Une explication du pourquoi je me fie assez aux informations Osint (Roso en français) pour les guerres

[Jeannot Lapin]

J'ai appris ce genre d'organisation par Xavier Tytelman, un pilote, d'Air et Cosmos, qui possède une chaîne Youtube.
Il explique ici la supériorité de la source Osint sur l'info utilisée à la base par les média, souvent falsifiée. Je serai plus vache que lui sur le sujet : les média sont constitués par des ratés de la société qui se vengent en déversant de mauvaise nouvelles truquées, pour lesquels ils n'ont aucune compétence à aller vérifier quoi que ce soit.

D'ailleurs comme dit dans la vidéo, les acteurs publics français se servent désormais de ces sources bénévoles et du travail bénévole dessus pour élaborer des stratégies publiques dans divers domaines (incendie, inondations...), parce que ces moyens dépassent de loin les moyens disponibles sur place au bon moment et aussi l'expertise difficile d'acquérir des administration pour gérer cette information bénévole.
https://www.bercynumerique.finances.gouv.fr/roso-osint-lexploitation-des-sources-ouvertes-sur-internet
Le site Osint/Roso
https://osintfr.com/fr/accueil/

La communauté Osint avec sa méthodologie, s'est beaucoup déployée en Ukraine. Bien évidemment il faut avoir des acteurs experts et bien connectés sur place, donc un certain niveau d'éducation technique chez ces bénévoles, et une volonté de participer.

Par exemple avec la police Hamas qui veille sur la population, par ailleurs moins formée aux nouvelles technologies, il serait très difficile de mettre en oeuvre ce qui s'est fait en Ukraine et même en Russie (malgré la surveillance policière). Or c'est la population gazaoui qui aurait été seule à pouvoir informer sur la situation, probablement en minimisant largement les chiffres du Hamas et en organisant mieux les secours (ce que le Hamas ne veut justement pas)...
Néanmoins les sources officielles, à l'interprétation corroborée par des images satellite en disent déjà beaucoup sur la réalité, différente des affirmations du Hamas, pourtant reprises en choeur par les média et les politiques, sur Gaza.