c est beau l islam
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c est beau l islam
Fatwa de la nécrophilie
Cheikh Abdelbari Zamzami, un célèbre imam marocain* vient de lancer une nouvelle fatwa qui montrerait la position de l’islam concernant la nécrophilie. En effet, selon Zamzami, l’islam autoriserait l’acte sexuel sur un cadavre, à condition que ce cadavre soit celui de l’épouse. Zamzami ajoute qu’il n’y aurait aucun mal ni embarras que le mari fasse l’amour avec le cadavre de sa femme quelques heures après la mort de cette dernière. Ainsi, le mari peut laver le corps de sa femme morte, et la femme aussi a ce droit. Mais aussi, il peut avoir un rapport sexuel avec le cadavre de sa femme.
source: emarrakech.info - 8 mai 2011
L'Imam Zamzami se base sur un hadith (faits et gestes du prophète Mohammed)
"Le messager d'Allah a retiré sa chemise et l'a mise sur Oum Ali, et il a couché avec elle dans sa tombe" ( Al Sharwani V1 - P.263)
Cette catégorie d'hadith intitulée "les relations sexuelles avec une femme morte" se trouvent dans 16 livres islamiques incluant "Al Sharwani" V1 - P.263
* Cheikh Abdel Bari Zamzami Ben Seddik (En Arabe: عبد الباري الزمزمي بن الصديق, ou Abdelbari Zemzami; 1943 – 10 February 2016) était un imam marocain de l' "islam modéré". Il était president de l'association marocaine de recherche et d'études sur la jurisprudence et un membre du conseil des savants religieux marocains. Zamzami était aussi l'un des fondateurs de l'Union internationale des savants musulmans et un membre du Parlement marocain, député affilié au parti de la réforme et de la vertu.
boire l'urine du Prophète Mohammed
Autre fatwa qui a fait grand bruit en Egypte:
Tollé dans les médias suite à la fatwa d'un mufti égyptien sur la bénédiction qu'aurait représenté l'absorption de l'urine du Prophète Mahomet par ses Compagnons En Egypte, un tollé médiatique a suivi la récente publication d'un livre du mufti égyptien Dr. Ali Gum'a, où il affirme que les Compagnons du Prophète Mohammed avaient coutume de boire l'urine de leur maître.
La fatwa contre Mickey
La fatwa du cheikh Mohammed al-Mounajid. Ce religieux musulman, ancien diplomate, apparaît souvent sur les écrans de la télévision saoudienne et sur Al Jazira pour commenter l’actualité au nom de la charia. Sa dernière condamnation vise Mickey Mouse :"La charia (loi islamique) requiert l’extermination de toutes les souris, y compris les rongeurs et la célèbre souris de dessin animé". L’imam a lancé cette fatwa contre la souris de Walt Disney en tant qu’"agent de Satan". Cette espèce animale étant "impure", il a également condamné Jerry le facétieux qui échappe toujours à Tom.
Civilisation musulmane et savants musulmans
Cheikh Abdelbari Zamzami, un célèbre imam marocain* vient de lancer une nouvelle fatwa qui montrerait la position de l’islam concernant la nécrophilie. En effet, selon Zamzami, l’islam autoriserait l’acte sexuel sur un cadavre, à condition que ce cadavre soit celui de l’épouse. Zamzami ajoute qu’il n’y aurait aucun mal ni embarras que le mari fasse l’amour avec le cadavre de sa femme quelques heures après la mort de cette dernière. Ainsi, le mari peut laver le corps de sa femme morte, et la femme aussi a ce droit. Mais aussi, il peut avoir un rapport sexuel avec le cadavre de sa femme.
source: emarrakech.info - 8 mai 2011
L'Imam Zamzami se base sur un hadith (faits et gestes du prophète Mohammed)
"Le messager d'Allah a retiré sa chemise et l'a mise sur Oum Ali, et il a couché avec elle dans sa tombe" ( Al Sharwani V1 - P.263)
Cette catégorie d'hadith intitulée "les relations sexuelles avec une femme morte" se trouvent dans 16 livres islamiques incluant "Al Sharwani" V1 - P.263
* Cheikh Abdel Bari Zamzami Ben Seddik (En Arabe: عبد الباري الزمزمي بن الصديق, ou Abdelbari Zemzami; 1943 – 10 February 2016) était un imam marocain de l' "islam modéré". Il était president de l'association marocaine de recherche et d'études sur la jurisprudence et un membre du conseil des savants religieux marocains. Zamzami était aussi l'un des fondateurs de l'Union internationale des savants musulmans et un membre du Parlement marocain, député affilié au parti de la réforme et de la vertu.
boire l'urine du Prophète Mohammed
Autre fatwa qui a fait grand bruit en Egypte:
Tollé dans les médias suite à la fatwa d'un mufti égyptien sur la bénédiction qu'aurait représenté l'absorption de l'urine du Prophète Mahomet par ses Compagnons En Egypte, un tollé médiatique a suivi la récente publication d'un livre du mufti égyptien Dr. Ali Gum'a, où il affirme que les Compagnons du Prophète Mohammed avaient coutume de boire l'urine de leur maître.
La fatwa contre Mickey
La fatwa du cheikh Mohammed al-Mounajid. Ce religieux musulman, ancien diplomate, apparaît souvent sur les écrans de la télévision saoudienne et sur Al Jazira pour commenter l’actualité au nom de la charia. Sa dernière condamnation vise Mickey Mouse :"La charia (loi islamique) requiert l’extermination de toutes les souris, y compris les rongeurs et la célèbre souris de dessin animé". L’imam a lancé cette fatwa contre la souris de Walt Disney en tant qu’"agent de Satan". Cette espèce animale étant "impure", il a également condamné Jerry le facétieux qui échappe toujours à Tom.
Civilisation musulmane et savants musulmans
heureux- Postulant
- Messages : 309
Date d'inscription : 06/06/2023
Re: c est beau l islam
Ont a pas trop la même définition du mot savant que eux.
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Edgar de Phelps- Vénérable
- Messages : 10345
Date d'inscription : 13/12/2022
Re: c est beau l islam
A Imbécile Heureux,
"Le messager d'Allah a retiré sa chemise et l'a mise sur Oum Ali, et il a couché avec elle dans sa tombe" ( Al Sharwani V1 - P.263)
Al Sharwani inconnu au bataillon !!! C'est qui lui MDR
T'en n'a pas marre avec tes sites islamophobes falsificateurs.
"Le messager d'Allah a retiré sa chemise et l'a mise sur Oum Ali, et il a couché avec elle dans sa tombe" ( Al Sharwani V1 - P.263)
Al Sharwani inconnu au bataillon !!! C'est qui lui MDR
T'en n'a pas marre avec tes sites islamophobes falsificateurs.
zarathustra- Sage
- Messages : 3689
Date d'inscription : 12/02/2023
Re: c est beau l islam
Et il n’y a pas de différence entre pénétrer par devant ou par derrière un humain ou une bête. C’est ce qu’a dit al-Chafi’i [1] et Abou Thawr [2].
Et il apparait que pénétrer une bête ne gâche pas le Hadj. C’est ce disent Malik [3] et Abi Hanifa [4]. La raison est que ceci n’est pas puni tout comme la pénétration ailleurs qu’au vagin.
Abu Thawr a raconté d’après Abi Hanifa que la sodomie et la pénétration du derrière [5] ne gâchent pas le Hadj parce qu’elles ne valideraient pas un mariage. Ceci ne gâche donc pas le Hadj tout aussi que la pénétration hors du vagin.
Et d’après nous, s’il a pénétré un vagin, il doit se laver donc son Hadj n’est plus valide. Exemple de ceci : pénétrer une humaine dans le vagin.
Et il apparait que pénétrer une bête ne gâche pas le Hadj. C’est ce disent Malik [3] et Abi Hanifa [4]. La raison est que ceci n’est pas puni tout comme la pénétration ailleurs qu’au vagin.
Abu Thawr a raconté d’après Abi Hanifa que la sodomie et la pénétration du derrière [5] ne gâchent pas le Hadj parce qu’elles ne valideraient pas un mariage. Ceci ne gâche donc pas le Hadj tout aussi que la pénétration hors du vagin.
Et d’après nous, s’il a pénétré un vagin, il doit se laver donc son Hadj n’est plus valide. Exemple de ceci : pénétrer une humaine dans le vagin.
heureux- Postulant
- Messages : 309
Date d'inscription : 06/06/2023
Re: c est beau l islam
zarathustra a écrit:A Imbécile Heureux,
"Le messager d'Allah a retiré sa chemise et l'a mise sur Oum Ali, et il a couché avec elle dans sa tombe" ( Al Sharwani V1 - P.263)
Al Sharwani inconnu au bataillon !!! C'est qui lui MDR
T'en n'a pas marre avec tes sites islamophobes falsificateurs.
Balayez devant chez vous,
avec ta religion, ou, dictature mortifiée, est dépravée par un prophète perverti.
heureux- Postulant
- Messages : 309
Date d'inscription : 06/06/2023
Re: c est beau l islam
Il oublie le principal, lheureux du jour,
c'est que dans les religions abrahamiques s'y trouvent ;
le judaïsme,
le christianisme
l'islam.
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32866
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: c est beau l islam
ABRAHAM, FILS DU NOMADE TÉRAH
Rembrandt, le Sacrifice d'Abraham
Rembrandt, le Sacrifice d'Abraham
Selon la Genèse, Abram (nom sous lequel il est connu avant que Dieu ne le nomme Abraham) est l’un des trois fils de Térah, un nomade araméen originaire d’Our en Chaldée (basse Mésopotamie), descendant lui-même de Sem et de Noé. Térah décide de quitter la région d'Our pour migrer avec son clan. Tel est le début de l'histoire des Hébreux, que l'on date généralement aux environs de 1850 avant J.-C. « Et Térah [Tharé] prit Abram son fils et Lot fils de Haran, son petit-fils, et Saraï sa bru, femme d'Abram, et les fit sortir d'Our des Chaldéens pour aller au pays de Canaan » (Genèse, XI, 31).
En un premier temps, le clan des Térahites se dirige vers le nord de la Mésopotamie et s'arrête à Harran, dans la zone du haut Euphrate. Mais Harran n'est qu'une étape ; Térah meurt, et Abraham quitte la haute Mésopotamie. Cette fois, la migration s'accomplit d'est en ouest, en direction du pays de Canaan (la Palestine biblique). Les pérégrinations d'Abraham depuis Harran, à travers le pays de Canaan et jusqu'en Égypte, sont soutenues par une large promesse que Dieu lui a faite, scellant avec lui une alliance éternelle (XV, 2-21).
ABRAHAM ET LOT AU PAYS DE CANAAN
Lorsque Abraham et Lot, son neveu, qu'il a amené avec lui, arrivent en Canaan, le pays est occupé par une population sémite établie depuis le début du IIIe millénaire avant J.-C. dans les plaines côtières et le Nord. Le reste du territoire est zone franche pour les nomades et leurs troupeaux.
La caravane partie de Harran campe aux environs de Sichem – que l'exploration archéologique a retrouvée au tell Balata, à l'est de Naplouse. « Abraham traversa le pays, jusqu'au territoire de Sichem, au chêne de Moré. » Ce chêne de Moré (c'est-à-dire du « devin ») est un arbre sacré marquant l'emplacement d'un vieux sanctuaire sémitique : les endroits sacrés (arbres, tombes, sanctuaires) sont, avec les points d'eau, les centres de ralliement des Hébreux nomades.
De Sichem, Abraham poursuit vers le sud jusqu'au Néguev (« pays sec », alors une région pauvre, terre d'élection des nomades mais aussi des pillards). La pérégrination d'Abraham est jalonnée d'étapes dont les noms resteront dans l'histoire d'Israël : Béthel, Aï et surtout Hébron (cette dernière région, au chêne de Mambré, autre emplacement sacré, sera le port d'attache du clan abrahamite).
C'est à ce moment de la vie du patriarche qu'il faut placer l'épisode du séjour en Égypte (Genèse, XII). Une période de sécheresse et de disette amène les nomades à chercher refuge dans la riche vallée du Nil.
Durant ce séjour égyptien arrive à Abraham une aventure dont l'aspect moral a longtemps embarrassé les commentateurs (Genèse, XII, 10 à 28). La tradition rapporte que, pour garder la vie sauve, Abraham se fait passer pour le frère de son épouse, Sara, que le pharaon convoite. Emmenée au harem royal, celle-ci est rendue à son légitime époux, après que Dieu ait affligé « de grands maux la maison de Pharaon ».
De retour en Canaan, Abraham et Lot se séparent : « Le pays ne suffisait pas à leur installation commune et ils avaient de trop grands biens pour habiter ensemble. »(Genèse, XIII). Lot se fixe près des cités du sud de la mer Morte, cédant ainsi à l'attrait d'une vie plus sédentaire. Abraham, pour sa part, poursuit sa vie de nomadisme. De Mambré-Hébron, il rayonne dans le sud du pays à la recherche des pâturages et des points d'eau. À ce plateau qui garde le souvenir du grand patriarche, les Arabes ont donné le nom de Ramat al-Khalil (la hauteur de l'Ami) : dans la Bible et le Coran, Abraham est appelé « l'Ami de Dieu ».
En dépit de leur différend, Abraham vint au secours de son neveu, victime d'un raid militaire organisé par quatre roisorientaux contre cinq rois cananéens (Genèse, XIV).
La tradition religieuse met encore au compte du patriarche le salut de Lot et de sa famille lors de la légendaire catastrophe qui aboutit à la destruction de Sodome et Gomorrhe, cités du sud de la mer Morte. L'origine de cette légende célèbre est à chercher dans quelque séisme particulièrement destructeur. Les émanations de soufre, les eaux chaudes qui abondent dans la partie méridionale de la dépression ont été aux yeux des Anciens les témoins de la pluie de soufre et de feu que Yahvé a fait tomber sur les villes maudites (Genèse, XIX). Le nom de Sodome est conservé par le Djebel Sudum (djabal al-Sadum), un épais gîte salin où se dressent des stèles de sel.
LA DESCENDANCE D'ABRAHAM
ISMAËL ET ISAAC
Abraham et Sara, qui voient venir la vieillesse, n'ont pas d'enfant. Afin de s’assurer une descendance, Sara propose à son époux de s’unir à sa servante Agar (Genèse, XVI) ; cette pratique, dont témoigne le droit mésopotamien (code d'Hammourabi et lois de Nouzi), permet à une épouse stérile de devenir la mère légitime de l'enfant né de cette union à laquelle elle a consenti. Ainsi naît Ismaël, l'ancêtre des Ismaélites dont les « Arabes » sont les descendants.
Mais la présence de deux épouses ne favorise guère la paix du foyer. Agar, fière d'avoir enfanté, oublie son statut de concubine et irrite sa maîtresse par son arrogance. La situation s’envenime après la naissance d'un nouvel enfant, fils, cette fois, de l'épouse légitime : Isaac, l'enfant de la promesse divine. « Ta femme Sara te donnera un fils et tu l'appelleras Isaac. J'établirai mon alliance avec lui en alliance perpétuelle pour sa race après lui » (Genèse, XVII). C'est ce second fils d’Abraham, Isaac, qui est reconnu comme l'ancêtre des Israélites dont le peuple ju.if est le descendant.
Or, selon l'ancien droit oriental, l'enfant né d'une concubine dispose de l'héritage paternel, s'il est juridiquement considéré comme fils de l'épouse, ce qui est le cas d'Ismaël. Dans sa jalousie maternelle, Sara refuse que l'héritage soit partagé entre les deux enfants et, outrepassant la loi, implore son époux de chasser la servante et son fils. À contrecœur, Abraham se résout à renvoyer Agar et Ismaël.
L’ÉPREUVE DIVINE DE LA FOI
Andrea del Sarto, le Sacrifice d'Abraham
Andrea del Sarto, le Sacrifice d'Abraham
Dieu cherche à éprouver la foi d’Abraham et lui demande de lui faire le sacrifice de son fils chéri, « ton fils Isaac ton unique, celui que tu aimes » (Genèse, XXII). Abraham se met en devoir d'obéir. Mais à l’instant ultime du sacrifice, Dieu, satisfait de cette obéissance, substitue à l’enfant une victime animale. Ce récit biblique témoigne du refus des sacrifices humains, relativement fréquents chez les Cananéens et pratiqués aussi en Israël, mais plus rarement, jusqu'au vie s.avant notre ère.
Isaac grandit. Typiquement oriental est le récit de son mariage (Genèse, XXIV). Abraham envoie son intendant en haute Mésopotamie chercher une femme pour son fils, là où s'est fixée, après la sortie d'Our, une partie de la tribu de Térah. Car le patriarche ne veut pas pour son héritier une fille des Cananéens parmi lesquels il vit. L'endogamie (mariage à l'intérieur du clan) est une coutume, héritage de la vie tribale, fréquemment attestée dans l'Orient ancien. Isaac épouse sa cousine Rébecca.
LE SEUIL DE LA MORT ET LA CAVERNE DE MACPÉLA
Abraham, qui est nomade, ne possède pas de terre. Quand son épouse Sara meurt, il se trouve dans l'obligation d'acheter aux habitants du pays une portion de terrain pour la sépulture de celle-ci. Le contrat par lequel il acquiert la grotte de Macpéla et le champ qui l'entoure n'est pas sans présenter de nombreuses ressemblances avec les contrats que nous font connaître les documents hittites et hourrites. Le terrain acquis entoure une grotte qui doit servir de tombeau.
Les cavernes funéraires resteront le type normal de la sépulture israélite : dix-huit siècles plus tard, Jésus de Nazareth sera lui aussi enseveli dans une chambre funéraire creusée dans le roc.
Abraham meurt « dans une vieillesse heureuse, vieux et rassasié de jours », et il est enseveli aux côtés de son épouse. La grotte de Macpéla va devenir le caveau de famille des grands ancêtres d'Israël : Sara et Abraham, Isaac et Rébecca, Jacob et Lia. Les historiens considèrent comme très ancienne la tradition qui situe au Haram al-Khalil (le lieu saint de l'Ami) la sépulture des patriarches hébreux. Depuis deux millénaires, des monuments hérodiens, byzantins, médiévaux et arabes se succèdent au-dessus d'une grotte s'ouvrant au flanc de la colline d'Hébron, témoins de la foi d'une multitude de croyants ju.ifs, chrétiens et arabes.
SYMBOLIQUE RELIGIEUSE
D’Abraham, cet « Araméen errant », la Bible et le Coran ont fait un être d'exception qui prend place aux côtés de Moïse, de Jésus et de Mahomet. Car la migration d'Abraham ne s'insère pas seulement dans un processus historique, elle est devenue un événement religieux.
Père des croyants, chevalier de la foi, champion du monothéisme, Abraham est celui dont se réclament les trois grandes religions monothéistes du bassin méditerranéen. Et chaque croyant ju.if, chrétien ou musulman fait siens les mots de Paul Claudel : « Les fils d'Abraham, c'est nous. »
ABRAHAM FACE À L’EXÉGÈSE ET À LA CRITIQUE HISTORIQUE
Au xixe s., les premiers travaux des exégètes ont conduit à douter de l'historicité d'Abraham. De nos jours, une meilleure connaissance du Moyen-Orient, reposant pour partie sur les découvertes archéologiques – notamment à Byblos, Ras Shamra (Ougarit), Mari, Our et Nouzi (près de Kirkuk) – qui élargissent et confirment les récits bibliques, restitue à ce récit de la Genèse une assise historique. Ainsi la pérégrination d'Abraham s'inscrit dans le vaste déplacement des Amorites, observé au début du IIe millénaire avant J.-C.
La migration patriarcale vers Haran et, de là, vers le sud est vraisemblable. Les dernières études permettent de connaître le mode de vie ainsi que l'univers religieux de ces hommes itinérants. Abraham était un pasteur de petit bétail, en voie de sédentarisation. L'une des caractéristiques essentielles de la religion patriarcale réside dans le culte du « dieu du père », dieu de l'ancêtre immédiat, que le fils fait sien ; cette reconnaissance est fixée dans l'expression « le dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob ». Cette divinité de nomades n'est pas liée à un sanctuaire mais à un groupe d'hommes, qu'elle conduit et garde en chemin. Elle décide de ses migrations et sait où elle le mène (Genèse, XII, 1). Elle s'engage envers ses fidèles, enfin, par des promesses qui répondent aux deux vœux essentiels de groupes pasteurs semi-nomades : la descendance, qui assure la continuité du clan ; la terre où ils aspirent à se fixer. L'invocation d'« El Shaddaï » par Abraham est le fruit de l'association du dieu sédentaire « El » avec le nom du dieu du père, apporté de haute Mésopotamie, « Shaddaï », celui qui vient des steppes. Par la suite, les patriarches hébreux n'ont retenu du dieu El qu'un seul trait : sa puissance. On notera que le nom de Yahvé ne doit pas être employé pour désigner le dieu d'Abraham : le culte ancien du dieu des pères s'est retrouvé dans la foi, ultérieure, en Yahvé, particulièrement en ceci que la divinité est attachée à des personnes plutôt qu'à des lieux sacrés.
Ainsi, les écrits de la Genèse relatifs à Abraham ne constituent pas, à proprement parler, une relation historique ; des expériences postérieures se sont déposées dans ce récit, lequel renferme, cependant, de nombreuses traces d'une époque antérieure. Enfin, les interprétations chrétienne (Épître aux Romains, IV, 18) et musulmane (Surates III, 68 ; VI, 84) de ces traditions de la Genèse ont élargi ces dernières en reconnaissant en Abraham le père de tous les croyants et ont confirmé la promesse selon laquelle il aurait une postérité aussi nombreuse qu'il y a d'étoiles dans le ciel.
Rembrandt, le Sacrifice d'Abraham
Rembrandt, le Sacrifice d'Abraham
Selon la Genèse, Abram (nom sous lequel il est connu avant que Dieu ne le nomme Abraham) est l’un des trois fils de Térah, un nomade araméen originaire d’Our en Chaldée (basse Mésopotamie), descendant lui-même de Sem et de Noé. Térah décide de quitter la région d'Our pour migrer avec son clan. Tel est le début de l'histoire des Hébreux, que l'on date généralement aux environs de 1850 avant J.-C. « Et Térah [Tharé] prit Abram son fils et Lot fils de Haran, son petit-fils, et Saraï sa bru, femme d'Abram, et les fit sortir d'Our des Chaldéens pour aller au pays de Canaan » (Genèse, XI, 31).
En un premier temps, le clan des Térahites se dirige vers le nord de la Mésopotamie et s'arrête à Harran, dans la zone du haut Euphrate. Mais Harran n'est qu'une étape ; Térah meurt, et Abraham quitte la haute Mésopotamie. Cette fois, la migration s'accomplit d'est en ouest, en direction du pays de Canaan (la Palestine biblique). Les pérégrinations d'Abraham depuis Harran, à travers le pays de Canaan et jusqu'en Égypte, sont soutenues par une large promesse que Dieu lui a faite, scellant avec lui une alliance éternelle (XV, 2-21).
ABRAHAM ET LOT AU PAYS DE CANAAN
Lorsque Abraham et Lot, son neveu, qu'il a amené avec lui, arrivent en Canaan, le pays est occupé par une population sémite établie depuis le début du IIIe millénaire avant J.-C. dans les plaines côtières et le Nord. Le reste du territoire est zone franche pour les nomades et leurs troupeaux.
La caravane partie de Harran campe aux environs de Sichem – que l'exploration archéologique a retrouvée au tell Balata, à l'est de Naplouse. « Abraham traversa le pays, jusqu'au territoire de Sichem, au chêne de Moré. » Ce chêne de Moré (c'est-à-dire du « devin ») est un arbre sacré marquant l'emplacement d'un vieux sanctuaire sémitique : les endroits sacrés (arbres, tombes, sanctuaires) sont, avec les points d'eau, les centres de ralliement des Hébreux nomades.
De Sichem, Abraham poursuit vers le sud jusqu'au Néguev (« pays sec », alors une région pauvre, terre d'élection des nomades mais aussi des pillards). La pérégrination d'Abraham est jalonnée d'étapes dont les noms resteront dans l'histoire d'Israël : Béthel, Aï et surtout Hébron (cette dernière région, au chêne de Mambré, autre emplacement sacré, sera le port d'attache du clan abrahamite).
C'est à ce moment de la vie du patriarche qu'il faut placer l'épisode du séjour en Égypte (Genèse, XII). Une période de sécheresse et de disette amène les nomades à chercher refuge dans la riche vallée du Nil.
Durant ce séjour égyptien arrive à Abraham une aventure dont l'aspect moral a longtemps embarrassé les commentateurs (Genèse, XII, 10 à 28). La tradition rapporte que, pour garder la vie sauve, Abraham se fait passer pour le frère de son épouse, Sara, que le pharaon convoite. Emmenée au harem royal, celle-ci est rendue à son légitime époux, après que Dieu ait affligé « de grands maux la maison de Pharaon ».
De retour en Canaan, Abraham et Lot se séparent : « Le pays ne suffisait pas à leur installation commune et ils avaient de trop grands biens pour habiter ensemble. »(Genèse, XIII). Lot se fixe près des cités du sud de la mer Morte, cédant ainsi à l'attrait d'une vie plus sédentaire. Abraham, pour sa part, poursuit sa vie de nomadisme. De Mambré-Hébron, il rayonne dans le sud du pays à la recherche des pâturages et des points d'eau. À ce plateau qui garde le souvenir du grand patriarche, les Arabes ont donné le nom de Ramat al-Khalil (la hauteur de l'Ami) : dans la Bible et le Coran, Abraham est appelé « l'Ami de Dieu ».
En dépit de leur différend, Abraham vint au secours de son neveu, victime d'un raid militaire organisé par quatre roisorientaux contre cinq rois cananéens (Genèse, XIV).
La tradition religieuse met encore au compte du patriarche le salut de Lot et de sa famille lors de la légendaire catastrophe qui aboutit à la destruction de Sodome et Gomorrhe, cités du sud de la mer Morte. L'origine de cette légende célèbre est à chercher dans quelque séisme particulièrement destructeur. Les émanations de soufre, les eaux chaudes qui abondent dans la partie méridionale de la dépression ont été aux yeux des Anciens les témoins de la pluie de soufre et de feu que Yahvé a fait tomber sur les villes maudites (Genèse, XIX). Le nom de Sodome est conservé par le Djebel Sudum (djabal al-Sadum), un épais gîte salin où se dressent des stèles de sel.
LA DESCENDANCE D'ABRAHAM
ISMAËL ET ISAAC
Abraham et Sara, qui voient venir la vieillesse, n'ont pas d'enfant. Afin de s’assurer une descendance, Sara propose à son époux de s’unir à sa servante Agar (Genèse, XVI) ; cette pratique, dont témoigne le droit mésopotamien (code d'Hammourabi et lois de Nouzi), permet à une épouse stérile de devenir la mère légitime de l'enfant né de cette union à laquelle elle a consenti. Ainsi naît Ismaël, l'ancêtre des Ismaélites dont les « Arabes » sont les descendants.
Mais la présence de deux épouses ne favorise guère la paix du foyer. Agar, fière d'avoir enfanté, oublie son statut de concubine et irrite sa maîtresse par son arrogance. La situation s’envenime après la naissance d'un nouvel enfant, fils, cette fois, de l'épouse légitime : Isaac, l'enfant de la promesse divine. « Ta femme Sara te donnera un fils et tu l'appelleras Isaac. J'établirai mon alliance avec lui en alliance perpétuelle pour sa race après lui » (Genèse, XVII). C'est ce second fils d’Abraham, Isaac, qui est reconnu comme l'ancêtre des Israélites dont le peuple ju.if est le descendant.
Or, selon l'ancien droit oriental, l'enfant né d'une concubine dispose de l'héritage paternel, s'il est juridiquement considéré comme fils de l'épouse, ce qui est le cas d'Ismaël. Dans sa jalousie maternelle, Sara refuse que l'héritage soit partagé entre les deux enfants et, outrepassant la loi, implore son époux de chasser la servante et son fils. À contrecœur, Abraham se résout à renvoyer Agar et Ismaël.
L’ÉPREUVE DIVINE DE LA FOI
Andrea del Sarto, le Sacrifice d'Abraham
Andrea del Sarto, le Sacrifice d'Abraham
Dieu cherche à éprouver la foi d’Abraham et lui demande de lui faire le sacrifice de son fils chéri, « ton fils Isaac ton unique, celui que tu aimes » (Genèse, XXII). Abraham se met en devoir d'obéir. Mais à l’instant ultime du sacrifice, Dieu, satisfait de cette obéissance, substitue à l’enfant une victime animale. Ce récit biblique témoigne du refus des sacrifices humains, relativement fréquents chez les Cananéens et pratiqués aussi en Israël, mais plus rarement, jusqu'au vie s.avant notre ère.
Isaac grandit. Typiquement oriental est le récit de son mariage (Genèse, XXIV). Abraham envoie son intendant en haute Mésopotamie chercher une femme pour son fils, là où s'est fixée, après la sortie d'Our, une partie de la tribu de Térah. Car le patriarche ne veut pas pour son héritier une fille des Cananéens parmi lesquels il vit. L'endogamie (mariage à l'intérieur du clan) est une coutume, héritage de la vie tribale, fréquemment attestée dans l'Orient ancien. Isaac épouse sa cousine Rébecca.
LE SEUIL DE LA MORT ET LA CAVERNE DE MACPÉLA
Abraham, qui est nomade, ne possède pas de terre. Quand son épouse Sara meurt, il se trouve dans l'obligation d'acheter aux habitants du pays une portion de terrain pour la sépulture de celle-ci. Le contrat par lequel il acquiert la grotte de Macpéla et le champ qui l'entoure n'est pas sans présenter de nombreuses ressemblances avec les contrats que nous font connaître les documents hittites et hourrites. Le terrain acquis entoure une grotte qui doit servir de tombeau.
Les cavernes funéraires resteront le type normal de la sépulture israélite : dix-huit siècles plus tard, Jésus de Nazareth sera lui aussi enseveli dans une chambre funéraire creusée dans le roc.
Abraham meurt « dans une vieillesse heureuse, vieux et rassasié de jours », et il est enseveli aux côtés de son épouse. La grotte de Macpéla va devenir le caveau de famille des grands ancêtres d'Israël : Sara et Abraham, Isaac et Rébecca, Jacob et Lia. Les historiens considèrent comme très ancienne la tradition qui situe au Haram al-Khalil (le lieu saint de l'Ami) la sépulture des patriarches hébreux. Depuis deux millénaires, des monuments hérodiens, byzantins, médiévaux et arabes se succèdent au-dessus d'une grotte s'ouvrant au flanc de la colline d'Hébron, témoins de la foi d'une multitude de croyants ju.ifs, chrétiens et arabes.
SYMBOLIQUE RELIGIEUSE
D’Abraham, cet « Araméen errant », la Bible et le Coran ont fait un être d'exception qui prend place aux côtés de Moïse, de Jésus et de Mahomet. Car la migration d'Abraham ne s'insère pas seulement dans un processus historique, elle est devenue un événement religieux.
Père des croyants, chevalier de la foi, champion du monothéisme, Abraham est celui dont se réclament les trois grandes religions monothéistes du bassin méditerranéen. Et chaque croyant ju.if, chrétien ou musulman fait siens les mots de Paul Claudel : « Les fils d'Abraham, c'est nous. »
ABRAHAM FACE À L’EXÉGÈSE ET À LA CRITIQUE HISTORIQUE
Au xixe s., les premiers travaux des exégètes ont conduit à douter de l'historicité d'Abraham. De nos jours, une meilleure connaissance du Moyen-Orient, reposant pour partie sur les découvertes archéologiques – notamment à Byblos, Ras Shamra (Ougarit), Mari, Our et Nouzi (près de Kirkuk) – qui élargissent et confirment les récits bibliques, restitue à ce récit de la Genèse une assise historique. Ainsi la pérégrination d'Abraham s'inscrit dans le vaste déplacement des Amorites, observé au début du IIe millénaire avant J.-C.
La migration patriarcale vers Haran et, de là, vers le sud est vraisemblable. Les dernières études permettent de connaître le mode de vie ainsi que l'univers religieux de ces hommes itinérants. Abraham était un pasteur de petit bétail, en voie de sédentarisation. L'une des caractéristiques essentielles de la religion patriarcale réside dans le culte du « dieu du père », dieu de l'ancêtre immédiat, que le fils fait sien ; cette reconnaissance est fixée dans l'expression « le dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob ». Cette divinité de nomades n'est pas liée à un sanctuaire mais à un groupe d'hommes, qu'elle conduit et garde en chemin. Elle décide de ses migrations et sait où elle le mène (Genèse, XII, 1). Elle s'engage envers ses fidèles, enfin, par des promesses qui répondent aux deux vœux essentiels de groupes pasteurs semi-nomades : la descendance, qui assure la continuité du clan ; la terre où ils aspirent à se fixer. L'invocation d'« El Shaddaï » par Abraham est le fruit de l'association du dieu sédentaire « El » avec le nom du dieu du père, apporté de haute Mésopotamie, « Shaddaï », celui qui vient des steppes. Par la suite, les patriarches hébreux n'ont retenu du dieu El qu'un seul trait : sa puissance. On notera que le nom de Yahvé ne doit pas être employé pour désigner le dieu d'Abraham : le culte ancien du dieu des pères s'est retrouvé dans la foi, ultérieure, en Yahvé, particulièrement en ceci que la divinité est attachée à des personnes plutôt qu'à des lieux sacrés.
Ainsi, les écrits de la Genèse relatifs à Abraham ne constituent pas, à proprement parler, une relation historique ; des expériences postérieures se sont déposées dans ce récit, lequel renferme, cependant, de nombreuses traces d'une époque antérieure. Enfin, les interprétations chrétienne (Épître aux Romains, IV, 18) et musulmane (Surates III, 68 ; VI, 84) de ces traditions de la Genèse ont élargi ces dernières en reconnaissant en Abraham le père de tous les croyants et ont confirmé la promesse selon laquelle il aurait une postérité aussi nombreuse qu'il y a d'étoiles dans le ciel.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: c est beau l islam
bravo
vologe , vous me faite plaisir
qui est le premier prophète d apprêt vous?
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heureux- Postulant
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Re: c est beau l islam
Vladimir de Volog красны a écrit:ABRAHAM, FILS DU NOMADE TÉRAH
Rembrandt, le Sacrifice d'Abraham
Rembrandt, le Sacrifice d'Abraham
Selon la Genèse, Abram (nom sous lequel il est connu avant que Dieu ne le nomme Abraham) est l’un des trois fils de Térah, un nomade araméen originaire d’Our en Chaldée (basse Mésopotamie), descendant lui-même de Sem et de Noé. Térah décide de quitter la région d'Our pour migrer avec son clan. Tel est le début de l'histoire des Hébreux, que l'on date généralement aux environs de 1850 avant J.-C. « Et Térah [Tharé] prit Abram son fils et Lot fils de Haran, son petit-fils, et Saraï sa bru, femme d'Abram, et les fit sortir d'Our des Chaldéens pour aller au pays de Canaan » (Genèse, XI, 31).
En un premier temps, le clan des Térahites se dirige vers le nord de la Mésopotamie et s'arrête à Harran, dans la zone du haut Euphrate. Mais Harran n'est qu'une étape ; Térah meurt, et Abraham quitte la haute Mésopotamie. Cette fois, la migration s'accomplit d'est en ouest, en direction du pays de Canaan (la Palestine biblique). Les pérégrinations d'Abraham depuis Harran, à travers le pays de Canaan et jusqu'en Égypte, sont soutenues par une large promesse que Dieu lui a faite, scellant avec lui une alliance éternelle (XV, 2-21).
ABRAHAM ET LOT AU PAYS DE CANAAN
Lorsque Abraham et Lot, son neveu, qu'il a amené avec lui, arrivent en Canaan, le pays est occupé par une population sémite établie depuis le début du IIIe millénaire avant J.-C. dans les plaines côtières et le Nord. Le reste du territoire est zone franche pour les nomades et leurs troupeaux.
La caravane partie de Harran campe aux environs de Sichem – que l'exploration archéologique a retrouvée au tell Balata, à l'est de Naplouse. « Abraham traversa le pays, jusqu'au territoire de Sichem, au chêne de Moré. » Ce chêne de Moré (c'est-à-dire du « devin ») est un arbre sacré marquant l'emplacement d'un vieux sanctuaire sémitique : les endroits sacrés (arbres, tombes, sanctuaires) sont, avec les points d'eau, les centres de ralliement des Hébreux nomades.
De Sichem, Abraham poursuit vers le sud jusqu'au Néguev (« pays sec », alors une région pauvre, terre d'élection des nomades mais aussi des pillards). La pérégrination d'Abraham est jalonnée d'étapes dont les noms resteront dans l'histoire d'Israël : Béthel, Aï et surtout Hébron (cette dernière région, au chêne de Mambré, autre emplacement sacré, sera le port d'attache du clan abrahamite).
C'est à ce moment de la vie du patriarche qu'il faut placer l'épisode du séjour en Égypte (Genèse, XII). Une période de sécheresse et de disette amène les nomades à chercher refuge dans la riche vallée du Nil.
Durant ce séjour égyptien arrive à Abraham une aventure dont l'aspect moral a longtemps embarrassé les commentateurs (Genèse, XII, 10 à 28). La tradition rapporte que, pour garder la vie sauve, Abraham se fait passer pour le frère de son épouse, Sara, que le pharaon convoite. Emmenée au harem royal, celle-ci est rendue à son légitime époux, après que Dieu ait affligé « de grands maux la maison de Pharaon ».
De retour en Canaan, Abraham et Lot se séparent : « Le pays ne suffisait pas à leur installation commune et ils avaient de trop grands biens pour habiter ensemble. »(Genèse, XIII). Lot se fixe près des cités du sud de la mer Morte, cédant ainsi à l'attrait d'une vie plus sédentaire. Abraham, pour sa part, poursuit sa vie de nomadisme. De Mambré-Hébron, il rayonne dans le sud du pays à la recherche des pâturages et des points d'eau. À ce plateau qui garde le souvenir du grand patriarche, les Arabes ont donné le nom de Ramat al-Khalil (la hauteur de l'Ami) : dans la Bible et le Coran, Abraham est appelé « l'Ami de Dieu ».
En dépit de leur différend, Abraham vint au secours de son neveu, victime d'un raid militaire organisé par quatre roisorientaux contre cinq rois cananéens (Genèse, XIV).
La tradition religieuse met encore au compte du patriarche le salut de Lot et de sa famille lors de la légendaire catastrophe qui aboutit à la destruction de Sodome et Gomorrhe, cités du sud de la mer Morte. L'origine de cette légende célèbre est à chercher dans quelque séisme particulièrement destructeur. Les émanations de soufre, les eaux chaudes qui abondent dans la partie méridionale de la dépression ont été aux yeux des Anciens les témoins de la pluie de soufre et de feu que Yahvé a fait tomber sur les villes maudites (Genèse, XIX). Le nom de Sodome est conservé par le Djebel Sudum (djabal al-Sadum), un épais gîte salin où se dressent des stèles de sel.
LA DESCENDANCE D'ABRAHAM
ISMAËL ET ISAAC
Abraham et Sara, qui voient venir la vieillesse, n'ont pas d'enfant. Afin de s’assurer une descendance, Sara propose à son époux de s’unir à sa servante Agar (Genèse, XVI) ; cette pratique, dont témoigne le droit mésopotamien (code d'Hammourabi et lois de Nouzi), permet à une épouse stérile de devenir la mère légitime de l'enfant né de cette union à laquelle elle a consenti. Ainsi naît Ismaël, l'ancêtre des Ismaélites dont les « Arabes » sont les descendants.
Mais la présence de deux épouses ne favorise guère la paix du foyer. Agar, fière d'avoir enfanté, oublie son statut de concubine et irrite sa maîtresse par son arrogance. La situation s’envenime après la naissance d'un nouvel enfant, fils, cette fois, de l'épouse légitime : Isaac, l'enfant de la promesse divine. « Ta femme Sara te donnera un fils et tu l'appelleras Isaac. J'établirai mon alliance avec lui en alliance perpétuelle pour sa race après lui » (Genèse, XVII). C'est ce second fils d’Abraham, Isaac, qui est reconnu comme l'ancêtre des Israélites dont le peuple ju.if est le descendant.
Or, selon l'ancien droit oriental, l'enfant né d'une concubine dispose de l'héritage paternel, s'il est juridiquement considéré comme fils de l'épouse, ce qui est le cas d'Ismaël. Dans sa jalousie maternelle, Sara refuse que l'héritage soit partagé entre les deux enfants et, outrepassant la loi, implore son époux de chasser la servante et son fils. À contrecœur, Abraham se résout à renvoyer Agar et Ismaël.
L’ÉPREUVE DIVINE DE LA FOI
Andrea del Sarto, le Sacrifice d'Abraham
Andrea del Sarto, le Sacrifice d'Abraham
Dieu cherche à éprouver la foi d’Abraham et lui demande de lui faire le sacrifice de son fils chéri, « ton fils Isaac ton unique, celui que tu aimes » (Genèse, XXII). Abraham se met en devoir d'obéir. Mais à l’instant ultime du sacrifice, Dieu, satisfait de cette obéissance, substitue à l’enfant une victime animale. Ce récit biblique témoigne du refus des sacrifices humains, relativement fréquents chez les Cananéens et pratiqués aussi en Israël, mais plus rarement, jusqu'au vie s.avant notre ère.
Isaac grandit. Typiquement oriental est le récit de son mariage (Genèse, XXIV). Abraham envoie son intendant en haute Mésopotamie chercher une femme pour son fils, là où s'est fixée, après la sortie d'Our, une partie de la tribu de Térah. Car le patriarche ne veut pas pour son héritier une fille des Cananéens parmi lesquels il vit. L'endogamie (mariage à l'intérieur du clan) est une coutume, héritage de la vie tribale, fréquemment attestée dans l'Orient ancien. Isaac épouse sa cousine Rébecca.
LE SEUIL DE LA MORT ET LA CAVERNE DE MACPÉLA
Abraham, qui est nomade, ne possède pas de terre. Quand son épouse Sara meurt, il se trouve dans l'obligation d'acheter aux habitants du pays une portion de terrain pour la sépulture de celle-ci. Le contrat par lequel il acquiert la grotte de Macpéla et le champ qui l'entoure n'est pas sans présenter de nombreuses ressemblances avec les contrats que nous font connaître les documents hittites et hourrites. Le terrain acquis entoure une grotte qui doit servir de tombeau.
Les cavernes funéraires resteront le type normal de la sépulture israélite : dix-huit siècles plus tard, Jésus de Nazareth sera lui aussi enseveli dans une chambre funéraire creusée dans le roc.
Abraham meurt « dans une vieillesse heureuse, vieux et rassasié de jours », et il est enseveli aux côtés de son épouse. La grotte de Macpéla va devenir le caveau de famille des grands ancêtres d'Israël : Sara et Abraham, Isaac et Rébecca, Jacob et Lia. Les historiens considèrent comme très ancienne la tradition qui situe au Haram al-Khalil (le lieu saint de l'Ami) la sépulture des patriarches hébreux. Depuis deux millénaires, des monuments hérodiens, byzantins, médiévaux et arabes se succèdent au-dessus d'une grotte s'ouvrant au flanc de la colline d'Hébron, témoins de la foi d'une multitude de croyants ju.ifs, chrétiens et arabes.
SYMBOLIQUE RELIGIEUSE
D’Abraham, cet « Araméen errant », la Bible et le Coran ont fait un être d'exception qui prend place aux côtés de Moïse, de Jésus et de Mahomet. Car la migration d'Abraham ne s'insère pas seulement dans un processus historique, elle est devenue un événement religieux.
Père des croyants, chevalier de la foi, champion du monothéisme, Abraham est celui dont se réclament les trois grandes religions monothéistes du bassin méditerranéen. Et chaque croyant ju.if, chrétien ou musulman fait siens les mots de Paul Claudel : « Les fils d'Abraham, c'est nous. »
ABRAHAM FACE À L’EXÉGÈSE ET À LA CRITIQUE HISTORIQUE
Au xixe s., les premiers travaux des exégètes ont conduit à douter de l'historicité d'Abraham. De nos jours, une meilleure connaissance du Moyen-Orient, reposant pour partie sur les découvertes archéologiques – notamment à Byblos, Ras Shamra (Ougarit), Mari, Our et Nouzi (près de Kirkuk) – qui élargissent et confirment les récits bibliques, restitue à ce récit de la Genèse une assise historique. Ainsi la pérégrination d'Abraham s'inscrit dans le vaste déplacement des Amorites, observé au début du IIe millénaire avant J.-C.
La migration patriarcale vers Haran et, de là, vers le sud est vraisemblable. Les dernières études permettent de connaître le mode de vie ainsi que l'univers religieux de ces hommes itinérants. Abraham était un pasteur de petit bétail, en voie de sédentarisation. L'une des caractéristiques essentielles de la religion patriarcale réside dans le culte du « dieu du père », dieu de l'ancêtre immédiat, que le fils fait sien ; cette reconnaissance est fixée dans l'expression « le dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob ». Cette divinité de nomades n'est pas liée à un sanctuaire mais à un groupe d'hommes, qu'elle conduit et garde en chemin. Elle décide de ses migrations et sait où elle le mène (Genèse, XII, 1). Elle s'engage envers ses fidèles, enfin, par des promesses qui répondent aux deux vœux essentiels de groupes pasteurs semi-nomades : la descendance, qui assure la continuité du clan ; la terre où ils aspirent à se fixer. L'invocation d'« El Shaddaï » par Abraham est le fruit de l'association du dieu sédentaire « El » avec le nom du dieu du père, apporté de haute Mésopotamie, « Shaddaï », celui qui vient des steppes. Par la suite, les patriarches hébreux n'ont retenu du dieu El qu'un seul trait : sa puissance. On notera que le nom de Yahvé ne doit pas être employé pour désigner le dieu d'Abraham : le culte ancien du dieu des pères s'est retrouvé dans la foi, ultérieure, en Yahvé, particulièrement en ceci que la divinité est attachée à des personnes plutôt qu'à des lieux sacrés.
Ainsi, les écrits de la Genèse relatifs à Abraham ne constituent pas, à proprement parler, une relation historique ; des expériences postérieures se sont déposées dans ce récit, lequel renferme, cependant, de nombreuses traces d'une époque antérieure. Enfin, les interprétations chrétienne (Épître aux Romains, IV, 18) et musulmane (Surates III, 68 ; VI, 84) de ces traditions de la Genèse ont élargi ces dernières en reconnaissant en Abraham le père de tous les croyants et ont confirmé la promesse selon laquelle il aurait une postérité aussi nombreuse qu'il y a d'étoiles dans le ciel.
Volog arrête de regarder les feu de l amour
Dernière édition par Monsieur Phelps le Lun 12 Juin 2023 - 23:21, édité 1 fois
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Re: c est beau l islam
heureux a écrit:zarathustra a écrit:A Imbécile Heureux,
"Le messager d'Allah a retiré sa chemise et l'a mise sur Oum Ali, et il a couché avec elle dans sa tombe" ( Al Sharwani V1 - P.263)
Al Sharwani inconnu au bataillon !!! C'est qui lui MDR
T'en n'a pas marre avec tes sites islamophobes falsificateurs.
Balayez devant chez vous,
avec ta religion, ou, dictature mortifiée, est dépravée par un prophète perverti.
Bon Je rappelle qu on est sur un forum sérieux, même si desfois on peu ce disputer je demande quand même au participants de garder un esprit conviviale, faut pas que ça tourne en guerre de religion. Merci
Président du tribunal
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Edgar de Phelps- Vénérable
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Re: c est beau l islam
je l aime bien zarathustra Sans lui, je n'aurais pas un mot à dire.
qui aime bien châtie bien.
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Re: c est beau l islam
ils ne boivent pas d alcool
La consommation d'alcool en Afrique a explosé depuis 2010, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Dans son dernier rapport, l’OMS explique que la consommation moyenne individuelle annuelle est de 5 litres sur le continent. Dans le monde arabe et le Moyen-Orient, le Soudan arrive en tête 3,3 litres, suivi par les Emirats arabes unis (3 litres) et la Tunisie (1,6 litre). Le Maroc est classé 9e avec une consommation moyenne individuelle estimée à 0,8 litre/an. Les pays qui boivent le moins l’alcool sont la Libye (0,1 litre/an), le Koweït (0,2) et le Pakistan (0,2).
La consommation d'alcool en Afrique a explosé depuis 2010, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Dans son dernier rapport, l’OMS explique que la consommation moyenne individuelle annuelle est de 5 litres sur le continent. Dans le monde arabe et le Moyen-Orient, le Soudan arrive en tête 3,3 litres, suivi par les Emirats arabes unis (3 litres) et la Tunisie (1,6 litre). Le Maroc est classé 9e avec une consommation moyenne individuelle estimée à 0,8 litre/an. Les pays qui boivent le moins l’alcool sont la Libye (0,1 litre/an), le Koweït (0,2) et le Pakistan (0,2).
heureux- Postulant
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Re: c est beau l islam
L’alcool distillé
Les mots alcool, alambic et élixir sont d’origine arabe. S’il y a des traces d’alambics primitifs en Mésopotamie dans l’Antiquité, la distillation de l’alcool est une technique inventée par les alchimistes arabo-persans. Jabir ibn Hayyan, dit Geber, utilise au VIIIe siècle le terme araq, « sueur » pour décrire les gouttes d’alcool, semblables aux gouttes sur la peau. La distillation alcoolique est améliorée par Al-Kindi, médecin à Bagdad au IXe siècle, et Abulcasis, médecin à Cordoue au Xe siècle. L’araq devient arak, une eau-de-vie parfumée à l’anis, fabriquée dans les communautés chrétiennes du Liban et de Syrie, et se décline, à partir du XVIe siècle, en raki turc puis en ouzo grec.
Les mots alcool, alambic et élixir sont d’origine arabe. S’il y a des traces d’alambics primitifs en Mésopotamie dans l’Antiquité, la distillation de l’alcool est une technique inventée par les alchimistes arabo-persans. Jabir ibn Hayyan, dit Geber, utilise au VIIIe siècle le terme araq, « sueur » pour décrire les gouttes d’alcool, semblables aux gouttes sur la peau. La distillation alcoolique est améliorée par Al-Kindi, médecin à Bagdad au IXe siècle, et Abulcasis, médecin à Cordoue au Xe siècle. L’araq devient arak, une eau-de-vie parfumée à l’anis, fabriquée dans les communautés chrétiennes du Liban et de Syrie, et se décline, à partir du XVIe siècle, en raki turc puis en ouzo grec.
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Re: c est beau l islam
Quel est le pays arabe qui boit le plus d'alcool ?
Le Maroc est actuellement le premier producteur et consommateur de vin du monde arabe.
Le Maroc est actuellement le premier producteur et consommateur de vin du monde arabe.
heureux- Postulant
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Date d'inscription : 06/06/2023
Re: c est beau l islam
a Tunisie occupe la 1ère place en tant que pays arabe et la 9 ème mondiale en termes de consommation d'alcool. Et ce, selon une étude récente publiée par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS). Ainsi, la consommation d'alcool moyenne par personne en Tunisie est de 12.92 litres par an.19 févr. 2020
heureux- Postulant
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Re: c est beau l islam
Proscrite par l’islam, rigoureusement interdite par les contrées musulmanes les plus conservatrices et faisant l’objet de réglementations très strictes dans celles qui le sont moins, c’est peu dire que l’on n’attendait pas les pays arabo-musulmans en général, et l’Arabie saoudite en particulier, dans le classement de la consommation d’alcool établi par l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Et pourtant, selon un état des lieux dressé en 2014, des effluves alcoolisées enivrantes s’échappent bel et bien de cette région du monde, sans doute sous le manteau, et contre toute attente, le royaume wahhabite, aussi rigoriste soit-il, se classe 5ème dans une hiérarchisation par ordre croissant.
Et pourtant, selon un état des lieux dressé en 2014, des effluves alcoolisées enivrantes s’échappent bel et bien de cette région du monde, sans doute sous le manteau, et contre toute attente, le royaume wahhabite, aussi rigoriste soit-il, se classe 5ème dans une hiérarchisation par ordre croissant.
heureux- Postulant
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Date d'inscription : 06/06/2023
Re: c est beau l islam
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Edgar de Phelps- Vénérable
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Re: c est beau l islam
heureux a écrit:a Tunisie occupe la 1ère place en tant que pays arabe et la 9 ème mondiale en termes de consommation d'alcool. Et ce, selon une étude récente publiée par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS). Ainsi, la consommation d'alcool moyenne par personne en Tunisie est de 12.92 litres par an.19 févr. 2020
Moi j ai connu un tunisien qui mangais du porc et quand on allait manger une pitta chez les turc il demandait si la viande était halal bon maintenant il buvait et fumait des petar c est peu être ça qui avait rien de logique chez lui , par contre il était sympa.
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Edgar de Phelps- Vénérable
- Messages : 10345
Date d'inscription : 13/12/2022
Re: c est beau l islam
c est une personne embrigadé , comme les islamistes, lobotomisé
comme catholique, je pardonne, je ne peut pas avoir de haine((c est dure parfois)
Mon rôle est de lutter contre le mal, le faux témoin, Dieu, m'adresse la parole.
heureux- Postulant
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Re: c est beau l islam
Monsieur Phelps a écrit:heureux a écrit:a Tunisie occupe la 1ère place en tant que pays arabe et la 9 ème mondiale en termes de consommation d'alcool. Et ce, selon une étude récente publiée par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS). Ainsi, la consommation d'alcool moyenne par personne en Tunisie est de 12.92 litres par an.19 févr. 2020
Moi j ai connu un tunisien qui mangais du porc et quand on allait manger une pitta chez les turc il demandait si la viande était halal bon maintenant il buvait et fumait des petar c est peu être ça qui avait rien de logique chez lui , par contre il était sympa.
dont bien des religions, surtout les plus extrémiste, il ne faut pas gratter le vernis
Les hommes sont gentils, c'est l'extrémiste qui fait du mal.
heureux- Postulant
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Date d'inscription : 06/06/2023
Re: c est beau l islam
Abrahamique d'accord , Ismaël avait été séparé, de son demi frère Isaac et de son père , par la volonté de sa femme Sara qui enfanta Isaac , par la Volonté de Dieu , alors qu'Ismaël ne l'était pas!!Vladimir de Volog красны a écrit:
Il oublie le principal, lheureux du jour,
c'est que dans les religions abrahamiques s'y trouvent ;
le judaïsme,
le christianisme
l'islam.
Frère Barnabé- Vénérable
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