Et si Jean-Luc Mélenchon avait dit « ferme ta gueule » à la place de Gérard Larcher ?
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Et si Jean-Luc Mélenchon avait dit « ferme ta gueule » à la place de Gérard Larcher ?
« Ferme ta gueule » : si Mélenchon avait parlé comme Gérard Larcher, tous les médias lui seraient tombés dessus.
Réveil brutal ce matin sur RTL. L’invité : Gérard Larcher, président du Sénat et 3ème personnage de l’État. Comme chaque invité des matinales, il est interrogé sur le tweet de Jean-Luc Mélenchon sur la propagandiste Ruth Elkrieff. Un tweet pour dénoncer une éditorialiste agitée, qui s’est rendue coupable dimanche dernier de propager des tissus de mensonges devant Manuel Bompard, coordinateur de La France insoumise. « Vous lui dites quoi ce matin ? Tais-toi ? », demande la journaliste de RTL lui tendant la perche : « Oui ! Ferme ta gueule ! » répond Gérard Larcher.
Un président du Sénat ne devrait pas parler ainsi. Une déclaration indigne de sa fonction doublée d’une insulte contre l’homme qui a réalisé 22% des suffrages à la dernière élection présidentielle. C’est bien l’objectif recherché par la caste politico-médiatique : tout sauf Mélenchon. Après avoir manifesté aux côtés d’antisémites et d’héritiers de la SS, Gérard Larcher reprend les mots de Jean-Marie le Pen. Un deux poids deux mesures s’observe dors et déjà dans les médias : Gérard Larcher « s’emporte », « adresse », « la réponse de Larcher »… Imaginez si Jean-Luc Mélenchon avait dit « ferme ta gueule » au président du Sénat. L’ensemble de la classe politico-médiatique lui serait tombée dessus. Notre brève.
Source : https://linsoumission.fr/2023/12/06/larcher-melenchon-ferme-ta-gueule/
Réveil brutal ce matin sur RTL. L’invité : Gérard Larcher, président du Sénat et 3ème personnage de l’État. Comme chaque invité des matinales, il est interrogé sur le tweet de Jean-Luc Mélenchon sur la propagandiste Ruth Elkrieff. Un tweet pour dénoncer une éditorialiste agitée, qui s’est rendue coupable dimanche dernier de propager des tissus de mensonges devant Manuel Bompard, coordinateur de La France insoumise. « Vous lui dites quoi ce matin ? Tais-toi ? », demande la journaliste de RTL lui tendant la perche : « Oui ! Ferme ta gueule ! » répond Gérard Larcher.
Un président du Sénat ne devrait pas parler ainsi. Une déclaration indigne de sa fonction doublée d’une insulte contre l’homme qui a réalisé 22% des suffrages à la dernière élection présidentielle. C’est bien l’objectif recherché par la caste politico-médiatique : tout sauf Mélenchon. Après avoir manifesté aux côtés d’antisémites et d’héritiers de la SS, Gérard Larcher reprend les mots de Jean-Marie le Pen. Un deux poids deux mesures s’observe dors et déjà dans les médias : Gérard Larcher « s’emporte », « adresse », « la réponse de Larcher »… Imaginez si Jean-Luc Mélenchon avait dit « ferme ta gueule » au président du Sénat. L’ensemble de la classe politico-médiatique lui serait tombée dessus. Notre brève.
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Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Et si Jean-Luc Mélenchon avait dit « ferme ta gueule » à la place de Gérard Larcher ?
Et si Jean-Luc Mélenchon avait dit « ferme ta gueule » à la place de Gérard Larcher ?
Quels que soient les désaccords que l’on peut avoir Jean-Luc Mélenchon, on ne lui dit pas d’aller « fermer sa gueule ». Cela semble évident. Pas pour le président du Sénat, 3ème personnage de l’État visiblement. Sans gêne et sans contradictions, Gérard Larcher somme à Jean-Luc Mélenchon de « fermer sa gueule ». Cette phrase doit être écrite et lue plusieurs fois, histoire de bien réaliser sa portée.
« La caste médiatique va garder son silence, et les tweets indignés vont rester dans la partie « brouillon ». », dénonce sur Twitter le député insoumis Thomas Portes. RTL parle du « message de Gérard Larcher ». Le Journal du Dimanche indique que le président du Sénat « s’emporte ». BFM TV parle de la « réponse de Larcher ». Toujours sur BFM, Laurent Neumann le défend presque, expliquant que le 3ᵉ personnage de l’État « dit tout haut ce que beaucoup de gens pensent ». Pour Ouest-France, il « tance » Jean-Luc Mélenchon.
Source : https://linsoumission.fr/2023/12/06/larcher-melenchon-ferme-ta-gueule/
Quels que soient les désaccords que l’on peut avoir Jean-Luc Mélenchon, on ne lui dit pas d’aller « fermer sa gueule ». Cela semble évident. Pas pour le président du Sénat, 3ème personnage de l’État visiblement. Sans gêne et sans contradictions, Gérard Larcher somme à Jean-Luc Mélenchon de « fermer sa gueule ». Cette phrase doit être écrite et lue plusieurs fois, histoire de bien réaliser sa portée.
« La caste médiatique va garder son silence, et les tweets indignés vont rester dans la partie « brouillon ». », dénonce sur Twitter le député insoumis Thomas Portes. RTL parle du « message de Gérard Larcher ». Le Journal du Dimanche indique que le président du Sénat « s’emporte ». BFM TV parle de la « réponse de Larcher ». Toujours sur BFM, Laurent Neumann le défend presque, expliquant que le 3ᵉ personnage de l’État « dit tout haut ce que beaucoup de gens pensent ». Pour Ouest-France, il « tance » Jean-Luc Mélenchon.
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Dernière édition par Vladimir de Volog le Jeu Déc 07, 2023 4:19 pm, édité 1 fois
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Et si Jean-Luc Mélenchon avait dit « ferme ta gueule » à la place de Gérard Larcher ?
Le Parisien parle d’un « tacle » avec des « mots choisis qui ont le mérite d’être clairs ». Et pour FranceInfo, Gérard Larcher « adresse » un « ferme ta gueule ». Une minimisation qui en dit long. Un énième illustration que les médias dominants font dans le deux poids, deux mesures et Jean-Luc Mélenchon est une de leurs cibles privilégiées. Alors, quand on lui dit de fermer sa gueule, ce n’est pas si grave.
Source : https://linsoumission.fr/2023/12/06/larcher-melenchon-ferme-ta-gueule/
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Dernière édition par Vladimir de Volog le Jeu Déc 07, 2023 4:48 pm, édité 1 fois
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Et si Jean-Luc Mélenchon avait dit « ferme ta gueule » à la place de Gérard Larcher ?
Ils sont pas là ?????
Dernière édition par Vladimir de Volog le Jeu Déc 07, 2023 5:34 pm, édité 1 fois
Vladimir de Volog- Vénérable
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Georges Baladin- Sage
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Re: Et si Jean-Luc Mélenchon avait dit « ferme ta gueule » à la place de Gérard Larcher ?
Insulter Jean-Luc Mélenchon, c’est insulter toute l’organisation insoumise. C’est insulter les plus de 7 millions d’électeurs qui ont voté pour lui le 10 avril 2022 ainsi que les centaines de milliers de militants insoumis et insoumises à travers le pays insultés sur tous les tons et les plateaux depuis des mois Les insoumis sont habitués et rompus à l’exercice de la guerre médiatique menée contre eux. Ce bashing permanent ne fera pas varier d’un pouce leur détermination.
Source : https://linsoumission.fr/2023/12/06/larcher-melenchon-ferme-ta-gueule/
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Vladimir de Volog- Vénérable
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André de Montalembert aime ce message
Re: Et si Jean-Luc Mélenchon avait dit « ferme ta gueule » à la place de Gérard Larcher ?
7 millions d'électeurs il y a 2 ans bientôt. A mon avis tu peux diviser par 2 maintenant.
Georges Baladin- Sage
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Jacques Cartier aime ce message
Re: Et si Jean-Luc Mélenchon avait dit « ferme ta gueule » à la place de Gérard Larcher ?
Au fait tu veux ke je te la refasse ?
Georges Baladin- Sage
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Re: Et si Jean-Luc Mélenchon avait dit « ferme ta gueule » à la place de Gérard Larcher ?
Vladimir de Volog a écrit:Insulter Jean-Luc Mélenchon, c’est insulter toute l’organisation insoumise. C’est insulter les plus de 7 millions d’électeurs qui ont voté pour lui le 10 avril 2022 ainsi que les centaines de milliers de militants insoumis et insoumises à travers le pays insultés sur tous les tons et les plateaux depuis des mois Les insoumis sont habitués et rompus à l’exercice de la guerre médiatique menée contre eux. Ce bashing permanent ne fera pas varier d’un pouce leur détermination
Source : https://linsoumission.fr/2023/12/06/larcher-melenchon-ferme-ta-gueule/
Il est vrai que ton melenchon n'insulte jamais.....et propose un programme politique crédible, mais qui est la risée de tous les journalistes...... extraits:
Pour Mathieu Bock-Côté (Europe 1, 27/04), « Jean-Luc Mélenchon veut accélérer la crise de régime », tenter « un coup de force » et « un dernier tour de piste avant de se laisser momifier vivant à la manière d’un petit Lénine français vénéré et contemplé par tous les sectateurs de la Révolution ».
Raphaël Enthoven commente l’affiche « Mélenchon Premier ministre » de la France insoumise, qui révélerait selon lui « qui [sont] les gens dangereux […] susceptibles de s’asseoir [sur les institutions] pour un bénéfice à peu près nul. »
Un verdict partagé par Louis de Raguenel, chef du service politique à Europe 1: « À force de marteler ces messages dangereux, ça finit par donner aux ultras des espoirs de renversement de l’État. » (Europe 1, 2/05), lequel pointe, par ailleurs d’un seul et même doigt, le péril de l’époque : la France insoumise et l’union de la gauche.
Sur LCI, Jean-Michel Aphatie prévenait ses confrères (29/04) :
« Le fond de l’affaire, c’est qu’on dit que Marine Le Pen n’est pas républicaine, n’est pas démocrate, très bien, ça fait vingt ans qu’on fait une danse là-dessus à l’extrême-droite ! Et la France Insoumise, elle est comment ? Quel attachement à la démocratie et aux valeurs ? »
Dans Le Figaro (6/05), Ivan Rioufol constate : « S’il y a un totalitarisme qui vient, c’est au cœur de la gauche marxiste et révolutionnaire qu’il faut le traquer, comme toujours historiquement. » Et de poursuivre : « L’entourloupe sur "le cordon sanitaire" a permis à l’extrême gauche, sectaire et violente, de se comporter en terrain conquis. Oui, il y a un danger pour la République. Mais il est à débusquer dans la stratégie d’infiltration insurrectionnelle du soi-disant Insoumis. »
« Avec cet accord Insoumis/socialistes, c’est Chavez qu’on accorde avec Jaurès. Poutine avec Léon Blum. Et voilà bradé, pour un plat de lentilles (une poignée de circonscriptions), tout le patient travail de la gauche, depuis 50 ans, pour conjurer sa tentation totalitaire. Navrant » Bernard-Henry Lévy (Twitter, 4/05).
Sur LCI (6/05), Jean-François Kahn a qualifié les Insoumis de « néo-bolcheviks ».
« Une secte dont certains militants se radicalisent sur internet, comme cette femme "gilet jaune", anti vax et mélenchoniste qui a récemment agressé un pompier », mais également « des irresponsables [qui] jouent la violence sociale contre le suffrage universel. » Philippe Val (Europe 1, 6/05)
« Pour être certain de ne pas être coincé dans une faille temporelle. On parle bien en 2022 de porter au pouvoir en France des trotskistes, des maoïstes, des communistes, des khmers verts. En 2022. En France. C’est bien ça ? Vous confirmez ? » David Reyrat, journaliste sportif au Figaro
« La haine est en marche et rien ne semble pouvoir l’arrêter. Certes, nous ne sommes pas en 1789 quand la populace […] saccageait et pillait tout sur son passage. […] Il y a en ce printemps ensoleillé beaucoup d’électricité dans l’air, une violence verbale peu ordinaire, en particulier du côté des chefs à plume de la France insoumise. » Les responsables insoumis sont qualifiés à juste titre de « mufles », de « braillards ».
Pendant ce temps sur Twitter, en écoutant François Ruffin sur BFM-TV, l’ancien directeur du Nouvel Observateur Claude Weill déclare : ce type est un grand malade. « Il y a un bâton pour chasser Macron ! » […] Étonnez-vous que des petites cervelles insoumises, échaudées par ces appels incessants à la haine et au déni de démocratie finissent par aller taper sur des pompiers… (3/04)
« Oui à l’union, non à Mélenchon ! » : « Le mélenchonisme n’est ni l’avenir ni la justice, c’est une construction qui repose sur un homme et sur les branches pourries du mouvement social. Épargnons-nous ce retour en arrière. » Jacques Julliard dans Marianne (04/05)
« Il faut se souvenir de ce qu’a été Jean-Luc Mélenchon ! Il a quand même conspué les juges indépendants et la presse indépendante ! Je ne crois que ce que je vois. Et ce que je vois, c’est un leader qui a attaqué l’indépendance des juges, attaqué les journalistes, dont les amis c’est Poutine et Maduro, des gens qui n’acceptent pas la démocratie ! C’est ça Mélenchon ! » Denis Olivennes, France 5 le 5 mai.
« Mélenchon ou la défaite de la raison …. héros fatigué d’une gauche en déliquescence …… amoureux transi des dirigeants d’un Venezuela en ruine ….. un "insoumis sauf avec les dictateurs"…. des « convictions flottantes » Les Echos, edito du 02/05
« Jean-Luc Mélenchon incarne à merveille le Polichinelle hâbleur d’une gauche désorbitée, entraînée vers les abîmes d’une tragique bouffonnerie. Mélenchon est, nous dit-on l’idole des jeunes. Même diplômés. C’est dire l’incurie de l’époque. » L’Est républicain.
« Mélenchon : Trublion, prestidigitateur, acteur talentueux, doublé d’un séduisant bonimenteur. À 70 ans, il joue la partition de sa vie, fait croire que la gauche radicale peut gouverner le pays. Avant le premier tour, il y avait deux France, celle d’Emmanuel Macron et celle de Marine Le Pen. Le soir du 10 avril, une troisième a surgi, celle de Jean-Luc Mélenchon. Depuis, le vaincu s’emploie à la faire survivre et prospérer, au prix d’une personnalisation du pouvoir totalement assumée. » Le Monde, Françoise Fressoz (10/05)
UE, OTAN, Syrie, Russie, gilets jaunes, vaccins, oligarchie, populisme, mépris de la constitution... L’avenir de LFI est dans l’alliance avec le RN, plutôt que dans une OPA sur la gauche dont les autres membres doivent renoncer à leur identité pour gratter quelques circos. Raphaël ENTHOVEN (2/04)
« Mélenchon soumet les Verts et le PS à la gauche. De Catilina à Jean-Luc Mélenchon, on peut écrire, sans risque, que le niveau s’est effondré. Les grossiers appétits écrasent, sans aucune gêne, toute autre considération. Fabien Roussel lâche tout pour un steak aux lentilles, Olivier Faure montre qu’il a les dispositions pour ouvrir un stand à la grande braderie de Lille. Le Figaro, 05/05
Christophe Barbier « Le but de Mélenchon est de faire une OPA sur tous les restes de la gauche. Digérer et déchirer la gauche […], et ce qu’il ne digère pas, il veut le déchirer. […] Le rêve du trotskyste Mélenchon, c’est de détruire ce qu’il déteste le plus : ce n’est pas la droite, ce n’est pas l’extrême droite, ce n’est pas Macron ! C’est la social-démocratie ! » (RMC, 3/03)
Catherine Rambert (RMC) : J’ai une pensée et beaucoup de compassion pour les communistes, pour le PS et pour les Verts qui sont en train d’avaler d’énormes couleuvres pour rentrer dans cette union au forceps. Et quand je dis « avaler des couleuvres », je ne suis pas certaine que ça passe par là mais enfin bon, on ne va pas faire un cours d’anatomie aujourd’hui !
« Connaissez-vous cette vieille comptine ? "Ce petit animal a la peau si tendue que, quand il ferme un œil, il ouvre le trou du cul. Pourquoi le sourire de Mélenchon me la rappelle ? » Xavier Gorce, dessinateur au point (Twitter, 27/04)
« Comme un interrupteur, Mélenchon ne possède que deux positions : allumé ou disjoncté. Sur une estrade, sur un plateau, dans son bureau, il faut qu’il attire l’attention. […] Une fois en scène, il porte le béret du Che, l’auréole de saint François d’Assise (les animaux sont un autre de ses dadas) et la kalachnikov de Castro. Et ça passe : sans avoir jamais pointé dans une entreprise ni lancé un pavé, ce révolutionnaire institutionnel est la voix reconnue des rebelles. Donc il proteste. Le sexisme, le racisme, le nucléaire, les OGM, le capitalisme, la chasse aux bébés phoques, la pluie en été, tout lui tourne les sangs. Malheureusement pour lui, si élevé soit l’arbre, ses feuilles tombent toujours par terre. Les capitalistes se moquent de ses diatribes comme de leur première OPA. Et les sceptiques ricanent : quitte à lutter contre le racisme, à aider le tiers-monde, à préserver la planète, n’importe quelle multinationale en fait cent fois plus que lui. Le leader des insoumis tire plus de flèches qu’il n’abat de proies. » Gilles Martin-Chauffier, Paris-Match (05/05)
« Bientôt primus inter pares, le nouveau chantre de l’union de la gauche (Mélenchon) s’est imaginé un destin de rechange. […] Le voilà qui prétend marcher sur les traces de Léon Blum […] ou de François Mitterrand […]. Mélenchon se voit à Matignon. Un scénario encore bien improbable. Mais, le cas échéant, il ne serait ni Blum, ni Mitterrand. » L’Obs, 04/05
Catherine Nay : « Jean-Luc Mélenchon doit beaucoup jubiler [...] mais il veut faire un soufflé avec des miettes ! » « Il s’allie chacun pour un plat de lentilles ! » « Jean-Luc Mélenchon a toujours tendance à faire d’un chou un potager. » « La grand-mère déguisée en loup, c’est Mélenchon. » (France 5, 3/05).
« les Insoumis sont définitivement (car délibérément) imperméables à la raison ». Enthoven
Les « antifas » ont une nouvelle fois semé la terreur en brisant des commerces sur leur passage. Or ces milices, qui sévissent au nez de la police, sont les bras armés de l’extrême gauche. Ces nouvelles « chemises noires » partagent avec LFI, la violence en plus, les mêmes objectifs politiques. Ivan Rioufol, Le Figaro, 05/05
On l’a vu à la manif, […] dans les électeurs de Mélenchon, il y a cette jeune dame qui trouve ça bien de se balader avec des tournevis et des marteaux pour taper sur les pompiers. C’est cette extrême gauche là, aussi, qu’il y a dans le bloc Mélenchon ! Donc à un moment, je crois quand même que les gens vont devoir ouvrir les yeux, exactement comme on les ouvre parfois sur d’autres partis et se rendre compte que le bulletin […] Nupes là, c’est un danger pour la France ! Daniel Riolo, RMC 03/04
« Parce qu’on voit bien aussi que Mélenchon est quelqu’un qui a une certaine enflure de l’égo, qui ne veut pas quitter le pouvoir, qui n’admet pas d’avoir été défait ! Et plutôt que d’être déprimé comme il y a cinq ans, eh bien il dit "Le Premier ministre, c’est moi !" » Catherine Nay, Europe 1, 30/04
La gauche au pouvoir ? Une « supercherie », révélant « une profonde fascination pour le nihilisme. […] Mélenchon Premier ministre ? On se pince ! » Les Echos, 02/05
Au Figaro (6/05), on prend nettement moins de pincettes au moment de dénoncer « une "soviétisation" de l’économie française à plus de 300 milliards par an ». Le programme pour Christophe Barbier ? « Impraticable et infinançable » (RMC, 3/05). « Des promesses intenables », « une radicalité [...] en tout cas anachronique » tance Alain Finkelkraut avant de nuancer : une « radicalité monstrueuse » (Europe 1, 10/05). « Ça serait la faillite si c’était appliqué ! » radote Jean-François Kahn sur LCI (6/05). Quant à Jacques Julliard dans Marianne (4/05), il en est « convaincu » : « L’application brutale de l’ensemble des propositions du programme de Mélenchon nous conduirait à la catastrophe. » « Complétement dingue » ajoute Denis Olivennes sur France 5 (5/05) :
Sur RTL (04/05), François Lenglet, fait état du « bilan économique désastreux de l’expérience du Front populaire, fustigeant la « surenchère syndicale » de l’époque, ainsi qu’une France « affaiblie par les grèves à répétition et les nationalisations. Léon Blum doit aujourd’hui se retourner dans sa tombe en entendant Jean-Luc Mélenchon récuser la construction européenne qui a tant manqué à l’époque. »
La vérité, c’est que les programmes révolutionnaires du type « La France insoumise » n’ont jamais apporté rien d’autre que de la misère économique et sociale ! C’est toute l’histoire de l’Amérique Latine dans les années 1980 et 90, c’est parfaitement documenté historiquement. Ce type de programme met en place un système économique qui génère des rentes et qui entraîne une explosion des inégalités. Les riches, dans ce genre de système, s’en sortent toujours. Ce sont les plus fragiles qui en souffrent. François Langlet
Denis Olivennes (05/05) : « On va refaire le programme d’il y a 40 ans, on rentre dans la modernité en refaisant le programme commun des années 70: « Il y a des éléments de son discours qui nous ramènent quarante ans en arrière : retraite à 60 ans (alors que l’espérance de vie a gagné presque dix ans depuis), augmentation des impôts et des dépenses publiques (alors que celles-ci ont déjà progressé de dix points de PIB), intervention massive de l’État…
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« Le blocage des prix ? C’est archaïque ! Tout le monde le sait : l’économie de marché, qu’on régule qu’on tempère, […] est la seule qui permet au consommateur et au producteur de vivre ensemble. « Nationaliser les banques ? Mais pas un socialiste n’y croit ! On a l’exemple du Crédit Lyonnais, on a vu ce que ça a donné ! Des masses d’argent non contrôlées, du scandale, du gaspillage… Je ne sais pas si Jean-Luc Mélenchon y croit d’ailleurs ! Mais lui, il a toujours dit ça, donc au moins faisons lui le crédit d’une cohérence intellectuelle à défaut de la sincérité.
La retraite à 60 ans ? « C’est l’un des plus gros bobards de la scène politique actuellement. Ça, Jean-Luc Mélenchon, il va falloir qu’il l’explique hein ! […] Parce que quand il était en campagne présidentielle, vraiment, personne n’a été attentif à ça. On est d’une complaisance souvent avec la gauche qui est très importante. » Jean-Michel Aphatie (LCI, 6/05)
C’est donc en grand expert que Renaud Dély défile sur les ondes publiques : « C ce soir » (France 5, 2/05), France Inter (4/05) et « C à vous » (France 5, 5/05) – dont sont issus les propos qui suivent. Et en grand expert qu’il manie l’art des citations :
« Comme disait le psychanalyste Jacques Lacan, "le réel, c’est quand on se cogne". Le problème du projet unitaire qui est en voie d’être adopté, c’est qu’aussi sincère soit-il, il est en léger décalage avec le réel aujourd’hui sur de nombreux sujets ! » Plus précisément sur le fond du programme ? Renaud Dély, France 5, 02/05
D’autres griefs ? Anne-Élisabeth Lemoine se charge du lancement :
« C’est une gauche qui donne beaucoup de leçons également ! » « C’est la gauche indignée » Renaud Dély. « C’est légitime et heureux de s’indigner dans la vie face à l’injustice et au malheur, mais ça ne fait pas un projet politique ! » « Il y a une formule formidable vous vous rappelez, c’est celle de Malek Boutih, "la gauche est condamnée à se liquéfier dans sa méchanceté" »
***
«Le cirque médiatique mené par l’extrême gauche autour de son nombril » Ivan Rioufol, 06/05
« On a l’impression que c’est Jean-Luc Mélenchon qui a gagné l’élection présidentielle depuis quinze jours avec une complicité ou une douceur de l’espace médiatique » (Pascal Praud, 5/05).
« L’extrême gauche n’affole surtout pas les médias bien-pensants. L’extrême droite toujours, l’extrême gauche jamais » - Éric Revel (05/05)
« Parce qu’on voit bien aussi que Mélenchon est quelqu’un qui a une certaine enflure de l’égo, qui ne veut pas quitter le pouvoir, qui n’admet pas d’avoir été défait ! Et plutôt que d’être déprimé comme il y a cinq ans, eh bien il dit "Le Premier ministre, c’est moi !" » Catherine Nay, Europe 1, 30/04
La gauche au pouvoir ? Une « supercherie », révélant « une profonde fascination pour le nihilisme. […] Mélenchon Premier ministre ? On se pince ! » Les Echos, 02/05
Le Figaro (6/05) dénonce « une "soviétisation" de l’économie française à plus de 300 milliards par an ».
Le programme pour Christophe Barbier ? « Impraticable et infinançable » (RMC, 3/05).
« Des promesses intenables », « une radicalité [...] en tout cas anachronique » tance Alain Finkelkraut avant de préciser : une « radicalité monstrueuse » (Europe 1, 10/05).
« Ça serait la faillite si c’était appliqué ! » précise Jean-François Kahn sur LCI (6/05).
Jacques Julliard dans Marianne (4/05) : « L’application brutale de l’ensemble des propositions du programme de Mélenchon nous conduirait à la catastrophe. »
« Complétement dingue » ajoute Denis Olivennes sur France 5 (5/05) :
La vérité, c’est que les programmes révolutionnaires du type « La France insoumise » n’ont jamais apporté rien d’autre que de la misère économique et sociale ! C’est toute l’histoire de l’Amérique Latine dans les années 1980 et 90, c’est parfaitement documenté historiquement. Ce type de programme met en place un système économique qui génère des rentes et qui entraîne une explosion des inégalités. Les riches, dans ce genre de système, s’en sortent toujours. Ce sont les plus fragiles qui en souffrent. François Langlet
Anne-Élisabeth Lemoine:
« C’est une gauche qui donne beaucoup de leçons également ! » « C’est la gauche indignée » Renaud Dély. « C’est légitime et heureux de s’indigner dans la vie face à l’injustice et au malheur, mais ça ne fait pas un projet politique ! » « Il y a une formule formidable vous vous rappelez, c’est celle de Malek Boutih, "la gauche est condamnée à se liquéfier dans sa méchanceté" »
«Le cirque médiatique mené par l’extrême gauche autour de son nombril » Ivan Rioufol, 06/05
« On a l’impression que c’est Jean-Luc Mélenchon qui a gagné l’élection présidentielle depuis quinze jours avec une complicité ou une douceur de l’espace médiatique » (Pascal Praud, 5/05).
« L’extrême gauche n’affole surtout pas les médias bien-pensants. L’extrême droite toujours, l’extrême gauche jamais » - Éric Revel (05/05)
Christophe Barbier « Le but de Mélenchon est de faire une OPA sur tous les restes de la gauche. Digérer et déchirer la gauche […], et ce qu’il ne digère pas, il veut le déchirer. […] Le rêve du trotskyste Mélenchon, c’est de détruire ce qu’il déteste le plus : ce n’est pas la droite, ce n’est pas l’extrême droite, ce n’est pas Macron ! C’est la social-démocratie ! » (RMC, 3/03)
Catherine Rambert (RMC) : J’ai une pensée et beaucoup de compassion pour les communistes, pour le PS et pour les Verts qui sont en train d’avaler d’énormes couleuvres pour rentrer dans cette union au forceps. Et quand je dis « avaler des couleuvres », je ne suis pas certaine que ça passe par là mais enfin bon, on ne va pas faire un cours d’anatomie aujourd’hui !
« Connaissez-vous cette vieille comptine ? "Ce petit animal a la peau si tendue que, quand il ferme un œil, il ouvre le trou du cul. Pourquoi le sourire de Mélenchon me la rappelle ? » Xavier Gorce, dessinateur au point (Twitter, 27/04)
Catherine Nay : « Jean-Luc Mélenchon doit beaucoup jubiler [...] mais il veut faire un soufflé avec des miettes ! » « Il s’allie chacun pour un plat de lentilles ! » « Jean-Luc Mélenchon a toujours tendance à faire d’un chou un potager. » « La grand-mère déguisée en loup, c’est Mélenchon. » (France 5, 3/05).
« les Insoumis sont définitivement (car délibérément) imperméables à la raison ». Enthoven
Les « antifas » ont une nouvelle fois semé la terreur en brisant des commerces sur leur passage. Or ces milices, qui sévissent au nez de la police, sont les bras armés de l’extrême gauche. Ces nouvelles « chemises noires » partagent avec LFI, la violence en plus, les mêmes objectifs politiques. Ivan Rioufol, Le Figaro, 05/05
« Parce qu’on voit bien aussi que Mélenchon est quelqu’un qui a une certaine enflure de l’égo, qui ne veut pas quitter le pouvoir, qui n’admet pas d’avoir été défait ! Et plutôt que d’être déprimé comme il y a cinq ans, eh bien il dit "Le Premier ministre, c’est moi !" » Catherine Nay, Europe 1, 30/04
La gauche au pouvoir ? Une « supercherie », révélant « une profonde fascination pour le nihilisme. […] Mélenchon Premier ministre ? On se pince ! » Les Echos, 02/05
Le Figaro (6/05) dénonce « une "soviétisation" de l’économie française à plus de 300 milliards par an ».
Sur RTL (04/05), François Lenglet, fait état du « bilan économique désastreux de l’expérience du Front populaire, fustigeant la « surenchère syndicale » de l’époque, ainsi qu’une France « affaiblie par les grèves à répétition et les nationalisations. Léon Blum doit aujourd’hui se retourner dans sa tombe en entendant Jean-Luc Mélenchon récuser la construction européenne qui a tant manqué à l’époque. »
Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
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Re: Et si Jean-Luc Mélenchon avait dit « ferme ta gueule » à la place de Gérard Larcher ?
Jean-Louis de Toqueville a écrit:Vladimir de Volog a écrit:Insulter Jean-Luc Mélenchon, c’est insulter toute l’organisation insoumise. C’est insulter les plus de 7 millions d’électeurs qui ont voté pour lui le 10 avril 2022 ainsi que les centaines de milliers de militants insoumis et insoumises à travers le pays insultés sur tous les tons et les plateaux depuis des mois Les insoumis sont habitués et rompus à l’exercice de la guerre médiatique menée contre eux. Ce bashing permanent ne fera pas varier d’un pouce leur détermination
Source : https://linsoumission.fr/2023/12/06/larcher-melenchon-ferme-ta-gueule/
Il est vrai que ton melenchon n'insulte jamais.....et propose un programme politique crédible, mais qui est la risée de tous les journalistes...... extraits:
Pour Mathieu Bock-Côté (Europe 1, 27/04), « Jean-Luc Mélenchon veut accélérer la crise de régime », tenter « un coup de force » et « un dernier tour de piste avant de se laisser momifier vivant à la manière d’un petit Lénine français vénéré et contemplé par tous les sectateurs de la Révolution ».
Raphaël Enthoven commente l’affiche « Mélenchon Premier ministre » de la France insoumise, qui révélerait selon lui « qui [sont] les gens dangereux […] susceptibles de s’asseoir [sur les institutions] pour un bénéfice à peu près nul. »
Un verdict partagé par Louis de Raguenel, chef du service politique à Europe 1: « À force de marteler ces messages dangereux, ça finit par donner aux ultras des espoirs de renversement de l’État. » (Europe 1, 2/05), lequel pointe, par ailleurs d’un seul et même doigt, le péril de l’époque : la France insoumise et l’union de la gauche.
Sur LCI, Jean-Michel Aphatie prévenait ses confrères (29/04) :
« Le fond de l’affaire, c’est qu’on dit que Marine Le Pen n’est pas républicaine, n’est pas démocrate, très bien, ça fait vingt ans qu’on fait une danse là-dessus à l’extrême-droite ! Et la France Insoumise, elle est comment ? Quel attachement à la démocratie et aux valeurs ? »
Dans Le Figaro (6/05), Ivan Rioufol constate : « S’il y a un totalitarisme qui vient, c’est au cœur de la gauche marxiste et révolutionnaire qu’il faut le traquer, comme toujours historiquement. » Et de poursuivre : « L’entourloupe sur "le cordon sanitaire" a permis à l’extrême gauche, sectaire et violente, de se comporter en terrain conquis. Oui, il y a un danger pour la République. Mais il est à débusquer dans la stratégie d’infiltration insurrectionnelle du soi-disant Insoumis. »
« Avec cet accord Insoumis/socialistes, c’est Chavez qu’on accorde avec Jaurès. Poutine avec Léon Blum. Et voilà bradé, pour un plat de lentilles (une poignée de circonscriptions), tout le patient travail de la gauche, depuis 50 ans, pour conjurer sa tentation totalitaire. Navrant » Bernard-Henry Lévy (Twitter, 4/05).
Sur LCI (6/05), Jean-François Kahn a qualifié les Insoumis de « néo-bolcheviks ».
« Une secte dont certains militants se radicalisent sur internet, comme cette femme "gilet jaune", anti vax et mélenchoniste qui a récemment agressé un pompier », mais également « des irresponsables [qui] jouent la violence sociale contre le suffrage universel. » Philippe Val (Europe 1, 6/05)
« Pour être certain de ne pas être coincé dans une faille temporelle. On parle bien en 2022 de porter au pouvoir en France des trotskistes, des maoïstes, des communistes, des khmers verts. En 2022. En France. C’est bien ça ? Vous confirmez ? » David Reyrat, journaliste sportif au Figaro
« La haine est en marche et rien ne semble pouvoir l’arrêter. Certes, nous ne sommes pas en 1789 quand la populace […] saccageait et pillait tout sur son passage. […] Il y a en ce printemps ensoleillé beaucoup d’électricité dans l’air, une violence verbale peu ordinaire, en particulier du côté des chefs à plume de la France insoumise. » Les responsables insoumis sont qualifiés à juste titre de « mufles », de « braillards ».
Pendant ce temps sur Twitter, en écoutant François Ruffin sur BFM-TV, l’ancien directeur du Nouvel Observateur Claude Weill déclare : ce type est un grand malade. « Il y a un bâton pour chasser Macron ! » […] Étonnez-vous que des petites cervelles insoumises, échaudées par ces appels incessants à la haine et au déni de démocratie finissent par aller taper sur des pompiers… (3/04)
« Oui à l’union, non à Mélenchon ! » : « Le mélenchonisme n’est ni l’avenir ni la justice, c’est une construction qui repose sur un homme et sur les branches pourries du mouvement social. Épargnons-nous ce retour en arrière. » Jacques Julliard dans Marianne (04/05)
« Il faut se souvenir de ce qu’a été Jean-Luc Mélenchon ! Il a quand même conspué les juges indépendants et la presse indépendante ! Je ne crois que ce que je vois. Et ce que je vois, c’est un leader qui a attaqué l’indépendance des juges, attaqué les journalistes, dont les amis c’est Poutine et Maduro, des gens qui n’acceptent pas la démocratie ! C’est ça Mélenchon ! » Denis Olivennes, France 5 le 5 mai.
« Mélenchon ou la défaite de la raison …. héros fatigué d’une gauche en déliquescence …… amoureux transi des dirigeants d’un Venezuela en ruine ….. un "insoumis sauf avec les dictateurs"…. des « convictions flottantes » Les Echos, edito du 02/05
« Jean-Luc Mélenchon incarne à merveille le Polichinelle hâbleur d’une gauche désorbitée, entraînée vers les abîmes d’une tragique bouffonnerie. Mélenchon est, nous dit-on l’idole des jeunes. Même diplômés. C’est dire l’incurie de l’époque. » L’Est républicain.
« Mélenchon : Trublion, prestidigitateur, acteur talentueux, doublé d’un séduisant bonimenteur. À 70 ans, il joue la partition de sa vie, fait croire que la gauche radicale peut gouverner le pays. Avant le premier tour, il y avait deux France, celle d’Emmanuel Macron et celle de Marine Le Pen. Le soir du 10 avril, une troisième a surgi, celle de Jean-Luc Mélenchon. Depuis, le vaincu s’emploie à la faire survivre et prospérer, au prix d’une personnalisation du pouvoir totalement assumée. » Le Monde, Françoise Fressoz (10/05)
UE, OTAN, Syrie, Russie, gilets jaunes, vaccins, oligarchie, populisme, mépris de la constitution... L’avenir de LFI est dans l’alliance avec le RN, plutôt que dans une OPA sur la gauche dont les autres membres doivent renoncer à leur identité pour gratter quelques circos. Raphaël ENTHOVEN (2/04)
« Mélenchon soumet les Verts et le PS à la gauche. De Catilina à Jean-Luc Mélenchon, on peut écrire, sans risque, que le niveau s’est effondré. Les grossiers appétits écrasent, sans aucune gêne, toute autre considération. Fabien Roussel lâche tout pour un steak aux lentilles, Olivier Faure montre qu’il a les dispositions pour ouvrir un stand à la grande braderie de Lille. Le Figaro, 05/05
Christophe Barbier « Le but de Mélenchon est de faire une OPA sur tous les restes de la gauche. Digérer et déchirer la gauche […], et ce qu’il ne digère pas, il veut le déchirer. […] Le rêve du trotskyste Mélenchon, c’est de détruire ce qu’il déteste le plus : ce n’est pas la droite, ce n’est pas l’extrême droite, ce n’est pas Macron ! C’est la social-démocratie ! » (RMC, 3/03)
Catherine Rambert (RMC) : J’ai une pensée et beaucoup de compassion pour les communistes, pour le PS et pour les Verts qui sont en train d’avaler d’énormes couleuvres pour rentrer dans cette union au forceps. Et quand je dis « avaler des couleuvres », je ne suis pas certaine que ça passe par là mais enfin bon, on ne va pas faire un cours d’anatomie aujourd’hui !
« Connaissez-vous cette vieille comptine ? "Ce petit animal a la peau si tendue que, quand il ferme un œil, il ouvre le trou du cul. Pourquoi le sourire de Mélenchon me la rappelle ? » Xavier Gorce, dessinateur au point (Twitter, 27/04)
« Comme un interrupteur, Mélenchon ne possède que deux positions : allumé ou disjoncté. Sur une estrade, sur un plateau, dans son bureau, il faut qu’il attire l’attention. […] Une fois en scène, il porte le béret du Che, l’auréole de saint François d’Assise (les animaux sont un autre de ses dadas) et la kalachnikov de Castro. Et ça passe : sans avoir jamais pointé dans une entreprise ni lancé un pavé, ce révolutionnaire institutionnel est la voix reconnue des rebelles. Donc il proteste. Le sexisme, le racisme, le nucléaire, les OGM, le capitalisme, la chasse aux bébés phoques, la pluie en été, tout lui tourne les sangs. Malheureusement pour lui, si élevé soit l’arbre, ses feuilles tombent toujours par terre. Les capitalistes se moquent de ses diatribes comme de leur première OPA. Et les sceptiques ricanent : quitte à lutter contre le racisme, à aider le tiers-monde, à préserver la planète, n’importe quelle multinationale en fait cent fois plus que lui. Le leader des insoumis tire plus de flèches qu’il n’abat de proies. » Gilles Martin-Chauffier, Paris-Match (05/05)
« Bientôt primus inter pares, le nouveau chantre de l’union de la gauche (Mélenchon) s’est imaginé un destin de rechange. […] Le voilà qui prétend marcher sur les traces de Léon Blum […] ou de François Mitterrand […]. Mélenchon se voit à Matignon. Un scénario encore bien improbable. Mais, le cas échéant, il ne serait ni Blum, ni Mitterrand. » L’Obs, 04/05
Catherine Nay : « Jean-Luc Mélenchon doit beaucoup jubiler [...] mais il veut faire un soufflé avec des miettes ! » « Il s’allie chacun pour un plat de lentilles ! » « Jean-Luc Mélenchon a toujours tendance à faire d’un chou un potager. » « La grand-mère déguisée en loup, c’est Mélenchon. » (France 5, 3/05).
« les Insoumis sont définitivement (car délibérément) imperméables à la raison ». Enthoven
Les « antifas » ont une nouvelle fois semé la terreur en brisant des commerces sur leur passage. Or ces milices, qui sévissent au nez de la police, sont les bras armés de l’extrême gauche. Ces nouvelles « chemises noires » partagent avec LFI, la violence en plus, les mêmes objectifs politiques. Ivan Rioufol, Le Figaro, 05/05
On l’a vu à la manif, […] dans les électeurs de Mélenchon, il y a cette jeune dame qui trouve ça bien de se balader avec des tournevis et des marteaux pour taper sur les pompiers. C’est cette extrême gauche là, aussi, qu’il y a dans le bloc Mélenchon ! Donc à un moment, je crois quand même que les gens vont devoir ouvrir les yeux, exactement comme on les ouvre parfois sur d’autres partis et se rendre compte que le bulletin […] Nupes là, c’est un danger pour la France ! Daniel Riolo, RMC 03/04
« Parce qu’on voit bien aussi que Mélenchon est quelqu’un qui a une certaine enflure de l’égo, qui ne veut pas quitter le pouvoir, qui n’admet pas d’avoir été défait ! Et plutôt que d’être déprimé comme il y a cinq ans, eh bien il dit "Le Premier ministre, c’est moi !" » Catherine Nay, Europe 1, 30/04
La gauche au pouvoir ? Une « supercherie », révélant « une profonde fascination pour le nihilisme. […] Mélenchon Premier ministre ? On se pince ! » Les Echos, 02/05
Au Figaro (6/05), on prend nettement moins de pincettes au moment de dénoncer « une "soviétisation" de l’économie française à plus de 300 milliards par an ». Le programme pour Christophe Barbier ? « Impraticable et infinançable » (RMC, 3/05). « Des promesses intenables », « une radicalité [...] en tout cas anachronique » tance Alain Finkelkraut avant de nuancer : une « radicalité monstrueuse » (Europe 1, 10/05). « Ça serait la faillite si c’était appliqué ! » radote Jean-François Kahn sur LCI (6/05). Quant à Jacques Julliard dans Marianne (4/05), il en est « convaincu » : « L’application brutale de l’ensemble des propositions du programme de Mélenchon nous conduirait à la catastrophe. » « Complétement dingue » ajoute Denis Olivennes sur France 5 (5/05) :
Sur RTL (04/05), François Lenglet, fait état du « bilan économique désastreux de l’expérience du Front populaire, fustigeant la « surenchère syndicale » de l’époque, ainsi qu’une France « affaiblie par les grèves à répétition et les nationalisations. Léon Blum doit aujourd’hui se retourner dans sa tombe en entendant Jean-Luc Mélenchon récuser la construction européenne qui a tant manqué à l’époque. »
La vérité, c’est que les programmes révolutionnaires du type « La France insoumise » n’ont jamais apporté rien d’autre que de la misère économique et sociale ! C’est toute l’histoire de l’Amérique Latine dans les années 1980 et 90, c’est parfaitement documenté historiquement. Ce type de programme met en place un système économique qui génère des rentes et qui entraîne une explosion des inégalités. Les riches, dans ce genre de système, s’en sortent toujours. Ce sont les plus fragiles qui en souffrent. François Langlet
Denis Olivennes (05/05) : « On va refaire le programme d’il y a 40 ans, on rentre dans la modernité en refaisant le programme commun des années 70: « Il y a des éléments de son discours qui nous ramènent quarante ans en arrière : retraite à 60 ans (alors que l’espérance de vie a gagné presque dix ans depuis), augmentation des impôts et des dépenses publiques (alors que celles-ci ont déjà progressé de dix points de PIB), intervention massive de l’État…
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« Le blocage des prix ? C’est archaïque ! Tout le monde le sait : l’économie de marché, qu’on régule qu’on tempère, […] est la seule qui permet au consommateur et au producteur de vivre ensemble. « Nationaliser les banques ? Mais pas un socialiste n’y croit ! On a l’exemple du Crédit Lyonnais, on a vu ce que ça a donné ! Des masses d’argent non contrôlées, du scandale, du gaspillage… Je ne sais pas si Jean-Luc Mélenchon y croit d’ailleurs ! Mais lui, il a toujours dit ça, donc au moins faisons lui le crédit d’une cohérence intellectuelle à défaut de la sincérité.
La retraite à 60 ans ? « C’est l’un des plus gros bobards de la scène politique actuellement. Ça, Jean-Luc Mélenchon, il va falloir qu’il l’explique hein ! […] Parce que quand il était en campagne présidentielle, vraiment, personne n’a été attentif à ça. On est d’une complaisance souvent avec la gauche qui est très importante. » Jean-Michel Aphatie (LCI, 6/05)
C’est donc en grand expert que Renaud Dély défile sur les ondes publiques : « C ce soir » (France 5, 2/05), France Inter (4/05) et « C à vous » (France 5, 5/05) – dont sont issus les propos qui suivent. Et en grand expert qu’il manie l’art des citations :
« Comme disait le psychanalyste Jacques Lacan, "le réel, c’est quand on se cogne". Le problème du projet unitaire qui est en voie d’être adopté, c’est qu’aussi sincère soit-il, il est en léger décalage avec le réel aujourd’hui sur de nombreux sujets ! » Plus précisément sur le fond du programme ? Renaud Dély, France 5, 02/05
D’autres griefs ? Anne-Élisabeth Lemoine se charge du lancement :
« C’est une gauche qui donne beaucoup de leçons également ! » « C’est la gauche indignée » Renaud Dély. « C’est légitime et heureux de s’indigner dans la vie face à l’injustice et au malheur, mais ça ne fait pas un projet politique ! » « Il y a une formule formidable vous vous rappelez, c’est celle de Malek Boutih, "la gauche est condamnée à se liquéfier dans sa méchanceté" »
***
«Le cirque médiatique mené par l’extrême gauche autour de son nombril » Ivan Rioufol, 06/05
« On a l’impression que c’est Jean-Luc Mélenchon qui a gagné l’élection présidentielle depuis quinze jours avec une complicité ou une douceur de l’espace médiatique » (Pascal Praud, 5/05).
« L’extrême gauche n’affole surtout pas les médias bien-pensants. L’extrême droite toujours, l’extrême gauche jamais » - Éric Revel (05/05)
« Parce qu’on voit bien aussi que Mélenchon est quelqu’un qui a une certaine enflure de l’égo, qui ne veut pas quitter le pouvoir, qui n’admet pas d’avoir été défait ! Et plutôt que d’être déprimé comme il y a cinq ans, eh bien il dit "Le Premier ministre, c’est moi !" » Catherine Nay, Europe 1, 30/04
La gauche au pouvoir ? Une « supercherie », révélant « une profonde fascination pour le nihilisme. […] Mélenchon Premier ministre ? On se pince ! » Les Echos, 02/05
Le Figaro (6/05) dénonce « une "soviétisation" de l’économie française à plus de 300 milliards par an ».
Le programme pour Christophe Barbier ? « Impraticable et infinançable » (RMC, 3/05).
« Des promesses intenables », « une radicalité [...] en tout cas anachronique » tance Alain Finkelkraut avant de préciser : une « radicalité monstrueuse » (Europe 1, 10/05).
« Ça serait la faillite si c’était appliqué ! » précise Jean-François Kahn sur LCI (6/05).
Jacques Julliard dans Marianne (4/05) : « L’application brutale de l’ensemble des propositions du programme de Mélenchon nous conduirait à la catastrophe. »
« Complétement dingue » ajoute Denis Olivennes sur France 5 (5/05) :
La vérité, c’est que les programmes révolutionnaires du type « La France insoumise » n’ont jamais apporté rien d’autre que de la misère économique et sociale ! C’est toute l’histoire de l’Amérique Latine dans les années 1980 et 90, c’est parfaitement documenté historiquement. Ce type de programme met en place un système économique qui génère des rentes et qui entraîne une explosion des inégalités. Les riches, dans ce genre de système, s’en sortent toujours. Ce sont les plus fragiles qui en souffrent. François Langlet
Anne-Élisabeth Lemoine:
« C’est une gauche qui donne beaucoup de leçons également ! » « C’est la gauche indignée » Renaud Dély. « C’est légitime et heureux de s’indigner dans la vie face à l’injustice et au malheur, mais ça ne fait pas un projet politique ! » « Il y a une formule formidable vous vous rappelez, c’est celle de Malek Boutih, "la gauche est condamnée à se liquéfier dans sa méchanceté" »
«Le cirque médiatique mené par l’extrême gauche autour de son nombril » Ivan Rioufol, 06/05
« On a l’impression que c’est Jean-Luc Mélenchon qui a gagné l’élection présidentielle depuis quinze jours avec une complicité ou une douceur de l’espace médiatique » (Pascal Praud, 5/05).
« L’extrême gauche n’affole surtout pas les médias bien-pensants. L’extrême droite toujours, l’extrême gauche jamais » - Éric Revel (05/05)
Christophe Barbier « Le but de Mélenchon est de faire une OPA sur tous les restes de la gauche. Digérer et déchirer la gauche […], et ce qu’il ne digère pas, il veut le déchirer. […] Le rêve du trotskyste Mélenchon, c’est de détruire ce qu’il déteste le plus : ce n’est pas la droite, ce n’est pas l’extrême droite, ce n’est pas Macron ! C’est la social-démocratie ! » (RMC, 3/03)
Catherine Rambert (RMC) : J’ai une pensée et beaucoup de compassion pour les communistes, pour le PS et pour les Verts qui sont en train d’avaler d’énormes couleuvres pour rentrer dans cette union au forceps. Et quand je dis « avaler des couleuvres », je ne suis pas certaine que ça passe par là mais enfin bon, on ne va pas faire un cours d’anatomie aujourd’hui !
« Connaissez-vous cette vieille comptine ? "Ce petit animal a la peau si tendue que, quand il ferme un œil, il ouvre le trou du cul. Pourquoi le sourire de Mélenchon me la rappelle ? » Xavier Gorce, dessinateur au point (Twitter, 27/04)
Catherine Nay : « Jean-Luc Mélenchon doit beaucoup jubiler [...] mais il veut faire un soufflé avec des miettes ! » « Il s’allie chacun pour un plat de lentilles ! » « Jean-Luc Mélenchon a toujours tendance à faire d’un chou un potager. » « La grand-mère déguisée en loup, c’est Mélenchon. » (France 5, 3/05).
« les Insoumis sont définitivement (car délibérément) imperméables à la raison ». Enthoven
Les « antifas » ont une nouvelle fois semé la terreur en brisant des commerces sur leur passage. Or ces milices, qui sévissent au nez de la police, sont les bras armés de l’extrême gauche. Ces nouvelles « chemises noires » partagent avec LFI, la violence en plus, les mêmes objectifs politiques. Ivan Rioufol, Le Figaro, 05/05
« Parce qu’on voit bien aussi que Mélenchon est quelqu’un qui a une certaine enflure de l’égo, qui ne veut pas quitter le pouvoir, qui n’admet pas d’avoir été défait ! Et plutôt que d’être déprimé comme il y a cinq ans, eh bien il dit "Le Premier ministre, c’est moi !" » Catherine Nay, Europe 1, 30/04
La gauche au pouvoir ? Une « supercherie », révélant « une profonde fascination pour le nihilisme. […] Mélenchon Premier ministre ? On se pince ! » Les Echos, 02/05
Le Figaro (6/05) dénonce « une "soviétisation" de l’économie française à plus de 300 milliards par an ».
Sur RTL (04/05), François Lenglet, fait état du « bilan économique désastreux de l’expérience du Front populaire, fustigeant la « surenchère syndicale » de l’époque, ainsi qu’une France « affaiblie par les grèves à répétition et les nationalisations. Léon Blum doit aujourd’hui se retourner dans sa tombe en entendant Jean-Luc Mélenchon récuser la construction européenne qui a tant manqué à l’époque. »
Bla Bla Trop long et insupportable ! Qui lit ce genre de texte? Tu as réussi à le lire toi?
El Rachid Ibn Youssoufi- Maître
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Re: Et si Jean-Luc Mélenchon avait dit « ferme ta gueule » à la place de Gérard Larcher ?
S'il ne te plait pas, ne le lis pas.... je ne l'ai pas fait que pour toi.
Il va plaire à volog, c'est pour lui que je l'ai fait....
Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
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Re: Et si Jean-Luc Mélenchon avait dit « ferme ta gueule » à la place de Gérard Larcher ?
Melenchon avait traité Marine de semi démente. Bien plus grave à mon avis.
Couillatris Mouchabière- Maître
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Re: Et si Jean-Luc Mélenchon avait dit « ferme ta gueule » à la place de Gérard Larcher ?
Jean-Louis de Toqueville a écrit: Il est vrai que ton melenchon n'insulte jamais.....et propose un programme politique crédible, mais qui est la risée de tous les journalistes...... extraits
Il n'a honte de rien, il fait comme l'autre
Dernière édition par Vladimir de Volog le Mar Déc 12, 2023 6:13 pm, édité 2 fois
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Et si Jean-Luc Mélenchon avait dit « ferme ta gueule » à la place de Gérard Larcher ?
Couillatris Mouchabière a écrit:Melenchon avait traité Marine de semi démente. Bien plus grave à mon avis.
Pourquoi ce n'est pas vrai ??????
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Et si Jean-Luc Mélenchon avait dit « ferme ta gueule » à la place de Gérard Larcher ?
J'étais pas au courant que méchancon avait un diplôme de psy lui permettant de poser un diagnostic.
Mais si tu valides ce genre d'analyse, je me permettrai d'émettre moi-même un avis médical sur un gars un peu limité qui ne sait argumenter qu'en postant dix fois le même message en guise de réponse à tout ce qu'on peut lui opposer.
Mais si tu valides ce genre d'analyse, je me permettrai d'émettre moi-même un avis médical sur un gars un peu limité qui ne sait argumenter qu'en postant dix fois le même message en guise de réponse à tout ce qu'on peut lui opposer.
Couillatris Mouchabière- Maître
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Jacques Cartier aime ce message
Re: Et si Jean-Luc Mélenchon avait dit « ferme ta gueule » à la place de Gérard Larcher ?
Couillatris Mouchabière a écrit:J'étais pas au courant que méchancon avait un diplôme de psy lui permettant de poser un diagnostic.
Mais si tu valides ce genre d'analyse, je me permettrai d'émettre moi-même un avis médical sur un gars un peu limité qui ne sait argumenter qu'en postant dix fois le même message en guise de réponse à tout ce qu'on peut lui opposer.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Et si Jean-Luc Mélenchon avait dit « ferme ta gueule » à la place de Gérard Larcher ?
Hier soir réunion de 150 personnes pour un village de 4000 habitants....pas mal! Et pas une ville d'émigrés.Tonton Georges a écrit:7 millions d'électeurs il y a 2 ans bientôt. A mon avis tu peux diviser par 2 maintenant.
André de Montalembert- Vénérable
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Re: Et si Jean-Luc Mélenchon avait dit « ferme ta gueule » à la place de Gérard Larcher ?
Hier soir réunion de 150 personnes pour un village de 4000 habitants....pas mal!dd2b a écrit:
===============================
Pas mal en effet, soit 3.75% de la population de ce village.
C'est à dire 1 687 500 suffrages pour le candidat LFI à une hypothétique élection présidentielle. On est quand même très loin des 7 000 000 dont vous parlez plus haut. Mais je vous laisse à vos espoirs
gaucho49- Chef
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Re: Et si Jean-Luc Mélenchon avait dit « ferme ta gueule » à la place de Gérard Larcher ?
Vladimir de Volog a écrit:« Ferme ta gueule » : si Mélenchon avait parlé comme Gérard Larcher, tous les médias lui seraient tombés dessus.
Réveil brutal ce matin sur RTL. L’invité : Gérard Larcher, président du Sénat et 3ème personnage de l’État. Comme chaque invité des matinales, il est interrogé sur le tweet de Jean-Luc Mélenchon sur la propagandiste Ruth Elkrieff. Un tweet pour dénoncer une éditorialiste agitée, qui s’est rendue coupable dimanche dernier de propager des tissus de mensonges devant Manuel Bompard, coordinateur de La France insoumise. « Vous lui dites quoi ce matin ? Tais-toi ? », demande la journaliste de RTL lui tendant la perche : « Oui ! Ferme ta gueule ! » répond Gérard Larcher.
Un président du Sénat ne devrait pas parler ainsi. Une déclaration indigne de sa fonction doublée d’une insulte contre l’homme qui a réalisé 22% des suffrages à la dernière élection présidentielle. C’est bien l’objectif recherché par la caste politico-médiatique : tout sauf Mélenchon. Après avoir manifesté aux côtés d’antisémites et d’héritiers de la SS, Gérard Larcher reprend les mots de Jean-Marie le Pen. Un deux poids deux mesures s’observe dors et déjà dans les médias : Gérard Larcher « s’emporte », « adresse », « la réponse de Larcher »… Imaginez si Jean-Luc Mélenchon avait dit « ferme ta gueule » au président du Sénat. L’ensemble de la classe politico-médiatique lui serait tombée dessus. Notre brève.
Source : https://linsoumission.fr/2023/12/06/larcher-melenchon-ferme-ta-gueule/
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Et si Jean-Luc Mélenchon avait dit « ferme ta gueule » à la place de Gérard Larcher ?
trouvé sur le net
Vladimir de Volog- Vénérable
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Georges Baladin aime ce message
Re: Et si Jean-Luc Mélenchon avait dit « ferme ta gueule » à la place de Gérard Larcher ?
C'est pas beau, mais j'ai ri
Georges Baladin- Sage
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Re: Et si Jean-Luc Mélenchon avait dit « ferme ta gueule » à la place de Gérard Larcher ?
André de Montalembert a écrit:Hier soir réunion de 150 personnes pour un village de 4000 habitants....pas mal! Et pas une ville d'émigrés.Tonton Georges a écrit:7 millions d'électeurs il y a 2 ans bientôt. A mon avis tu peux diviser par 2 maintenant.
Interessant, ça vient percuter frontalement les certitudes de l'ultra droite.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Et si Jean-Luc Mélenchon avait dit « ferme ta gueule » à la place de Gérard Larcher ?
On as rigolé car on as appris que le RN avait demandé une salle pour se réunir comme nous, ils étaient à peine 20 autour de 2 tables !Vladimir de Volog a écrit:André de Montalembert a écrit:Hier soir réunion de 150 personnes pour un village de 4000 habitants....pas mal! Et pas une ville d'émigrés.Tonton Georges a écrit:7 millions d'électeurs il y a 2 ans bientôt. A mon avis tu peux diviser par 2 maintenant.
Interessant, ça vient percuter frontalement les certitudes de l'ultra droite.
André de Montalembert- Vénérable
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Re: Et si Jean-Luc Mélenchon avait dit « ferme ta gueule » à la place de Gérard Larcher ?
Tu confond réunion d'adhérents et vote, regarde:gaucho49 a écrit: Hier soir réunion de 150 personnes pour un village de 4000 habitants....pas mal!
===============================
Pas mal en effet, soit 3.75% de la population de ce village.
C'est à dire 1 687 500 suffrages pour le candidat LFI à une hypothétique élection présidentielle. On est quand même très loin des 7 000 000 dont vous parlez plus haut. Mais je vous laisse à vos espoirs
https://www.lechorepublicain.fr/elections/presidentielle-2022/resultats/frette-sur-seine-95530/
André de Montalembert- Vénérable
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