Législatives: seules les droites peuvant avoir une majorité à l'Assemblée.

[Jean-Louis de Toqueville]

Alors que fleurissent toutes les hypothèses dans la presse et l'opinion pour savoir qui serait nommé Premier ministre selon le vainqueur des législatives, il y a un point important qui n'a jamais été soulevé, c'est l'assurance qu'en aucun cas ce ne peut être un candidat de gauche/extrême gauche.

A supposer que les gauches +EG ne se disloquent pas d'ici le premier tour de scrutin, en aucun cas elles ne peuvent gagner. Selon les sondages et les époques, leur score varie de 22 à 25%, plutôt 25 en ce moment. Mais en projection de sièges, ces gauches en sont à 180 députés maximum selon ces mêmes sondages et il leur manque, dans la meilleure hypothèse, une bonne centaine de députés.

Même si ces gauches irréconciliables progressaient d'ici la fin du scrutin, jamais elles ne pourront combler l'énorme gap qui les sépare de la majorité, y compris relative.

De ces élections, jamais ne sortira donc une majorité de gauche+EG, ni de Premier ministre issu de ses rangs. De plus les gauches+EG n'ont aucune réserve de voix, contrairement aux droites, ce qui est un lourd handicap pour le second tour.

A droite, c'est tout différent. La plupart des sondages donnent au RN une majorité relative, qui devient absolue dans la fourchette haute des estimations. De plus, certains candidats LR vont soit s'associer au RN (77 à ce jour), soit se désister en sa faveur, ce que les sondages ne peuvent pas prévoir puisqu'ils ne questionnent que des électeurs, sans prendre en compte les stratégies et les alliances.

Enfin, si les scores du centre droit et de la macronie sont bons, une fenêtre de discussion va s'ouvrir entre les LR et la macronie pour des désistements réciproques. Mais l'option RN/LR paraît plus vraisemblable que la variante macronie/LR, sauf si la macronie fait alliance avec le PS entre les deux tours, comme certains socialistes, défavorables au front de gauche +EG, le demandent.

[Frère apOTRE]

Alors que fleurissent toutes les hypothèses dans la presse et l'opinion pour savoir qui serait nommé Premier ministre selon le vainqueur des législatives, il y a un point important qui n'a jamais été soulevé, c'est l'assurance qu'en aucun cas ce ne peut être un candidat de gauche/extrême gauche.

A supposer que les gauches +EG ne se disloquent pas d'ici le premier tour de scrutin, en aucun cas elles ne peuvent gagner. Selon les sondages et les époques, leur score varie de 22 à 25%, plutôt 25 en ce moment. Mais en projection de sièges, ces gauches en sont à 180 députés maximum selon ces mêmes sondages et il leur manque, dans la meilleure hypothèse, une bonne centaine de députés.

Même si ces gauches irréconciliables progressaient d'ici la fin du scrutin, jamais elles ne pourront combler l'énorme gap qui les sépare de la majorité, y compris relative.

De ces élections, jamais ne sortira donc une majorité de gauche+EG, ni de Premier ministre issu de ses rangs. De plus les gauches+EG n'ont aucune réserve de voix, contrairement aux droites, ce qui est un lourd handicap pour le second tour.

A droite, c'est tout différent. La plupart des sondages donnent au RN une majorité relative, qui devient absolue dans la fourchette haute des estimations. De plus, certains candidats LR vont soit s'associer au RN (77 à ce jour), soit se désister en sa faveur, ce que les sondages ne peuvent pas prévoir puisqu'ils ne questionnent que des électeurs, sans prendre en compte les stratégies et les alliances.

Enfin, si les scores du centre droit et de la macronie sont bons, une fenêtre de discussion va s'ouvrir entre les LR et la macronie pour des désistements réciproques. Mais l'option RN/LR paraît plus vraisemblable que la variante macronie/LR, sauf si la macronie fait alliance avec le PS entre les deux tours, comme certains socialistes, défavorables au front de gauche +EG, le demandent.

ni LFI ni RN  ,emmanuel macron va se tirer une balle à chacun de ses pieds!

[Jean-Louis de Toqueville]

Macron ne gagnera pas non plus. Quand aux extrémistes antisémites de l'extrême gauche, ils ne peuvent pas gagner, il leur manque l'essentiel, les voix.

Ils auront aux alentours de 150 députés, comme maintenant et aucun allié en perspective, parce que ces zozos sont des extrémistes et des révolutionnaires, dont les français ne veulent pas.

Le front de la honte n'a strictement aucune chance de gagner, ils sont rejetés par les français. Ils sont haineux, il n'y a qu'à voir le comportement de l'un des leurs ici, il est odieux !

[Invité]

Alors que fleurissent toutes les hypothèses dans la presse et l'opinion pour savoir qui serait nommé Premier ministre selon le vainqueur des législatives, il y a un point important qui n'a jamais été soulevé, c'est l'assurance qu'en aucun cas ce ne peut être un candidat de gauche/extrême gauche.

A supposer que les gauches +EG ne se disloquent pas d'ici le premier tour de scrutin, en aucun cas elles ne peuvent gagner. Selon les sondages et les époques, leur score varie de 22 à 25%, plutôt 25 en ce moment. Mais en projection de sièges, ces gauches en sont à 180 députés maximum selon ces mêmes sondages et il leur manque, dans la meilleure hypothèse, une bonne centaine de députés.

Même si ces gauches irréconciliables progressaient d'ici la fin du scrutin, jamais elles ne pourront combler l'énorme gap qui les sépare de la majorité, y compris relative.

De ces élections, jamais ne sortira donc une majorité de gauche+EG, ni de Premier ministre issu de ses rangs. De plus les gauches+EG n'ont aucune réserve de voix, contrairement aux droites, ce qui est un lourd handicap pour le second tour.

A droite, c'est tout différent. La plupart des sondages donnent au RN une majorité relative, qui devient absolue dans la fourchette haute des estimations. De plus, certains candidats LR vont soit s'associer au RN (77 à ce jour), soit se désister en sa faveur, ce que les sondages ne peuvent pas prévoir puisqu'ils ne questionnent que des électeurs, sans prendre en compte les stratégies et les alliances.

Enfin, si les scores du centre droit et de la macronie sont bons, une fenêtre de discussion va s'ouvrir entre les LR et la macronie pour des désistements réciproques. Mais l'option RN/LR paraît plus vraisemblable que la variante macronie/LR, sauf si la macronie fait alliance avec le PS entre les deux tours, comme certains socialistes, défavorables au front de gauche +EG, le demandent.

Jean-Louis, cela ne peut être davantage, les dépôts de listes sont clos, et ce sont des candidats, pas des députés LR.

Le PS n'existe plus. Son représentant le plus prestigieux, Flanby l'ex président, ainsi que son premier secrétaire, Faure, ont rejoint LFI, avec la bénédiction de l'inconsistant Glucksmann.
De ce côté, c'est plié.

[Frère apOTRE]

Alors que fleurissent toutes les hypothèses dans la presse et l'opinion pour savoir qui serait nommé Premier ministre selon le vainqueur des législatives, il y a un point important qui n'a jamais été soulevé, c'est l'assurance qu'en aucun cas ce ne peut être un candidat de gauche/extrême gauche.

A supposer que les gauches +EG ne se disloquent pas d'ici le premier tour de scrutin, en aucun cas elles ne peuvent gagner. Selon les sondages et les époques, leur score varie de 22 à 25%, plutôt 25 en ce moment. Mais en projection de sièges, ces gauches en sont à 180 députés maximum selon ces mêmes sondages et il leur manque, dans la meilleure hypothèse, une bonne centaine de députés.

Même si ces gauches irréconciliables progressaient d'ici la fin du scrutin, jamais elles ne pourront combler l'énorme gap qui les sépare de la majorité, y compris relative.

De ces élections, jamais ne sortira donc une majorité de gauche+EG, ni de Premier ministre issu de ses rangs. De plus les gauches+EG n'ont aucune réserve de voix, contrairement aux droites, ce qui est un lourd handicap pour le second tour.

A droite, c'est tout différent. La plupart des sondages donnent au RN une majorité relative, qui devient absolue dans la fourchette haute des estimations. De plus, certains candidats LR vont soit s'associer au RN (77 à ce jour), soit se désister en sa faveur, ce que les sondages ne peuvent pas prévoir puisqu'ils ne questionnent que des électeurs, sans prendre en compte les stratégies et les alliances.

Enfin, si les scores du centre droit et de la macronie sont bons, une fenêtre de discussion va s'ouvrir entre les LR et la macronie pour des désistements réciproques. Mais l'option RN/LR paraît plus vraisemblable que la variante macronie/LR, sauf si la macronie fait alliance avec le PS entre les deux tours, comme certains socialistes, défavorables au front de gauche +EG, le demandent.

Jean-Louis, cela ne peut être davantage, les dépôts de listes sont clos, et ce sont des candidats, pas des députés LR.

Le PS n'existe plus. Son représentant le plus prestigieux, Flanby l'ex président, ainsi que son premier secrétaire, Faure, ont rejoint LFI, avec la bénédiction de l'inconsistant Glucksmann.
De ce côté, c'est plié.

avec cahuzac soutenu aussi par emmanuel macron qui ne fera pas de barrage contre eux  , bref macron en sous-marin est en partenariat avec le front populaire qui va des socialistes à LFI et NPA,il ne manqurait plus que le clan de balkani qui aurait eu aussi la bénédiction d'emmanuel macron !!!

[Jean-Louis de Toqueville]

Non, je ne crois pas du tout que Macron soit "en partenariat" avec le front des gôches, rien ne le démontre, ni aujourd'hui, ni par ses actes passés.

Macron n'est favorable qu'à son camp et à lui-même, comme tous les politiciens.

[Frère apOTRE]

Non, je ne crois pas du tout que Macron soit "en partenariat" avec le front des gôches, rien ne le démontre, ni aujourd'hui, ni par ses actes passés.

Macron n'est favorable qu'à son camp et à lui-même, comme tous les politiciens.

[Clavier]

On va assister à une recomposition majeure de l'Assemblée Nationale qui traduira la colère des Français et l'impuissance des mignons du pouvoir macronien !

[Jean-Louis de Toqueville]

On va assister à une recomposition majeure de l'Assemblée Nationale qui traduira la colère des Français et l'impuissance des mignons du pouvoir macronien !

Oui, en effet, mais il serait logique que cette recomposition tienne compte des opinions majoritaires des français et ne résulte pas de combinaisons d'appareils.

Il conviendrait d'éviter également une autre anomalie, résultant du fait majoritaire pour ce type d'élection: c'est l'exagération quantitative du nombre de sièges du parti vainqueur.

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