L'extrême gauche antisémite, ultra-minoritaire (LFI), veut "nazifier" les légitimes protestations des victimes de l'insécurité et de l'immigration clandestine.

[Jean-Louis de Toqueville]

LFI et l'extrême gauche marxiste et antisémite tente de diaboliser en les "nazifiant" les légitimes oppositions qui se manifestent lorsque se produisent des attaques de citoyens se traduisant par des crimes et délits commis par une certaine population, majoritairement étrangère et immigrée.

Il faut bien reconnaître que les attaques récentes et répétées au couteau de paisibles citoyens par des étrangers islamisés n'arrange pas du tout les affaires à l'extrême gauche. La prise de conscience du peuple et des catégories défavorisées de voir la criminalité les toucher directement sous ses diverses facettes dérange fortement cette extrême gauche: le trafic de drogue explose et est généralisé à tout le pays, les vols, cambriolages et viols en série se multiplient, l'immigration clandestine est massive et ramène dans le pays toutes les racailles errantes, les odieuses attaques au couteau d'innocents par des fous de dieu, tués comme des chiens par ces apprentis islamistes, horrifie la population.

L'explosion de cette délinquance est le fait majoritaire d'immigrés d'hier ou d'aujourd'hui, de "français de papiers", de sans abri de mineurs délinquants et autres errants, de migrants clandestins livrés à eux-mêmes et volant pour survivre, etc...

En dépit des efforts que semble faire le gouvernement pour tenter d'endiguer ces crimes et délits, plus pour des raisons politiques que par souci d'efficacité, l'efficience de cette action est notamment entravée par les limites de la loi. En effet, les décisions judiciaires de juges laxistes, la censure de forme par le Conseil Constitutionnel ou la Cour de Cassation de décisions de condamnation de criminels, les limites étroites d'un droit européen non adapté aux circonstances du moment et enfermé dans des principes et des rêves "droits-de-l'hommistes" excessifs, tout ce fatras judiciaire entrave l'efficacité de la justice.

Les français, dans leur grande majorité, ne supportent plus cette situation. En dépit d'une focalisation communicante sur les quelques réussites dans la lutte contre la délinquance, rien n'est fait et rien ne peut être fait contre l'immense océan qu'est devenue la délinquance dans le pays. Les français voient d'abord ceci avant cela.

Peuple calme, intuitif et plutôt docile, nos compatriotes ne peuvent qu'assister impuissants au déferlement de violences et de méfaits qui gangrènent la société. Alors, à l'image des gilets jaunes de l'époque, écoeurés du constat amer de certaines situations qui les touchaient notamment le prix élevé de l'essence, ils ont eu quelques bribes de réactions de dénonciation et d'opposition tout à fait légitimes à la faveur de la survenance de deux ou trois incidents mortels.

N'étant pas des spécialistes de la manif ou du soulèvement, n'ayant pas les relais et méthodes pour organiser diverses protestations de rue, ils ont manifesté à leur façon leur colère, leur opposition à ces véritables criminels "étrangers" qui tuent au couteau (comme les moutons chez eux..).

Se sont ensuite agrégés à ces regroupements, d'un nombre de participants limité, quelques individus désaxés, adeptes du fascisme ou de théories voisines, portant parfois des signes ou pancartes odieux d'un temps et d'une idéologie révolue.

Mais réduire les réactions légitimes de ces citoyens révoltés par l'assassinat de proches, les exactions de voyous locaux ou les conséquences meurtrières du trafic de drogue à une "agitation fasciste", à la montée de l'extrême droite, voire à la résurgence d'un nouveau nazisme est complètement faux et ridicule et ne répond absolument pas aux inquiétudes exprimées.

La ficelle avec laquelle l'extrême gauche antisémite tente de détourner l'attention de l'inquiétude réelle de nos concitoyens en évoquant le fascisme est bien grosse. Curieusement, elle mêle ses propos à ceux du gouvernement, toujours habile à dénoncer "l'extrême droite" (tel l'arriviste piteux Véran...) pour camoufler ses lacunes et insuffisances en matière de sécurité et d'immigration.

L'alliance circonstancielle diabolique de la carpe et du lapin pour un sujet aussi grave et sérieux que celui-là va exploser à la figure de ces deux acteurs politiques d'obédience opposée. La majorité et le gouvernement seront mis à l'index par l'opinion du fait de leur incapacité de plus en plus voyante et décriée à enrayer la montée de la violence. De son côté, l'extrême gauche par sa politique odieuse (LFI) de conquête des milieux islamistes et d'attaque et de critique de nos forces de l'ordre s'affiche exactement comme le contraire de ce que la population attend en matière de sécurité et de maintien de l'ordre. Si l'on ajoute à cet affichage politique débile un discours imbécile et puéril sur la montée supposée du fascisme, le rejet des voyous politiques extrêmes gauchistes va être patent.

Seul un parti politique observe le spectacle sur le banc des spectateurs, lançant à l'occasion ici ou là une pique bien préparée: le RN ! La faiblesse persistante et la maladresse communicante des partis de droite ramène par surcroît dans l'escarcelle du RN des militants et sympathisants de droite en nombre de plus en plus important. Son audience est si importante aujourd'hui dans l'opinion qu'elle interdit de fait à Macron d'user de sa faculté de dissoudre l'Assemblée jusqu'à la fin de son mandat, sous peine de l'arrivée à l'Assemblée de plus de 200 députés. Macron n'a pas le droit de ne pas anticiper cette situation prévisible fort probabe.

[Jean-Louis de Toqueville]

Alors, l'anti-nazi marxiste et esseulé du site, pas de réaction ???

Dommage, on aurait aimé t'entendre si tu as la capacité de répondre de manière pertinente, ce qui m'étonnerait fort.....

[Jean-Louis de Toqueville]

Ça fait au moins une bonne dizaine d'années que les gôchards et leur couardise d'assos antifas, anticapitalistes, antilibérales braillent dans le vide sidéral au fascisme, au nazisme et à l'extrême droitisme....

Ben, pour le coup, ils vont brailler pour quelque chose, puisque l'on voit poindre timidement le museau (juste le museau) de quelques individus semblant revêtir les habits et les manies de l'extrême droite.

Mis à part les gôchos et le veran de service, personne n'a l'air de se plaindre dans l'opinion de ces nouveaux venus sur les pavés et surtout pas le "peuple de droite" qui manifeste de concert et ponctuellement contre des crimes et délits odieux perpétrés contre d'innocents français.

Dans les années Mitterrand, les politiciens gauchistes magnifiaient, avec des accents de Jaurès, le fameux peuple de gauche. Mais aujourd'hui, il a complètement disparu et on n'entend aucun extrême gauchiste reprendre l'expression, tellement elle paraît désuète et surannée. En revanche, il semblerait que dans l'opinion se lève maintenant le "peuple de droite", constitué précisément par ceux qui défilent dans nos rues contre les criminels, les trafiquants de drogue, les criminels clandos et, de manière plus générale contre les effets délétères de l'islamisation rampante du pays.

L'extrême gauche doit savoir que la rue ne lui appartient pas et que si le peuple de droite, éventuellement accompagné de quelques farfelus excités, baptisés de fachos à tort, veut défiler ou manifester, elle en a parfaitement le droit, dès lors qu'elle respecte la loi.

Le risque pour les gôchos, c'est que cette droite radicale manifesteuse "fasse peuple" et je crains pour eux que ce ne soit très prochainement le cas. Je verrai bien aussi les gilets jaunes émerger à nouveau, changer de couleur et revêtir du noir, en même temps que de s'approprier les revendications de ce nouveau peuple de droite.

Qu'on se le dise, les droites vont apprendre à "faire peuple".

[André de Montalembert]

Voilà ce que défend Toqueville:

[Paul Daumier]

Xavier Raufer : La France, le coupe-gorge.

« Violences, cambriolages, agressions, assassinats, les Français subissent et l’Etat détourne le regard. Depuis l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron, les fondamentaux régaliens ont été laissés à l’abandon. L’ordre n’est plus que vexatoire et porté à l’égard des braves gens, la répression, elle, est réservée aux opposants. Pendant que Darmanin se pavane en vantant sa dureté, les Français prennent chaque jour en pleine face les ravages de l’insécurité dont les causes sont systématiquement tues par l’Etat. Ils s’appellent Lola, Thomas, Philippe, Enzo et bien d’autres prénoms qui ont illustré par le sang le désintérêt total du pouvoir pour la base des libertés : vivre en sécurité. »

[Paul Daumier]

Mineurs Non Accompagnés - MNA
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Il faudrait qu’ on nous explique comment des enfants africains non-accompagnés peuvent arriver en France.

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