Trotskysme et collaboration en France.

[Plaristes Evariste]

E 1940 Un mouvement national révolutionnaire MNR d'inspiration trotskyste qui se situait dans le camp maréchaliste

Le responsable idéologique de la Waffen SS Charlemagne fut Philippe Merlen un jeune journaliste et écrivain ,dirigeant trotskyste responsable de la Fédération des Étudiants Révolutionnaires en 38/39 ,ami de Giono dans sa communauté du Contadour ,écolo et homosexuel....



https://fr.wikipedia.org/wiki/Trotskisme_en_France

Après avoir adopté une position de « défaitisme révolutionnaire » durant la drôle de guerre, les trotskistes français se divisent durant la guerre sur la question de la stratégie à adopter entre entrisme dans les mouvements collaborationnistes et résistance internationaliste à travers un travail de propagande en direction des soldats de la Wehrmacht (« derrière chaque soldat allemand se trouve un travailleur allemand »).

D'un autre côté, certains groupes de militants finissent par admettre une alliance de résistance contre le Troisième Reich « avec la bourgeoisie ». C'est le cas du « Mouvement national révolutionnaire » (MNR) de Fred Zeller, Jean Rous et Maurice Jaquier, qui prône l'alliance avec Londres et la création d'« États-Unis socialistes d'Europe ». Cela leur vaut l'accusation de « social-chauvinisme » par le « Comité pour la IVe Internationale » (également exclu de celle-ci en 1939, cf. supra) d'Yvan Craipeau. C'est aussi le cas du Parti ouvrier internationaliste (POI) (exclu lui aussi de la IVe Internationale, puis dissout en 1939, rappelons le), désormais dirigé, avec David Rousset, par Marcel Hic (qui mourra en déportation) qui estime également, à l'été 1940, la résistance et l'« alliance avec les petits-bourgeois » nécessaire (Selon le journaliste Christophe Nick, cela en fait « la première organisation politique française authentiquement résistante6 »). En 1942, Jean Moulin demandera même au Parti ouvrier internationaliste (POI) de lui fournir son secrétariat6. Mais Marcel Hic, repris en main par la IVe Internationale qui l'accuse de « social-chauvinisme », ne donnera finalement pas suite à cette demande, revenant à des positions plus « orthodoxes »6.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Mouvement_national_r%C3%A9volutionnaire

Le point commun de ces militants réside dans leur pacifisme intégral qui les conduit à refuser de prendre parti dans la guerre, sur le mot d'ordre « Ni pro-anglais... ni pro-allemand... pro-français. »1.

Cette position nini, a été remarqué au sein du PCF les tract appelant au sabotage d'usine hors guerre d'hiver étaient basés sur ce genre d'argument. Ces tracts étant des actes isolés non supportés par la direction, il s'agit probablement dune infiltration trotskyste.

[Jean-Louis de Toqueville]

La famille des volog devait se trouver dans l'une de ses branches collaboratives.... du moins, c'est la conclusion que j'en tire vu qu'il n'a pas répondu à la question de la collaboration ou non de sa famille communiste avec l'ennemi nazi lors du pacte germano-soviétique... on est donc dans la conjecture....

[Plaristes Evariste]

Pas forcément.

Peut-être que ses parents son morts sans lui donner une éducation communiste correcte.

[André de Montalembert]

Vachement Troskiste le MNR qui as duré 1 an!
Le MNR est créé septembre 1940 à Paris. Il rassemble des militants venus d'horizons a priori très différents : ex-trotskystes comme Jean Rous, Fred Zeller ou Roger Clair, dissidents socialistes « pivertistes », comme Maurice Jaquier et Michel Lissansky, des socialistes comme Henri Sellier ou François Tanguy-Prigent, des syndicalistes comme Raymond Le Bourre et André Lafond, mais aussi une équipe d'anciens membres du Parti frontiste, notamment Jacques Rebeyrolles.

[Plaristes Evariste]

Le gauchiiiiiiiiiissssssssmmmmme dans toute sa splendeur.

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