Le policier incarcéré "ne dit pas la vérité

[Vladimir de Volog]

Le policier incarcéré "ne dit pas la vérité

Maintien en détention du policier soupçonné de violences sur Hedi.

Mis en examen, le policier de la BAC de Marseille reconnaît pour la première fois avoir tiré au LBD. Sa demande de remise en liberté vient d'être rejetée par le tribunal, il est maintenu en détention.

La chambre de l'instruction de la cour d'appel d'Aix-en-Provence a prononcé, jeudi 3 août, le maintien en détention provisoire du policier soupçonné de violences à l'encontre d'Hedi début juillet à Marseille.

"Le policier a avoué, nous avons enfin des aveux, qu'il était le tireur de LBD. C'est lui qui a tiré sur Hedi. Jusqu'à présent, tout le monde niait", a quant à lui déclaré Jacques Preziosi. "Cet aveu est un aveu coupable, a-t-il ajouté. Il est coupable d'avoir encore menti. Il raconte des choses complétement incohérentes et raconte des histoires sur un ton miséreux."

Selon l'avocat du jeune homme, le policier incarcéré "ne dit pas la vérité pleine et entière".

[patatisanspatata]

Le policier incarcéré "ne dit pas la vérité

Maintien en détention du policier soupçonné de violences sur Hedi.

Mis en examen, le policier de la BAC de Marseille reconnaît pour la première fois avoir tiré au LBD. Sa demande de remise en liberté vient d'être rejetée par le tribunal, il est maintenu en détention.

La chambre de l'instruction de la cour d'appel d'Aix-en-Provence a prononcé, jeudi 3 août, le maintien en détention provisoire du policier soupçonné de violences à l'encontre d'Hedi début juillet à Marseille.

"Le policier a avoué, nous avons enfin des aveux, qu'il était le tireur de LBD. C'est lui qui a tiré sur Hedi. Jusqu'à présent, tout le monde niait", a quant à lui déclaré Jacques Preziosi. "Cet aveu est un aveu coupable, a-t-il ajouté. Il est coupable d'avoir encore menti. Il raconte des choses complétement incohérentes et raconte des histoires sur un ton miséreux."

Selon l'avocat du jeune homme, le policier incarcéré "ne dit pas la vérité pleine et entière".

Répondre en citantLe policier incarcéré "ne dit pas la vérité

Il y a pas que lui .

[Charlotte d'Ortega]

Le policier incarcéré "ne dit pas la vérité

Maintien en détention du policier soupçonné de violences sur Hedi.

Mis en examen, le policier de la BAC de Marseille reconnaît pour la première fois avoir tiré au LBD. Sa demande de remise en liberté vient d'être rejetée par le tribunal, il est maintenu en détention.

La chambre de l'instruction de la cour d'appel d'Aix-en-Provence a prononcé, jeudi 3 août, le maintien en détention provisoire du policier soupçonné de violences à l'encontre d'Hedi début juillet à Marseille.

"Le policier a avoué, nous avons enfin des aveux, qu'il était le tireur de LBD. C'est lui qui a tiré sur Hedi. Jusqu'à présent, tout le monde niait", a quant à lui déclaré Jacques Preziosi. "Cet aveu est un aveu coupable, a-t-il ajouté. Il est coupable d'avoir encore menti. Il raconte des choses complétement incohérentes et raconte des histoires sur un ton miséreux."

Selon l'avocat du jeune homme, le policier incarcéré "ne dit pas la vérité pleine et entière".

Selon l'avocat de Hedi,
Qui lui défend son client, c'est le rôle d'un avocat, il a droit à dire ce qu'il veut
et cela même si les propos peuvent-être blessants, voir irréalistes dans certains cas,
les raisons : C'est un avocat.
Par contre : Il n'est pas l'IGPN

[Vladimir de Volog]

9 enquêtes de violences policières ont été confiées à l'IGPN, après des tirs lors des émeutes.

Sur la trentaine d'enquêtes confiées à l'IGPN portant sur des soupçons de violences commises par des policiers, au moins un tiers de ces enquêtes concernent des jeunes hommes qui ont perdu un œil ou ont été très grièvement mutilés.
Mehdi figure parmi ces cas. Le jeune homme âgé de 21 ans se trouvait à Saint-Denis le 29 juin au milieu des émeutes lorsqu’il a été visé par un tir de LBD. Il a été pris pour cible au niveau du visage par un policier qui se trouvait à moins de 10 mètres de lui. Le jeune homme, qui se destinait à une carrière sportive qu’il va devoir abandonner, a perdu l’usage d’un œil.
Après son dépôt de plainte, le parquet de Bobigny a ouvert une enquête pour "violences volontaires ayant entraîné une infirmité permanente" et les investigations ont été confiées à l’IGPN.
À Montreuil, Nathaniel a reçu un projectile dans la nuit du 28 au 29 juin alors qu’il se trouvait dans la rue avec un ami et qu’il ne participait pas aux émeutes. Il a perdu un œil à la suite de ce tir. Une enquête a depuis été ouverte et confiée à l’IGPN.
Virgil, âgé de 29 ans, raconte quant à lui avoir été éborgné le 29 juin à Nanterre aux alentours de minuit après la marche blanche organisée par les proches de Nahel. Le parquet de Nanterre a ouvert une enquête préliminaire pour "violences volontaires par personne dépositaire de l’autorité publique ayant entraîné une mutilation ou une infirmité permanente".
Lors de la soirée du 30 juin, Abdelkrim sort de chez lui pour rejoindre un ami à Marseille. La ville est ce soir-là en proie à de violentes émeutes. Non loin de la rue Saint-Ferréol, le jeune homme de 22 ans dit avoir été victime d'un projectile.
Abdelkrim a déposé plainte. Le parquet de Marseille a ouvert une enquête du chef de "violences volontaires en réunion ayant entraîné une mutilation ou infirmité permanente par personne dépositaire de l'autorité publique et avec arme". Cette enquête a été confiée à l'IGPN.
Une autre affaire porte sur des faits remontant au soir du 3 juillet. Un homme de 32 ans a été éborgné à Angers suite à l’usage du LBD peu après 20h dans le centre-ville. Dans un communiqué diffusé le 6 juillet, le parquet d’Angers indique qu’une enquête a été ouverte et qu’il l’a confiée à l’IGPN.
Le parquet indique que "les premiers éléments médicaux, qui restent à vérifier par expertise, imputent l’origine de la blessure à un tir de balles de défense".
En Meurthe-et-Moselle, un jeune homme a reçu un tir au visage le 30 juin dernier. Selon sa famille, Aimène, 25 ans, se déplaçait en voiture dans la soirée à Mont-Saint-Martin. La vitre de son véhicule était ouverte. Il souhaitait se rendre à la pompe à essence lorsqu’il a reçu un projectile au visage. Il est, depuis, dans le coma.
Le parquet de Val-de-Briey a depuis ouvert une enquête préliminaire pour "violences volontaires par personne dépositaire de l'autorité publique". Selon la procureure de Val-de-Briey "l’hypothèse que le jeune homme a reçu un tir du Raid est privilégiée. L’enquête a établi qu’ils ont utilisé des armes intermédiaires de type grenades, LBD et "bean bag".
Dans la nuit du 1er au 2 juillet, Mohamed B., livreur Uber de 27 ans, est quant à lui retrouvé inanimé à 1h15, près de son scooter, au 119 cours Lieutaud à Marseille. L'autopsie réalisée révèle que cet arrêt cardiaque a été consécutif à un choc violent reçu à la poitrine. Selon le parquet de Marseille, l'impact aurait été causé par un objet qui n'est ni contondant, ni perforant mais sphérique. D'après la procureure de Marseille, il pourrait correspondre à un tir de LBD.
"Les éléments de l'enquête permettent de retenir comme probable un décès causé par un choc violent au niveau du thorax causé par le tir d'un projectile de type flashball".
Le parquet de Marseille a ouvert, le 4 juillet, une information judiciaire pour "coups mortels avec usage ou menace d'une arme". À la date du 25 juillet, aucune interpellation n'avait eu lieu.

[Vladimir de Volog]

Récapitulatif de l’affaire d’Hedi : des violences et des mensonges...

- La chef de section a menti en affirmant qu’aucun LBD n’avait été utilisé le soir où Hedi a été gravement blessé. (BFMTV)

- Après avoir nié dans un premier temps, le policier incarcéré a changé de version et a reconnu avoir utilisé son LBD. Il va rester en détention provisoire. Sa demande de remise en liberté a été rejetée.
- Le plus gradé des policiers mis en cause a affirmé « ne jamais avoir frappé quelqu’un qui se trouvait au sol ». Confronté à la vidéosurveillance, il a finalement admis l’avoir fait...
- L’un des 4 policiers mis en examen est déjà inquiété dans le très violent tabassage d'une jeune femme à Marseille en 2018 par plusieurs policiers. La victime a eu le crâne fracturé après avoir été rouée de coups de pied et de matraque quand elle était au sol. (Mediapart)
- Un autre policier de la BAC présent le soir du tabassage de Hedi est soupçonné d’avoir rédigé un faux PV pour couvrir des violences commises par ses collègues dans un autre affaire. (Mediapart)

- La hiérarchie policière [jusqu'à son sommet] a soutenu ses troupes en remettant en cause la justice. Les policiers ont applaudi leurs collègues et se sont mis en arrêt maladie pour les soutenir. Cette méthode n'a fait réagir ni les autorités, ni l'assurance maladie... Des médecins ont dénoncé cette situation dans une tribune publiée par La Croix.


- Plusieurs caméras de surveillance appuient les témoignages d’Hedi et de son ami Lilian, indique le parquet d’Aix-en-Provence...

[Vladimir de Volog]

Le réquisitoire judiciaire sur le moment ou Hedi a été défiguré est accablant. Si ce policier est en détention provisoire c’est pour des faits graves, et car il a MENTI.

Ceux qui ont applaudi, qui ont fait grève, ou mis la pression pour le couvrir ont perdu leur honneur

David Guiraud

[Edgar de Phelps]

Le policier incarcéré "ne dit pas la vérité

Maintien en détention du policier soupçonné de violences sur Hedi.

Mis en examen, le policier de la BAC de Marseille reconnaît pour la première fois avoir tiré au LBD. Sa demande de remise en liberté vient d'être rejetée par le tribunal, il est maintenu en détention.

La chambre de l'instruction de la cour d'appel d'Aix-en-Provence a prononcé, jeudi 3 août, le maintien en détention provisoire du policier soupçonné de violences à l'encontre d'Hedi début juillet à Marseille.

"Le policier a avoué, nous avons enfin des aveux, qu'il était le tireur de LBD. C'est lui qui a tiré sur Hedi. Jusqu'à présent, tout le monde niait", a quant à lui déclaré Jacques Preziosi. "Cet aveu est un aveu coupable, a-t-il ajouté. Il est coupable d'avoir encore menti. Il raconte des choses complétement incohérentes et raconte des histoires sur un ton miséreux."

Selon l'avocat du jeune homme, le policier incarcéré "ne dit pas la vérité pleine et entière".

Desfois dire la vérité est pas bon, regarde les hommes politique t’a déjà vu un homme politique dire la vérité? Obliger d arranger la vérité, desfois ça ce fait , les gouvernements font toujours ça .

[Compte supprimé Ejainiste]

C'est à vérifier mais "à ce qu'il parait" notre brave jeune homme serait sorti avec un masque anti covid (on n'est jamais trop prudent ) et avec une capuche sur la tête ( pour se protéger du froid )

Si cela s'avère vrai c'est encore un ange déchu, non !?

[André de Montalembert]

C'est à vérifier mais "à ce qu'il parait" notre brave jeune homme serait sorti avec un masque anti covid (on n'est jamais trop prudent ) et avec une capuche sur la tête ( pour se protéger du froid )

Si cela s'avère vrai c'est encore un ange déchu, non !?

D'après les vidéos, que les policiers ont dans un premier temps cherché à faire disparaitre (*), il avait une capuche , mais pas in masque, mieux lors de l'impact il avait la tète découverte!
(*) D'ou l'emprisonnement pour éviter un nouvel accord mensonger!

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