Le divorce entre les Français et le monde de la politique

[Tanzor]

Chaque année, le CEVIPOF (Centre d’Etude de la Vie Politique) réalise un baromètre permettant de juger de la confiance qu’ont les citoyens dans leurs institutions. Le résultat, comme nous allons le voir, est tout à fait en phase avec ce qu’exprimaient les Gilets jaunes…
Ainsi, à la question « en qui avez-vous confiance ? », seul le maire de la commune du sondé obtient un taux de réponses favorables supérieur à 50%, en l’occurrence 58%. Le conseiller départemental, le conseiller régional et le député sont loin derrière, tandis que le premier ministre obtient 25% de voix favorables et le président de la république 23% !
Et quand on demande aux Français ce qu’ils éprouvent quand ils pensent à la politique, 69% répondent « de la méfiance ou du dégoût » ! Enfin – cerise sur le gâteau – à la question « est-ce que les responsables politiques, en général, se préoccupent de ce que pensent les gens comme vous ? », 85% répondent NON !

Tous les politiciens se préoccupent avant tout de leur carrière

Les partis politiques, dans le meilleur des cas, dénoncent tel ou tel dysfonctionnement – tous les secteurs de la vie économique et sociale sont touchés – mais ne parlent jamais des causes. Car la vraie cause, beaucoup de Français l’ont compris, c’est la domination de l’oligarchie financière ayant pour idéologie le mondialisme.

En clair, il n’y a pas de parti antimondialiste

Et s’il y avait un parti antimondialiste, aurions-nous évité la situation que nous vivons, avec trois camps électoraux dont aucun ne peut obtenir la majorité absolue ? La réponse est NON, nous le savons bien. Ce parti aurait, par exemple, 20% des voix et les trois camps électoraux auraient chacun 25 à 30% des voix.
Ce qui changerait, c’est le fait que les Français auraient un espoir, alors qu’aujourd’hui ils n’en ont pas, ce qui fait que nombre d’entre eux sont dépressifs. D’ailleurs le phénomène n’est pas que français, puisque, à l’échelle mondiale, dans la tranche des 12-18 ans, un jeune sur sept est en dépression profonde.

Le mondialisme n’est rien d’autre qu’une machine à tuer

Dans cette triste situation, que pouvons-nous changer ? La première réponse est de lutter pour la souveraineté de la France. Mais c’est un combat difficile. En effet, un sondage récent fait apparaître que seuls 25% des Français sont prêts à risquer leur vie pour défendre la patrie. Par contre, nous savons qu’au moins 50% d’entre eux se fâcheraient tout rouge si on touchait à leur petit confort.

Le grand ennemi du souverainisme, c’est l’hédonisme

Voilà la vraie réponse au rejet de la politique par la plupart des Français : on les enferme dans un grand vide spirituel. La seule façon de s’en sortir est de faire la différence entre l’existence de Dieu, qui est une certitude démontrable rationnellement, et la foi, qui est une démarche personnelle. Profitons du fait que Dieu existe pour nous référer à une super-loi au-dessus des lois humaines : le Décalogue et tous les principes issus de l’Evangile, notamment la doctrine sociale de l’Eglise.

Cette super-loi peut servir de référence, qu’on soit croyant ou non

La doctrine sociale de l’Eglise édicte des règles relatives à la famille, c’est-à-dire un père, une mère et des enfants, au fonctionnement de l’école qui ne doit pas être gérée d’une manière monopolistique et à la sécurité, qui ne peut être assurée que dans une population culturellement homogène. Nous devons donc construire une grande mobilisation (5 millions de personnes par exemple) pour défendre le triplet FAMILLE-ECOLE-SECURITE.

Unité d’action pour défendre la famille, l’école et assurer la sécurité

Venez nous rejoindre pour construire la force d’opposition dont la France a besoin

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