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Le RN, toujours contre la lutte des salariés
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Le RN, toujours contre la lutte des salariés
Le RN, toujours contre la lutte des salariés
Retraite. Invité de dimanche en politique sur France 3 hier, le président du Rassemblement national (RN) s’est prononcé contre la dissolution des BRAV-M demandée par des députés insoumis. Brigade créée en mars 2019 sous l’impulsion du préfet Lallement pour bâillonner le mouvement des Gilets Jaunes, la Brigade de répression de l’action violente motorisée (BRAV-M) est devenue l’un des symboles des violences policières.
C’est d’ailleurs ce qu’a fait remarquer le journaliste au président du RN : « c’est un héritage des Gilets Jaunes, de Didier Lallement, dont Marine Le Pen avait demandé la démission ! ». L’embarras du président du RN est palpable sur le plateau.
Marine Le Pen a en effet reconnu avoir « joué le pompier au moment des Gilets Jaunes », avoir aidé le gouvernement à éteindre la contestation sociale.
Mais Francis Letellier insiste. Il faut dire que même l’ONU s’inquiète de l’usage excessif de la force en France. Jordan Bardella reconnaît alors des « erreurs individuelles ».
Tiens tiens, le même langage qu’un certain Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur. Le Rassemblement national l’allié du gouvernement, l’ennemi du mouvement social : l’insoumission.fr a ainsi souligné que Marine Le Pen a soutenu les réquisitions et déblocages par les CRS des raffineries en grève, ou encore a appelé les éboueurs à reprendre le travail.
Depuis des années, maintenant, nous le soulignons dans nos colonnes :
entre le capital et le travail, cela fait bien longtemps que le RN a choisi son camp. Le RN, ennemi du mouvement social.
sources : https://linsoumission.fr/2023/03/27/retraite-bardella-brav-m-rn-ennemi/
Retraite. Invité de dimanche en politique sur France 3 hier, le président du Rassemblement national (RN) s’est prononcé contre la dissolution des BRAV-M demandée par des députés insoumis. Brigade créée en mars 2019 sous l’impulsion du préfet Lallement pour bâillonner le mouvement des Gilets Jaunes, la Brigade de répression de l’action violente motorisée (BRAV-M) est devenue l’un des symboles des violences policières.
C’est d’ailleurs ce qu’a fait remarquer le journaliste au président du RN : « c’est un héritage des Gilets Jaunes, de Didier Lallement, dont Marine Le Pen avait demandé la démission ! ». L’embarras du président du RN est palpable sur le plateau.
Marine Le Pen a en effet reconnu avoir « joué le pompier au moment des Gilets Jaunes », avoir aidé le gouvernement à éteindre la contestation sociale.
Mais Francis Letellier insiste. Il faut dire que même l’ONU s’inquiète de l’usage excessif de la force en France. Jordan Bardella reconnaît alors des « erreurs individuelles ».
Tiens tiens, le même langage qu’un certain Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur. Le Rassemblement national l’allié du gouvernement, l’ennemi du mouvement social : l’insoumission.fr a ainsi souligné que Marine Le Pen a soutenu les réquisitions et déblocages par les CRS des raffineries en grève, ou encore a appelé les éboueurs à reprendre le travail.
Depuis des années, maintenant, nous le soulignons dans nos colonnes :
entre le capital et le travail, cela fait bien longtemps que le RN a choisi son camp. Le RN, ennemi du mouvement social.
sources : https://linsoumission.fr/2023/03/27/retraite-bardella-brav-m-rn-ennemi/
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32866
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32866
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: Le RN, toujours contre la lutte des salariés
nous avons une police efficace , contre les casseurs ,
il faudrait supprimé ce qui marche??
pour quoi pas désarmée la police
laisse libre cours aux casseurs
oui l extrême gauche soutient la racaille la preuve est faite
michou- Sage
- Messages : 3023
Date d'inscription : 16/09/2022
Re: Le RN, toujours contre la lutte des salariés
manifestations en France, les dégradations constatées dans plusieurs villes pourraient s'élever à des montants astronomiques.
903 feux de mobilier urbain ou de poubelles recensés à Paris. Le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a annoncé ce matin sur CNEWS que de nombreuses dégradations avaient été constatées lors de la journée de mobilisation du jeudi 23 mars. Voici trois chiffres qui pourraient permettre d'évaluer le montant des dégâts.
PLUS DE 100.000 EUROS DE DÉGÂTS À DIJON
La ville de Dijon a annoncé que la manifestation spontanée du lundi 20 mars, faisant suite à l'annonce de la Première ministre Élisabeth Borne d'engager la responsabilité de son gouvernement pour le passage en force de la réforme des retraites, avait causé plus de 100.000 euros de dégâts.
La municipalité a établi un chiffre de 130.000 euros de réparations, dont 30.000 euros pour les dommages causés par l'incendie de grilles de l’Hôtel de Ville.
En effet, le préfet du département de la Côte-d'Or avait notamment recensé ces feux volontaires de mobilier urbain de la part de certains manifestants. «Les casseurs ont mis de l'essence sur un poteau électrique. Il a pris feu et cela a rendu l'éclairage et les caméras hors-service. On est sur des voyous qui viennent casser. Je n'ai pas d'état d'âme, on va les empêcher de faire ça et en arrêter le plus possible», avait-il expliqué chez nos confrères de France 3.
ENTRE 3 ET 4 MILLIONS D'EUROS POUR PARIS
Si le montant des dommages causés lors des récentes mobilisations n'a pas encore été annoncé, les manifestations des Gilets jaunes peuvent donner un aperçu du prix des réparations à venir.
En décembre 2018, les coûts alloués à la remise en état des rues parisiennes tournaient entre 3 et 4 millions d'euros pour une manifestation, rappelle notre journaliste économie Lomig Guillo, citant les chiffres de la Ville de Paris.
Les tags et dégradations sur l'Arc de Triomphe survenus le 1er décembre 2018 avaient entraîné des coûts de nettoyage exorbitants. Une statue présente dans l'édifice avait été réparée pour un montant compris entre 50.000 et 60.000 euros, rappelait Radio France, lors de l'ouverture du procès des casseurs en 2021.
150.000 EUROS LE KIOSQUE
Les coûts, qui doivent être réglés par la ville ou par l'État, dans certains cas, comme en 2022 dans le cadre des manifestations de Gilets jaunes à Paris, peuvent sembler élevés, tant le prix du mobilier urbain est important.
Par exemple, le prix d'une poubelle fixe représente plusieurs centaines d'euros, tandis qu'un feu rouge arraché, lui, «s'élèvera entre 2.500 et 5.000 sans la pose», explique Lomig Guillo, qui rajoute que le coût du remplacement d'une fontaine à eau «peut grimper jusqu'à 200.000 euros».
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Enfin, le prix d'un kiosque, comme ceux présents dans la capitale et régulièrement incendiés ou pris pour cible par des jets de projectiles, est d'environ 150.000 euros, selon les chiffres fournis par MédiaKiosk, filiale de JCDecaux qui s'occupe des kiosques paris
Dernière édition par michou le Ven 31 Mar 2023 - 11:11, édité 1 fois
michou- Sage
- Messages : 3023
Date d'inscription : 16/09/2022
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Re: Le RN, toujours contre la lutte des salariés
donc il faut supprimé la police et laisser faire
merci pour ceux qui payes la casse
michou- Sage
- Messages : 3023
Date d'inscription : 16/09/2022
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Re: Le RN, toujours contre la lutte des salariés
Neuf jours après le commencement du blocage le 21 mars, le campus de l’Université de Bordeaux a été défiguré par ses occupants. Situé à la Victoire, il se veut «QG de lutte» des opposants à la réforme des retraites.
Dans le hall d’entrée enfumé de volutes de cannabis traînent deux caddies remplis de cadavres de bouteilles d’alcool. Sur le pilier d’en face, une feuille volante scotchée indique : «On a voté en assemblée générale (AG) la non-autorisation de la vente de drogues. (Si vous en voyez, n’hésitez pas à rappeler à l’ordre).» Un dernier mot souligné sous lequel a été ajouté : «Nous sommes les forces du désordre». Le ton est donné. Et neuf jours seulement après le décret de l’occupation étudiante ce 21 mars, les dégradations du campus de l’Université de Bordeaux, situé place de la Victoire, sont en effet bien visibles.
michou- Sage
- Messages : 3023
Date d'inscription : 16/09/2022
michou aime ce message
Re: Le RN, toujours contre la lutte des salariés
Vladimir de Volog красны a écrit:Le RN, toujours contre la lutte des salariés
Retraite. Invité de dimanche en politique sur France 3 hier, le président du Rassemblement national (RN) s’est prononcé contre la dissolution des BRAV-M demandée par des députés insoumis. Brigade créée en mars 2019 sous l’impulsion du préfet Lallement pour bâillonner le mouvement des Gilets Jaunes, la Brigade de répression de l’action violente motorisée (BRAV-M) est devenue l’un des symboles des violences policières.
C’est d’ailleurs ce qu’a fait remarquer le journaliste au président du RN : « c’est un héritage des Gilets Jaunes, de Didier Lallement, dont Marine Le Pen avait demandé la démission ! ». L’embarras du président du RN est palpable sur le plateau.
Marine Le Pen a en effet reconnu avoir « joué le pompier au moment des Gilets Jaunes », avoir aidé le gouvernement à éteindre la contestation sociale.
Mais Francis Letellier insiste. Il faut dire que même l’ONU s’inquiète de l’usage excessif de la force en France. Jordan Bardella reconnaît alors des « erreurs individuelles ».
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Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32866
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: Le RN, toujours contre la lutte des salariés
la gauche ruine la France
michou- Sage
- Messages : 3023
Date d'inscription : 16/09/2022
Clavier aime ce message
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