Parution de La Psychologie de Mahomet et des musulmans d’Ali SINA
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Parution de La Psychologie de Mahomet et des musulmans d’Ali SINA
Parution de La Psychologie de Mahomet et des musulmans d’Ali SINA
Voici sans doute un livre aussi important que la Mosquée Notre-Dame de Paris, que nous avons fait paraître en 2009 et qui s’est écoulé depuis à plus de 10 000 exemplaires, sans le moindre média pour en parler, ni en bien ni en mal. Le livre d’Ali Sina, La psychologie de Mahomet et des musulmans, lui aussi, a été refusé par tous les éditeurs auxquels il avait été proposé. Comme pour la Mosquée Notre-Dame de Paris, grâce à un traducteur professionnel mais bénévole, le livre peut enfin voir le jour en France, après une publication très remarquée aux Etats-Unis (voir ci-dessous). Vous pouvez vous procurer ce livre sur le site de l’éditeur 1 mois avant sa sortie officielle en librairie.
En voici la 4ème de couverture :
Oublions le politiquement correct et posons-nous quelques questions. Qu’est-ce qui ne va pas avec les musulmans ? Pourquoi trouve-t-on si peu de liberté d’expression ou de vraie démocratie en pays musulmans ? Pourquoi abusent-ils si souvent de leurs femmes et les traitent-ils comme des objets ? Pourquoi les pays musulmans sont-ils si mal placés en termes de Droits de l’Homme ? Pourquoi inquiètent-ils et assassinent-ils des gens pour les raisons les plus dérisoires ? Pourquoi trouve-t-on chez eux plus de fanatisme et de terrorisme que dans toutes les autres religions réunies ? Pourquoi sont-ils si souvent en guerre contre n’importe qui et entre eux ?
Pour comprendre les musulmans, Ali Sina nous dit que nous devons comprendre leur prophète. L’Islam est le Mahométisme. Ses biographes rapportent que Muhammad (Mahomet) avait coutume de se replier dans une grotte et d’y passer des jours perdu dans ses pensées. Il a été pris de spasmes, a entendu des cloches sonner, a vu des fantômes. Il crut qu’un démon le possédait, envisagea de se tuer, mais son épouse le persuada qu’il était devenu un prophète.
Convaincu de son statut supérieur, Muhammad était intolérant pour ceux qui le rejetaient. Il assassinait ceux qui le critiquaient. Il a attaqué, pillé, massacré des populations entières. Il a réduit en esclavage des milliers de gens. Il violait, et permettait à ses hommes de violer leurs captives. Tout cela, il l’a fait en toute bonne conscience et convaincu de son bon droit.
Il était magnanime pour ceux qui l’admiraient, mais vindicatif envers ses détracteurs. Il croyait être l’humain le plus parfait de la création, et que l’univers avait été créé pour lui. Cela relève de la psychopathologie.
La psychologie de Mahomet et des musulmans va plus loin que les histoires. Il décrypte et explique la psychologie du plus influent, donc du plus énigmatique des hommes de l’histoire. Les musulmans imitent leur Prophète. C’est seulement en le comprenant, lui, que nous pouvons les comprendre, eux.
L’auteur : Né iranien et musulman, Ali Sina (http://alisina.org/) s’est installé au Canada. Il dirige Faith Freedom International (http://www.faithfreedom.org/french.htm), consacré à la remise en cause radicale de l’Islam sur la base d’une étude approfondie de ses textes fondateurs (Coran, Sunna).
Sommaire :
Préface d’Ibn Warraq – Chapitre 1 : Qui était Mahomet ? – Chapitre 2 : Le type de personnalité de Mahomet – Chapitre 3 : Les extases de Mahomet – Chapitre 4 : Autres troubles mentaux – Chapitre 5 : Problèmes physiques – Chapitre 6 : La secte de Mahomet – Chapitre 7 :
Pourquoi des personnes sensées suivent des personnes insensées – Chapitre 8 : la psychologie de la peur – Chapitre 9 : Vagues et effets – Chapitre 10 : Où allons-nous ?
Avis sur ce livre (paru en anglais en novembre 2011) :
« Une enquête profondément honnête, puissamment documentée, et terriblement pénétrante, sur les causes profondes du fanatisme et de la violence islamiques, qui menacent aujourd’hui le monde entier. Il faudrait le faire lire au Département d’Etat et à la Maison Blanche. » (Robert Spencer, directeur de Jihad Watch et auteur de The Politically Incorrect Guide to Islam and the Crusades)
« Pour La psychologie de Mahomet et des musulmans et la religion malfaisante qu’il a créée, je voudrais vous recommander de lire le livre d’Ali Sina Understanding Mahomet and Muslims. C’est un travail magistral, érudit, qui examine la vie de Mahomet et l’explique en montrant qu’il a instauré un culte de lui-même. C’était une vie laide, violente, narcissique, et elle maintient dans sa poigne plus d’un milliard de gens. » (Revues de livres par Alan Caruba, membre du National Book Critics)
« Avec grand courage, perspicacité, et un esprit incisif, Ali Sina démolit une série de mythes politiquement corrects sur l’Islam et son fondateur. On espère que les élites faiseuses d’opinion intégreront ses vues qui renversent les dangereuses illusions de l’Islam qu’ils se sont inventé. » (Andrew G Bostom, MD, auteur de « The Legacy of Djihad »)
« La guerre contre le djihad peut et doit être gagnée, en dépit des élites occidentales naturellement portées à l’apaisement et à la trahison. La première chose à faire est d’analyser honnêtement l’identité et le caractère de l’ennemi et la nature de la menace. Il est essentiel de rejeter les tabous et de parler de l’Islam sans crainte, sans culpabilité, sans les carcans de la pensée obligatoire. Le nouveau livre d’Ali Sina apporte une importante contribution à cet objectif. » (Dr S Trifkovic, éditeurs des affaires étrangères, CHRONICLES)
« Un regard puissant et sans concession sur une idéologie de haine et ce qui peut être fait pour l’éradiquer. Ce livre ne mâche pas ses mots. Une lecture obligée pour quiconque cherche à comprendre le terrorisme islamiste. » (Professeur Kim Ezra Shienbaum, PhD, Dept of Political Science, Rutgers University, Camden, New Jersey, rédacteur en chef de Beyond Jihad)
« Il y a un demi-siècle Whittaker Chambers, dans son livre Witness (« Témoignage ») nous avertissait sur le danger mortel du communisme. Maintenant Ali Sina reprend cet appel de clairon contre la menace de l’Islam. Witness pouvait seulement avoir été écrit par un de ceux qui connaissaient le communisme de l’intérieur ; la même chose peut être dite de The Islam Threat (« La menace islamique »), écrit du point de vue de quelqu’un qui connait intimement l’Islam de l’intérieur. L’Islam est encore bien plus dangereux que le communisme car il est camouflé en « religion » ». (Jacob Thomas, consultant sur les affaires du Moyen Orient / chroniqueur)
Voici sans doute un livre aussi important que la Mosquée Notre-Dame de Paris, que nous avons fait paraître en 2009 et qui s’est écoulé depuis à plus de 10 000 exemplaires, sans le moindre média pour en parler, ni en bien ni en mal. Le livre d’Ali Sina, La psychologie de Mahomet et des musulmans, lui aussi, a été refusé par tous les éditeurs auxquels il avait été proposé. Comme pour la Mosquée Notre-Dame de Paris, grâce à un traducteur professionnel mais bénévole, le livre peut enfin voir le jour en France, après une publication très remarquée aux Etats-Unis (voir ci-dessous). Vous pouvez vous procurer ce livre sur le site de l’éditeur 1 mois avant sa sortie officielle en librairie.
En voici la 4ème de couverture :
Oublions le politiquement correct et posons-nous quelques questions. Qu’est-ce qui ne va pas avec les musulmans ? Pourquoi trouve-t-on si peu de liberté d’expression ou de vraie démocratie en pays musulmans ? Pourquoi abusent-ils si souvent de leurs femmes et les traitent-ils comme des objets ? Pourquoi les pays musulmans sont-ils si mal placés en termes de Droits de l’Homme ? Pourquoi inquiètent-ils et assassinent-ils des gens pour les raisons les plus dérisoires ? Pourquoi trouve-t-on chez eux plus de fanatisme et de terrorisme que dans toutes les autres religions réunies ? Pourquoi sont-ils si souvent en guerre contre n’importe qui et entre eux ?
Pour comprendre les musulmans, Ali Sina nous dit que nous devons comprendre leur prophète. L’Islam est le Mahométisme. Ses biographes rapportent que Muhammad (Mahomet) avait coutume de se replier dans une grotte et d’y passer des jours perdu dans ses pensées. Il a été pris de spasmes, a entendu des cloches sonner, a vu des fantômes. Il crut qu’un démon le possédait, envisagea de se tuer, mais son épouse le persuada qu’il était devenu un prophète.
Convaincu de son statut supérieur, Muhammad était intolérant pour ceux qui le rejetaient. Il assassinait ceux qui le critiquaient. Il a attaqué, pillé, massacré des populations entières. Il a réduit en esclavage des milliers de gens. Il violait, et permettait à ses hommes de violer leurs captives. Tout cela, il l’a fait en toute bonne conscience et convaincu de son bon droit.
Il était magnanime pour ceux qui l’admiraient, mais vindicatif envers ses détracteurs. Il croyait être l’humain le plus parfait de la création, et que l’univers avait été créé pour lui. Cela relève de la psychopathologie.
La psychologie de Mahomet et des musulmans va plus loin que les histoires. Il décrypte et explique la psychologie du plus influent, donc du plus énigmatique des hommes de l’histoire. Les musulmans imitent leur Prophète. C’est seulement en le comprenant, lui, que nous pouvons les comprendre, eux.
L’auteur : Né iranien et musulman, Ali Sina (http://alisina.org/) s’est installé au Canada. Il dirige Faith Freedom International (http://www.faithfreedom.org/french.htm), consacré à la remise en cause radicale de l’Islam sur la base d’une étude approfondie de ses textes fondateurs (Coran, Sunna).
Sommaire :
Préface d’Ibn Warraq – Chapitre 1 : Qui était Mahomet ? – Chapitre 2 : Le type de personnalité de Mahomet – Chapitre 3 : Les extases de Mahomet – Chapitre 4 : Autres troubles mentaux – Chapitre 5 : Problèmes physiques – Chapitre 6 : La secte de Mahomet – Chapitre 7 :
Pourquoi des personnes sensées suivent des personnes insensées – Chapitre 8 : la psychologie de la peur – Chapitre 9 : Vagues et effets – Chapitre 10 : Où allons-nous ?
Avis sur ce livre (paru en anglais en novembre 2011) :
« Une enquête profondément honnête, puissamment documentée, et terriblement pénétrante, sur les causes profondes du fanatisme et de la violence islamiques, qui menacent aujourd’hui le monde entier. Il faudrait le faire lire au Département d’Etat et à la Maison Blanche. » (Robert Spencer, directeur de Jihad Watch et auteur de The Politically Incorrect Guide to Islam and the Crusades)
« Pour La psychologie de Mahomet et des musulmans et la religion malfaisante qu’il a créée, je voudrais vous recommander de lire le livre d’Ali Sina Understanding Mahomet and Muslims. C’est un travail magistral, érudit, qui examine la vie de Mahomet et l’explique en montrant qu’il a instauré un culte de lui-même. C’était une vie laide, violente, narcissique, et elle maintient dans sa poigne plus d’un milliard de gens. » (Revues de livres par Alan Caruba, membre du National Book Critics)
« Avec grand courage, perspicacité, et un esprit incisif, Ali Sina démolit une série de mythes politiquement corrects sur l’Islam et son fondateur. On espère que les élites faiseuses d’opinion intégreront ses vues qui renversent les dangereuses illusions de l’Islam qu’ils se sont inventé. » (Andrew G Bostom, MD, auteur de « The Legacy of Djihad »)
« La guerre contre le djihad peut et doit être gagnée, en dépit des élites occidentales naturellement portées à l’apaisement et à la trahison. La première chose à faire est d’analyser honnêtement l’identité et le caractère de l’ennemi et la nature de la menace. Il est essentiel de rejeter les tabous et de parler de l’Islam sans crainte, sans culpabilité, sans les carcans de la pensée obligatoire. Le nouveau livre d’Ali Sina apporte une importante contribution à cet objectif. » (Dr S Trifkovic, éditeurs des affaires étrangères, CHRONICLES)
« Un regard puissant et sans concession sur une idéologie de haine et ce qui peut être fait pour l’éradiquer. Ce livre ne mâche pas ses mots. Une lecture obligée pour quiconque cherche à comprendre le terrorisme islamiste. » (Professeur Kim Ezra Shienbaum, PhD, Dept of Political Science, Rutgers University, Camden, New Jersey, rédacteur en chef de Beyond Jihad)
« Il y a un demi-siècle Whittaker Chambers, dans son livre Witness (« Témoignage ») nous avertissait sur le danger mortel du communisme. Maintenant Ali Sina reprend cet appel de clairon contre la menace de l’Islam. Witness pouvait seulement avoir été écrit par un de ceux qui connaissaient le communisme de l’intérieur ; la même chose peut être dite de The Islam Threat (« La menace islamique »), écrit du point de vue de quelqu’un qui connait intimement l’Islam de l’intérieur. L’Islam est encore bien plus dangereux que le communisme car il est camouflé en « religion » ». (Jacob Thomas, consultant sur les affaires du Moyen Orient / chroniqueur)
Re: Parution de La Psychologie de Mahomet et des musulmans d’Ali SINA
https://www.youtube.com/watch?v=Paul Duke le magnifique
https://www.youtube.com/watch?v=jXQp dJf4vSg
Il y a une routine qui change P D en Paul Duke le magnifique il vaut mieux la changer.
https://www.youtube.com/watch?v=jXQp dJf4vSg
Il y a une routine qui change P D en Paul Duke le magnifique il vaut mieux la changer.
Re: Parution de La Psychologie de Mahomet et des musulmans d’Ali SINA
Au lieu de polémiquer sur Mahomet, que personne sur terre ne pourra décrire avec exactitude faute de preuve, les blasphémateurs devraient au préalable étudier convenablement les textes du Coran et d'ailleurs qui ont fait l'islam, un islam multiple qui ne s'accorde pas en vérité avec les enseignements d'Allah, ils s'accordent avec trop de clémence aux démences des hommes qui favorisent la prolifération des idées agressives contre l'élévation des enseignements véridiques qui favorisent le calme et les certitudes fondées sur les existences éternelles véridiques, eux favorisent les textes accolés au Coran, c'est une hérésie, les textes du Coran ne sont pas l'intégralité de ce qu'il faut faire, les textes sont d'un coté les fautes à éviter, qui a la première lecture peuvent paraitre conformes, mais ils ne sont conformes qu'aux délires humains, par l'intelligence vous devez discerner vos fautes présentes dans les pages du Coran, et par les enseignements qui élèvent la conscience avec l'aide d'Allah le seul guide, le seul protecteur pour les musulmans, vous devez chasser vos fautes que l'intelligence à discernée comme à éviter.
Les interprétations fumeuses des écrivains sont des tares qui aiguillent vers les mauvais penchants des hommes, dénigrer et salir pour faire briller leur secte, leur clan, leurs groupes sectaires, ils ne savent pas faire briller l'ensemble de la collectivité terrienne plongée dans les conflits armées à cause des sales habitudes de nos tyrans de chefs.
Les interprétations fumeuses des écrivains sont des tares qui aiguillent vers les mauvais penchants des hommes, dénigrer et salir pour faire briller leur secte, leur clan, leurs groupes sectaires, ils ne savent pas faire briller l'ensemble de la collectivité terrienne plongée dans les conflits armées à cause des sales habitudes de nos tyrans de chefs.
ultra pink noise- Disciple
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Date d'inscription : 16/11/2015
Age : 54
Localisation : Bresse
Re: Parution de La Psychologie de Mahomet et des musulmans d’Ali SINA
Par la Barbe du Saint Prophète
Par la Lune Fendue
Par le Soleil quand il se couche dans une eau boueuse
Par l’Étoile qui scintille
Par l'Âne Yafour qui s'est converti à l'islam
Ô Noble Maître
Ô Maître Vénéré
Ô Perle de l'humanité
Tu sembles me dire que je suis comme Katou la Magnifique dans un égarement évident.
Par la Lune Fendue
Par le Soleil quand il se couche dans une eau boueuse
Par l’Étoile qui scintille
Par l'Âne Yafour qui s'est converti à l'islam
Ô Noble Maître
Ô Maître Vénéré
Ô Perle de l'humanité
Tu sembles me dire que je suis comme Katou la Magnifique dans un égarement évident.
Re: Parution de La Psychologie de Mahomet et des musulmans d’Ali SINA
Évidemment que tu es dans un égarement évident, Katou aussi avec son petit jeu d'avatars pivotants! qu'elle est bête et futile, et tu as des amis qui t'accompagnent dans cette déraison collective, rares sont les gens sur terre qui se désaccordent des sujets approximatifs pourtant discutés avec l'habituelle futilité des hommes et des femmes de cette planète.
La vérité, zéro faute, zéro approximation, une constante permanente qui permet d'éviter les pièges de l'affirmation, que certains écrivains poussent très loin au point de pouvoir remplir des centaines de pages de rumeurs colportées depuis des siècles pour certaines.
Mais est-ce vrai, est-ce bon et sans danger de faire avancer les rumeurs au détriment de la vérité? non, c'est mauvais et dangereux pour notre évolution biologique, c'est une certitude connue de trop peu de gens sur terre.
les gens préfèrent croire n'importe quoi à partir du moment ou cela entre en relation avec leurs idées personnelles sur la question, ils ne cherchent pas la vérité, ils cherchent à faire grossir leurs égos en sélectionnant d'autres égocentriques qui sont sur une ligne intellectuelle parallèle à la leur, comme cela ils s'accompagnent les uns les autres vers la déraison collective en suivant des idées analogues aux leurs, sans tenir compte de la véracité de ce qu'ils suivent, insouciants et naïfs..
La vérité, zéro faute, zéro approximation, une constante permanente qui permet d'éviter les pièges de l'affirmation, que certains écrivains poussent très loin au point de pouvoir remplir des centaines de pages de rumeurs colportées depuis des siècles pour certaines.
Mais est-ce vrai, est-ce bon et sans danger de faire avancer les rumeurs au détriment de la vérité? non, c'est mauvais et dangereux pour notre évolution biologique, c'est une certitude connue de trop peu de gens sur terre.
les gens préfèrent croire n'importe quoi à partir du moment ou cela entre en relation avec leurs idées personnelles sur la question, ils ne cherchent pas la vérité, ils cherchent à faire grossir leurs égos en sélectionnant d'autres égocentriques qui sont sur une ligne intellectuelle parallèle à la leur, comme cela ils s'accompagnent les uns les autres vers la déraison collective en suivant des idées analogues aux leurs, sans tenir compte de la véracité de ce qu'ils suivent, insouciants et naïfs..
ultra pink noise- Disciple
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Re: Parution de La Psychologie de Mahomet et des musulmans d’Ali SINA
Il y a 57 pays mahométans, aucun n'est laïque ni démocratique ni respectueux des droits de l'être humain.
Mais tous ces pays n'appliquent pas la charia dure et ces hudduds.
LA RELIGION LA PLUS VIOLENTE DE LA PLANÈTE
Mais tous ces pays n'appliquent pas la charia dure et ces hudduds.
LA RELIGION LA PLUS VIOLENTE DE LA PLANÈTE
Re: Parution de La Psychologie de Mahomet et des musulmans d’Ali SINA
La charia est la pire des choses c'est certain , maintenant penser que dans les pays ou elle ne s'applique pas comme le nôtre le respect humain est forcément de mise je ne crois pas .
Dès l'instant ou un humain tue viole ou blesse volontairement un autre humain c'est pareil et nous ne sommes pas exclus de ces comportements .
Quand comprendra t-on que c'est l'homme individuellement qui est en cause et pas les états ou les religions .
Ce que je veux dire par la c'est que nous nous retranchons derrière les religions pour accomplir nos forfaits .
Dès l'instant ou un humain tue viole ou blesse volontairement un autre humain c'est pareil et nous ne sommes pas exclus de ces comportements .
Quand comprendra t-on que c'est l'homme individuellement qui est en cause et pas les états ou les religions .
Ce que je veux dire par la c'est que nous nous retranchons derrière les religions pour accomplir nos forfaits .
Invité- Invité
Re: Parution de La Psychologie de Mahomet et des musulmans d’Ali SINA
L'islam n'est pas une religion, c'est une secte impérialiste
pour que l'ISLAM soit reconnue comme secte
pour que l'ISLAM soit reconnue comme secte
Re: Parution de La Psychologie de Mahomet et des musulmans d’Ali SINA
J'ai signé mais faut pas rêver ganem encore une pétition qui ne servira à rien .
Invité- Invité
Re: Parution de La Psychologie de Mahomet et des musulmans d’Ali SINA
Lysliane a écrit:J'ai signé mais faut pas rêver ganem encore une pétition qui ne servira à rien .
Si elle fait deux millions, tu verras.
Même Georges l'islamo flatteur se pose des questions.
Georges a écrit:Après ces massacres, nous sommes en droit de nous poser des questions sur notre sécurité, sur les moyen a utiliser pour éviter que cela recommence, mais on ne parle pas d'une question tout aussi importante : comment en sommes nous arrivé là, comment des jeunes Français en sont arrivés à se faire endoctriner au point de partir rejoindre une secte terroriste en Irak et en Syrie ? Comment de jeunes Français ont pu commettre de telles atrocités. Je pense que cela remet en cause pas mal de choses dans le fonctionnement de notre société où trop de gens sont laissés de côté, où l'égalité des chances n'existe pas, où nous ne naissons pas tous égaux. Evidemment cela ne justifie en rien ses atrocités commises par ses jeunes, mais si on ne se pose pas les vrais questions sur le comportement des ces jeunes terroristes, toutes les mesures sécuritaires ne serviront à rien, et cela continuera.
Parce qu'ils ne sentent pas du tout français, ils se sentent, d'abord et avant tout, mahométans.
Francité et islam sont incompatibles.
C'est facilement démontrable.
C'est du pipeau, de la taqiya
Re: Parution de La Psychologie de Mahomet et des musulmans d’Ali SINA
J'avais lu mais ne te trompe pas dans le contenu de ce message , déjà quand il dit français il fait comme si c'étaient des français" classiques ", certes il y en a quelques uns qui se sont convertis mais nous savons que la grande majorité de ces " français" sont des français de papiers dont les origines sont musulmanes par leurs ancêtres .ganem a écrit:
Même Georges l'islamo flatteur se pose des questions.Georges a écrit:Après ces massacres, nous sommes en droit de nous poser des questions sur notre sécurité, sur les moyen a utiliser pour éviter que cela recommence, mais on ne parle pas d'une question tout aussi importante : comment en sommes nous arrivé là, comment des jeunes Français en sont arrivés à se faire endoctriner au point de partir rejoindre une secte terroriste en Irak et en Syrie ? Comment de jeunes Français ont pu commettre de telles atrocités. Je pense que cela remet en cause pas mal de choses dans le fonctionnement de notre société où trop de gens sont laissés de côté, où l'égalité des chances n'existe pas, où nous ne naissons pas tous égaux. Evidemment cela ne justifie en rien ses atrocités commises par ses jeunes, mais si on ne se pose pas les vrais questions sur le comportement des ces jeunes terroristes, toutes les mesures sécuritaires ne serviront à rien, et cela continuera.
Et ensuite il insiste sur le fait que ce serait parce que ces pauvres gars seraient rejetés par notre société , autrement dit c'est exclusivement de notre faute . Voilà ce qu'il faut comprendre de son message , en gros s'ils font ça c'est de notre faute et pas de la leur ,tu ne crois pas qu'un FM gauchiste va tout d'un coup changer de position .Il ne va pas dire c'est parce que on nous dit que la France est mauvaise quelle s'est mal comportée , qu'on nous apprend à haïr la France et pourtant c'est ce qu'on nous inculque à longueur de temps .
J'ajoute que certains des jeunes beurs s'en sont très bien sortis dans la vie , parce que au lieu de déserter l'école ils ont bien travaillés et ont fait preuve d'initiative .
Bon ceci dit tu devrais lever un peu le pied chez Bens , le trop et le peu gâtent le jeu et ton jeu est lourd à la fin tu devrais faire preuve de plus de subtilité , tu y gagnerais beaucoup crois moi , a bon entendeur .....
Invité- Invité
Re: Parution de La Psychologie de Mahomet et des musulmans d’Ali SINA
Lettre à un soldat d'Allah. (Par Karim Akouche)
Prépare ta valise. Achète un billet. Change de pays. Cesse d'être schizophrène. Tu ne le regretteras pas. Ici, tu n'es pas en paix avec ton âme. Tu te racles tout le temps la gorge. L'Occident n'est pas fait pour toi. Ses valeurs t'agressent. Tu ne supportes pas la mixité. Ici, les filles sont libres. Elles ne cachent pas leurs cheveux. Elles portent des jupes. Elles se maquillent dans le métro. Elles courent dans les parcs. Elles boivent du whisky. Ici, on ne coupe pas la main au voleur. On ne lapide pas les femmes adultères. La polygamie est interdite. C'est la justice qui le dit. C'est la démocratie qui le fait. Ce sont les citoyens qui votent les lois. L'État est un navire que pilote le peuple. Ce n'est pas Allah qui en tient le gouvernail.
Tu pries beaucoup. Tu tapes trop ta tête contre le tapis. C'est quoi cette tache noire que tu as sur le front ? Tu pousses la piété jusqu'au fanatisme. Des poils ont mangé ton menton. Tu fréquentes souvent la mosquée. Tu lis des livres dangereux. Tu regardes des vidéos suspectes. Il y a trop de violence dans ton regard. Il y a trop d'aigreur dans tes mots. Ton cœur est un caillou. Tu ne sens plus les choses. On t'a lessivé le cerveau. Ton visage est froid. Tes mâchoires sont acérées. Tes bras sont prêts à frapper. Calme-toi. La violence ne résout pas les problèmes.
Je sais d'où tu viens. Tu habites trop dans le passé. Sors et affronte le présent. Accroche-toi à l'avenir. On ne vit qu'une fois. Pourquoi offrir sa jeunesse à la perdition? Pourquoi cracher sur le visage de la beauté?
Je sais qui tu es. Tu es l'homme du ressentiment. La vérité est amère. Elle fait souvent gerber les imbéciles. Mais aujourd'hui j'ai envie de te la dire. Quitte à faire saigner tes yeux.
Ouvre grand tes tympans. J'ai des choses à te raconter. Tu n'as rien inventé. Tu n'as rien édifié. Tu n'as rien apporté à la civilisation du monde. On t'a tout donné : lumière, papier, pantalon, avion, auto, ordinateur... C'est pour ça que tu es vexé. La rancœur te ronge les tripes.
Prépare ta valise. Achète un billet. Change de pays. Cesse d'être schizophrène. Tu ne le regretteras pas. Ici, tu n'es pas en paix avec ton âme. Tu te racles tout le temps la gorge. L'Occident n'est pas fait pour toi. Ses valeurs t'agressent. Tu ne supportes pas la mixité. Ici, les filles sont libres. Elles ne cachent pas leurs cheveux. Elles portent des jupes. Elles se maquillent dans le métro. Elles courent dans les parcs. Elles boivent du whisky. Ici, on ne coupe pas la main au voleur. On ne lapide pas les femmes adultères. La polygamie est interdite. C'est la justice qui le dit. C'est la démocratie qui le fait. Ce sont les citoyens qui votent les lois. L'État est un navire que pilote le peuple. Ce n'est pas Allah qui en tient le gouvernail.
Tu pries beaucoup. Tu tapes trop ta tête contre le tapis. C'est quoi cette tache noire que tu as sur le front ? Tu pousses la piété jusqu'au fanatisme. Des poils ont mangé ton menton. Tu fréquentes souvent la mosquée. Tu lis des livres dangereux. Tu regardes des vidéos suspectes. Il y a trop de violence dans ton regard. Il y a trop d'aigreur dans tes mots. Ton cœur est un caillou. Tu ne sens plus les choses. On t'a lessivé le cerveau. Ton visage est froid. Tes mâchoires sont acérées. Tes bras sont prêts à frapper. Calme-toi. La violence ne résout pas les problèmes.
Je sais d'où tu viens. Tu habites trop dans le passé. Sors et affronte le présent. Accroche-toi à l'avenir. On ne vit qu'une fois. Pourquoi offrir sa jeunesse à la perdition? Pourquoi cracher sur le visage de la beauté?
Je sais qui tu es. Tu es l'homme du ressentiment. La vérité est amère. Elle fait souvent gerber les imbéciles. Mais aujourd'hui j'ai envie de te la dire. Quitte à faire saigner tes yeux.
Ouvre grand tes tympans. J'ai des choses à te raconter. Tu n'as rien inventé. Tu n'as rien édifié. Tu n'as rien apporté à la civilisation du monde. On t'a tout donné : lumière, papier, pantalon, avion, auto, ordinateur... C'est pour ça que tu es vexé. La rancœur te ronge les tripes.
Re: Parution de La Psychologie de Mahomet et des musulmans d’Ali SINA
Ali Sina est un apostat de l'islam de souche iranienne, il vient de faire publier en France ce livre.
La Psychologie de Mahomet et des musulmans d’Ali SINA
Préface de Ibn Warraq
Prix : 22€ , 490 pages, 14×20, Parution en librairie: 11 Novembre 2015, Disponible dés aujourd’hui chez l’éditeur en pré-commande.
Présentation :
Oublions le politiquement correct et posons-nous quelques questions.
Qu’est-ce qui ne va pas avec les musulmans ?
Pourquoi trouve-t-on si peu de liberté d’expression ou de vraie démocratie en pays musulmans ?
Pourquoi abusent-ils si souvent de leurs femmes et les traitent-ils comme des objets ?
Pourquoi les pays musulmans sont-ils si mal placés en termes de Droits de l’Homme ?
Pourquoi inquiètent-ils et assassinent-ils des gens pour les raisons les plus dérisoires ?
Pourquoi trouve-t-on chez eux plus de fanatisme et de terrorisme que dans toutes les autres religions réunies ?
Pourquoi sont-ils si souvent en guerre contre n’importe qui et entre eux ?
Pour comprendre les musulmans, Ali Sina nous dit que nous devons comprendre leur prophète.
L’Islam est le Mahométisme. Ses biographes rapportent que Muhammad (Mahomet) avait coutume de se replier dans une grotte et d’y passer des jours perdu dans ses pensées. Il a été pris de spasmes, a entendu des cloches sonner, a vu des fantômes. Il crut qu’un démon le possédait, envisagea de se tuer, mais son épouse le persuada qu’il était devenu un prophète.
Convaincu de son statut supérieur, Muhammad était intolérant pour ceux qui le rejetaient. Il assassinait ceux qui le critiquaient. Il a attaqué, pillé, massacré des populations entières. Il a réduit en esclavage des milliers de gens. Il violait, et permettait à ses hommes de violer leurs captives. Tout cela, il l’a fait en toute bonne conscience et convaincu de son bon droit.
Il était magnanime pour ceux qui l’admiraient, mais vindicatif envers ses détracteurs. Il croyait être l’humain le plus parfait de la création, et que l’univers avait été créé pour lui. Cela relève de la psychopathologie.
La psychologie de Mahomet et des musulmans va plus loin que les histoires. Il décrypte et explique la psychologie du plus influent, donc du plus énigmatique des hommes de l’histoire. Les musulmans imitent leur Prophète. C’est seulement en le comprenant, lui, que nous pouvons les comprendre, eux.
L’auteur : Né iranien et musulman, Ali Sina (http://alisina.org/) s’est installé au Canada. Il dirige Faith Freedom International (http://www.faithfreedom.org/french.htm), consacré à la remise en cause radicale de l’Islam sur la base d’une étude approfondie de ses textes fondateurs (Coran, Sunna).
Sommaire :
Préface d’Ibn Warraq – Chapitre 1 : Qui était Mahomet ? – Chapitre 2 : Le type de personnalité de Mahomet – Chapitre 3 : Les extases de Mahomet – Chapitre 4 : Autres troubles mentaux – Chapitre 5 : Problèmes physiques – Chapitre 6 : La secte de Mahomet – Chapitre 7 :
Pourquoi des personnes sensées suivent des personnes insensées – Chapitre 8 : la psychologie de la peur – Chapitre 9 : Vagues et effets – Chapitre 10 : Où allons-nous ?
Avis sur ce livre (paru en anglais en novembre 2011) :
« Une enquête profondément honnête, puissamment documentée, et terriblement pénétrante, sur les causes profondes du fanatisme et de la violence islamiques, qui menacent aujourd’hui le monde entier. Il faudrait le faire lire au Département d’Etat et à la Maison Blanche. » (Robert Spencer, directeur de Jihad Watch et auteur de The Politically Incorrect Guide to Islam and the Crusades)
« Pour La psychologie de Mahomet et des musulmans et la religion malfaisante qu’il a créée, je voudrais vous recommander de lire le livre d’Ali Sina Understanding Mahomet and Muslims. C’est un travail magistral, érudit, qui examine la vie de Mahomet et l’explique en montrant qu’il a instauré un culte de lui-même. C’était une vie laide, violente, narcissique, et elle maintient dans sa poigne plus d’un milliard de gens. » (Revues de livres par Alan Caruba, membre du National Book Critics)
« Avec grand courage, perspicacité, et un esprit incisif, Ali Sina démolit une série de mythes politiquement corrects sur l’Islam et son fondateur. On espère que les élites faiseuses d’opinion intégreront ses vues qui renversent les dangereuses illusions de l’Islam qu’ils se sont inventé. » (Andrew G Bostom, MD, auteur de « The Legacy of Djihad »)
« La guerre contre le djihad peut et doit être gagnée, en dépit des élites occidentales naturellement portées à l’apaisement et à la trahison. La première chose à faire est d’analyser honnêtement l’identité et le caractère de l’ennemi et la nature de la menace. Il est essentiel de rejeter les tabous et de parler de l’Islam sans crainte, sans culpabilité, sans les carcans de la pensée obligatoire. Le nouveau livre d’Ali Sina apporte une importante contribution à cet objectif. » (Dr S Trifkovic, éditeurs des affaires étrangères, CHRONICLES)
« Un regard puissant et sans concession sur une idéologie de haine et ce qui peut être fait pour l’éradiquer. Ce livre ne mâche pas ses mots. Une lecture obligée pour quiconque cherche à comprendre le terrorisme islamiste. » (Professeur Kim Ezra Shienbaum, PhD, Dept of Political Science, Rutgers University, Camden, New Jersey, rédacteur en chef de Beyond Jihad)
« Il y a un demi-siècle Whittaker Chambers, dans son livre Witness (« Témoignage ») nous avertissait sur le danger mortel du communisme. Maintenant Ali Sina reprend cet appel de clairon contre la menace de l’Islam. Witness pouvait seulement avoir été écrit par un de ceux qui connaissaient le communisme de l’intérieur ; la même chose peut être dite de The Islam Threat (« La menace islamique »), écrit du point de vue de quelqu’un qui connait intimement l’Islam de l’intérieur. L’Islam est encore bien plus dangereux que le communisme car il est camouflé en « religion » ». (Jacob Thomas, consultant sur les affaires du Moyen Orient / chroniqueur)
La Psychologie de Mahomet et des musulmans d’Ali SINA
Préface de Ibn Warraq
Prix : 22€ , 490 pages, 14×20, Parution en librairie: 11 Novembre 2015, Disponible dés aujourd’hui chez l’éditeur en pré-commande.
Présentation :
Oublions le politiquement correct et posons-nous quelques questions.
Qu’est-ce qui ne va pas avec les musulmans ?
Pourquoi trouve-t-on si peu de liberté d’expression ou de vraie démocratie en pays musulmans ?
Pourquoi abusent-ils si souvent de leurs femmes et les traitent-ils comme des objets ?
Pourquoi les pays musulmans sont-ils si mal placés en termes de Droits de l’Homme ?
Pourquoi inquiètent-ils et assassinent-ils des gens pour les raisons les plus dérisoires ?
Pourquoi trouve-t-on chez eux plus de fanatisme et de terrorisme que dans toutes les autres religions réunies ?
Pourquoi sont-ils si souvent en guerre contre n’importe qui et entre eux ?
Pour comprendre les musulmans, Ali Sina nous dit que nous devons comprendre leur prophète.
L’Islam est le Mahométisme. Ses biographes rapportent que Muhammad (Mahomet) avait coutume de se replier dans une grotte et d’y passer des jours perdu dans ses pensées. Il a été pris de spasmes, a entendu des cloches sonner, a vu des fantômes. Il crut qu’un démon le possédait, envisagea de se tuer, mais son épouse le persuada qu’il était devenu un prophète.
Convaincu de son statut supérieur, Muhammad était intolérant pour ceux qui le rejetaient. Il assassinait ceux qui le critiquaient. Il a attaqué, pillé, massacré des populations entières. Il a réduit en esclavage des milliers de gens. Il violait, et permettait à ses hommes de violer leurs captives. Tout cela, il l’a fait en toute bonne conscience et convaincu de son bon droit.
Il était magnanime pour ceux qui l’admiraient, mais vindicatif envers ses détracteurs. Il croyait être l’humain le plus parfait de la création, et que l’univers avait été créé pour lui. Cela relève de la psychopathologie.
La psychologie de Mahomet et des musulmans va plus loin que les histoires. Il décrypte et explique la psychologie du plus influent, donc du plus énigmatique des hommes de l’histoire. Les musulmans imitent leur Prophète. C’est seulement en le comprenant, lui, que nous pouvons les comprendre, eux.
L’auteur : Né iranien et musulman, Ali Sina (http://alisina.org/) s’est installé au Canada. Il dirige Faith Freedom International (http://www.faithfreedom.org/french.htm), consacré à la remise en cause radicale de l’Islam sur la base d’une étude approfondie de ses textes fondateurs (Coran, Sunna).
Sommaire :
Préface d’Ibn Warraq – Chapitre 1 : Qui était Mahomet ? – Chapitre 2 : Le type de personnalité de Mahomet – Chapitre 3 : Les extases de Mahomet – Chapitre 4 : Autres troubles mentaux – Chapitre 5 : Problèmes physiques – Chapitre 6 : La secte de Mahomet – Chapitre 7 :
Pourquoi des personnes sensées suivent des personnes insensées – Chapitre 8 : la psychologie de la peur – Chapitre 9 : Vagues et effets – Chapitre 10 : Où allons-nous ?
Avis sur ce livre (paru en anglais en novembre 2011) :
« Une enquête profondément honnête, puissamment documentée, et terriblement pénétrante, sur les causes profondes du fanatisme et de la violence islamiques, qui menacent aujourd’hui le monde entier. Il faudrait le faire lire au Département d’Etat et à la Maison Blanche. » (Robert Spencer, directeur de Jihad Watch et auteur de The Politically Incorrect Guide to Islam and the Crusades)
« Pour La psychologie de Mahomet et des musulmans et la religion malfaisante qu’il a créée, je voudrais vous recommander de lire le livre d’Ali Sina Understanding Mahomet and Muslims. C’est un travail magistral, érudit, qui examine la vie de Mahomet et l’explique en montrant qu’il a instauré un culte de lui-même. C’était une vie laide, violente, narcissique, et elle maintient dans sa poigne plus d’un milliard de gens. » (Revues de livres par Alan Caruba, membre du National Book Critics)
« Avec grand courage, perspicacité, et un esprit incisif, Ali Sina démolit une série de mythes politiquement corrects sur l’Islam et son fondateur. On espère que les élites faiseuses d’opinion intégreront ses vues qui renversent les dangereuses illusions de l’Islam qu’ils se sont inventé. » (Andrew G Bostom, MD, auteur de « The Legacy of Djihad »)
« La guerre contre le djihad peut et doit être gagnée, en dépit des élites occidentales naturellement portées à l’apaisement et à la trahison. La première chose à faire est d’analyser honnêtement l’identité et le caractère de l’ennemi et la nature de la menace. Il est essentiel de rejeter les tabous et de parler de l’Islam sans crainte, sans culpabilité, sans les carcans de la pensée obligatoire. Le nouveau livre d’Ali Sina apporte une importante contribution à cet objectif. » (Dr S Trifkovic, éditeurs des affaires étrangères, CHRONICLES)
« Un regard puissant et sans concession sur une idéologie de haine et ce qui peut être fait pour l’éradiquer. Ce livre ne mâche pas ses mots. Une lecture obligée pour quiconque cherche à comprendre le terrorisme islamiste. » (Professeur Kim Ezra Shienbaum, PhD, Dept of Political Science, Rutgers University, Camden, New Jersey, rédacteur en chef de Beyond Jihad)
« Il y a un demi-siècle Whittaker Chambers, dans son livre Witness (« Témoignage ») nous avertissait sur le danger mortel du communisme. Maintenant Ali Sina reprend cet appel de clairon contre la menace de l’Islam. Witness pouvait seulement avoir été écrit par un de ceux qui connaissaient le communisme de l’intérieur ; la même chose peut être dite de The Islam Threat (« La menace islamique »), écrit du point de vue de quelqu’un qui connait intimement l’Islam de l’intérieur. L’Islam est encore bien plus dangereux que le communisme car il est camouflé en « religion » ». (Jacob Thomas, consultant sur les affaires du Moyen Orient / chroniqueur)
Re: Parution de La Psychologie de Mahomet et des musulmans d’Ali SINA
PBSL a rencontré Satan le lapidé qu'il a pris pour l'ange Gabriel, PBSL s'est tout permis car il croyait qu'il avait la permission d'Allah.
Ainsi il a égorgé tous ses opposants même une poétesse Asma Bent Marwan qui allaitait son bébé et un vieillard poète qui a écris 4 vers contre lui.
PBSL a sur ordre d'Allah épousé une petite fille de 6 ans sur laquelle il s'est masturbé puis a défloré pour ses 9 ans.
PBSL a obligé son fils Zeyd à divorcer de Zeyneb pour qu'il puisse épouser à son tour et pratiquer le labour
Ainsi il a égorgé tous ses opposants même une poétesse Asma Bent Marwan qui allaitait son bébé et un vieillard poète qui a écris 4 vers contre lui.
PBSL a sur ordre d'Allah épousé une petite fille de 6 ans sur laquelle il s'est masturbé puis a défloré pour ses 9 ans.
PBSL a obligé son fils Zeyd à divorcer de Zeyneb pour qu'il puisse épouser à son tour et pratiquer le labour
Re: Parution de La Psychologie de Mahomet et des musulmans d’Ali SINA
Je peux prouver ce que j'ai dit à propos de PBSL en donnant toutes mes sources:
Re: Parution de La Psychologie de Mahomet et des musulmans d’Ali SINA
On a changé mon avatar sans me demander ma permission !
Re: Parution de La Psychologie de Mahomet et des musulmans d’Ali SINA
MAHOMET : LE "PROPHETE" ASSASSIN
MAHOMET : LE PROPHETE ASSASSIN Ce qu’on n’ose pas dire c’est que l’assassinat et le martyre sont justifiés et
justifiables à partir des seuls textes fondateurs de l’Islam, le Coran et la Sunna. Ainsi sourate 3, V. 163/169 :
« Et ne crois point que sont morts ceux qui ont été tués dans le chemin d’Allah ! Au contraire ! Ils sont vivants auprès de leur Seigneur, pourvu de biens ».
Ceux qui exécutent des attentats se pensent martyrs, vivant auprès de leur Seigneur. De plus, d’après le comportement du Prophète à Médine, l’assassinat politique est tout à fait licite. Il suffit de se référer à la chronique de Tabari ou à la biographie du Prophète pour le constater. Voici comment Tabari raconte quelques-uns des assassinats, au retour de la bataille de Badr, une merveilleuse victoire pour les musulmans mais qui semble n’avoir été qu’un coup de main réussi :
« Il y avait une femme du nom d’Asmâ bint Marwan. Elle faisait des vers particulièrement insultants pour le prophète de l’islam. Quand ces vers furent rapportés à Mahomet, il dit tout haut : « Est-ce que personne ne me débarrassera de la fille de Marwan ? ». Il y avait un homme du clan de la poétesse, ‘Omayr Ibn ‘Adi. Il n’avait pas été à Badr. Bonne raison pour faire preuve de zèle. Le soir même il s’introduisit chez elle. Elle dormait au milieu de ses enfants. Le dernier, encore au sein, sommeillait sur sa poitrine. Il la transperça de son épée et le lendemain alla trouver l’Envoyé de Dieu. Il dit : « Envoyé de Dieu je l’ai tuée ! ». « Tu as secouru Allah et son Envoyé ô ‘Omayr », répondit celui-ci. ‘Omayr demanda : « Est-ce que je supporterais quelque chose à cause d’elle, Envoyé d’Allah ? ». Il dit : « Deux chèvres ne choqueront pas leurs cornes pour elle ! ». ‘Omayr retourna alors dans son clan où ce jour-là, il y avait une grosse émotion au sujet de la fille de Marwan. Elle avait cinq fils et la vengeance pouvait être demandée.
‘Omayr s’adressa à son clan : « Ô Banû Khatma ! J’ai tué la fille de Marwan. Tramez quelque chose contre moi mais ne me faites pas attendre (cette phrase est une citation du Coran).
Personne ne bougea. » L’analyste poursuit : « Ce jour-là fut le premier où l’Islam se montra puissant chez les Banû Khatma ». Le coup avait réussi. L’exploit de ‘Omayr est classé par les chroniqueurs musulmans parmi « les expéditions du Prophète ». Le mois suivant, le poète centenaire Abou ‘Afak fut tué pendant son sommeil, à cause de quatre vers contre Mahomet. Le Prophète avait prononcé négligemment : « Qui me fera justice de cette crapule ? » Quelqu’un se chargea de l’opération.
Mais l’assassinat politique le plus connue est celui de Kaab Ibn Achraf. C’était un poète de Médine, juif par sa mère, qui n’avait cessé de tourner le prophète de l’Islam en dérision.
Lorsqu’il apprit le succès de Badr, il se rendit à la Mecque pour inciter les Mecquois à la vengeance. Et là, Mahomet, excédé, ordonne son assassinat, mais de manière détournée,
comme un parrain qui lance un contrat sur quelqu’un : « Qui veut me délivrer de Kaab Ibn Achraf ? ». La plus ancienne biographie de Mahomet, celle d’Ibn Ishâq , traite longuement des campagnes et expéditions des musulmans à l’époque du prophète. Et parmi l e s expéditions, on trouve « l e s assassinats politiques » . Le premier assassinat perpétré sur l’ordre de Mahomet est ce que le traducteur, Abdul Rahman Badawi, intitule « le meurtre de Kaab b. Al-Ashraf ». Kaab était un homme de la tribu de Tayy et sa mère était des Banû al-Nadîr. C’était un poète. Il détestait Mahomet et ne comprenait pas que le réfugié de la Mecque ait fait tuer à Badr des nobles Quraychites. Il ne cessait d’exciter les Mecquois à la vengeance.
Il composait des poèmes érotiques visant à détruire la réputation des femmes musulmanes. Alors l’Envoyé d’Allah dit : « Qui me débarrasserait d’Ibn Al-Ashraf ? ». Muhammad b Maslamah répondit : « Moi, ô Envoyé d’Allah, je m’en chargerai, je le tuerai. » L’Envoyé de Dieu lui dit : « Fais-le si tu peux. » Ibn Maslamah dit : « Ô Envoyé d’Allah ! Nous serons obligés de dire des paroles trompeuses. » L’Envoyé d’Allah répondit : « Dites ce que vous voulez : cela est permis. »
Et l’assassinat se prépare. L’épisode largement développé par Ibn Ishâq est ici résumé tant les détails sont insoutenables par leur inconsciente cruauté. « Plusieurs hommes s’étaient associés pour tuer Kaab. La nuit ils se promenèrent avec le poète. Un poète, Abu Nâ’ilah se montrait fort gentil avec Kaab. Il introduisait sa main dans ses cheveux en disant : « Je n’ai jamais senti un meilleur parfum. » Ils marchaient pendant plusieurs heures, ceci pour mettre en confiance le poète juif. Puis soudain Abu Nâ’ilah saisit les cheveux de la tête de Kaab en disant : « frappez cet ennemi de Dieu ! » Ils le frappèrent et leurs épées qui se croisaient sur Kaab ne pouvaient cependant l’achever. Muhammad b. Maslamah dit : « Quand je vis que nos épées ne serviraient à rien, je me suis souvenu d’un couteau attaché à mon épée. Je le pris et l’enfonçai dans son bas-ventre et je me pressai sur lui jusqu’à ce que j’atteigne le pubis. Alors Kaab tomba par terre. » L’assassinat du poète juif est largement traité sur sept longues pages (p.18 à 25) et le récit de cet acte est justifié par Ibn Ishâq qui cite les vers de Hassan b. Thâbit : « Ils cherchaient la victoire pour la religion de leur prophète regardant comme peu de chose tout acte inique ».
Les cas de meurtres recensés par Ibn Ishâq sont nombreux et ils occupent une partie importante du deuxième volume. C’est le cas par exemple de l’assassinat du juif Satam b. Abî Al-Huqayq qui se trouvait dans la ville de Khaybar. La tribu arabe médinoise des Aw avant la bataille de Uhud, avait tué Kaab Ibn Al-Ashraf. La tribu médinoise arabe des Khazraj, qui ne veut pas être en reste, demande à Mahomet la permission de tuer un juif qui comme Kaab était un ennemi de Mahomet. L’Envoyé d’Allah leur en donna la permission. Là encore, l’assassinat fut collectif et perpétré par ruse : cinq hommes de la tribu des Khazraj allèrent à Khaybar pour exécuter le plan. Ils se font passer pour des acheteurs. « La femme d’Al-Huqayq demanda : « Qui êtes-vous ? » Ils répliquèrent : « Nous sommes des Arabes et nous cherchons de l’approvisionnement en grains. » La femme dit : « Voilà votre homme, entrez chez lui. » Quand ils entrèrent ils fermèrent la porte et avec leurs épées ils l’attaquèrent alors qu’il était sur son lit. L’ayant déjà poignardé, Abd Allah b. ‘Unays lui enfonça encore son épée dans le ventre de telle sorte qu’elle ressortit de l’autre côté. Ils retournèrent à Médine. Ils entrèrent chez Mahomet et l’informèrent de la mort du juif. Mais chacun prétendait l’avoir tué.
Alors l’Envoyé d’Allah dit : « Apportez-moi vos épées. » Ils les lui apportèrent. Il regarda et se référent à l’épée de ‘Abd Allah b. ‘Unays il dit : « Celle-ci l’a tuée car j’y vois la trace de la nourriture. » » Mais il est un autre assassinat politique que l’on ne saurait oublier. Il s’agit de celui de Kinânah b.al-Rabî’, un juif important de Khaybar. Chez lui était censé se trouver le trésor des Banû al- Nadîr, la tribu juive chassée de médine. L’Envoyé d’Allah lui demanda où était ce trésor.
Kinânah refusait de répondre. Après avoir trouvé une partie du trésor des Juifs, le prophète demanda à Kinânah où se trouvait le reste. Mais ce dernier refusa de l’indiquer. L’Envoyé
d’Allah ordonna alors à Al-Zubayr de le torturer : « Al-Zubayr se mit à brûler sa poitrine, jusqu’à ce que Kinânah fût sur le point de mourir. Puis l’Envoyé d’Allah le livra à Muhammad b.Maslamah ; celui-ci lui coupa le cou, pour venger son frère Mahmûd b. Maslamah. » C’est la femme de Kinânah, Safiyya, que le Prophète prit comme épouse. Il n’eut pas la patience d’attendre le retour à Médine pour consommer le mariage. Un partisan de Mahomet, resté toute la nuit de noces à veiller, avec son épée, près de leur tente, dira au Prophète : « Je craignais la réaction de cette femme à ton égard. C’est une femme dont tu as tué le père, le mari et le peuple. »
Dans son livre sur Mahomet (Editions du Seuil , 1961), Rodinson parle des assassinats politiques. Ainsi au retour de Badr la rancune du Prophète se déchaîna contre deux prisonniers mecquois qui avaient dirigé contre lui des attaques intellectuelles. Ils s’étaient informés à des sources juives et iraniennes, lui avaient posé des questions difficiles. Ils s’étaient moqués de lui et de ses messages divins. Mahomet ordonna de les exécuter. L’un d’eux lui dit : « Et qui s’occupera de mes garçons Muhammad ? » Il répondit : « L’Enfer ! »
En fait l’assassinat fait partie des moyens utilisés par Mahomet pour émerger dans cette politique tribale et arriver à être suffisamment puissant pour qu’on ne songea pas à tirer vengeance de lui et de ses fidèles. Des partisans fanatiques entourent le prophète, prêt à exécuter les basses besognes. M ais c’est Mahomet qui « l ance le contrat » . Faire peur, sipeur que personne n’osera plus rien tenter contre lui, c’est la stratégie du prophète de l’Islam. Faire peur mais seulement quand il faut. Ainsi on lui rapporta des propos insultants tenus par Ibn Ubayy, le chef noble de la tribu arabe des Khazraj, le converti du bout des lèvres qui déteste Mahomet qui n’est pour lui qu’un vil. Omar lui dit : « Ordonne à Abbad Ibn Bishr de le tuer ! » Mahomet répondit : « Comment cela Omar ? Et les gens diront que Mahomet tue ses compagnons ! » Ibn Ubayy, là-dessus, vint tout nier avec serment à l’appui.
Les Médinois le soutinrent et Mahomet passa l’éponge. Plus tard Ibn Ubayy se comporta de telle façon que les Médinois le désapprouvèrent. Alors Mahomet dit à Omar : « Qu’en dis-tu, si je l’avais tué, par Allah, le jour où tu me l’as conseillé, les chefs médinois en auraient tremblé de rage et maintenant si je leur ordonnais de le tuer, ils le tueraient. »
Alors comment s’étonner des assassinats politiques au nom de l’Islam ? Le 29 juin 1992, le président algérien Mohammed Boudiaf est assassiné à Annaba par un jeune officier de sa garde de sécurité. Déjà en octobre 1981, il y avait eu l’assassinat d’Anouar al-Sadate. Les deux assassins étaient de jeunes officiers d’élite gagnés aux idées islamistes. L’assassin égyptien s’appelle Khalidal-Istambuli ; l’assassin algérien Lembarek Boumaarafi. L’exemple égyptien a nourri l’imaginaire des militants, d’Alger à Téhéran et d’Istanbul à Djakarta. Khalid al- Istambuli a ses boulevards dans la république islamique d’Iran. Son frère est un orateur très demandé dans les milieux religieux. En 1992, l’essayiste laïque Farag Foda a fini par être assassiné au printemps. Mais en gardant à l’esprit l’exemple du prophète, on n’est pas surpris par le comportement de ces musulmans qui débarrassent la communauté de ses « corrupteurs ». Sourate IX intitulé (humour noir ?) L’immunité, versets 3 et suivants…
« Proclamation d’Allah et de son Prophète Adressée aux hommes le jour du Pèlerinage :
« Allah et son Prophète désavouent les polythéistes. Si vous vous repentez,
Ce sera un bien pour vous ; Mais si vous vous en détournez,
Sachez que vous ne réduirez pas Allah à l’impuissance » Annonce un châtiment douloureux aux incrédules,
A l’exception des polythéistes Avec lesquels vous avez conclu un pacte ;
De ceux qui ne vous ont pas ensuite causé de tort Et qui n’ont aidé personne à lutter contre vous.
Respectez pleinement le pacte conclu avec eux, jusqu’au terme convenu. -Allah aime ceux qui le craignent-
Après que les mois sacrés se seront écoulés, tuez les polythéistes, partout où vous les trouverez ;
Capturez-les, assiégez-les, Dressez-leur des embuscades.
Mais s’ils se repentent, S’ils s’acquittent de la prière, s’ils font l’aumône, Laissez-les libres. -Allah est celui qui pardonne, il est miséricordieux.- »
MAHOMET : LE PROPHETE ASSASSIN Ce qu’on n’ose pas dire c’est que l’assassinat et le martyre sont justifiés et
justifiables à partir des seuls textes fondateurs de l’Islam, le Coran et la Sunna. Ainsi sourate 3, V. 163/169 :
« Et ne crois point que sont morts ceux qui ont été tués dans le chemin d’Allah ! Au contraire ! Ils sont vivants auprès de leur Seigneur, pourvu de biens ».
Ceux qui exécutent des attentats se pensent martyrs, vivant auprès de leur Seigneur. De plus, d’après le comportement du Prophète à Médine, l’assassinat politique est tout à fait licite. Il suffit de se référer à la chronique de Tabari ou à la biographie du Prophète pour le constater. Voici comment Tabari raconte quelques-uns des assassinats, au retour de la bataille de Badr, une merveilleuse victoire pour les musulmans mais qui semble n’avoir été qu’un coup de main réussi :
« Il y avait une femme du nom d’Asmâ bint Marwan. Elle faisait des vers particulièrement insultants pour le prophète de l’islam. Quand ces vers furent rapportés à Mahomet, il dit tout haut : « Est-ce que personne ne me débarrassera de la fille de Marwan ? ». Il y avait un homme du clan de la poétesse, ‘Omayr Ibn ‘Adi. Il n’avait pas été à Badr. Bonne raison pour faire preuve de zèle. Le soir même il s’introduisit chez elle. Elle dormait au milieu de ses enfants. Le dernier, encore au sein, sommeillait sur sa poitrine. Il la transperça de son épée et le lendemain alla trouver l’Envoyé de Dieu. Il dit : « Envoyé de Dieu je l’ai tuée ! ». « Tu as secouru Allah et son Envoyé ô ‘Omayr », répondit celui-ci. ‘Omayr demanda : « Est-ce que je supporterais quelque chose à cause d’elle, Envoyé d’Allah ? ». Il dit : « Deux chèvres ne choqueront pas leurs cornes pour elle ! ». ‘Omayr retourna alors dans son clan où ce jour-là, il y avait une grosse émotion au sujet de la fille de Marwan. Elle avait cinq fils et la vengeance pouvait être demandée.
‘Omayr s’adressa à son clan : « Ô Banû Khatma ! J’ai tué la fille de Marwan. Tramez quelque chose contre moi mais ne me faites pas attendre (cette phrase est une citation du Coran).
Personne ne bougea. » L’analyste poursuit : « Ce jour-là fut le premier où l’Islam se montra puissant chez les Banû Khatma ». Le coup avait réussi. L’exploit de ‘Omayr est classé par les chroniqueurs musulmans parmi « les expéditions du Prophète ». Le mois suivant, le poète centenaire Abou ‘Afak fut tué pendant son sommeil, à cause de quatre vers contre Mahomet. Le Prophète avait prononcé négligemment : « Qui me fera justice de cette crapule ? » Quelqu’un se chargea de l’opération.
Mais l’assassinat politique le plus connue est celui de Kaab Ibn Achraf. C’était un poète de Médine, juif par sa mère, qui n’avait cessé de tourner le prophète de l’Islam en dérision.
Lorsqu’il apprit le succès de Badr, il se rendit à la Mecque pour inciter les Mecquois à la vengeance. Et là, Mahomet, excédé, ordonne son assassinat, mais de manière détournée,
comme un parrain qui lance un contrat sur quelqu’un : « Qui veut me délivrer de Kaab Ibn Achraf ? ». La plus ancienne biographie de Mahomet, celle d’Ibn Ishâq , traite longuement des campagnes et expéditions des musulmans à l’époque du prophète. Et parmi l e s expéditions, on trouve « l e s assassinats politiques » . Le premier assassinat perpétré sur l’ordre de Mahomet est ce que le traducteur, Abdul Rahman Badawi, intitule « le meurtre de Kaab b. Al-Ashraf ». Kaab était un homme de la tribu de Tayy et sa mère était des Banû al-Nadîr. C’était un poète. Il détestait Mahomet et ne comprenait pas que le réfugié de la Mecque ait fait tuer à Badr des nobles Quraychites. Il ne cessait d’exciter les Mecquois à la vengeance.
Il composait des poèmes érotiques visant à détruire la réputation des femmes musulmanes. Alors l’Envoyé d’Allah dit : « Qui me débarrasserait d’Ibn Al-Ashraf ? ». Muhammad b Maslamah répondit : « Moi, ô Envoyé d’Allah, je m’en chargerai, je le tuerai. » L’Envoyé de Dieu lui dit : « Fais-le si tu peux. » Ibn Maslamah dit : « Ô Envoyé d’Allah ! Nous serons obligés de dire des paroles trompeuses. » L’Envoyé d’Allah répondit : « Dites ce que vous voulez : cela est permis. »
Et l’assassinat se prépare. L’épisode largement développé par Ibn Ishâq est ici résumé tant les détails sont insoutenables par leur inconsciente cruauté. « Plusieurs hommes s’étaient associés pour tuer Kaab. La nuit ils se promenèrent avec le poète. Un poète, Abu Nâ’ilah se montrait fort gentil avec Kaab. Il introduisait sa main dans ses cheveux en disant : « Je n’ai jamais senti un meilleur parfum. » Ils marchaient pendant plusieurs heures, ceci pour mettre en confiance le poète juif. Puis soudain Abu Nâ’ilah saisit les cheveux de la tête de Kaab en disant : « frappez cet ennemi de Dieu ! » Ils le frappèrent et leurs épées qui se croisaient sur Kaab ne pouvaient cependant l’achever. Muhammad b. Maslamah dit : « Quand je vis que nos épées ne serviraient à rien, je me suis souvenu d’un couteau attaché à mon épée. Je le pris et l’enfonçai dans son bas-ventre et je me pressai sur lui jusqu’à ce que j’atteigne le pubis. Alors Kaab tomba par terre. » L’assassinat du poète juif est largement traité sur sept longues pages (p.18 à 25) et le récit de cet acte est justifié par Ibn Ishâq qui cite les vers de Hassan b. Thâbit : « Ils cherchaient la victoire pour la religion de leur prophète regardant comme peu de chose tout acte inique ».
Les cas de meurtres recensés par Ibn Ishâq sont nombreux et ils occupent une partie importante du deuxième volume. C’est le cas par exemple de l’assassinat du juif Satam b. Abî Al-Huqayq qui se trouvait dans la ville de Khaybar. La tribu arabe médinoise des Aw avant la bataille de Uhud, avait tué Kaab Ibn Al-Ashraf. La tribu médinoise arabe des Khazraj, qui ne veut pas être en reste, demande à Mahomet la permission de tuer un juif qui comme Kaab était un ennemi de Mahomet. L’Envoyé d’Allah leur en donna la permission. Là encore, l’assassinat fut collectif et perpétré par ruse : cinq hommes de la tribu des Khazraj allèrent à Khaybar pour exécuter le plan. Ils se font passer pour des acheteurs. « La femme d’Al-Huqayq demanda : « Qui êtes-vous ? » Ils répliquèrent : « Nous sommes des Arabes et nous cherchons de l’approvisionnement en grains. » La femme dit : « Voilà votre homme, entrez chez lui. » Quand ils entrèrent ils fermèrent la porte et avec leurs épées ils l’attaquèrent alors qu’il était sur son lit. L’ayant déjà poignardé, Abd Allah b. ‘Unays lui enfonça encore son épée dans le ventre de telle sorte qu’elle ressortit de l’autre côté. Ils retournèrent à Médine. Ils entrèrent chez Mahomet et l’informèrent de la mort du juif. Mais chacun prétendait l’avoir tué.
Alors l’Envoyé d’Allah dit : « Apportez-moi vos épées. » Ils les lui apportèrent. Il regarda et se référent à l’épée de ‘Abd Allah b. ‘Unays il dit : « Celle-ci l’a tuée car j’y vois la trace de la nourriture. » » Mais il est un autre assassinat politique que l’on ne saurait oublier. Il s’agit de celui de Kinânah b.al-Rabî’, un juif important de Khaybar. Chez lui était censé se trouver le trésor des Banû al- Nadîr, la tribu juive chassée de médine. L’Envoyé d’Allah lui demanda où était ce trésor.
Kinânah refusait de répondre. Après avoir trouvé une partie du trésor des Juifs, le prophète demanda à Kinânah où se trouvait le reste. Mais ce dernier refusa de l’indiquer. L’Envoyé
d’Allah ordonna alors à Al-Zubayr de le torturer : « Al-Zubayr se mit à brûler sa poitrine, jusqu’à ce que Kinânah fût sur le point de mourir. Puis l’Envoyé d’Allah le livra à Muhammad b.Maslamah ; celui-ci lui coupa le cou, pour venger son frère Mahmûd b. Maslamah. » C’est la femme de Kinânah, Safiyya, que le Prophète prit comme épouse. Il n’eut pas la patience d’attendre le retour à Médine pour consommer le mariage. Un partisan de Mahomet, resté toute la nuit de noces à veiller, avec son épée, près de leur tente, dira au Prophète : « Je craignais la réaction de cette femme à ton égard. C’est une femme dont tu as tué le père, le mari et le peuple. »
Dans son livre sur Mahomet (Editions du Seuil , 1961), Rodinson parle des assassinats politiques. Ainsi au retour de Badr la rancune du Prophète se déchaîna contre deux prisonniers mecquois qui avaient dirigé contre lui des attaques intellectuelles. Ils s’étaient informés à des sources juives et iraniennes, lui avaient posé des questions difficiles. Ils s’étaient moqués de lui et de ses messages divins. Mahomet ordonna de les exécuter. L’un d’eux lui dit : « Et qui s’occupera de mes garçons Muhammad ? » Il répondit : « L’Enfer ! »
En fait l’assassinat fait partie des moyens utilisés par Mahomet pour émerger dans cette politique tribale et arriver à être suffisamment puissant pour qu’on ne songea pas à tirer vengeance de lui et de ses fidèles. Des partisans fanatiques entourent le prophète, prêt à exécuter les basses besognes. M ais c’est Mahomet qui « l ance le contrat » . Faire peur, sipeur que personne n’osera plus rien tenter contre lui, c’est la stratégie du prophète de l’Islam. Faire peur mais seulement quand il faut. Ainsi on lui rapporta des propos insultants tenus par Ibn Ubayy, le chef noble de la tribu arabe des Khazraj, le converti du bout des lèvres qui déteste Mahomet qui n’est pour lui qu’un vil. Omar lui dit : « Ordonne à Abbad Ibn Bishr de le tuer ! » Mahomet répondit : « Comment cela Omar ? Et les gens diront que Mahomet tue ses compagnons ! » Ibn Ubayy, là-dessus, vint tout nier avec serment à l’appui.
Les Médinois le soutinrent et Mahomet passa l’éponge. Plus tard Ibn Ubayy se comporta de telle façon que les Médinois le désapprouvèrent. Alors Mahomet dit à Omar : « Qu’en dis-tu, si je l’avais tué, par Allah, le jour où tu me l’as conseillé, les chefs médinois en auraient tremblé de rage et maintenant si je leur ordonnais de le tuer, ils le tueraient. »
Alors comment s’étonner des assassinats politiques au nom de l’Islam ? Le 29 juin 1992, le président algérien Mohammed Boudiaf est assassiné à Annaba par un jeune officier de sa garde de sécurité. Déjà en octobre 1981, il y avait eu l’assassinat d’Anouar al-Sadate. Les deux assassins étaient de jeunes officiers d’élite gagnés aux idées islamistes. L’assassin égyptien s’appelle Khalidal-Istambuli ; l’assassin algérien Lembarek Boumaarafi. L’exemple égyptien a nourri l’imaginaire des militants, d’Alger à Téhéran et d’Istanbul à Djakarta. Khalid al- Istambuli a ses boulevards dans la république islamique d’Iran. Son frère est un orateur très demandé dans les milieux religieux. En 1992, l’essayiste laïque Farag Foda a fini par être assassiné au printemps. Mais en gardant à l’esprit l’exemple du prophète, on n’est pas surpris par le comportement de ces musulmans qui débarrassent la communauté de ses « corrupteurs ». Sourate IX intitulé (humour noir ?) L’immunité, versets 3 et suivants…
« Proclamation d’Allah et de son Prophète Adressée aux hommes le jour du Pèlerinage :
« Allah et son Prophète désavouent les polythéistes. Si vous vous repentez,
Ce sera un bien pour vous ; Mais si vous vous en détournez,
Sachez que vous ne réduirez pas Allah à l’impuissance » Annonce un châtiment douloureux aux incrédules,
A l’exception des polythéistes Avec lesquels vous avez conclu un pacte ;
De ceux qui ne vous ont pas ensuite causé de tort Et qui n’ont aidé personne à lutter contre vous.
Respectez pleinement le pacte conclu avec eux, jusqu’au terme convenu. -Allah aime ceux qui le craignent-
Après que les mois sacrés se seront écoulés, tuez les polythéistes, partout où vous les trouverez ;
Capturez-les, assiégez-les, Dressez-leur des embuscades.
Mais s’ils se repentent, S’ils s’acquittent de la prière, s’ils font l’aumône, Laissez-les libres. -Allah est celui qui pardonne, il est miséricordieux.- »
Re: Parution de La Psychologie de Mahomet et des musulmans d’Ali SINA
PBSL n'a jamais craché sur les plaisirs de Sodome, ses biographes Ibn Ishak, Ibn Hicham, Tabari racontent qu'il suçait le raisin sec, le zbib, de ses petits-fils Hassan et Husseyn.
PBSL a prétendu utiliser la médecine prophétique, al Tâb Al Nabawi, pour sodomiser Omar qui souffrait d'un bouton à l'anus.
PBSL a utilisé son pénis comme scalpel et son "eau vile" comme pommade.
PBSL a prétendu utiliser la médecine prophétique, al Tâb Al Nabawi, pour sodomiser Omar qui souffrait d'un bouton à l'anus.
PBSL a utilisé son pénis comme scalpel et son "eau vile" comme pommade.
Re: Parution de La Psychologie de Mahomet et des musulmans d’Ali SINA
Vladimir Fédorovski: «Il ne faut pas se tromper d’ennemi»
Par Serge Guertchakoff De passage à Genève à l’occasion de la sortie de son dernier ouvrage, l’écrivain Vladimir Fédorovski a confié son inquiétude face à la montée de l’islamisme.
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L'écrivain et ancien diplomate Vladimir Fédorovski s'inquiète du fossé grandissant entre la Russie et l'Europe. (Crédits: Getty Images)
«L’adversaire dans le monde aujourd’hui, ce n’est pas Vladimir Poutine, mais l’islamisme. Il ne faut pas se tromper d’ennemi», a fini par lâcher jeudi soir le célèbre Vladimir Fédorovski lors d’un débat animé par le présentateur du téléjournal de la RTS Darius Rochebin, et organisé par l’association genevoise Convergences.
Lire aussi: Apprendre de Poutine
Difficile pourtant de considérer l’écrivain et ancien diplomate de sympathie particulière pour le président russe. Né le 27 avril 1950 à Moscou, d’origine ukrainienne et aujourd’hui français, Vladimir Fédorovski vient de publier son 41e livre. Sorti aux Editions Stock, Au cœur du Kremlin affirme dévoiler ce que l’auteur prolixe n’a pas dit «de Gorbatchev à Poutine». Comme l’a rappelé jeudi soir Colette Célerin, la présidente de Convergences, Vladimir Fédorovski a commencé sa carrière en 1972, tout d’abord comme attaché d’ambassade en Mauritanie, puis en assistant Léonid Brejnev dans ses rencontres avec les dirigeants des pays arabes. En effet, le jeune homme maîtrise non seulement le français, mais aussi l’arabe. Il sera nommé attaché culturel à Paris, avant de revenir à Moscou où il se lie d’amitié avec Alexandre Iakovlev, l’éminence de Gorbatchev, considéré comme l’inspirateur de la perestroïka.
Le fossé se creuse entre Russie et Occident
Interviewé par Darius Rochebin qui a récemment rencontré le président de la Douma en visite à Berne, Vladimir Fédorovski ne se démonte jamais et répond volontiers à toutes les questions. «Est-ce que franchement, vous ne nous regardez pas comme des fins de race?», se lance le journaliste de la RTS. «Evidemment, rebondit l’écrivain. Je constate à mon grand regret un décalage toujours plus grand entre la Russie et l’Occident. L’opinion public russe considère que l’Europe est en déclin et est en train de s’islamiser et commence à se tourner vers l’Asie. Il existe donc un danger de rupture définitive».
Ce dernier poursuit sur la problématique des sanctions économico-politiques adoptées à l’encontre de la Fédération de Russie et de certains de ses ressortissants: «Vous savez, Poutine n’était pas si populaire que cela avant les sanctions. Aujourd’hui, il est devenu presque l’homme politique le plus modéré de Russie. Il ne faut pas en rigoler». L’assemblée se retient pourtant de rire. «Nous avons réussi à sortir du totalitarisme car le contexte politique international était alors favorable, notamment grâce à Hubert Védrine (ndlr. proche de François Mitterrand) et au Secrétaire d’Etat américain James Baker. Paradoxalement, cela a vite changé avec Bill Clinton qui était conseillé par des néoconservateurs en matière de politique étrangère».
Lire aussi: La Russie s'inquiète des risques de conflit entre Washington et Pyongyang
A Darius Rochebin qui rappelle que le président Obama avait qualifié la Russie de pays de moyenne importance, Vladimir Fédorovski lâche: «Finalement, je pense qu’Obama était une erreur de casting. N’a-t-il pas été jusqu’à oser mettre au même niveau la Russie et le virus Ebola lors d’un discours aux Nations-Unies». Très remonté quant aux Etats-Unis, l’écrivain tient à rappeler qu’il était personnellement présent lorsque les représentants américains avaient pris l’engagement formel de ne pas profiter de la chute du mur de Berlin pour élargir l’OTAN à l’est. «Le président Gorbatchev a signé le document qu’on lui tendait, sans en vérifier les détails. D’ailleurs, un ambassadeur américain de l’époque a écrit qu’un accord sur la non-extension de l’OTAN avait bel et bien existé. Après, il y a eu le bouclier anti-missiles soi-disant anti-Iran, alors qu’il n’existait pas un véritable danger.»
Pas avare en confidences devant une audience fournie qui n’en demandait pas tant, l’écrivain confie avoir vidé plus d’une bouteille de vodka avec Eltsine lorsque celui-ci lui déclara: «Nous allons les transformer en milliardaires»: «C’était l’idée développée pour rendre irréversible le processus de sortie du communisme en Russie en répartissant la propriété des biens étatiques: 50% des Russes frôlaient alors le seuil de pauvreté après cela. Et au final, environ 120 milliards de dollars sont partis dans des banques occidentales. Quand ils l’ont appris, les Russes ont dit: c’est ça la démocratie !?!? C’est ça l’Occident ?!?! Désormais, mes compatriotes disent "les démocrates voleurs". L’opinion publique a évolué.»
La question des Russes en Syrie
«N’avez-vous pas sous-estimé Vladimir Poutine ? », l’interroge Darius Rochebin par rapport à certains écrits antérieurs de Vladimir Fédorovski. «Vous avez raison. Poutine s’est révélé avec la fonction. J’ai été bluffé.» Cela étant, ce n’est pas parce qu’il comprend la politique menée par le président russe en Syrie qu’il n’émet aucune critique à son égard: «Je considère que c’est une erreur de ne pas encourager le vrai débat d’idées sur les enjeux politiques et économiques en Russie dans le cadre de l’élection présidentielle.
Par contre, concernant la Syrie, il faut voir la réalité en face. Poutine ne veut pas d’une deuxième Libye. En Syrie, à un certain moment, les islamistes étaient à deux doigts de prendre Damas, qui n’est pas si éloigné que cela de la Russie. Avec relativement peu de moyens, il a réussi à sauvegarder l’intérêt national russe et désormais Poutine et la Russie sont redevenus incontournables sur l’échiquier politique. Il est adulé en Orient comme le seul défenseur de la chrétienté. L’adversaire dans le monde c’est l’islamisme radical, pas la Russie. Il ne faut pas se tromper d’ennemi. Je suis franchement inquiet pour la paix dans le monde. J’essaie de prévenir pour ne pas gémir.»
Répondant à une question du PLR David Brolliet sur le rôle de la Suisse, Vladimir Fédorovski juge que la Suisse doit jouer un rôle plus actif. «Les sanctions sont intolérables. A propos de l’Ukraine, soit on continue dans la confrontation, soit on tente la désescalade. A mon sens, c’est cette seconde option qu’il faut favoriser car les sanctions ont été contre-productives. Evitons de vivre dans un monde imaginaire.»
Lire aussi: Poutine ordonne une riposte aux sanctions, Coca-Cola boycotte le marché russe
Par Serge Guertchakoff De passage à Genève à l’occasion de la sortie de son dernier ouvrage, l’écrivain Vladimir Fédorovski a confié son inquiétude face à la montée de l’islamisme.
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L'écrivain et ancien diplomate Vladimir Fédorovski s'inquiète du fossé grandissant entre la Russie et l'Europe. (Crédits: Getty Images)
«L’adversaire dans le monde aujourd’hui, ce n’est pas Vladimir Poutine, mais l’islamisme. Il ne faut pas se tromper d’ennemi», a fini par lâcher jeudi soir le célèbre Vladimir Fédorovski lors d’un débat animé par le présentateur du téléjournal de la RTS Darius Rochebin, et organisé par l’association genevoise Convergences.
Lire aussi: Apprendre de Poutine
Difficile pourtant de considérer l’écrivain et ancien diplomate de sympathie particulière pour le président russe. Né le 27 avril 1950 à Moscou, d’origine ukrainienne et aujourd’hui français, Vladimir Fédorovski vient de publier son 41e livre. Sorti aux Editions Stock, Au cœur du Kremlin affirme dévoiler ce que l’auteur prolixe n’a pas dit «de Gorbatchev à Poutine». Comme l’a rappelé jeudi soir Colette Célerin, la présidente de Convergences, Vladimir Fédorovski a commencé sa carrière en 1972, tout d’abord comme attaché d’ambassade en Mauritanie, puis en assistant Léonid Brejnev dans ses rencontres avec les dirigeants des pays arabes. En effet, le jeune homme maîtrise non seulement le français, mais aussi l’arabe. Il sera nommé attaché culturel à Paris, avant de revenir à Moscou où il se lie d’amitié avec Alexandre Iakovlev, l’éminence de Gorbatchev, considéré comme l’inspirateur de la perestroïka.
Le fossé se creuse entre Russie et Occident
Interviewé par Darius Rochebin qui a récemment rencontré le président de la Douma en visite à Berne, Vladimir Fédorovski ne se démonte jamais et répond volontiers à toutes les questions. «Est-ce que franchement, vous ne nous regardez pas comme des fins de race?», se lance le journaliste de la RTS. «Evidemment, rebondit l’écrivain. Je constate à mon grand regret un décalage toujours plus grand entre la Russie et l’Occident. L’opinion public russe considère que l’Europe est en déclin et est en train de s’islamiser et commence à se tourner vers l’Asie. Il existe donc un danger de rupture définitive».
Ce dernier poursuit sur la problématique des sanctions économico-politiques adoptées à l’encontre de la Fédération de Russie et de certains de ses ressortissants: «Vous savez, Poutine n’était pas si populaire que cela avant les sanctions. Aujourd’hui, il est devenu presque l’homme politique le plus modéré de Russie. Il ne faut pas en rigoler». L’assemblée se retient pourtant de rire. «Nous avons réussi à sortir du totalitarisme car le contexte politique international était alors favorable, notamment grâce à Hubert Védrine (ndlr. proche de François Mitterrand) et au Secrétaire d’Etat américain James Baker. Paradoxalement, cela a vite changé avec Bill Clinton qui était conseillé par des néoconservateurs en matière de politique étrangère».
Lire aussi: La Russie s'inquiète des risques de conflit entre Washington et Pyongyang
A Darius Rochebin qui rappelle que le président Obama avait qualifié la Russie de pays de moyenne importance, Vladimir Fédorovski lâche: «Finalement, je pense qu’Obama était une erreur de casting. N’a-t-il pas été jusqu’à oser mettre au même niveau la Russie et le virus Ebola lors d’un discours aux Nations-Unies». Très remonté quant aux Etats-Unis, l’écrivain tient à rappeler qu’il était personnellement présent lorsque les représentants américains avaient pris l’engagement formel de ne pas profiter de la chute du mur de Berlin pour élargir l’OTAN à l’est. «Le président Gorbatchev a signé le document qu’on lui tendait, sans en vérifier les détails. D’ailleurs, un ambassadeur américain de l’époque a écrit qu’un accord sur la non-extension de l’OTAN avait bel et bien existé. Après, il y a eu le bouclier anti-missiles soi-disant anti-Iran, alors qu’il n’existait pas un véritable danger.»
Pas avare en confidences devant une audience fournie qui n’en demandait pas tant, l’écrivain confie avoir vidé plus d’une bouteille de vodka avec Eltsine lorsque celui-ci lui déclara: «Nous allons les transformer en milliardaires»: «C’était l’idée développée pour rendre irréversible le processus de sortie du communisme en Russie en répartissant la propriété des biens étatiques: 50% des Russes frôlaient alors le seuil de pauvreté après cela. Et au final, environ 120 milliards de dollars sont partis dans des banques occidentales. Quand ils l’ont appris, les Russes ont dit: c’est ça la démocratie !?!? C’est ça l’Occident ?!?! Désormais, mes compatriotes disent "les démocrates voleurs". L’opinion publique a évolué.»
La question des Russes en Syrie
«N’avez-vous pas sous-estimé Vladimir Poutine ? », l’interroge Darius Rochebin par rapport à certains écrits antérieurs de Vladimir Fédorovski. «Vous avez raison. Poutine s’est révélé avec la fonction. J’ai été bluffé.» Cela étant, ce n’est pas parce qu’il comprend la politique menée par le président russe en Syrie qu’il n’émet aucune critique à son égard: «Je considère que c’est une erreur de ne pas encourager le vrai débat d’idées sur les enjeux politiques et économiques en Russie dans le cadre de l’élection présidentielle.
Par contre, concernant la Syrie, il faut voir la réalité en face. Poutine ne veut pas d’une deuxième Libye. En Syrie, à un certain moment, les islamistes étaient à deux doigts de prendre Damas, qui n’est pas si éloigné que cela de la Russie. Avec relativement peu de moyens, il a réussi à sauvegarder l’intérêt national russe et désormais Poutine et la Russie sont redevenus incontournables sur l’échiquier politique. Il est adulé en Orient comme le seul défenseur de la chrétienté. L’adversaire dans le monde c’est l’islamisme radical, pas la Russie. Il ne faut pas se tromper d’ennemi. Je suis franchement inquiet pour la paix dans le monde. J’essaie de prévenir pour ne pas gémir.»
Répondant à une question du PLR David Brolliet sur le rôle de la Suisse, Vladimir Fédorovski juge que la Suisse doit jouer un rôle plus actif. «Les sanctions sont intolérables. A propos de l’Ukraine, soit on continue dans la confrontation, soit on tente la désescalade. A mon sens, c’est cette seconde option qu’il faut favoriser car les sanctions ont été contre-productives. Evitons de vivre dans un monde imaginaire.»
Lire aussi: Poutine ordonne une riposte aux sanctions, Coca-Cola boycotte le marché russe
Re: Parution de La Psychologie de Mahomet et des musulmans d’Ali SINA
L'as tu niqué ?
Un mahométan s'accuse auprès de PBSL d'adultère ?
Un mahométan s'accuse auprès de PBSL d'adultère ?
Re: Parution de La Psychologie de Mahomet et des musulmans d’Ali SINA
Une petite note sur le dessin de Lambertini de Charlie Hebdo:
Coco, la dessinatrice rappelle que les religions n’ont pas à jouir d’un statut à part, d’un traitement de faveur ou d’une exception qui les placeraient hors du champ de la critique, de l’humour ou de la polémique.
Respecter un croyant, c’est lui laisser la liberté de croire et de pratiquer sa religion. Respecter un non-croyant, un athée ou un agnostique, c’est lui laisser la liberté de ne pas croire, de critiquer et de rire des religions, de railler et de dénoncer ceux qui tuent au nom de celles-ci.
Les limites à la liberté d’expression ne se déterminent pas en fonction de ce qui plaît ou déplaît à une personne ou à un groupe. La loi protège des citoyens, pas des mythes : on peut rire des religions, de leurs dogmes et de leurs porte parole, mais on ne peut pas appeler à la haine contre les croyants.
Coco, la dessinatrice rappelle que les religions n’ont pas à jouir d’un statut à part, d’un traitement de faveur ou d’une exception qui les placeraient hors du champ de la critique, de l’humour ou de la polémique.
Respecter un croyant, c’est lui laisser la liberté de croire et de pratiquer sa religion. Respecter un non-croyant, un athée ou un agnostique, c’est lui laisser la liberté de ne pas croire, de critiquer et de rire des religions, de railler et de dénoncer ceux qui tuent au nom de celles-ci.
Les limites à la liberté d’expression ne se déterminent pas en fonction de ce qui plaît ou déplaît à une personne ou à un groupe. La loi protège des citoyens, pas des mythes : on peut rire des religions, de leurs dogmes et de leurs porte parole, mais on ne peut pas appeler à la haine contre les croyants.
Ryanne- Connaisseur
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