Un poisson nommé Wanda

[Compte supprimé Ejainiste]

e 25 octobre 1997, Sylvio Barbosa, jeune Brésilien de 23 ans, barbote dans le fleuve Amazone près de son village de Itacoatiara, au centre du Brésil, quand une envie pressante le prend. Il extrait son pénis et commence à uriner paisiblement. Le puissant jet n'a que quelques centimètres à franchir avant de se mêler à l'eau du fleuve. Tout à son soulagement, Sylvio observe, sans se méfier, un petit poisson, long et blanchâtre, s'approcher de lui. Le malheureux ! D'une seule détente, le frétillant gardon remonte le jet d'urine et s'engouffre dans l'urètre. Sidéré, Sylvio se porte immédiatement au secours de son organe. Il tente de saisir l'agresseur avant qu'il ne soit trop engagé. Mais celui-ci lui glisse entre les doigts avant de disparaître à l'intérieur.

Le jeune homme sent l'intrus remonter dans son urètre provoquant d'affreuses douleurs. Il appelle à l'aide ses amis, qui ne savent pas que faire pour le soulager. Le poisson en question est un candiru, long d'une douzaine de centimètres. Habituellement, il s'introduit dans les ouïes des poissons pour se fixer à la paroi et sucer le sang. L'agresseur de Sylvio a-t-il confondu le méat de son pénis avec une ouïe de poisson ? C'est bien possible. De tout temps, les candirus ont eu cette réputation d'invité surprise. Si le jeune homme se tortille de douleur, son visiteur n'est pas non plus au mieux. Après son ascension dans l'urètre, le voilà bloqué par le sphincter contrôlant l'urine. Impossible de faire demi-tour. Pris au piège, il meurt.

Trois jours après la pénétration, l'oncle de Sylvio appelle la clinique d'un urologue réputé, le docteur Anoar Samad. Celui-ci se souvient : « Au début, j'ai cru que c'était une blague. En plus de saigner, le patient ne pouvait plus uriner. Ayant pratiqué une cytoscopie, j'ai pu identifier un candiru. » Dans sa publication scientifique consacrée à ce cas, le médecin note : « Le poisson occupait tout l'urètre antérieur près du sphincter urinaire, le muscle qui contrôle l'urine. Apparemment, lorsqu'il était encore vivant, le poisson a tenté de pénétrer dans le scrotum. Nous avons pensé à ouvrir le périnée et à l'enlever de cette façon, mais nous avons réussi à l'enlever par endoscopie. »


L'opération dure deux heures. Utilisant un endoscope et une minicaméra, le Dr Samad retire l'infâme candiru au moyen d'une pince crocodile. Deux jours plus tard, Sylvio ressort de l'hôpital sans aucune séquelle, prêt à se lancer dans de nouvelles aventures. Par la suite, un autre urologue, le professeur Edinbergh, publia quelques conseils pour éviter toute répétition de cette mésaventure : « En pénétrant dans l'eau, ne soyez pas nu, n'urinez pas et ne déféquez pas. Les femmes ne doivent pas avoir leurs règles car le sang attire les candirus. » Depuis, Sylvio prend soin de se vider la vessie avant de faire trempette.

===================

Imaginons que le poisson aurait été un petit piranha

[Jeannot Lapin]

e 25 octobre 1997, Sylvio Barbosa, jeune Brésilien de 23 ans, barbote dans le fleuve Amazone près de son village de Itacoatiara, au centre du Brésil, quand une envie pressante le prend. Il extrait son pénis et commence à uriner paisiblement. Le puissant jet n'a que quelques centimètres à franchir avant de se mêler à l'eau du fleuve. Tout à son soulagement, Sylvio observe, sans se méfier, un petit poisson, long et blanchâtre, s'approcher de lui. Le malheureux ! D'une seule détente, le frétillant gardon remonte le jet d'urine et s'engouffre dans l'urètre. Sidéré, Sylvio se porte immédiatement au secours de son organe. Il tente de saisir l'agresseur avant qu'il ne soit trop engagé. Mais celui-ci lui glisse entre les doigts avant de disparaître à l'intérieur.

Le jeune homme sent l'intrus remonter dans son urètre provoquant d'affreuses douleurs. Il appelle à l'aide ses amis, qui ne savent pas que faire pour le soulager. Le poisson en question est un candiru, long d'une douzaine de centimètres. Habituellement, il s'introduit dans les ouïes des poissons pour se fixer à la paroi et sucer le sang. L'agresseur de Sylvio a-t-il confondu le méat de son pénis avec une ouïe de poisson ? C'est bien possible. De tout temps, les candirus ont eu cette réputation d'invité surprise. Si le jeune homme se tortille de douleur, son visiteur n'est pas non plus au mieux. Après son ascension dans l'urètre, le voilà bloqué par le sphincter contrôlant l'urine. Impossible de faire demi-tour. Pris au piège, il meurt.

Trois jours après la pénétration, l'oncle de Sylvio appelle la clinique d'un urologue réputé, le docteur Anoar Samad. Celui-ci se souvient : « Au début, j'ai cru que c'était une blague. En plus de saigner, le patient ne pouvait plus uriner. Ayant pratiqué une cytoscopie, j'ai pu identifier un candiru. » Dans sa publication scientifique consacrée à ce cas, le médecin note : « Le poisson occupait tout l'urètre antérieur près du sphincter urinaire, le muscle qui contrôle l'urine. Apparemment, lorsqu'il était encore vivant, le poisson a tenté de pénétrer dans le scrotum. Nous avons pensé à ouvrir le périnée et à l'enlever de cette façon, mais nous avons réussi à l'enlever par endoscopie. »


L'opération dure deux heures. Utilisant un endoscope et une minicaméra, le Dr Samad retire l'infâme candiru au moyen d'une pince crocodile. Deux jours plus tard, Sylvio ressort de l'hôpital sans aucune séquelle, prêt à se lancer dans de nouvelles aventures. Par la suite, un autre urologue, le professeur Edinbergh, publia quelques conseils pour éviter toute répétition de cette mésaventure : « En pénétrant dans l'eau, ne soyez pas nu, n'urinez pas et ne déféquez pas. Les femmes ne doivent pas avoir leurs règles car le sang attire les candirus. » Depuis, Sylvio prend soin de se vider la vessie avant de faire trempette.

===================

Imaginons que le poisson aurait été un petit piranha

Le piranha ne remonte pas le jet d'urine. Sérieusement, ce poisson, le condiru, c'est une vrai saloperie.

[Edgar de Phelps]

e 25 octobre 1997, Sylvio Barbosa, jeune Brésilien de 23 ans, barbote dans le fleuve Amazone près de son village de Itacoatiara, au centre du Brésil, quand une envie pressante le prend. Il extrait son pénis et commence à uriner paisiblement. Le puissant jet n'a que quelques centimètres à franchir avant de se mêler à l'eau du fleuve. Tout à son soulagement, Sylvio observe, sans se méfier, un petit poisson, long et blanchâtre, s'approcher de lui. Le malheureux ! D'une seule détente, le frétillant gardon remonte le jet d'urine et s'engouffre dans l'urètre. Sidéré, Sylvio se porte immédiatement au secours de son organe. Il tente de saisir l'agresseur avant qu'il ne soit trop engagé. Mais celui-ci lui glisse entre les doigts avant de disparaître à l'intérieur.

Le jeune homme sent l'intrus remonter dans son urètre provoquant d'affreuses douleurs. Il appelle à l'aide ses amis, qui ne savent pas que faire pour le soulager. Le poisson en question est un candiru, long d'une douzaine de centimètres. Habituellement, il s'introduit dans les ouïes des poissons pour se fixer à la paroi et sucer le sang. L'agresseur de Sylvio a-t-il confondu le méat de son pénis avec une ouïe de poisson ? C'est bien possible. De tout temps, les candirus ont eu cette réputation d'invité surprise. Si le jeune homme se tortille de douleur, son visiteur n'est pas non plus au mieux. Après son ascension dans l'urètre, le voilà bloqué par le sphincter contrôlant l'urine. Impossible de faire demi-tour. Pris au piège, il meurt.

Trois jours après la pénétration, l'oncle de Sylvio appelle la clinique d'un urologue réputé, le docteur Anoar Samad. Celui-ci se souvient : « Au début, j'ai cru que c'était une blague. En plus de saigner, le patient ne pouvait plus uriner. Ayant pratiqué une cytoscopie, j'ai pu identifier un candiru. » Dans sa publication scientifique consacrée à ce cas, le médecin note : « Le poisson occupait tout l'urètre antérieur près du sphincter urinaire, le muscle qui contrôle l'urine. Apparemment, lorsqu'il était encore vivant, le poisson a tenté de pénétrer dans le scrotum. Nous avons pensé à ouvrir le périnée et à l'enlever de cette façon, mais nous avons réussi à l'enlever par endoscopie. »


L'opération dure deux heures. Utilisant un endoscope et une minicaméra, le Dr Samad retire l'infâme candiru au moyen d'une pince crocodile. Deux jours plus tard, Sylvio ressort de l'hôpital sans aucune séquelle, prêt à se lancer dans de nouvelles aventures. Par la suite, un autre urologue, le professeur Edinbergh, publia quelques conseils pour éviter toute répétition de cette mésaventure : « En pénétrant dans l'eau, ne soyez pas nu, n'urinez pas et ne déféquez pas. Les femmes ne doivent pas avoir leurs règles car le sang attire les candirus. » Depuis, Sylvio prend soin de se vider la vessie avant de faire trempette.

===================

Imaginons que le poisson aurait été un petit piranha

Y a quand même des sale bête

[Frère Barnabé]

il pensait être un spermatozoïde  qui voulait remonter à la source par le canal

[Edgar de Phelps]

J ai déjà vu en Afrique ta un oiseau qui chie dans l eau genre rivière lac et les africain boivent cette eau, après ça fait un genre de verre en eux . Rien qu en parler j ai envie de tomber dans les pommes, ta dés sale truc .

[Minos de Rhadamanthe]

Pourtant des bestiaux qui vivent aux crochets des autres, en France, on en a des millions...!
Et ils sont LARGEMENT plus gros qu'un petit poisson !!
En plus, on les autorise, pire, on les encourage, à se reproduire...!

[Revanchisti]

Moi je te ferai construire des cannaux d'irrigation alimentés par de nouveaux châteaux d'eau. Le tout alimenté en haut de mer dessalée, avec de nouvelles centrales pour rentabiliser le tout. Je m'occuperait du financement et de la loggistique. On aura pas vu de projet aussi vaste depuis l'équipement au tout égout. Sachez que rien pour Londres il y a 13 000 miles de tuyau a l'origine. Dès 1870 ça faisait la moitié de la circonférence de la terre.

Mais non, on ne me laissrra pas moi ni personne faite ça.

[Contenu sponsorisé]