuxième guerre mondiale, jusqu'à ne plus exister de nos jours.
Enfin, tu sembles oublier que la France est un pays démocratique, dont les dirigeants sont élus démocratiquement par le peuple. Tes potes communards ayant été au pouvoir ici ou là n'ont pas été élus, ils se sont imposés au pouvoir par la violence et ont dictatorié ensuite.
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Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
- Messages : 11689
Date d'inscription : 03/12/2021
Re: Nazisme et communisme, même poubelle ?
Les français n'auraient pas supporté une France communiste et se seraient révoltés
70% de la résistance était communiste.
Les communiste avaient un taux d'approbation de plus de 30%. Pour rappel Macron s'est fait élire avec 18% des Français.
La bourgeoisie avait collaboré et était très impopulaire.
Ça n'aura pas plus à certains bourgeois. Mais de là à dire que ça aurait déplu aux français.
De plus, comme on l'a vu, l'audience des communistes n'a cessé de baisser depuis la fin de la deuxième guerre mondiale
Comme les gaullistes, ça n'empêche pas Bruno le Maire de se réclamer de Gaulle alors qu'il a été décoré par la croix de fer par le ministre de l’économie allemande.
dont les dirigeants sont élus démocratiquement par le peuple.
Arrêtes ton har Macron lors des €uropéenne a bourrée les urnes à la réunion, c'est prouvé.
https://www.lexpress.fr/actualite/politique/elections-europeennes-mediapart-revele-un-bourrage-d-urne-lors-du-scrutin-a-la-reunion_2100886.html
Il a dut sûrement à cet occasion faire de même dans tout l'outre-mer.
Au premier tout Macron a fait ses meilleurs score en France périphérique et profonde hors c'était les territoires el splsu hostile sà la macronie. IL a donc forcément fait voté els abstentionnistes.
Et c'est sans l'oublier "l'erreur" du second tour qui a fait perdre à MLP. Plusieurs Millions de vote et gagner à macron plusieurs Millions.
Et ça avec un trucage médiatique du temps de parole et des parrainages truqués.
En 60 lors des élection on avait du temps de parole égal, et pas de journaliste pour interrompre !
De plus de Gaulle a été l'un des plus grand dirigeant et démocrates de France, et par 2 fois il n’est pas arrivé au pouvoir par les urnes !
Comme le rappel si bien ce député RN :
https://youtu.be/nCse8kkyqfE
On est en dictature et pis c'est tout.
Plaristes Evariste- Vénérable
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