Re: Les morts palestiniens à Gaza depuis le 7 octobre :

[Vladimir de Volog]

La France n’a pas prévu de nouveau versement à UNRWA (agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens) au premier trimestre 2024.
L’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens est au centre d’une polémique depuis l’annonce vendredi que douze de ses employés étaient suspectés d’avoir participé à l’attaque sanglante du Hamas dans le sud d’Israël le 7 octobre.
Plusieurs pays, dont les Etats-Unis et le Royaume-Uni, ont suspendu leur financement à l’UNRWA, après que l’institution a annoncé qu’elle se séparait de plusieurs employés accusés par Israël d’être impliqués dans l’attaque sanglante du Hamas le 7 octobre 2023.
Paris a annoncé ce dimanche 28 janvier son intention de suspendre tout « nouveau versement au premier semestre 2024 » à l’Unrwa, l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens.

[Maledico Proditores]

Comment peut on laisser ces enfants mourir de faim ?

[Vladimir de Volog]

« La France n’a pas prévu de nouveau versement au premier semestre 2024 et décidera le moment venu de la conduite à tenir en lien avec les Nations unies et les principaux donateurs », dont fait partie Paris avec 60 millions d’euros versés en 2023 à l’Unrwa, affirme dans un communiqué le ministère des Affaires étrangères, évoquant des accusations d’une « exceptionnelle gravité ».

[dany26]

« La France n’a pas prévu de nouveau versement au premier semestre 2024 et décidera le moment venu de la conduite à tenir en lien avec les Nations unies et les principaux donateurs », dont fait partie Paris avec 60 millions d’euros versés en 2023 à l’Unrwa, affirme dans un communiqué le ministère des Affaires étrangères, évoquant des accusations d’une « exceptionnelle gravité ».

Bravo enfin , une attitude courageuse et autoritaire, il faudrait aussi qu'elle le fasse en France , avec les aides sociales ou la CMU par exemple , pour les personnes qui sont en situation irrégulière dans un premier temps !!Des millairds d'Euros d'économie
aller un peu de courage, chez nous pour une fois !!!

amicalement

[André de Montalembert]

« La France n’a pas prévu de nouveau versement au premier semestre 2024 et décidera le moment venu de la conduite à tenir en lien avec les Nations unies et les principaux donateurs », dont fait partie Paris avec 60 millions d’euros versés en 2023 à l’Unrwa, affirme dans un communiqué le ministère des Affaires étrangères, évoquant des accusations d’une « exceptionnelle gravité ».

Bravo  enfin  , une attitude  courageuse et autoritaire, il faudrait  aussi  qu'elle  le fasse  en France , avec les  aides  sociales   ou la CMU par exemple ,  pour  les personnes   qui sont en situation irrégulière   dans un premier  temps !!Des millairds  d'Euros  d'économie
aller un peu de courage, chez nous pour une fois !!!

amicalement

Elle en donne pas mal pour les réfugiés Ukrainiens et de bien d'autres pays !
Quand on vois tout ces français qui s'installent à l'Etranger tout en touchant leurs retraite versée par des travailleurs en france!

[Ombeline de Beaurivage]

Elle en donne pas mal pour les réfugiés Ukrainiens et de bien d'autres pays !
Quand on vois tout ces français qui s'installent à l'Etranger tout en touchant leurs retraite versée par des travailleurs en france!

et si ces français ont travaillé en France et ont payé pour leur retraite ,tu dis quoi??
 ils sont surement plus légitimes que les algériens  qui sont repartis en Algérie ,qui sont DCD et dont les enfants touchent toujours les  retraites 
comme tous ces étrangers qui entrent illégitimement en France et qui perçoivent des aides 
alors cher André ,il va peut être falloir un jour fermer les robinets  et rendre à César ce qui appartient à César    aux  profiteurs

[dany26]

Quand on vois tout ces français qui s'installent à l'Etranger tout en touchant leurs retraite versée par des travailleurs en france!

tu oublies de dire qu'ils ont payé toutes leurs vie leurs retraites en France !!
si ils partent à l'étranger c'est que la France est devenu un enfer

amicalement

[beced]

COUR INTERNATIONALE DE JUSTICE : VICTOIRE D'ISRAEL AUX POINTS  
L’analyse de la décision du tribunal -Par Amram Castellion


Vendredi dernier 26 janvier, quelques heures avant le début des cérémonies du Jour International de Mémoire de l’Holocauste, la Cour Internationale de Justice a rendu une ordonnance provisoire en réponse à la requête de l’Afrique du Sud contre Israël. L’Afrique du Sud demandait que la Cour reconnaisse en première analyse – sans préjuger du jugement au fond, qui ne viendra pas avant plusieurs années – que certaines actions d’Israël dans les combats de Gaza constituent des infractions à la Convention de Prévention du Génocide du 9 décembre 1948.
L’Afrique du Sud demandait également que la Cour, en attendant le jugement au fond, ordonne à titre provisoire un certain nombre de mesures contre Israël, y compris un cessez-le-feu immédiat (comme elle l’a ordonné, par exemple, en 2022 contre la Russie à l’occasion de l’invasion de l’Ukraine).
De manière assez étonnante, depuis la publication de cette ordonnance les deux parties ont exprimé leur satisfaction au vu du résultat. Le Premier ministre Netanyahu a ainsi déclaré "la vile tentative de priver Israël de ce droit fondamental (le droit de se défendre) … a été justement rejetée". Un représentant du Hamas, Sami Abu Zuhri, a déclaré que l’ordonnance de la Cour "est un développement important qui contribue à isoler l’occupation et à exposer ses crimes à Gaza" et a appelé Israël à appliquer immédiatement les décisions de la Cour. Les éléments de langage du Hamas ont été repris à peu près à l’identique par ses admirateurs en Afrique du Sud et dans les organisations internationales.
Cette situation, dans laquelle deux parties irréconciliables se disent toutes deux satisfaites du résultat, fait plutôt penser à un compromis politique qu’à une décision de justice, dans laquelle il y a généralement un gagnant et un perdant clairs. J’ai donc lu la décision dans le détail, pour comprendre ce qui pouvait provoquer ce résultat paradoxal.
Cette lecture confirme que l’ordonnance de la Cour, tout en utilisant naturellement le langage du droit, semble avoir largement été influencée (comme il arrive souvent) par la volonté de parvenir à un résultat politiquement acceptable pour les Etats ayant expressément accepté la juridiction obligatoire de la Cour Internationale de Justice.
L’ordonnance permet aussi – avec toute la prudence nécessaire pour parler d’un résultat final qui ne sera pas atteint avant plusieurs années – de prévoir en partie les prochaines étapes qui conduiront à un jugement sur le fond. Malgré une ordonnance provisoire qui contient des décisions manifestement biaisées en défaveur d’Israël, les mesures envisagées permettent de prévoir avec un bon degré de certitude que la situation juridique devrait évoluer favorablement à l’avenir.
L’ordonnance commence par reconnaître l’existence d’un différend entre l’Afrique du Sud et Israël. La Cour se prononce ainsi contre les demandes du principal avocat d’Israël, le Professeur Malcolm Shaw (auteur de l’ouvrage de référence sur le droit international). Le Professeur avait fait remarquer que l’Afrique du Sud avait déposé son recours sans laisser à Israël la possibilité de présenter ses arguments dans une réunion en réponse à ses accusations.
La justification de la Cour est que l’existence d’un différend est un constat objectif, qui n’est pas soumis à des obligations formelles particulières : puisque les deux pays ne sont manifestement pas d’accord, un différend existe, même s’il n’a pas été constaté à la suite d’une procédure contradictoire.

Cette décision – qui devrait faire jurisprudence – est aussi défendable que l’opinion contraire. Comme toujours, le droit ne conduit pas à une décision plutôt qu’une autre (sans quoi on ne verrait pas des avocats, aussi bons juristes les uns que les autres, s’affronter sur tous les sujets) : il offre uniquement un certain nombre d’outils de raisonnement qui peuvent être combinés de différentes manières pour parvenir à des conclusions opposées.
En revanche, la décision de la Cour sur les critères de l’existence d’un différend aura inévitablement pour conséquence de décourager à l’avenir les procédures de conciliation et risque d’encombrer la Cour de requêtes qui auraient pu être résolues par des concertations entre Etats.
L’ordonnance en vient ensuite à sa première décision au fond : celle qui porte sur l’applicabilité de la convention de 1948 sur le Génocide. L’Afrique du Sud affirmait que le comportement d’Israël à Gaza est constitutif d’actes de génocide selon la définition de cette convention, c’est-à-dire la destruction intentionnelle de tout ou partie d’un groupe humain.
C’est à ce moment qu’intervient la première véritable étrangeté juridique dans le raisonnement de la Cour – et le premier signe que ce raisonnement est motivé politiquement plutôt que juridiquement : Israël avait fait valoir que l’intention génocidaire n’aurait pu exister que si des ordres avaient été donnés à cet effet. Il avait transmis à la Cour les comptes-rendus du cabinet de défense et les ordres de l’état-major qui montraient, au contraire, la préoccupation constante de préserver autant que possible la vie des civils. Or la Cour, qui cite ces déclarations, ne tient aucun compte de ces éléments de preuve.

Par ailleurs, Israël, tout en reconnaissant le contexte humanitaire difficile dans la bande de Gaza, avait indiqué que cette situation relève du droit humanitaire en temps de guerre, qui oblige à faire des efforts pour protéger les civils (sans interdire pour autant de les viser lorsque le dommage causé sera proportionné par rapport à l’objectif militaire, notamment lorsque ces civils sont utilisés comme boucliers humains par l’une des parties). Le droit humanitaire est totalement distinct de la prévention du génocide : il s’applique dans à peu près toutes les situations de guerre et personne ne conteste sa validité dans le cas de Gaza.

Au lieu de reconnaître cette distinction pourtant évidente, l’ordonnance de la Cour se livre à une contorsion intellectuelle particulièrement osée. Elle commence par rappeler – ce qui est parfaitement exact – qu’elle n’a pas besoin, à ce stade, de décider si des actes de génocide se sont vraiment produits. Cela sera le sujet du jugement au fond, dans plusieurs années ; pour l’instant, la Cour doit seulement décider si l’existence de tels actes est plausible. Jusqu’ici, il n’y a rien à redire...

[Edgar de Phelps]

COUR INTERNATIONALE DE JUSTICE : VICTOIRE D'ISRAEL AUX POINTS  
L’analyse de la décision du tribunal -Par Amram Castellion


Vendredi dernier 26 janvier, quelques heures avant le début des cérémonies du Jour International de Mémoire de l’Holocauste, la Cour Internationale de Justice a rendu une ordonnance provisoire en réponse à la requête de l’Afrique du Sud contre Israël. L’Afrique du Sud demandait que la Cour reconnaisse en première analyse – sans préjuger du jugement au fond, qui ne viendra pas avant plusieurs années – que certaines actions d’Israël dans les combats de Gaza constituent des infractions à la Convention de Prévention du Génocide du 9 décembre 1948.
L’Afrique du Sud demandait également que la Cour, en attendant le jugement au fond, ordonne à titre provisoire un certain nombre de mesures contre Israël, y compris un cessez-le-feu immédiat (comme elle l’a ordonné, par exemple, en 2022 contre la Russie à l’occasion de l’invasion de l’Ukraine).
De manière assez étonnante, depuis la publication de cette ordonnance les deux parties ont exprimé leur satisfaction au vu du résultat. Le Premier ministre Netanyahu a ainsi déclaré "la vile tentative de priver Israël de ce droit fondamental (le droit de se défendre) … a été justement rejetée". Un représentant du Hamas, Sami Abu Zuhri, a déclaré que l’ordonnance de la Cour "est un développement important qui contribue à isoler l’occupation et à exposer ses crimes à Gaza" et a appelé Israël à appliquer immédiatement les décisions de la Cour. Les éléments de langage du Hamas ont été repris à peu près à l’identique par ses admirateurs en Afrique du Sud et dans les organisations internationales.
Cette situation, dans laquelle deux parties irréconciliables se disent toutes deux satisfaites du résultat, fait plutôt penser à un compromis politique qu’à une décision de justice, dans laquelle il y a généralement un gagnant et un perdant clairs. J’ai donc lu la décision dans le détail, pour comprendre ce qui pouvait provoquer ce résultat paradoxal.
Cette lecture confirme que l’ordonnance de la Cour, tout en utilisant naturellement le langage du droit, semble avoir largement été influencée (comme il arrive souvent) par la volonté de parvenir à un résultat politiquement acceptable pour les Etats ayant expressément accepté la juridiction obligatoire de la Cour Internationale de Justice.
L’ordonnance permet aussi – avec toute la prudence nécessaire pour parler d’un résultat final qui ne sera pas atteint avant plusieurs années – de prévoir en partie les prochaines étapes qui conduiront à un jugement sur le fond. Malgré une ordonnance provisoire qui contient des décisions manifestement biaisées en défaveur d’Israël, les mesures envisagées permettent de prévoir avec un bon degré de certitude que la situation juridique devrait évoluer favorablement à l’avenir.
L’ordonnance commence par reconnaître l’existence d’un différend entre l’Afrique du Sud et Israël. La Cour se prononce ainsi contre les demandes du principal avocat d’Israël, le Professeur Malcolm Shaw (auteur de l’ouvrage de référence sur le droit international). Le Professeur avait fait remarquer que l’Afrique du Sud avait déposé son recours sans laisser à Israël la possibilité de présenter ses arguments dans une réunion en réponse à ses accusations.
La justification de la Cour est que l’existence d’un différend est un constat objectif, qui n’est pas soumis à des obligations formelles particulières : puisque les deux pays ne sont manifestement pas d’accord, un différend existe, même s’il n’a pas été constaté à la suite d’une procédure contradictoire.

Cette décision – qui devrait faire jurisprudence – est aussi défendable que l’opinion contraire. Comme toujours, le droit ne conduit pas à une décision plutôt qu’une autre (sans quoi on ne verrait pas des avocats, aussi bons juristes les uns que les autres, s’affronter sur tous les sujets) : il offre uniquement un certain nombre d’outils de raisonnement qui peuvent être combinés de différentes manières pour parvenir à des conclusions opposées.
En revanche, la décision de la Cour sur les critères de l’existence d’un différend aura inévitablement pour conséquence de décourager à l’avenir les procédures de conciliation et risque d’encombrer la Cour de requêtes qui auraient pu être résolues par des concertations entre Etats.
L’ordonnance en vient ensuite à sa première décision au fond : celle qui porte sur l’applicabilité de la convention de 1948 sur le Génocide. L’Afrique du Sud affirmait que le comportement d’Israël à Gaza est constitutif d’actes de génocide selon la définition de cette convention, c’est-à-dire la destruction intentionnelle de tout ou partie d’un groupe humain.
C’est à ce moment qu’intervient la première véritable étrangeté juridique dans le raisonnement de la Cour – et le premier signe que ce raisonnement est motivé politiquement plutôt que juridiquement : Israël avait fait valoir que l’intention génocidaire n’aurait pu exister que si des ordres avaient été donnés à cet effet. Il avait transmis à la Cour les comptes-rendus du cabinet de défense et les ordres de l’état-major qui montraient, au contraire, la préoccupation constante de préserver autant que possible la vie des civils. Or la Cour, qui cite ces déclarations, ne tient aucun compte de ces éléments de preuve.

Par ailleurs, Israël, tout en reconnaissant le contexte humanitaire difficile dans la bande de Gaza, avait indiqué que cette situation relève du droit humanitaire en temps de guerre, qui oblige à faire des efforts pour protéger les civils (sans interdire pour autant de les viser lorsque le dommage causé sera proportionné par rapport à l’objectif militaire, notamment lorsque ces civils sont utilisés comme boucliers humains par l’une des parties). Le droit humanitaire est totalement distinct de la prévention du génocide : il s’applique dans à peu près toutes les situations de guerre et personne ne conteste sa validité dans le cas de Gaza.

Au lieu de reconnaître cette distinction pourtant évidente, l’ordonnance de la Cour se livre à une contorsion intellectuelle particulièrement osée. Elle commence par rappeler – ce qui est parfaitement exact – qu’elle n’a pas besoin, à ce stade, de décider si des actes de génocide se sont vraiment produits. Cela sera le sujet du jugement au fond, dans plusieurs années ; pour l’instant, la Cour doit seulement décider si l’existence de tels actes est plausible. Jusqu’ici, il n’y a rien à redire...

Salut beced comment tu vas ?

[Clavier]

Il ne faut pas confondre " génocide " et " éradication de nuisibles " ......

[Ombeline de Beaurivage]

Il ne faut pas confondre " génocide " et  " éradication de nuisibles " ......

je suis bien d'accord avec toi  

[El Rachid Ibn Youssoufi]

Quand on vois tout ces français qui s'installent à l'Etranger tout en touchant leurs retraite versée par des travailleurs en france!

tu oublies  de dire qu'ils  ont payé  toutes  leurs vie  leurs retraites en France !!
si ils partent   à l'étranger  c'est que la France est   devenu un enfer

amicalement

Ou qu'ils veulent terminer leur vie avec du soleil, la plage et avec des légumes pas cher loin de la TVA

[dany26]

pour rester dans le sujet, vous n'avez même pas vu que les palestiniens essayent d'indiquer le nombre de mort palestinien, mais se refuse de donner le nombre de sauvages du Hamas morts, tué par les palestiniens!!!
Ils refusent de faire la distinction !!!
Etrange que personne ne dénonce ce type de propagande , odieuse !!
Non seulement le Hamas se sert des gazaouis , comme des boucliers humains, mais en plus ils cherchent à mélanger les morts, pour éviter de montrer la déculottée qu'ils prennent !!
J'espère que l'Israel va vite noyer tous les tunnels avec l'eau de la mer !!
amicalement


Amicalement

[crapulax]

pour rester  dans le sujet,  vous n'avez même pas vu   que  les palestiniens  essayent  d'indiquer   le nombre de mort  palestinien,   mais se refuse  de  donner   le nombre de sauvages   du Hamas    morts, tué   par les palestiniens!!!
Ils refusent  de faire  la distinction !!!
Etrange   que personne  ne dénonce  ce type de  propagande , odieuse !!
Non seulement   le Hamas  se  sert   des gazaouis , comme  des boucliers   humains,  mais en plus  ils cherchent   à mélanger   les morts,   pour éviter  de  montrer la déculottée  qu'ils  prennent !!
J'espère  que  l'Israel   va vite  noyer   tous les tunnels avec l'eau de la mer !!
amicalement
 

Amicalement

Nous aussi, on espère que quelqu'un te noieras, mais je sais pas si c'est pour autant qu'on a raison !!

[beced]

En marge de l'implication d'employés de l'UNRWA dans le pogrom du 7 octobre 2023, il est une fait connu et bien documenté par cette organsiation, est le contenu antisémite des livres scolaires des enfants palestiniens...Financésdonc par l'UE, l'Onu, et etc....

Des élèves d'une école de l'UNRWA à Jérusalem-Est déclarent que « poignarder les ju.ifs apporte le respect aux Palestiniens »
Dans une vidéo de 2022, découverte au milieu de la tempête actuelle autour de l'UNRWA en raison de la participation de ses employés au massacre du 7 octobre, on voit des étudiants d'une école de l'agence des Nations Unies répéter des choses horribles qu'on leur apprend : « Je suis prêt à commettre un attentat suicide ». ; Le ministère de l'Éducation ouvre une enquête

"Je suis prêt à commettre un attentat suicide", dit devant la caméra un élève d'une école de l'UNRWA à Jérusalem-Est, dans une vidéo filmée en 2022 par le Centre Bedein pour la recherche politique au Proche-Orient. Un autre étudiant dit que « nous devons combattre les ju.ifs pour prouver que nous sommes plus forts qu’eux ».

Les étudiants auraient déclaré que « poignarder et piétiner les ju.ifs apporte du respect aux Palestiniens », « Je suis prêt à commettre un attentat suicide » et « On nous apprend que les ju.ifs tuent nos enfants. Je vais les poignarder et les écraser. " L'un des étudiants déclare qu'« on nous enseigne qu'Al-Aqsa et toute la Palestine sont à nous », et un autre partage qu'« on nous enseigne que les ju.ifs sont des terroristes ».

...PS. Une variante de "cacher ce sein que je ne saurais voir"....
.

[beced]

[i]



La nièce d’Ismail Haniyeh (chef du mouvement terroriste Hamas) a accouché dans un hôpital israélien....

Le bébé est né prématurément à l’hôpital Soroka, où les médecins se battent pour sa vie ; plusieurs des sœurs d’Ismail Haniyeh ont la citoyenneté israélienne après avoir épousé des Bédouins ; Sa fille, sa petite-fille et son beau-frère sont également venus de Gaza pour recevoir des soins médicaux en Israël.
...
PS. Comme dirait l'autre .. "l'Orient compliqué"... 

[Vladimir de Volog]

Quand on vois tout ces français qui s'installent à l'Etranger tout en touchant leurs retraite versée par des travailleurs en france!

tu oublies  de dire qu'ils  ont payé  toutes  leurs vie  leurs retraites en France !!
si ils partent   à l'étranger  c'est que la France est   devenu un enfer

amicalement

Ou qu'ils veulent terminer leur vie avec du soleil, la plage et avec des légumes pas cher loin de la TVA

[Vladimir de Volog]

beced , ,ne vient pas pour débattre, mais pour bordéliser mon topic.




beced, sois franc, t'es le pseudo de qui ???

[Vladimir de Volog]

beced ,  ,ne vient pas pour débattre, mais pour bordéliser mon topic.




beced, sois franc, t'es le pseudo de qui  ???

beced ne s'est jamais présenté sur ce forum !!!!

aurait-il quelque chose à cacher ???


A lui d'avoir le courage de le dire ...

[Georges Baladin]

BECED EN SERRIEZ-VOUS !?

[Vladimir de Volog]

beced ,  ,ne vient pas pour débattre, mais pour bordéliser mon topic.




beced, sois franc, t'es le pseudo de qui  ???

beced ne s'est jamais présenté sur ce forum  !!!!

aurait-il quelque chose à cacher  ???


A lui d'avoir le courage de le dire  ...

[Georges Baladin]

[quote="Georges Baladin"]BECED EN SERRIEZ-VOUS !?

Propos insultants violant la charte du forum

[beced]

Chana Orloff  (1888- 1968) sculptrice figurative de nationalité française.
Distinction :Chevalier de la Légion d'honneur‎ (1925)


 

 
 




PS. Le 7 octobre 2023, trois membres de la famille de Chana Orloff (ayant fuit l'Ukraine suite à des pogroms de 1905) — dont Lilach Lea Kipnis, âgée de 60 ans, une des deux petites-nièces de l'artiste et son mari —, vivant au kibboutz Be'eri dans le sud d'Israël, sont tués par les terroristes du Hamas. Sept autres membres de la famille, dont trois enfants, sont retenus en otage...
((WIKIPEDIA))

[Clavier]

Pas de pitié pour les preneurs d'otages et la population complice ....

[Edgar de Phelps]

En marge de l'implication d'employés de l'UNRWA dans le pogrom du 7 octobre 2023, il est une fait connu et bien documenté par cette organsiation, est le contenu antisémite des livres scolaires des enfants palestiniens...Financésdonc par l'UE, l'Onu, et etc....

Des élèves d'une école de l'UNRWA à Jérusalem-Est déclarent que « poignarder les ju.ifs apporte le respect aux Palestiniens »
Dans une vidéo de 2022, découverte au milieu de la tempête actuelle autour de l'UNRWA en raison de la participation de ses employés au massacre du 7 octobre, on voit des étudiants d'une école de l'agence des Nations Unies répéter des choses horribles qu'on leur apprend : « Je suis prêt à commettre un attentat suicide ». ; Le ministère de l'Éducation ouvre une enquête

"Je suis prêt à commettre un attentat suicide", dit devant la caméra un élève d'une école de l'UNRWA à Jérusalem-Est, dans une vidéo filmée en 2022 par le Centre Bedein pour la recherche politique au Proche-Orient. Un autre étudiant dit que « nous devons combattre les ju.ifs pour prouver que nous sommes plus forts qu’eux ».

Les étudiants auraient déclaré que « poignarder et piétiner les ju.ifs apporte du respect aux Palestiniens », « Je suis prêt à commettre un attentat suicide » et « On nous apprend que les ju.ifs tuent nos enfants. Je vais les poignarder et les écraser. " L'un des étudiants déclare qu'« on nous enseigne qu'Al-Aqsa et toute la Palestine sont à nous », et un autre partage qu'« on nous enseigne que les ju.ifs sont des terroristes ».

...PS. Une variante de "cacher ce sein que je ne saurais voir"....  
.

Ça rappelle un peu les jeunesse en Allemagne durant la seconde guerre ou dans certain pays type Corée du Nord où les enfants subissent un vrai lavage de cerveau et son même conditionné à dénoncer leurs propre parent si ils critiquent le système. Même les parents ose pas parler devant leurs enfants

[Contenu sponsorisé]