Michael parenti confirme l'une de mes théories sur les pays du socialisme réel.

[Revanchisti]

https://youtu.be/6gtUaGV6mNI



Basiquement les intervention impérialistes mettent une telle pression que l'opposition ne peut pas être tolérée au sein du pays.

[Monsieur Trololo]

Moi je pense qu'ils en rajoutent quand même

[Revanchisti]

Ouais pour le coup de l'opposition ouvrière au parti qui avait applaudi les massacre de Kronstadt c'est dur.

Mais tu vois, quand les gens au nicaragua ont pris le pouvoir, ils ont réalisé qu'ils auraient besoin d'une police secrète.

[Edouard de Montmonrency]

Tous les pouvoirs temporaires en place essaient de verrouiller leur pouvoir, de le pérenniser. (la fin justifie les moyens)

[Monsieur Trololo]

Ouais pour le coup de l'opposition ouvrière ua parti qui avait applaudi les massacre de Kronstadt c'est dur.

Mon cul ! Tu racontes vraiment n'importe quoi !

[Revanchisti]

Ouais pour le coup de l'opposition ouvrière ua parti qui avait applaudi les massacre de Kronstadt c'est dur.

Mon cul ! Tu racontes vraiment n'importe quoi !

Je parle de Рабочая оппозиция

Alexandre Chliapnikov et Serge Medvedev, métallurgistes, cofondateurs de l'Opposition ouvrière.

Il ya avait 3 tendance au siens du parti :

   Trotsky, soutenu par Boukharine (ancien communiste de gauche) défend la subordination totale des syndicats à l'État, seul investi de l'autorité de nommer et de révoquer les responsables ;
   la plateforme des dix (Lénine, Zinoviev, Kamenev, Staline, etc.) propose une position plus souple, les syndicats disposant d'une certaine latitude pour appliquer les décisions étatiques ;

   les positions de l'Opposition ouvrière, contenues dans la brochure du même nom rédigée par Alexandra Kollontaï (quoique plus tard désavouée par les autres dirigeants de la fraction), y opposent la conception de syndicats « réalisant l'activité créatrice de la dictature du prolétariat dans le domaine économique ». Cependant, pour l'Opposition ouvrière, le parti bolchévique reste « le centre suprême de la politique de classe, l'organe de la pensée communiste, le contrôleur de la politique réelle des soviets ». Tout au plus accuse-t-elle le parti d'entraver l'initiative ouvrière par « la machine bureaucratique, imprégnée de l'esprit de routine qui préside au système capitaliste bourgeois de production et de contrôle »

(rappeller à dédé que Staline était un bisounours à côté de trosky. Le gars qui faisait fusiller tout le monde.)

La limite de son opposition à la politique de la direction bolchévique apparaît surtout face au soulèvement de Kronstadt. Celui-ci ne comprend en son sein aucun membre de l'Opposition ouvrière, bien que certains participants aient certainement appartenu à l'Opposition ouvrière au sein de la flotte (opposition militaire interne au parti). La différence fondamentale entre les cronstadiens et l'Opposition ouvrière est que ces derniers ne remettent pas en cause le monopole bolchévique du pouvoir. Cela explique pourquoi les porte-parole de l'Opposition ouvrière multiplient les gestes les dissociant des mutins.

On disait?

Au cours du Xe congrès, qui a lieu en mars 1921, le droit de fraction est supprimé dans le parti communiste et l'Opposition ouvrière est dissoute avec effet immédiat. Cependant, les principaux représentants du courant ne cessent pas leur activité politique. Au mois de juillet, Alexandra Kollontaï prend la parole, au nom des autres, devant le IIIe congrès de l'Internationale communiste (Komintern) et attaque durement la nouvelle politique économique (NEP) soutenue par Lénine, accusée de démoraliser la classe ouvrière en galvanisant parallèlement les paysans et la petite bourgeoisie.

Tout le débat est de savoir si cette interdiction avait été rendu nécessaire par la pression impérialiste extérieure.

Au commencement de 1922, vingt-deux ex-représentants du courant, dont Chliapnikov et Medvedev, et d'autres membres du parti d'extraction ouvrière signent un appel au comité exécutif du Komintern, dans lequel ils s'élèvent contre les méthodes antidémocratiques utilisées dans le parti russe et contre les infiltrations bourgeoises dans l'État et dans le parti lui-même.

[Monsieur Trololo]

(rappeller à dédé que Staline était un bisounours à côté de trosky. Le gars qui faisait fusiller tout le monde.)

Mais du coup plus tard Staline a repris le concept et l'a amélioré ...

[Revanchisti]

Non mais c'est compliqué il y a eu l'affaire du bloc des oppositions...
Qui collaboraient avec troskistes des nazis des agents britanniques et de l'OSS américaine.

Bon heureusement que dédé jure par le troskyste pierre Broué qui admet l'existance de ce bloc des oppositions.

Basiquement à cause de Iejov il y avait des infiltrations nazies dans le NKVD. Et j’ai perdu le dossier et ma source c'était la vidéo d’Émile du centre Maïakovski devenu à l'assaut du ciel.

Maintennat va falloir que je fouille les archives que le mouvement inrarouge a pu récoter ua kremelin et ça va être chiiaaaaaaaaaaaaannnnnnnnnnnt.


Mais basiquement c'était la merde et le faîte que les reste de l'opposition ouvrière aient trempé dans le truque ça été très mauvaise magie.

je doute que Staline aurait pu les faire fusiller si ça avait une simple histoire interne au parti.

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