Vincent Reynouard extradé mais libre vous parle !

[Héloïse de Salm]

A peine extradé d’Ecosse, Vincent Reynouard, pour lequel nous devons continuer nos prières, nous livre ses expériences de prison. C’est vraiment passionnant d’écouter les analyses de Vincent qui sont d’une grande simplicité et profondeur.

Il est seulement dommage que cet entretien soit réalisé par deux acteurs qui en aucun moment ne parviennent à mettre en évidence (répétons-le, alors qu’il sort juste de sa cellule écossaise) le charisme et l’épaisseur intellectuelle de Vincent, se gaussant même au mot de “ju.if” et de Licra”.

C’est en ces moments que nous pouvons encore regretter la disparition de Tepa, qui avait cette faculté de savoir parler, savoir exposer, savoir présenter, dans un style qui lui était propre. Car, le retour de Vincent en France, et les évènements qu’il nous fait vivre, sont complètement historiques. N’en doutons pas!

Dans sa publication du 5.2.2024, le journal JEUNE NATION mentionne que la traque de Vincent Reynouard en Ecosse a coûté 13 millions d’euros à l’Etat français.

[Vladimir de Volog]

Vincent Reynouard, est un militant négationniste et néonazi français.

Le 8 octobre 1992, la cour d'appel de Caen le condamne à un mois d'emprisonnement avec sursis et à 5 000 francs d'amende pour contestation de l'existence d'un ou plusieurs crimes contre l'humanité (arrêt no 679), Reynouard ayant, selon la Cour de cassation, « adressé aux vingt-quatre élèves d'un lycée, lauréats du concours Résistance et Déportation, des lettres anonymes auxquelles était annexée la photocopie d'écrits contestant l'existence des chambres à gaz en Allemagne durant la Seconde Guerre mondiale.

Il est suspendu le 20 décembre 1996 puis révoqué de l'Éducation nationale en avril de l'année suivante pour avoir conservé, dans un ordinateur de son lycée, des documents niant la Shoah et avoir distribué à des élèves un exercice sur les statistiques de mortalité à Dachau inspiré d'un article de Robert Faurisson.

Il contribue, en 1997, à un livre intitulé Le Massacre d'Oradour. Un demi-siècle de mise en scène qui prétend innocenter les Waffen-SS du massacre d'Oradour-sur-Glane ; il réitère avec une cassette vidéo, interdite en 2001.

En juin 2004, la cour d'appel de Limoges le condamne à vingt-quatre mois de prison, dont six ferme, pour apologie de crimes de guerre.

Réfugié en Belgique, il crée la branche française, « Vision historique objective » (VHO), de la maison d'édition néonazie (de même sigle) de Siegfried Verbeke « Vrij Historisch Onderzoek » .

Ses propres écrits sont notamment diffusés par le mensuel L'aSSaut du groupuscule néonazi L'Assaut.

Il y anime également la revue néonazie Sans concession.

. Il fonde, en 2005, avec Jérôme Decossas dit « Jean-Jacques Stormay »
, sa propre structure « catholique national-socialiste et révisionniste », le « Mouvement de combat Saint-Michel »
.

Arrêté lors d'un déplacement en France, le 10 novembre 2006, Reynouard reçoit le soutien de l'hebdomadaire d'extrême droite Rivarol.
.

Il est condamné, le 8 novembre 2007, à un an de prison et 10 000 € d'amende par le tribunal correctionnel de Saverne (Bas-Rhin) pour contestation de crimes contre l'humanité, pour avoir écrit et fait distribuer la brochure « Holocauste, ce que l'on vous cache » auprès de musées, de syndicats d'initiative et de mairies d'Alsace ;
la Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (LICRA), partie civile, obtient 3 000 € de dommages-intérêts, et une manufacture d'impression et son président où avait été distribué le document, 150 €.

. En juin 2008, il est à nouveau condamné, en compagnie de Siegfried Verbeke, par le tribunal correctionnel de Bruxelles pour négationnisme.

. Il vit dans la clandestinité pendant un an. En février 2009, les journalistes d'investigation belges Frédéric Loore et Manuel Abramowicz retrouvent sa trace et publient leur information exclusive sur le site de RésistanceS et dans l'hebdomadaire Paris Match.

. Vincent Reynouard est, pour finir, arrêté le 9 juillet 2010 puis extradé vers la France où il est finalement incarcéré, à Valenciennes, pour purger sa peine .


etc ... etc ....

[Tristan de Kerbiguet]

La loi Gayssot condamne le négationnisme, c'est-à-dire le fait de nier ou de minimiser l'existence des crimes contre l'humanité commis par les nazis.

[Jeannot Lapin]

La loi Gayssot condamne le négationnisme, c'est-à-dire le fait de nier ou de minimiser l'existence des crimes contre l'humanité commis par les nazis.

Je suis foncièrement contre toutes ces lois. La seule loi qui doit rester c'est celle contre l'insulte publique et à condition qu'elle ne soit pas justifiée (réponse à une autre insulte).

[Monsieur Trololo]

La loi Gayssot condamne le négationnisme, c'est-à-dire le fait de nier ou de minimiser l'existence des crimes contre l'humanité commis par les nazis.

Je suis foncièrement contre toutes ces lois.

Parfaitement Lapin, les nazis aussi ont fait des trucs bien !

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