Du judaïsme
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ganem
Rocco
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Du judaïsme
Critique du judaïsme par une rationaliste juive
Mariage et relations sexuelles
Puisque «la chair des goyim est semblable à celle des ânes et que leur rut est comme celui des étalons», (Ezéchiel 23 20) les relations sexuelles d'un juif marié avec une goya ne sont pas de l'adultère mais de la bestialité.
Selon Maïmonide, toute femme non-juive est considérée comme non purifiée de ses menstrues, esclave, païenne et prostituée (niddah, shiftah, goyah, zonah).
Par conversion elle perd les trois premières marques mais reste toujours zonah (prostituée) pour le restant de ses jours.
Pour une femme, la conversion au judaïsme est assortie de conditions humiliantes: inspection corporelle par trois rabbins après avoir été dénudée lors d'un bain de purification.
On imagine les hurlements médiatiques si l'église catholique se permettait le moindre projet en ce sens.
Selon l'Encyclopédie talmudique, le juif qui a des rapports charnels avec la femme d'un Gentil ne mérite pas la peine de mort.
Selon ce qui est écrit: «La femme de ton prochain et non la femme de l'étranger» et le précepte selon lequel «un homme restera fidèle à sa femme» qui est adressé aux Gentils ne s'applique pas au juif parce qu'aux yeux de la Loi il n'y a pas de mariage valide entre les Gentils. Cette interdiction ne s'adresse donc pas au juif.
Cela ne veut pas dire que les rapports sexuels entre un juif et une goya sont permis, bien au contraire. Mais la punition principale est infligée à la goya et doit être exécutée même si celle-ci a été violée par le juif.
Lorsqu'un juif a un coït avec une goya, cette dernière, qu'elle soit une enfant de trois ans ou une adulte, qu'elle soit mariée ou non, et même si elle est une mineure âgée seulement de neuf ans et un jour, par le fait même qu'elle a eu un coït «volontaire» doit être tuée, comme c'est le cas pour une bête, simplement parce qu'elle a occasionné des ennuis au juif.
Cependant celui-ci doit être fouetté et, s'il est un Kohen (membre de la tribu des prêtres), il doit recevoir deux fois plus de coups de fouet parce qu'un Kohen ne peut avoir de rapports sexuels avec une prostituée et toute femme non-juive est présumée être une prostituée.
Il est bien entendu qu'un juif ne peut épouser une non-juive.
Les mariages mixtes sont une abomination pour les rabbins.
Il est interdit aux descendants mâles des Kohanim (prêtres) d'épouser des divorcées.
Les mariages célébrés par des autorités civiles en dehors d'Israël, forcément, sont déclarés invalides.
Précisons qu'en Israël le mariage est religieux et les registres sont tenus par la Synagogue.
Qu'en pensent les philosémites laïcards qui baisent les tsitsith (franges) du Grand rabbin Ouaknin de Marseille?
«Les enfants nés de mariages invalides sont déclarés illégitimes par les rabbins.
Les rabbins libéraux ne sont pas autorisés à célébrer les mariages en Israël.
Le divorce est interdit à la femme, sauf si elle obtient le consentement écrit de son mari. La veuve doit obtenir l'autorisation de son beau-frère pour se remarier.
Elle peut être amenée à abandonner une partie de son héritage à son beau-frère pour qu'il ne fasse pas usage de son droit de lévirat.
Si elle est mineure, la veuve peut devoir attendre jusqu'à sa majorité pour se remarier. Les enfants nés de relations avec une femme mariée ou d'un mariage civil hors Israël sont considérés comme bâtards et, ayant atteint l'âge adulte, ne sont pas autorisés à se marier selon la loi israélienne.»
Droit
Le Livre de l'Education paru au XIVème siècle en Espagne expose les 613 préceptes religieux du judaïsme.
Précisons que cet ouvrage très populaire, paru à de nombreuses reprises dans des éditions bon marché, est subsidié par le gouvernement israélien.
C'est ainsi que le juif religieux apprend depuis sa plus tendre enfance au cours de Talmud-Tora que les non-juifs sont comparables aux chiens.
Béatrice Philippe, professeur à l'INALCO, Paris, prétend que les juifs de France sont devenus «usuriers malgré eux» au Moyen Age.
Bien sûr, le Talmud interdit formellement le prêt à intérêt, mais cela ne vaut que pour les juifs.
*Le précepte 198 ordonne de pratiquer l'usure vis-à-vis des Gentils.
Et le précepte 545 dispose «Nous ne devons prêter de l'argent aux Gentils que moyennant intérêt».
«Cette obligation, précise le commentaire des mitzvot, se fonde sur le principe selon lequel les juifs ne doivent avoir aucune pitié des Gentils.»
*Le précepte 219 enjoint au juif de se préoccuper de son prochain et de son argent comme il le ferait pour lui-même. Celui qui aime le prochain comme lui-même ne lui volera pas son argent.
Mais, faut-il le rappeler, le goy n'est pas le prochain du juif.
*Le paragraphe 322 traite du devoir de maintenir les Gentils en esclavage.
«Cette obligation repose sur l'évidence que le peuple juif est le meilleur de tous les peuples de la terre, créé pour connaître son Créateur et l'adorer et digne de posséder des esclaves pour le servir».
C'est dans la revue des Loubavitch, secte ultra raciste soutenue financièrement par Jacques Chirac lorsqu'il était maire de Paris, que Gilles Kepel a trouvé le concept suivant: «L'écart qui sépare le peuple juif du genre humain n'est pas moindre que l'écart entre l'humain et l'animal.»
*Paragraphe 239. L'interdiction de maudire le prochain, de lui donner de mauvais conseils, de le haïr, de le couvrir de honte, de tirer vengeance ne s'applique qu'au juif.
Contre les goyim, en revanche, toutes les mauvaises actions sont vivement recommandées par la Halakha.
Bien sûr, toutes ces dispositions sont bien connues des rabbins et des apologistes du judaïsme comme Malka, Dahan, Philippe et Iancu, pour ne parler que de la France.
Mais ces mandarins n'en font jamais état hors des limites de la communauté juive.
En revanche, ils diffament ceux qui portent ces textes à la connaissance des Gentils) et ils se répandent en dénégations où l'art de la tromperie atteint des sommets.
Par exemple, ils affirment, la main sur le coeur et en utilisant des généralités, que le judaïsme attache beaucoup d'importance à la pitié, mais oublient de préciser que celle-ci ne peut s'exercer envers les goyim.
Conformément à la Halakha , les juifs ne peuvent désigner un non-juif à un poste où il exercerait une autorité, si petite soit-elle, sur les juifs.
Cette loi particulière s'applique même à ceux qui se sont convertis au judaïsme et ce jusqu'à la dixième génération.
Voit-on la France prendre de pareilles mesures vis-à-vis de Badinter, Joxe, BH Lévy, Levai, Elkabbach et Anne Sinclair?
Les goyim sont présumés être des menteurs congénitaux et ne sont pas habilités à témoigner devant un tribunal rabbinique.
Le Talmud interdit formellement à un juif d'offrir un cadeau à un goy, sauf en affaires où ce cadeau constitue une sorte d'investissement, donc un bénéfice escompté.
Il est interdit de rendre au gentil (c'est à dire un non-juif) un bien qu'il a égaré.
La tromperie indirecte en affaires est permise vis-à-vis du goy.
Si, par exemple, un goy commet une erreur de calcul en sa défaveur il n'est pas nécessaire de le lui faire remarquer mais il faut dire «je me fie à votre décompte» afin de prévenir son hostilité s'il se rend compte de son erreur ultérieurement.
La fraude est donc permise vis-à-vis du goy.
Le vol au dépens du goy n'est pas interdit.
C'est la raison pour laquelle très peu de rabbins ont protesté contre les expropriations forcées des Palestiniens parce qu'ainsi on accroissait la puissance juive.
La dissimulation
En 1240, saint Louis provoqua, à Paris, la «grande disputaison» au terme de laquelle le Talmud, parce qu'il fourmillait de passages antichrétiens, fut livré aux flammes.
Mais en Pologne au XVIIème siècle, parut une édition du Talmud qui contenait tous les passages antichrétiens prohibés précédemment.
Ceux-ci ayant soulevé l'indignation des hébraïsants chrétiens, le synode juif réuni en 1631 en Pologne en prescrivit lui-même le retranchement dans les éditions ultérieures mais en enjoignant de laisser des blancs à la place des passages incriminés et d'y mettre un O, qui avertira les rabbins et les maîtres d'école d'enseigner ces endroits de vive voix seulement.
Ailleurs, les expressions «Gentil», «non-juif»,, «étranger», (goy, eino yehudi, nokhri) furent remplacés par les termes «idolâtres», «païen» ou même «Cananéen», ou «Samaritain» pour lesquels il était possible de donner une explication lénifiante et satisfaisante mais que le lecteur juif pouvait aisément reconnaître.
Lorsque les attaques redoublaient, la défense devenait plus minutieuse encore.
La censure tsariste devenant plus sévère, tous les euphémismes furent considérés pour ce qu'ils étaient en réalité.
Sur quoi les autorités rabbiniques substituèrent les termes «Arabe» ou «Musulman» ou occasionnellement «Egyptien» en estimant que les autorités ne soulèveraient aucune objection.
En même temps, des listes manuscrites d'omissions talmudiques furent mises en circulation qui expliquaient les nouveaux termes et mettaient les omissions en évidence. Parfois, un désaveu général était imprimé dans la page de garde de chaque volume de littérature talmudique déclarant solennellement, parfois sous la foi du serment, que les expressions hostiles étaient en fait adressées aux idolâtres de l'Antiquité, ou encore à des peuples depuis longtemps disparus comme les Cananéens et «non aux peuples parmi lesquels nous vivons».
[Ce genre de serment n'a d'ailleurs aucune valeur pour le juif.
Le seul serment qui l'engage étant celui prêté selon le rite rabbinique, coiffé de la kippa, sans aucune représentation du Christ, sur la Bible hébraïque et en présence d'un rabbin ou d'un juif pieux.
Voir la déposition de Joseph G. Burg au procès de Toronto dans R.H.R. n° 5 de novembre 1991 sous le titre «Un juif révisionniste témoigne à Toronto».]
Inutile de dire qu'il s'agissait de mensonges flagrants.
Après la création de l'Etat d'Israël, dès que les rabbins se sentirent en sécurité, tous les passages agressifs et les expressions injurieuses furent restaurés sans l'ombre d'une hésitation dans les nouvelles éditions.
Ainsi chacun en Israël peut-il facilement prendre connaissance -- les enfants l'apprennent à l'école -- des passages qui obligent chaque juif passant devant un cimetière chrétien à maudire la mère des défunts.
A l'heure actuelle, nombre de docteurs ont non seulement persévéré dans la tromperie mais ont surpassé les vieilles méthodes rabbiniques tant dans l'insolence que dans le mensonge.
En 1962, le code de la loi talmudique, réédité par Maïmonide Mishneh Tora appelé «livre de la Connaissance» qui contient les lois fondamentales et les pratiques de la loi juive a été publié à Jérusalem en édition bilingue, le texte anglais faisant face au texte hébreu.
Celui-ci a été restauré dans sa pureté originelle et le commandement selon lequel il faut exterminer le juif infidèle apparaît dans son intégralité: «C'est un devoir de les exterminer de ses propres mains».
La traduction anglaise est édulcorée: «C'est un devoir de prendre des mesures actives pour les détruire».
Mais le texte hébreu poursuit en spécifiant l'exemple type d'infidèles qui doivent être exterminés: «Comme Jésus de Nazareth et ses disciples ... que le nom du méchant (pervers) s'en aille en putréfaction».
Pas un mot de cet anathème n'apparaît dans le texte anglais qui lui fait face.
Mais plus significatif, en dépit de la grande diffusion de cet ouvrage parmi les universitaires des pays anglo-saxons, aucune protestation ne s'est élevée contre cette tromperie flagrante.
Shahak dénonce la consigne du silence des intellectuels libéraux, des clergés catholique et protestant et de certains cercles marxistes tant aux Etats-Unis qu'en Israël à propos de l'obscurantisme rabbinique qui s'est exercé tout au long de l'histoire à l'encontre des juifs eux-mêmes.
«Autodafés de livres, persécution des écrivains, disputes à propos du pouvoir magique des amulettes».
L'auteur analyse le processus de dégénérescence du judaisme classique en Pologne et en Allemagne au XVIIIème siècle notamment, qui aboutit à un fatras de rituels vidés de substance, de superstitions et d'absurdités imposées par un rabbinat hypocrite et vénal.
Remarquons toutefois qu'il y a deux mille ans déjà, le Christ apostrophait les scribes et les Pharisiens hypocrites dans un passage de saint Matthieu qui conserve toute son actualité.
La presse israélienne est constamment agitée par les querelles qui opposent les différentes factions religieuses et qui versent souvent dans la trivialité.
Voici les questions qui, selon Shahak, passionnaient les lecteurs en août 1993: les corps des soldats israéliens nés de mère non-juive et tués au combat doivent-ils être inhumés dans un espace ségrégé ou dans un cimetière militaire?
Les associations religieuses qui ont le monopole des enterrements, excepté de ceux des membres des kibboutz, vont-elles encore être autorisées à circoncire les défunts incirconcis et ceci sans l'accord des familles?
L'importation de viande non casher en Israël, officieusement interdite depuis la fondation de l'Etat, sera-t-elle enfin autorisée ou interdite légalement?
Shahak jette un éclairage inattendu sur la personnalité de «l'apôtre du judaïsme auprès de l'humanité», le philosophe Martin Buber, celui dont Élie Wiesel, entre autres, célèbre la sagesse hassidique.
L'auteur dénonce en lui l'inspirateur des chefs hassidiques «sanguinaires» (l'expression est de Shahak) dont la philosophie a développé le chauvinisme et la haine du non-juif en Israël.
Selon lui, Buber porte une grande responsabilité dans la propagande hassidique qui incitait les infirmières de Tsahal à refuser de soigner les blessés ennemis.
Dans Hatanya, le livre fondamental du mouvement habbad, l'une des branches les plus importantes du Hassidisme, il est écrit: «... Tous les non-juifs sont des créatures sataniques dans lesquelles il ne peut y avoir absolument rien de bon».
Les dix-huit bénédictions
Dans les dix-huit bénédictions de la prière du matin (Chemonè esrè) du Rituel de prières, il existe une malédiction spéciale (birkhat ha-minim) dirigée à l'origine contre les chrétiens, les juifs convertis et les juifs hérétiques:
1. «Et qu'il n'y ait aucun espoir pour les apostats (meshhummadin) et que tous les chrétiens périssent instantanément.»
Cette formule date du Ier siècle, lorsque les chrétiens ne constituaient qu'une petite secte persécutée.
Peu après le XIVème siècle cette formule fut édulcorée en:
2. «Et qu'il n'y ait aucun espoir pour les apostats, et que tous les hérétiques périssent instantanément». Et après de nouvelles pressions:
3. «Et qu'il n'y ait aucun espoir pour les délateurs et que tous les hérétiques périssent instantanément.»
Après la création de l'Etat d'Israël, le processus fut inversé et de nombreuses versions du rituel en revinrent ainsi à la deuxième formule qui est aussi prescrite par de nombreux professeurs dans les écoles rabbiniques israéliennes.
Après la Guerre des Six Jours, plusieurs congrégations proches du Gush Emunim ont restauré la version originale uniquement verbalement et prient ainsi quotidiennement pour que les chrétiens disparaissent instantanément.
Comme l'enseignement oral prime, on peut dire que l'exécration a persisté à travers les siècles.
Il est assez piquant que ce processus de réversion ait eu lieu dans la période où l'Eglise catholique sous Jean XXIII modifia les prières du vendredi saint pour les juifs «perfides» qui avaient provoqué le scandale que l'on sait.
L'interprétation rigoureuse de la loi dite «antimissionnaire» de décembre 1977 punit de cinq ans d'emprisonnement celui qui fait du prosélytisme même en offrant une Bible, un chapelet ou une médaille religieuse.
En effet, selon le texte, le don du moindre objet de piété peut être considéré comme «incitation matérielle» à changer de religion
Le Talmud (Shabbat 116a) ordonne de brûler publiquement les Évangiles chaque fois que l'occasion s'en présente.
Le 23 mars 1980, un autodafé de plusieurs centaines d'exemplaires du Nouveau Testament a été organisé par les rabbins de Yad Lehakhim, organisation religieuse subventionnée par le ministère israélien des cultes.
En novembre 1991, Marc Aron (président du B'naï B'rith de France), s'adressant à Mgr Decourtray, déclara à propos du pèlerinage des B'naï B'rith à Auschwitz: «... nous étions deux cents qui, spontanément, dans le froid glacial de Birkenau, avons dénudé nos bras pour mettre les Thephilim (phylactères) ... et à réciter la prière du matin ...
Nous étions deux cents à allumer la Menorah (chandelier à sept branches), symbole du judaïsme et symbole de notre association et à poser ces bras de lumière sur les grilles du Carmel en signe de paix et de volonté de dialogue.»
Ce qui n'a pas empêché les organisations juives d'obtenir d'une Eglise apeurée le déménagement des carmélites hors du site.
Comme elles ont obtenu la suspension du procès en béatification d'Isabelle la Catholique. Il est malgré tout choquant qu'un prince de l'Eglise, déjà connu pour son écœurante servilité, ait ignoré ou feint d'ignorer le contenu antichrétien des prières juives.
Comme il est scandaleux que Jean-Paul II ait reçu au Vatican les délégués du B'naï B'rith, organisation maçonnique connue pour son militantisme anticatholique.
Au cas où le livre de Shahak parviendrait à franchir les mailles serrées de la censure en France, il serait bon que les ligues antiracistes (MRAP, LICRA, etc.) exerçassent leur ardeur à l'encontre de l'enseignement dispensé dans les Yeshivoth et les cours de Talmud-Thora.[/quote]
Mariage et relations sexuelles
Puisque «la chair des goyim est semblable à celle des ânes et que leur rut est comme celui des étalons», (Ezéchiel 23 20) les relations sexuelles d'un juif marié avec une goya ne sont pas de l'adultère mais de la bestialité.
Selon Maïmonide, toute femme non-juive est considérée comme non purifiée de ses menstrues, esclave, païenne et prostituée (niddah, shiftah, goyah, zonah).
Par conversion elle perd les trois premières marques mais reste toujours zonah (prostituée) pour le restant de ses jours.
Pour une femme, la conversion au judaïsme est assortie de conditions humiliantes: inspection corporelle par trois rabbins après avoir été dénudée lors d'un bain de purification.
On imagine les hurlements médiatiques si l'église catholique se permettait le moindre projet en ce sens.
Selon l'Encyclopédie talmudique, le juif qui a des rapports charnels avec la femme d'un Gentil ne mérite pas la peine de mort.
Selon ce qui est écrit: «La femme de ton prochain et non la femme de l'étranger» et le précepte selon lequel «un homme restera fidèle à sa femme» qui est adressé aux Gentils ne s'applique pas au juif parce qu'aux yeux de la Loi il n'y a pas de mariage valide entre les Gentils. Cette interdiction ne s'adresse donc pas au juif.
Cela ne veut pas dire que les rapports sexuels entre un juif et une goya sont permis, bien au contraire. Mais la punition principale est infligée à la goya et doit être exécutée même si celle-ci a été violée par le juif.
Lorsqu'un juif a un coït avec une goya, cette dernière, qu'elle soit une enfant de trois ans ou une adulte, qu'elle soit mariée ou non, et même si elle est une mineure âgée seulement de neuf ans et un jour, par le fait même qu'elle a eu un coït «volontaire» doit être tuée, comme c'est le cas pour une bête, simplement parce qu'elle a occasionné des ennuis au juif.
Cependant celui-ci doit être fouetté et, s'il est un Kohen (membre de la tribu des prêtres), il doit recevoir deux fois plus de coups de fouet parce qu'un Kohen ne peut avoir de rapports sexuels avec une prostituée et toute femme non-juive est présumée être une prostituée.
Il est bien entendu qu'un juif ne peut épouser une non-juive.
Les mariages mixtes sont une abomination pour les rabbins.
Il est interdit aux descendants mâles des Kohanim (prêtres) d'épouser des divorcées.
Les mariages célébrés par des autorités civiles en dehors d'Israël, forcément, sont déclarés invalides.
Précisons qu'en Israël le mariage est religieux et les registres sont tenus par la Synagogue.
Qu'en pensent les philosémites laïcards qui baisent les tsitsith (franges) du Grand rabbin Ouaknin de Marseille?
«Les enfants nés de mariages invalides sont déclarés illégitimes par les rabbins.
Les rabbins libéraux ne sont pas autorisés à célébrer les mariages en Israël.
Le divorce est interdit à la femme, sauf si elle obtient le consentement écrit de son mari. La veuve doit obtenir l'autorisation de son beau-frère pour se remarier.
Elle peut être amenée à abandonner une partie de son héritage à son beau-frère pour qu'il ne fasse pas usage de son droit de lévirat.
Si elle est mineure, la veuve peut devoir attendre jusqu'à sa majorité pour se remarier. Les enfants nés de relations avec une femme mariée ou d'un mariage civil hors Israël sont considérés comme bâtards et, ayant atteint l'âge adulte, ne sont pas autorisés à se marier selon la loi israélienne.»
Droit
Le Livre de l'Education paru au XIVème siècle en Espagne expose les 613 préceptes religieux du judaïsme.
Précisons que cet ouvrage très populaire, paru à de nombreuses reprises dans des éditions bon marché, est subsidié par le gouvernement israélien.
C'est ainsi que le juif religieux apprend depuis sa plus tendre enfance au cours de Talmud-Tora que les non-juifs sont comparables aux chiens.
Béatrice Philippe, professeur à l'INALCO, Paris, prétend que les juifs de France sont devenus «usuriers malgré eux» au Moyen Age.
Bien sûr, le Talmud interdit formellement le prêt à intérêt, mais cela ne vaut que pour les juifs.
*Le précepte 198 ordonne de pratiquer l'usure vis-à-vis des Gentils.
Et le précepte 545 dispose «Nous ne devons prêter de l'argent aux Gentils que moyennant intérêt».
«Cette obligation, précise le commentaire des mitzvot, se fonde sur le principe selon lequel les juifs ne doivent avoir aucune pitié des Gentils.»
*Le précepte 219 enjoint au juif de se préoccuper de son prochain et de son argent comme il le ferait pour lui-même. Celui qui aime le prochain comme lui-même ne lui volera pas son argent.
Mais, faut-il le rappeler, le goy n'est pas le prochain du juif.
*Le paragraphe 322 traite du devoir de maintenir les Gentils en esclavage.
«Cette obligation repose sur l'évidence que le peuple juif est le meilleur de tous les peuples de la terre, créé pour connaître son Créateur et l'adorer et digne de posséder des esclaves pour le servir».
C'est dans la revue des Loubavitch, secte ultra raciste soutenue financièrement par Jacques Chirac lorsqu'il était maire de Paris, que Gilles Kepel a trouvé le concept suivant: «L'écart qui sépare le peuple juif du genre humain n'est pas moindre que l'écart entre l'humain et l'animal.»
*Paragraphe 239. L'interdiction de maudire le prochain, de lui donner de mauvais conseils, de le haïr, de le couvrir de honte, de tirer vengeance ne s'applique qu'au juif.
Contre les goyim, en revanche, toutes les mauvaises actions sont vivement recommandées par la Halakha.
Bien sûr, toutes ces dispositions sont bien connues des rabbins et des apologistes du judaïsme comme Malka, Dahan, Philippe et Iancu, pour ne parler que de la France.
Mais ces mandarins n'en font jamais état hors des limites de la communauté juive.
En revanche, ils diffament ceux qui portent ces textes à la connaissance des Gentils) et ils se répandent en dénégations où l'art de la tromperie atteint des sommets.
Par exemple, ils affirment, la main sur le coeur et en utilisant des généralités, que le judaïsme attache beaucoup d'importance à la pitié, mais oublient de préciser que celle-ci ne peut s'exercer envers les goyim.
Conformément à la Halakha , les juifs ne peuvent désigner un non-juif à un poste où il exercerait une autorité, si petite soit-elle, sur les juifs.
Cette loi particulière s'applique même à ceux qui se sont convertis au judaïsme et ce jusqu'à la dixième génération.
Voit-on la France prendre de pareilles mesures vis-à-vis de Badinter, Joxe, BH Lévy, Levai, Elkabbach et Anne Sinclair?
Les goyim sont présumés être des menteurs congénitaux et ne sont pas habilités à témoigner devant un tribunal rabbinique.
Le Talmud interdit formellement à un juif d'offrir un cadeau à un goy, sauf en affaires où ce cadeau constitue une sorte d'investissement, donc un bénéfice escompté.
Il est interdit de rendre au gentil (c'est à dire un non-juif) un bien qu'il a égaré.
La tromperie indirecte en affaires est permise vis-à-vis du goy.
Si, par exemple, un goy commet une erreur de calcul en sa défaveur il n'est pas nécessaire de le lui faire remarquer mais il faut dire «je me fie à votre décompte» afin de prévenir son hostilité s'il se rend compte de son erreur ultérieurement.
La fraude est donc permise vis-à-vis du goy.
Le vol au dépens du goy n'est pas interdit.
C'est la raison pour laquelle très peu de rabbins ont protesté contre les expropriations forcées des Palestiniens parce qu'ainsi on accroissait la puissance juive.
La dissimulation
En 1240, saint Louis provoqua, à Paris, la «grande disputaison» au terme de laquelle le Talmud, parce qu'il fourmillait de passages antichrétiens, fut livré aux flammes.
Mais en Pologne au XVIIème siècle, parut une édition du Talmud qui contenait tous les passages antichrétiens prohibés précédemment.
Ceux-ci ayant soulevé l'indignation des hébraïsants chrétiens, le synode juif réuni en 1631 en Pologne en prescrivit lui-même le retranchement dans les éditions ultérieures mais en enjoignant de laisser des blancs à la place des passages incriminés et d'y mettre un O, qui avertira les rabbins et les maîtres d'école d'enseigner ces endroits de vive voix seulement.
Ailleurs, les expressions «Gentil», «non-juif»,, «étranger», (goy, eino yehudi, nokhri) furent remplacés par les termes «idolâtres», «païen» ou même «Cananéen», ou «Samaritain» pour lesquels il était possible de donner une explication lénifiante et satisfaisante mais que le lecteur juif pouvait aisément reconnaître.
Lorsque les attaques redoublaient, la défense devenait plus minutieuse encore.
La censure tsariste devenant plus sévère, tous les euphémismes furent considérés pour ce qu'ils étaient en réalité.
Sur quoi les autorités rabbiniques substituèrent les termes «Arabe» ou «Musulman» ou occasionnellement «Egyptien» en estimant que les autorités ne soulèveraient aucune objection.
En même temps, des listes manuscrites d'omissions talmudiques furent mises en circulation qui expliquaient les nouveaux termes et mettaient les omissions en évidence. Parfois, un désaveu général était imprimé dans la page de garde de chaque volume de littérature talmudique déclarant solennellement, parfois sous la foi du serment, que les expressions hostiles étaient en fait adressées aux idolâtres de l'Antiquité, ou encore à des peuples depuis longtemps disparus comme les Cananéens et «non aux peuples parmi lesquels nous vivons».
[Ce genre de serment n'a d'ailleurs aucune valeur pour le juif.
Le seul serment qui l'engage étant celui prêté selon le rite rabbinique, coiffé de la kippa, sans aucune représentation du Christ, sur la Bible hébraïque et en présence d'un rabbin ou d'un juif pieux.
Voir la déposition de Joseph G. Burg au procès de Toronto dans R.H.R. n° 5 de novembre 1991 sous le titre «Un juif révisionniste témoigne à Toronto».]
Inutile de dire qu'il s'agissait de mensonges flagrants.
Après la création de l'Etat d'Israël, dès que les rabbins se sentirent en sécurité, tous les passages agressifs et les expressions injurieuses furent restaurés sans l'ombre d'une hésitation dans les nouvelles éditions.
Ainsi chacun en Israël peut-il facilement prendre connaissance -- les enfants l'apprennent à l'école -- des passages qui obligent chaque juif passant devant un cimetière chrétien à maudire la mère des défunts.
A l'heure actuelle, nombre de docteurs ont non seulement persévéré dans la tromperie mais ont surpassé les vieilles méthodes rabbiniques tant dans l'insolence que dans le mensonge.
En 1962, le code de la loi talmudique, réédité par Maïmonide Mishneh Tora appelé «livre de la Connaissance» qui contient les lois fondamentales et les pratiques de la loi juive a été publié à Jérusalem en édition bilingue, le texte anglais faisant face au texte hébreu.
Celui-ci a été restauré dans sa pureté originelle et le commandement selon lequel il faut exterminer le juif infidèle apparaît dans son intégralité: «C'est un devoir de les exterminer de ses propres mains».
La traduction anglaise est édulcorée: «C'est un devoir de prendre des mesures actives pour les détruire».
Mais le texte hébreu poursuit en spécifiant l'exemple type d'infidèles qui doivent être exterminés: «Comme Jésus de Nazareth et ses disciples ... que le nom du méchant (pervers) s'en aille en putréfaction».
Pas un mot de cet anathème n'apparaît dans le texte anglais qui lui fait face.
Mais plus significatif, en dépit de la grande diffusion de cet ouvrage parmi les universitaires des pays anglo-saxons, aucune protestation ne s'est élevée contre cette tromperie flagrante.
Shahak dénonce la consigne du silence des intellectuels libéraux, des clergés catholique et protestant et de certains cercles marxistes tant aux Etats-Unis qu'en Israël à propos de l'obscurantisme rabbinique qui s'est exercé tout au long de l'histoire à l'encontre des juifs eux-mêmes.
«Autodafés de livres, persécution des écrivains, disputes à propos du pouvoir magique des amulettes».
L'auteur analyse le processus de dégénérescence du judaisme classique en Pologne et en Allemagne au XVIIIème siècle notamment, qui aboutit à un fatras de rituels vidés de substance, de superstitions et d'absurdités imposées par un rabbinat hypocrite et vénal.
Remarquons toutefois qu'il y a deux mille ans déjà, le Christ apostrophait les scribes et les Pharisiens hypocrites dans un passage de saint Matthieu qui conserve toute son actualité.
La presse israélienne est constamment agitée par les querelles qui opposent les différentes factions religieuses et qui versent souvent dans la trivialité.
Voici les questions qui, selon Shahak, passionnaient les lecteurs en août 1993: les corps des soldats israéliens nés de mère non-juive et tués au combat doivent-ils être inhumés dans un espace ségrégé ou dans un cimetière militaire?
Les associations religieuses qui ont le monopole des enterrements, excepté de ceux des membres des kibboutz, vont-elles encore être autorisées à circoncire les défunts incirconcis et ceci sans l'accord des familles?
L'importation de viande non casher en Israël, officieusement interdite depuis la fondation de l'Etat, sera-t-elle enfin autorisée ou interdite légalement?
Shahak jette un éclairage inattendu sur la personnalité de «l'apôtre du judaïsme auprès de l'humanité», le philosophe Martin Buber, celui dont Élie Wiesel, entre autres, célèbre la sagesse hassidique.
L'auteur dénonce en lui l'inspirateur des chefs hassidiques «sanguinaires» (l'expression est de Shahak) dont la philosophie a développé le chauvinisme et la haine du non-juif en Israël.
Selon lui, Buber porte une grande responsabilité dans la propagande hassidique qui incitait les infirmières de Tsahal à refuser de soigner les blessés ennemis.
Dans Hatanya, le livre fondamental du mouvement habbad, l'une des branches les plus importantes du Hassidisme, il est écrit: «... Tous les non-juifs sont des créatures sataniques dans lesquelles il ne peut y avoir absolument rien de bon».
Les dix-huit bénédictions
Dans les dix-huit bénédictions de la prière du matin (Chemonè esrè) du Rituel de prières, il existe une malédiction spéciale (birkhat ha-minim) dirigée à l'origine contre les chrétiens, les juifs convertis et les juifs hérétiques:
1. «Et qu'il n'y ait aucun espoir pour les apostats (meshhummadin) et que tous les chrétiens périssent instantanément.»
Cette formule date du Ier siècle, lorsque les chrétiens ne constituaient qu'une petite secte persécutée.
Peu après le XIVème siècle cette formule fut édulcorée en:
2. «Et qu'il n'y ait aucun espoir pour les apostats, et que tous les hérétiques périssent instantanément». Et après de nouvelles pressions:
3. «Et qu'il n'y ait aucun espoir pour les délateurs et que tous les hérétiques périssent instantanément.»
Après la création de l'Etat d'Israël, le processus fut inversé et de nombreuses versions du rituel en revinrent ainsi à la deuxième formule qui est aussi prescrite par de nombreux professeurs dans les écoles rabbiniques israéliennes.
Après la Guerre des Six Jours, plusieurs congrégations proches du Gush Emunim ont restauré la version originale uniquement verbalement et prient ainsi quotidiennement pour que les chrétiens disparaissent instantanément.
Comme l'enseignement oral prime, on peut dire que l'exécration a persisté à travers les siècles.
Il est assez piquant que ce processus de réversion ait eu lieu dans la période où l'Eglise catholique sous Jean XXIII modifia les prières du vendredi saint pour les juifs «perfides» qui avaient provoqué le scandale que l'on sait.
L'interprétation rigoureuse de la loi dite «antimissionnaire» de décembre 1977 punit de cinq ans d'emprisonnement celui qui fait du prosélytisme même en offrant une Bible, un chapelet ou une médaille religieuse.
En effet, selon le texte, le don du moindre objet de piété peut être considéré comme «incitation matérielle» à changer de religion
Le Talmud (Shabbat 116a) ordonne de brûler publiquement les Évangiles chaque fois que l'occasion s'en présente.
Le 23 mars 1980, un autodafé de plusieurs centaines d'exemplaires du Nouveau Testament a été organisé par les rabbins de Yad Lehakhim, organisation religieuse subventionnée par le ministère israélien des cultes.
En novembre 1991, Marc Aron (président du B'naï B'rith de France), s'adressant à Mgr Decourtray, déclara à propos du pèlerinage des B'naï B'rith à Auschwitz: «... nous étions deux cents qui, spontanément, dans le froid glacial de Birkenau, avons dénudé nos bras pour mettre les Thephilim (phylactères) ... et à réciter la prière du matin ...
Nous étions deux cents à allumer la Menorah (chandelier à sept branches), symbole du judaïsme et symbole de notre association et à poser ces bras de lumière sur les grilles du Carmel en signe de paix et de volonté de dialogue.»
Ce qui n'a pas empêché les organisations juives d'obtenir d'une Eglise apeurée le déménagement des carmélites hors du site.
Comme elles ont obtenu la suspension du procès en béatification d'Isabelle la Catholique. Il est malgré tout choquant qu'un prince de l'Eglise, déjà connu pour son écœurante servilité, ait ignoré ou feint d'ignorer le contenu antichrétien des prières juives.
Comme il est scandaleux que Jean-Paul II ait reçu au Vatican les délégués du B'naï B'rith, organisation maçonnique connue pour son militantisme anticatholique.
Au cas où le livre de Shahak parviendrait à franchir les mailles serrées de la censure en France, il serait bon que les ligues antiracistes (MRAP, LICRA, etc.) exerçassent leur ardeur à l'encontre de l'enseignement dispensé dans les Yeshivoth et les cours de Talmud-Thora.[/quote]
Re: Du judaïsme
http://www.saphirnews.com/Pourquoi-Dalil-Boubakeur-boycotte-le-diner-du-CRIF-2016_a22065.html
Pourquoi Dalil Boubakeur boycotte le dîner du CRIF 2016
Dalil Boubakeur, le recteur de la Grande Mosquée de Paris, a annoncé lundi 7 mars, son refus de participer au dîner annuel du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), confirme-t-on auprès de Saphirnews. Une interview du président du CRIF au micro d'Europe 1 en est une nouvelle fois la cause. Mais cette fois ci, ce ne sont pas des propos outrageants envers les musulmans qui sont à l'origine de la bouderie.
Roger Cukierman a jugé qu'Anouar Kbibech, à la tête du CFCM depuis l'été 2015, est « beaucoup plus dynamique, ouvert » que son prédécesseur.
En février 2015, le CFCM, présidé alors par Dalil Boubakeur, avait décidé de boycotter la grande messe politique du CRIF dont le président Roger Cukierman avait attribué « toutes les violences » antisémites aux jeunes musulmans.
« Cette déclaration publique avait indigné les membres du bureau du Conseil français du culte musulman (CFCM) et l’ensemble des musulmans de France, notamment les jeunes. Aussi le bureau du CFCM avait décidé unanimement de décliner l’invitation du président du CRIF à ce dîner annuel », indique Dalil Boubakeur dans un communiqué, rappelant ainsi qu'il n'était pas le seul à refuser de participer au dîner l'an passé. Une clarification qu'un des proches de Dalil Boubakeur, sollicité par Saphirnews, estime nécessaire car les propos de Roger Cukierman à l'égard du recteur ne sont pas étrangers à l'épisode du boycott en 2015.
Pas d'excuses publiques mais « l’incident est derrière nous »
Alors que Roger Cukierman n'a pas présenté à ce jour d'excuses publiques pour ses déclarations antimusulmanes, les présidents du CRIF et du CFCM avait acté leur réconciliation dès le lendemain à l'issue d'une réunion à l'Elysée avec François Hollande.
Dalil Boubakeur estime encore aujourd'hui que l’incident est clos : « Rien de semblable n’est venu agiter depuis les relations entre le CFCM et le CRIF et nous pensons que l’incident est derrière nous. Nous pensons également que les deux communautés nationales que ces institutions représentent doivent maintenir des rapports fraternels et s’unir contre toutes les déclarations et actes antisémitiques ou anti-musulmans d’où qu’ils viennent. »
Lors d’un récent débat des Amis du CRIF en janvier, Roger Cukierman faisait part de l’amélioration des relations entre les deux institutions : « Depuis l'arrivée à la tête du CFCM d'Anouar Kbibech, nous avons vraiment le sentiment que les choses ont changé. » Le président du CFCM sera, pour sa part, bien présent au dîner du CRIF.
Pourquoi Dalil Boubakeur boycotte le dîner du CRIF 2016
Dalil Boubakeur, le recteur de la Grande Mosquée de Paris, a annoncé lundi 7 mars, son refus de participer au dîner annuel du Conseil représentatif des institutions juives de France (CRIF), confirme-t-on auprès de Saphirnews. Une interview du président du CRIF au micro d'Europe 1 en est une nouvelle fois la cause. Mais cette fois ci, ce ne sont pas des propos outrageants envers les musulmans qui sont à l'origine de la bouderie.
Roger Cukierman a jugé qu'Anouar Kbibech, à la tête du CFCM depuis l'été 2015, est « beaucoup plus dynamique, ouvert » que son prédécesseur.
En février 2015, le CFCM, présidé alors par Dalil Boubakeur, avait décidé de boycotter la grande messe politique du CRIF dont le président Roger Cukierman avait attribué « toutes les violences » antisémites aux jeunes musulmans.
« Cette déclaration publique avait indigné les membres du bureau du Conseil français du culte musulman (CFCM) et l’ensemble des musulmans de France, notamment les jeunes. Aussi le bureau du CFCM avait décidé unanimement de décliner l’invitation du président du CRIF à ce dîner annuel », indique Dalil Boubakeur dans un communiqué, rappelant ainsi qu'il n'était pas le seul à refuser de participer au dîner l'an passé. Une clarification qu'un des proches de Dalil Boubakeur, sollicité par Saphirnews, estime nécessaire car les propos de Roger Cukierman à l'égard du recteur ne sont pas étrangers à l'épisode du boycott en 2015.
Pas d'excuses publiques mais « l’incident est derrière nous »
Alors que Roger Cukierman n'a pas présenté à ce jour d'excuses publiques pour ses déclarations antimusulmanes, les présidents du CRIF et du CFCM avait acté leur réconciliation dès le lendemain à l'issue d'une réunion à l'Elysée avec François Hollande.
Dalil Boubakeur estime encore aujourd'hui que l’incident est clos : « Rien de semblable n’est venu agiter depuis les relations entre le CFCM et le CRIF et nous pensons que l’incident est derrière nous. Nous pensons également que les deux communautés nationales que ces institutions représentent doivent maintenir des rapports fraternels et s’unir contre toutes les déclarations et actes antisémitiques ou anti-musulmans d’où qu’ils viennent. »
Lors d’un récent débat des Amis du CRIF en janvier, Roger Cukierman faisait part de l’amélioration des relations entre les deux institutions : « Depuis l'arrivée à la tête du CFCM d'Anouar Kbibech, nous avons vraiment le sentiment que les choses ont changé. » Le président du CFCM sera, pour sa part, bien présent au dîner du CRIF.
Re: Du judaïsme
Comment la terre d’Israël fut inventée : Shlomo Sand persiste et signe
Il y a quatre ans, le professeur Shlomo Sand faisait paraître un ouvrage qui le classait parmi les plus éminents représentants de la « nouvelle histoire » de l’état d’Israël, en cela qu’il osait y poser une question aux allures de tabou : « Comment le peuple juif fut-il inventé ? » À une époque où des archéologues et des généticiens se sont emparés du sujet afin d’étayer de preuves scientifiques le récit biblique ou encore de circonscrire les traits biologiques propres à une hypothétique « ethnie juive », le discours de Shlomo Sand dérange. Et comme en général le courage d’un dissident ne se mesure qu’à sa propension à persévérer, voici qu’il revient avec une réflexion sur le territoire d’Israël. Toucher à la Terre sainte ou promise, fouiller le sol après avoir interrogé le sang… Les tenants du projet sioniste verront sans doute là une énième provocation, un impardonnable camouflet même, et il est vrai que l’implication personnelle que Shlomo Sand met à régler cette question submerge quelquefois la tonalité « objective » à laquelle serait censé se cantonner son propos.
C’est que l’homme Shlomo Sand (pas le professeur, pas la sommité académique, l’homme) vit dans une indignation permanente, qui se nourrit de souffrances personnelles, éprouvées dans sa jeunesse, mais qu’il ressent toujours de façon aigüe. À sa manière aussi, le chercheur accomplit un devoir de mémoire quand, au lieu d’entamer son essai par des considérations abstraites, il rouvre d’emblée la plaie de son vécu. En effet, nous ne suivons pas d’abord l’intellectuel, mais un jeune soldat qui, en 1967, franchissait pour la première fois de son existence la frontière de son pays et, la trouille au ventre, « pénétr[ait] plus avant sur la Terre d’Israël ». C’est à Jéricho, cité mythique s’il en est, qu’il sera le témoin d’un acte de barbarie, commis par son propre camp sur un vieillard arabe, et qui marquera, tel un baptême, « la ligne de partage des eaux de [sa] vie ».
Un événement fondateur, si traumatique soit-il, peut-il conditionner à long terme tout le regard que porte un individu sur sa propre société et sur sa propre identité ? Il faudrait idéalement, pour comprendre la démarche de Shlomo Sand dans la durée, se transporter immédiatement à l’épilogue de son travail. En trente pages, la voix du chroniqueur se mêle à celle du citoyen de Tel-Aviv. Il y raconte notamment la fondation de l’université où il travaille quotidiennement, et qui fut construite sur les lieux mêmes où se tenait jadis le prospère village arabe d’al-Sheikh Muwannis, littéralement vidé de ses habitants et effacé de la carte dès 1948. La micro-histoire prend dès lors une dimension tragique, non dénuée d’ironie cruelle – les deux vont souvent de pair – dans la mesure où « on trouve aujourd’hui sur ces terrains devenus des quartiers d’habitation israéliens huppés, une étrange et exceptionnelle concentration d’agences suprêmes du souvenir : le Musée d’Eretz Israël, le Musée du Palmakh, le Musée israélien du centre Rabin et, bien sûr, la Maison de la Diaspora – Musée du peuple juif. Ces quatre temples de la mémoire ont vocation à entretenir et à illustrer un passé juif, sioniste et israélien ».
Ils sont rares, les essayistes qui mettent ainsi leur peau et leur âme sur la table quand il s’agit d’expliquer les prémices de leur démarche. Shlomo Sand l’avoue sans fard : « L’inspiration éthique d’une partie des stratégies narratives que j’ai adoptées trouve son origine dans cet étrange voisinage entre destruction et construction, dans cet insupportable frottement entre un passé escamoté et un présent qui assaille et secoue. » Que l’on soit donc favorable à l’établissement d’Israël sur la terre qui lui appartiendrait depuis la nuit des temps ne doit pas empêcher de lire cette étude avec à l’esprit la certitude que son auteur a œuvré, de l’intérieur de sa conscience comme de l’intérieur du pays dont il dénonce la politique, en homme honnête.
Partant de considérations sur l’éclosion du concept de « patrie » en Occident et sur la (quasi) absence de ce terme dans les textes sacrés du judaïsme, Shlomo Sand se consacre à démonter l’argumentaire qui sous-tend l’élaboration de ce qu’il nomme un véritable « mytherritoire ». Ce mot-valise, si choquant qu’il paraisse de prime abord, lui permet de qualifier la superposition d’une aire géographique supposée, reconstituée à partir de récits légendaires, et du projet politique du « foyer juif » conçu par les sionistes à la fin du XIXe siècle.
Cristallisation d’une exigence
Ce n’est qu’à partir de cette période que se cristallisa l’exigence concrète d’un ancrage territorial d’Israël. Shlomo Sand montre, en s’appuyant sur de nombreuses sources directes hélas souvent disponibles en hébreu seulement, que pendant des siècles, Jérusalem et l’ensemble de la Terre promise figuraient plutôt l’espace idéal de la religion judaïque. Même si elle était pour certains un but de pèlerinages, la Ville sainte apparut avant tout comme une Jérusalem céleste, symbolique, avant que d’être un lieu de culte réel et, plus encore, l’objet d’enjeux géopolitiques.
Le chapitre le plus captivant de l’ensemble est peut-être celui intitulé « Vers le sionisme chrétien » où Shlomo Sand envisage l’imprégnation de la Bible dans la culture britannique, depuis l’Angleterre réformée du XVIe siècle jusqu’à la déclaration de Balfour en 1917. Étonnante évocation de ces puritains qui lisaient l’Ancien Testament comme une relation en tous points véridique et chez qui Shlomo Sand voit germer l’esquisse d’une pensée « sioniste » bien avant la lettre. Anachronisme ? Rapprochement abusif ? Ce n’est pas ce qui ressort des vues d’un Lord Shaftesbury, qui exhortait les « fils d’Israël » au retour en Palestine et les percevait comme les « descendants d’une race ancienne qui, après leur conversion future au christianisme, redeviendraient un peuple moderne, allié naturel de la Grande-Bretagne ». C’est d’ailleurs sous l’impulsion de ce même Lord que fut créé le premier consulat britannique à Jérusalem en 1838, marquant le début d’une longue présence et qui sous maints aspects fondera comme « naturelle » l’entreprise proprement coloniale à venir, au mépris total des populations arabes autochtones.
Contournement de la Shoah
Shlomo Sand laisse également entendre la voix des opposants à l’idée d’un retour en Palestine, aussi bien dans les rangs des juifs éclairés de l’époque des Lumières qu’au sein de la religion judaïque. On apprendra ainsi comment le philosophe Moses Mendelssohn se détournait de la Terre sainte en tant que patrie, préférant s’assimiler à son pays de naissance, ou encore comment le mystique Franz Rosenzweig niait tout lien organique et métaphysique entre sang et sol. En somme, ce refus d’un nécessaire retour au « Pays du cerf » ancestral sera l’un des seuls ponts tendus entre d’une part le judaïsme libéral et d’autre part le judaïsme traditionnel. En effet, combien de juifs orthodoxes se comptent, encore actuellement, parmi les plus vifs réfractaires au sionisme ? Cette tendance puise son origine dans un courant rabbinique opposé au mouvement sabbatéen, du nom de Sabbataï Tzvi, qui se proclama messie d’Israël en 1648. Si les discours de cet illuminé remportèrent un vif succès auprès d’une population juive européenne qui avait à subir les persécutions et les pogroms, ils effrayèrent par contre les rabbins voyant dans cette frénésie de salut un facteur de perturbation au niveau spirituel. L’aliyah comme expérience de rédemption ne fut donc guère encouragé par les traditionnalistes de stricte obédience. On trouvera l’exemple d’un discours s’opposant à l’installation sur le saint lieu dans Les Deux Tables de l’alliance, ouvrage rédigé par Isaiah Halevi Horowitz au début du XVIIe siècle. Ce rabbin, bien qu’établi à Jérusalem après avoir longtemps vécu à Prague, affirmait péremptoirement que « le pays n’appartient aucunement aux fils d’Israël, et leur présence y est précaire et suspendue au-dessus du néant ».
Shlomo Sand se verra sans doute assener le reproche de contourner la Shoah comme facteur crucial ayant encouragé à résoudre d’urgence, sur le plan international, le « problème juif » par l’octroi d’un État, basé sur un territoire délimité. C’est que l’excellent généalogiste des idées préfère remonter à la source de celles qui nourrirent ce rêve, dont l’horreur nazie contribua en fait à accélérer la catastrophique mise en œuvre. La question n’est donc pas de savoir si la création d’Israël ou si sa perpétuation en termes d’existence politique sont légitimes ou non, mais bien dans quelle mesure les élites de ce pays même pas centenaire tentent de justifier à coups de références historiques biaisées une entreprise de pur et simple colonialisme.
Là où la force détruit, avec brutalité et passion, pour asseoir son pouvoir, le rôle de l’intellectuel est peut-être de déconstruire, avec patience et raison, pour ensuite mieux bâtir la concorde. Si la contribution de Shlomo Sand ne stoppera pas l’édification de certain mur frontalier, on peut du moins espérer qu’elle fera tomber quelques barrières mentales qui rendent encore, à l’heure actuelle, tout dialogue impossible.
Frédéric Saenen
Shlomo Sand, Comment la terre d’Israël fut inventée. De la Terre sainte à la mère patrie, Flammarion, septembre 2012, 365 pp., 22,5 €.
Il y a quatre ans, le professeur Shlomo Sand faisait paraître un ouvrage qui le classait parmi les plus éminents représentants de la « nouvelle histoire » de l’état d’Israël, en cela qu’il osait y poser une question aux allures de tabou : « Comment le peuple juif fut-il inventé ? » À une époque où des archéologues et des généticiens se sont emparés du sujet afin d’étayer de preuves scientifiques le récit biblique ou encore de circonscrire les traits biologiques propres à une hypothétique « ethnie juive », le discours de Shlomo Sand dérange. Et comme en général le courage d’un dissident ne se mesure qu’à sa propension à persévérer, voici qu’il revient avec une réflexion sur le territoire d’Israël. Toucher à la Terre sainte ou promise, fouiller le sol après avoir interrogé le sang… Les tenants du projet sioniste verront sans doute là une énième provocation, un impardonnable camouflet même, et il est vrai que l’implication personnelle que Shlomo Sand met à régler cette question submerge quelquefois la tonalité « objective » à laquelle serait censé se cantonner son propos.
C’est que l’homme Shlomo Sand (pas le professeur, pas la sommité académique, l’homme) vit dans une indignation permanente, qui se nourrit de souffrances personnelles, éprouvées dans sa jeunesse, mais qu’il ressent toujours de façon aigüe. À sa manière aussi, le chercheur accomplit un devoir de mémoire quand, au lieu d’entamer son essai par des considérations abstraites, il rouvre d’emblée la plaie de son vécu. En effet, nous ne suivons pas d’abord l’intellectuel, mais un jeune soldat qui, en 1967, franchissait pour la première fois de son existence la frontière de son pays et, la trouille au ventre, « pénétr[ait] plus avant sur la Terre d’Israël ». C’est à Jéricho, cité mythique s’il en est, qu’il sera le témoin d’un acte de barbarie, commis par son propre camp sur un vieillard arabe, et qui marquera, tel un baptême, « la ligne de partage des eaux de [sa] vie ».
Un événement fondateur, si traumatique soit-il, peut-il conditionner à long terme tout le regard que porte un individu sur sa propre société et sur sa propre identité ? Il faudrait idéalement, pour comprendre la démarche de Shlomo Sand dans la durée, se transporter immédiatement à l’épilogue de son travail. En trente pages, la voix du chroniqueur se mêle à celle du citoyen de Tel-Aviv. Il y raconte notamment la fondation de l’université où il travaille quotidiennement, et qui fut construite sur les lieux mêmes où se tenait jadis le prospère village arabe d’al-Sheikh Muwannis, littéralement vidé de ses habitants et effacé de la carte dès 1948. La micro-histoire prend dès lors une dimension tragique, non dénuée d’ironie cruelle – les deux vont souvent de pair – dans la mesure où « on trouve aujourd’hui sur ces terrains devenus des quartiers d’habitation israéliens huppés, une étrange et exceptionnelle concentration d’agences suprêmes du souvenir : le Musée d’Eretz Israël, le Musée du Palmakh, le Musée israélien du centre Rabin et, bien sûr, la Maison de la Diaspora – Musée du peuple juif. Ces quatre temples de la mémoire ont vocation à entretenir et à illustrer un passé juif, sioniste et israélien ».
Ils sont rares, les essayistes qui mettent ainsi leur peau et leur âme sur la table quand il s’agit d’expliquer les prémices de leur démarche. Shlomo Sand l’avoue sans fard : « L’inspiration éthique d’une partie des stratégies narratives que j’ai adoptées trouve son origine dans cet étrange voisinage entre destruction et construction, dans cet insupportable frottement entre un passé escamoté et un présent qui assaille et secoue. » Que l’on soit donc favorable à l’établissement d’Israël sur la terre qui lui appartiendrait depuis la nuit des temps ne doit pas empêcher de lire cette étude avec à l’esprit la certitude que son auteur a œuvré, de l’intérieur de sa conscience comme de l’intérieur du pays dont il dénonce la politique, en homme honnête.
Partant de considérations sur l’éclosion du concept de « patrie » en Occident et sur la (quasi) absence de ce terme dans les textes sacrés du judaïsme, Shlomo Sand se consacre à démonter l’argumentaire qui sous-tend l’élaboration de ce qu’il nomme un véritable « mytherritoire ». Ce mot-valise, si choquant qu’il paraisse de prime abord, lui permet de qualifier la superposition d’une aire géographique supposée, reconstituée à partir de récits légendaires, et du projet politique du « foyer juif » conçu par les sionistes à la fin du XIXe siècle.
Cristallisation d’une exigence
Ce n’est qu’à partir de cette période que se cristallisa l’exigence concrète d’un ancrage territorial d’Israël. Shlomo Sand montre, en s’appuyant sur de nombreuses sources directes hélas souvent disponibles en hébreu seulement, que pendant des siècles, Jérusalem et l’ensemble de la Terre promise figuraient plutôt l’espace idéal de la religion judaïque. Même si elle était pour certains un but de pèlerinages, la Ville sainte apparut avant tout comme une Jérusalem céleste, symbolique, avant que d’être un lieu de culte réel et, plus encore, l’objet d’enjeux géopolitiques.
Le chapitre le plus captivant de l’ensemble est peut-être celui intitulé « Vers le sionisme chrétien » où Shlomo Sand envisage l’imprégnation de la Bible dans la culture britannique, depuis l’Angleterre réformée du XVIe siècle jusqu’à la déclaration de Balfour en 1917. Étonnante évocation de ces puritains qui lisaient l’Ancien Testament comme une relation en tous points véridique et chez qui Shlomo Sand voit germer l’esquisse d’une pensée « sioniste » bien avant la lettre. Anachronisme ? Rapprochement abusif ? Ce n’est pas ce qui ressort des vues d’un Lord Shaftesbury, qui exhortait les « fils d’Israël » au retour en Palestine et les percevait comme les « descendants d’une race ancienne qui, après leur conversion future au christianisme, redeviendraient un peuple moderne, allié naturel de la Grande-Bretagne ». C’est d’ailleurs sous l’impulsion de ce même Lord que fut créé le premier consulat britannique à Jérusalem en 1838, marquant le début d’une longue présence et qui sous maints aspects fondera comme « naturelle » l’entreprise proprement coloniale à venir, au mépris total des populations arabes autochtones.
Contournement de la Shoah
Shlomo Sand laisse également entendre la voix des opposants à l’idée d’un retour en Palestine, aussi bien dans les rangs des juifs éclairés de l’époque des Lumières qu’au sein de la religion judaïque. On apprendra ainsi comment le philosophe Moses Mendelssohn se détournait de la Terre sainte en tant que patrie, préférant s’assimiler à son pays de naissance, ou encore comment le mystique Franz Rosenzweig niait tout lien organique et métaphysique entre sang et sol. En somme, ce refus d’un nécessaire retour au « Pays du cerf » ancestral sera l’un des seuls ponts tendus entre d’une part le judaïsme libéral et d’autre part le judaïsme traditionnel. En effet, combien de juifs orthodoxes se comptent, encore actuellement, parmi les plus vifs réfractaires au sionisme ? Cette tendance puise son origine dans un courant rabbinique opposé au mouvement sabbatéen, du nom de Sabbataï Tzvi, qui se proclama messie d’Israël en 1648. Si les discours de cet illuminé remportèrent un vif succès auprès d’une population juive européenne qui avait à subir les persécutions et les pogroms, ils effrayèrent par contre les rabbins voyant dans cette frénésie de salut un facteur de perturbation au niveau spirituel. L’aliyah comme expérience de rédemption ne fut donc guère encouragé par les traditionnalistes de stricte obédience. On trouvera l’exemple d’un discours s’opposant à l’installation sur le saint lieu dans Les Deux Tables de l’alliance, ouvrage rédigé par Isaiah Halevi Horowitz au début du XVIIe siècle. Ce rabbin, bien qu’établi à Jérusalem après avoir longtemps vécu à Prague, affirmait péremptoirement que « le pays n’appartient aucunement aux fils d’Israël, et leur présence y est précaire et suspendue au-dessus du néant ».
Shlomo Sand se verra sans doute assener le reproche de contourner la Shoah comme facteur crucial ayant encouragé à résoudre d’urgence, sur le plan international, le « problème juif » par l’octroi d’un État, basé sur un territoire délimité. C’est que l’excellent généalogiste des idées préfère remonter à la source de celles qui nourrirent ce rêve, dont l’horreur nazie contribua en fait à accélérer la catastrophique mise en œuvre. La question n’est donc pas de savoir si la création d’Israël ou si sa perpétuation en termes d’existence politique sont légitimes ou non, mais bien dans quelle mesure les élites de ce pays même pas centenaire tentent de justifier à coups de références historiques biaisées une entreprise de pur et simple colonialisme.
Là où la force détruit, avec brutalité et passion, pour asseoir son pouvoir, le rôle de l’intellectuel est peut-être de déconstruire, avec patience et raison, pour ensuite mieux bâtir la concorde. Si la contribution de Shlomo Sand ne stoppera pas l’édification de certain mur frontalier, on peut du moins espérer qu’elle fera tomber quelques barrières mentales qui rendent encore, à l’heure actuelle, tout dialogue impossible.
Frédéric Saenen
Shlomo Sand, Comment la terre d’Israël fut inventée. De la Terre sainte à la mère patrie, Flammarion, septembre 2012, 365 pp., 22,5 €.
Re: Du judaïsme
Tu souffres quand tu entends l'appel à la prière ?
Kristale- Habitué
- Messages : 98
Date d'inscription : 31/05/2015
Re: Du judaïsme
Maintenant, je ne l'entends plus mais quand je vivais en terre d'islam, le muezzin réveillait à 5 heures du matin avec ses vociférations mais tu es HS ma chère, ici on parle du judaïsme.Kristale a écrit:Tu souffres quand tu entends l'appel à la prière ?
Re: Du judaïsme
Une liste diachronique des massacres de Juifs commis par des Musulmans:
624. Après la victoire de Badr, début de l'élimination des juifs.
625. Expulsion du clan juif des Al Nadir.
626. Massacre des juifs Beni Khazradj et partage des familles et du butin.
Expédition contre les juifs Beni Qoraizha, insultés par Mahomet : "O vous, singes et cochons".
Massacre des 700 juifs Beni Qoraizha, liés pendant trois jours, puis égorgés au-dessus d'un fossé, avec les jeunes garçons.
Meurtre du juif Kab chef des Beni nadhir poète satiriste, et de sa femme, qui s'était moqué de Mahomet
Expédition contre les juifs de Kaihbar.
Meurtre sur ordre de Mahomet du juif Sallam Abou Rafi
Mahomet fait couper les palmiers de l'oasis des juifs Beni Nadhir
Mahomet prend parmi les Beni Qoraizha une jeune fille très belle comme part du butin
Près la bataille du Fossé, en 627, Muhammad décide d’en finir avec la tribu des Banu-Kuraiza, qu'il accuse d'avoir soutenu ses ennemis ; Sur son ordre, les musulmans décapitent 600 à 700 hommes (d’autres sources écrivent 600 à 900 victimes) s’emparent des biens de la tribu, et vendent les femmes et les enfants en esclavage.
même époque: expulsion des Nadir et leur massacre
628. Mahomet aux juifs beni Qainoqa : "Si vous n'embrassez par l'islam, je vous déclare la guerre".
Rapt des femmes et enfants de la tribu des Moshjarik
Attaque des juifs de Khaïbar, et torture des prisonniers
Prise de l'oasis juive de Fadak comme bien personnel de Mahomet
Soumission des juifs de Wadil Qora.
630. Soumission des juifs et chrétiens de Makna, Eilat, Jarba
Mort de Mohammed
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638. Expulsion des juifs de Jérusalem
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640. Expulsion des juifs du Hedjez
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643. Expulsion des juifs de Khaibar par Omar
Prise de Reï : "Le sang coulait dans la ville comme un ruisseau"
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940. Décapitation de l'exilarque juif de Bagdad pour avoir souillé le nom de Mahomet
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945. Assassinat par une foule de fanatiques du dernier exilarque juif de Bagdad
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948. Fermeture de l'école de théologie juive de Bagdad "Sora".
1004. Juifs et chrétiens doivent porter un turban et une ceinture noirs en Égypte
1009. Juifs et chrétiens d’Égypte doivent porter une croix ou des clochettes dans les bains
1010/ 1013. Des centaines de juifs tués dans le sud de l'Espagne.
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1016: juifs chassés de Kairouan (Tunisie)
1033: massacre de 6000 juifs à Fez (Maroc)
1040. Décapitation du théologien juif Gaon Chiskiya chef d'une école talmudique.
-
1152. Avènement d'Abd el Moumin ; choix pour les chrétiens et juifs entre la conversion ou la mort
1066: Au cours du massacre de Grenade, assassinat du Nagid de la communauté,
successeur de Samuel Ha Nagid
Massacre de 4.000 juifs à Grenade
-
1073. Début des persécutions contre juifs et chrétiens par les Turcs à Jérusalem
Massacres d'infidèles à Damas.
1090 Expulsion de Juifs de Grenade -
1100. Massacre de juifs à Fez et Grenade
1140. Les Almohades deviennent maîtres du Maghreb. Cette dynastie fondamentaliste de l’Islam ne laissera aux Juifs que le choix entre la conversion et la mort.
1145. L’Andalousie passe des mains des Almoravides à celles des Almohades, dynastie musulmane qui persécutera les Juifs et détruira les principales communautés juives d’Andalousie. Les Juifs sont contraints d’adopter l’Islam et ne peuvent pratiquer le judaïsme qu’en cachette.
1146. TLEMCEN Massacre de juifs par les Almohades
1159. La famille de Maïmonide quitte l’Espagne, aux mains des Almohades, et se réfugie à Fès, au Maroc. C’est à cette époque que Maïmonide rédige son Maamar Kidoush Hashem (la lettre sur la sanctification du Nom) où il traite de la question du martyr, question que la dynastie des Almohades rend très actuelle. Au cours de cette période, il rédige également un ouvrage où il tente d’éclairer le contenu et le plan de la Mishna, le luminaire (HaMaor).
1165 et 1178 conversions forcées au Yémen pour les juifs
1165 (avant) Benjamin de Tudèle visite le faubourg de Pera, à proximité de Constantinople, d’où les Juifs ont été expulsés. A Pera, un mur sépare le quartier Juif rabbinique du quartier Caraïte.
1184.à 1199 Règne des Almohades Abu Yousouf Akub Al Mansour qui persécutera durement les Juifs.
Ils obligent les juifs à porter des insignes distinctifs – c’est l’invention de la future étoile jaune. ===>>> Tiens donc! Ca ne vous fait penser à qqun d'autre?
1198. conversions forcées à Aden pour les juifs
Al Malik Al Mouez, sultan Ayyubide, convertit de force les Juifs du Yémen à l’Islam. Maimonide leur adresse une lettre de consolation. (Epître au Yémen)
1201. à la mort du Sultan, les Juifs reprennent leur ancienne foi.
1200 massacres de juifs en Afrique du nord par les Almohades
1232 massacres de juifs à Marrakech
1270. Ségrégation généralisée des juifs en Andalousie
1291 conversions forcées des juifs à Tabriz (nord ouest de l'Iran)
1276. Émeute anti-juive à Fès
-
1301. Début de la persécution des juifs en Égypte
En Eretz Israël, et dans tout le territoire Mamelouk, le statut des Dhimmis, Juifs et Chrétiens, est durci.
1318. conversions forcées des juifs à Tabriz (nord ouest de l'Iran
1333. conversions forcées des juifs à Bagdad (Irak)
-
1334. conversions forcées des juifs à Bagdad (Irak)
1448. Le sultan Mamelouk Djakmak interdit aux Musulmans de se faire soigner par des non-musulmans.
1450. Procès de juifs accusés d'avoir écrit le nom de Mahomet dans leur synagogue de Fustat ; ils sont convertis de force.
1460 Conquête de Constantinople par les Musulmans et fin de l’empire Byzantin. L’empire Ottoman à venir sera un des ensembles politiques les plus tolérants à l’égard des Juifs et abritera de nombreuses communautés.
1465. MAROC : sous la dynastie des Merinides, pogrom dans le mellah, les habitants furent presque tous massacrés
1474. La synagogue de Jérusalem est détruite par des fanatiques Musulmans. Elle est reconstruite la même année sur ordre du sultan Mamelouk Qalbay.
1488. Alya du rabbin Ovadia de Bartinoro, auteur d’un incontournable commentaire de la Mishna. Il passe dans son voyage par la célèbre synagogue du Caire, qu’il décrit comme la synagogue du prophète Elie, contenant un rouleau de la Torah copié par Ezra lui-même. Arrivé à Jérusalem, il donne une description lapidaire de l’état de la ville et de la communauté juive : « Le nombre de ses habitants, m’a-t-on dit, se monte à 4 000 familles. Quant aux Juifs, il en reste environ 70 familles, de la classe la plus déshéritée. Il n’est guère de famille qui ne manque des choses les plus nécessaires ; celle qui a du pain pour un an est dite riche ».
1492. Communauté juive de Touat au Maroc massacrée ; synagogues détruites.
1560 Joseph Nassi est parmi les courtisans proches de Soleman 1er le magnifique. Il le pousse à choisir Selim comme héritier du trône au détriment de son autre fils, Bayazid. Proche de Selim, il est promu par celui-ci membre de la garde royale, après sa victoire sur son frère. Soleman, quant à lui, offre à Joseph Nassi la ville de Tibériade en Galilée avec de nombreuses terres cultivables, pour en faire un domaine destiné exclusivement à l’immigration des Juifs. Il pense alors réaliser son projet en implantant à Tibériade la culture de vers à soie, produit précieux et demandé dans toute l’Europe. Il met également en place la logistique afin d’amener d’Italie les Juifs convertis de force au christianisme.
1608 Persécution pendant deux ans des juifs de Taroudat par les Berbères.
-
1622 persécutions contre les juifs en Perse
-
1656 conversions forcées des juifs en Perse
1656-61 - les Juifs chassés sont chassé d'Ispahan
1676. Expulsion des juifs de Sanaa au Yémen.
1700 Massacre des juifs au Yémen
1700 à 1786 juifs expulsés de Jeddah et se réfugient au Yémen
1790Massacre de juifs à Tétouan
1791
19èm siècle
1805. Pogrom contre les juifs d'Alger après une famine
Exil des juifs d'Alger vers Tunis et Livourne
-
1806 Expulsion par fatwa des juifs de Sali au Maroc
Interdiction pour les juifs marocains d'avoir des vêtements occidentaux
Les janissaires du dey d'Alger massacrent et pillent dans le quartier juif
Les juifs d'Alger sont forcés à lutter contre une invasion de sauterelles.
1807 Expulsion des juifs de Tétouan
1815 Les juifs d'Alger sont forcés à lutter contre une invasion de sauterelles.
1828 Massacre de juifs à Bagdad
1830Tabriz : 400 Juifs égorgés.
1830 : début de la persécution des juifs en Perse, provoquée par l'avance russe dans le Caucase.
-
1834 - Pillage à Safed
1839 Conversions forcées et massacre de juifs à Meshed (Iran)
-
1840 Massacre de juifs à Damas - affaire des meurtres rituels
-
1848 Disparition totale des juifs de Machhad en Iran
-
1852 Profanation de la synagogue de Naplouse par des soldats turcs
-
1854 Pogrom antijuif à Demnate au Maroc
-
1867 Massacre de juifs à Barfurush (Iran) Milieu du 18èm siècle
Les sultans du royaume de Boukhara entament une série de campagne d'islamisation forcée
-
Explosion de violence au Maroc, en Algérie, Tunisie, Libye, et dans les pays arabes du Moyen-Orient
20èm siècle
1912
17 au 19 avril 1912
« Les journées sanglantes de Fez » (voir document en fin de liste)
1921 Palestine : 95 morts (fomentés par Al Husseini)
1929 Palestine : Hébron 70 morts
1934 Constantine, Algérie : plus d'une trentaine de juifs sont massacrés par les arabes. Femmes enceintes éventrées, seins coupés, enfants égorgés.
-
1941 IRAK - LE FAHROUD : 200 morts - 2.000 blessés - 1.200 maisons pillées
-
1948
Pendaison à Bagdad de SHAFIK ADAS membre important de la communauté juive –
Oujda et Jerada : Pogrom - 100 morts
Aussi la Résidence passa à des actes plus conformes à son style. Après un échec d'une tentative de provocation au Mellah de Fès le soir de Mimouna, échec dû à la réaction immédiate de militants du Parti Communiste Marocain, le Contrôleur Civil Chennebault organisa à Oujda et Jerada les 7 et 8 juin 1948, le massacre d'une centaine de marocains juifs.(a. serfaty : le judaïsme marocain et le sionisme)"
En 1948, l’état d’Israël voit le jour. Des troubles éclatent au Maroc qui feront plus de 40 victimes juives. Ces émeutes provoquent le début de l’émigration vers Israël.
1951
Attentat contre la synagogue – à Bagdad - IRAK
Au début du vingtième siècle, au Yémen, eût lieu la mise en pratique de la loi islamique prônant l'islamisation forcée des orphelins. (16.000 yéménites émigrèrent de 1919 à 1948 en Israël) - Les juifs du Najran, Arabie Saoudite, se joignirent à eux.
-
http://www.dafina.ne...emeutes_fez.htm
http://www.frebend.com/forum/read.php3?f=1&i=12061&t=12061
624. Après la victoire de Badr, début de l'élimination des juifs.
625. Expulsion du clan juif des Al Nadir.
626. Massacre des juifs Beni Khazradj et partage des familles et du butin.
Expédition contre les juifs Beni Qoraizha, insultés par Mahomet : "O vous, singes et cochons".
Massacre des 700 juifs Beni Qoraizha, liés pendant trois jours, puis égorgés au-dessus d'un fossé, avec les jeunes garçons.
Meurtre du juif Kab chef des Beni nadhir poète satiriste, et de sa femme, qui s'était moqué de Mahomet
Expédition contre les juifs de Kaihbar.
Meurtre sur ordre de Mahomet du juif Sallam Abou Rafi
Mahomet fait couper les palmiers de l'oasis des juifs Beni Nadhir
Mahomet prend parmi les Beni Qoraizha une jeune fille très belle comme part du butin
Près la bataille du Fossé, en 627, Muhammad décide d’en finir avec la tribu des Banu-Kuraiza, qu'il accuse d'avoir soutenu ses ennemis ; Sur son ordre, les musulmans décapitent 600 à 700 hommes (d’autres sources écrivent 600 à 900 victimes) s’emparent des biens de la tribu, et vendent les femmes et les enfants en esclavage.
même époque: expulsion des Nadir et leur massacre
628. Mahomet aux juifs beni Qainoqa : "Si vous n'embrassez par l'islam, je vous déclare la guerre".
Rapt des femmes et enfants de la tribu des Moshjarik
Attaque des juifs de Khaïbar, et torture des prisonniers
Prise de l'oasis juive de Fadak comme bien personnel de Mahomet
Soumission des juifs de Wadil Qora.
630. Soumission des juifs et chrétiens de Makna, Eilat, Jarba
Mort de Mohammed
-
638. Expulsion des juifs de Jérusalem
-
640. Expulsion des juifs du Hedjez
-
643. Expulsion des juifs de Khaibar par Omar
Prise de Reï : "Le sang coulait dans la ville comme un ruisseau"
-
940. Décapitation de l'exilarque juif de Bagdad pour avoir souillé le nom de Mahomet
-
945. Assassinat par une foule de fanatiques du dernier exilarque juif de Bagdad
-
948. Fermeture de l'école de théologie juive de Bagdad "Sora".
1004. Juifs et chrétiens doivent porter un turban et une ceinture noirs en Égypte
1009. Juifs et chrétiens d’Égypte doivent porter une croix ou des clochettes dans les bains
1010/ 1013. Des centaines de juifs tués dans le sud de l'Espagne.
-
1016: juifs chassés de Kairouan (Tunisie)
1033: massacre de 6000 juifs à Fez (Maroc)
1040. Décapitation du théologien juif Gaon Chiskiya chef d'une école talmudique.
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1152. Avènement d'Abd el Moumin ; choix pour les chrétiens et juifs entre la conversion ou la mort
1066: Au cours du massacre de Grenade, assassinat du Nagid de la communauté,
successeur de Samuel Ha Nagid
Massacre de 4.000 juifs à Grenade
-
1073. Début des persécutions contre juifs et chrétiens par les Turcs à Jérusalem
Massacres d'infidèles à Damas.
1090 Expulsion de Juifs de Grenade -
1100. Massacre de juifs à Fez et Grenade
1140. Les Almohades deviennent maîtres du Maghreb. Cette dynastie fondamentaliste de l’Islam ne laissera aux Juifs que le choix entre la conversion et la mort.
1145. L’Andalousie passe des mains des Almoravides à celles des Almohades, dynastie musulmane qui persécutera les Juifs et détruira les principales communautés juives d’Andalousie. Les Juifs sont contraints d’adopter l’Islam et ne peuvent pratiquer le judaïsme qu’en cachette.
1146. TLEMCEN Massacre de juifs par les Almohades
1159. La famille de Maïmonide quitte l’Espagne, aux mains des Almohades, et se réfugie à Fès, au Maroc. C’est à cette époque que Maïmonide rédige son Maamar Kidoush Hashem (la lettre sur la sanctification du Nom) où il traite de la question du martyr, question que la dynastie des Almohades rend très actuelle. Au cours de cette période, il rédige également un ouvrage où il tente d’éclairer le contenu et le plan de la Mishna, le luminaire (HaMaor).
1165 et 1178 conversions forcées au Yémen pour les juifs
1165 (avant) Benjamin de Tudèle visite le faubourg de Pera, à proximité de Constantinople, d’où les Juifs ont été expulsés. A Pera, un mur sépare le quartier Juif rabbinique du quartier Caraïte.
1184.à 1199 Règne des Almohades Abu Yousouf Akub Al Mansour qui persécutera durement les Juifs.
Ils obligent les juifs à porter des insignes distinctifs – c’est l’invention de la future étoile jaune. ===>>> Tiens donc! Ca ne vous fait penser à qqun d'autre?
1198. conversions forcées à Aden pour les juifs
Al Malik Al Mouez, sultan Ayyubide, convertit de force les Juifs du Yémen à l’Islam. Maimonide leur adresse une lettre de consolation. (Epître au Yémen)
1201. à la mort du Sultan, les Juifs reprennent leur ancienne foi.
1200 massacres de juifs en Afrique du nord par les Almohades
1232 massacres de juifs à Marrakech
1270. Ségrégation généralisée des juifs en Andalousie
1291 conversions forcées des juifs à Tabriz (nord ouest de l'Iran)
1276. Émeute anti-juive à Fès
-
1301. Début de la persécution des juifs en Égypte
En Eretz Israël, et dans tout le territoire Mamelouk, le statut des Dhimmis, Juifs et Chrétiens, est durci.
1318. conversions forcées des juifs à Tabriz (nord ouest de l'Iran
1333. conversions forcées des juifs à Bagdad (Irak)
-
1334. conversions forcées des juifs à Bagdad (Irak)
1448. Le sultan Mamelouk Djakmak interdit aux Musulmans de se faire soigner par des non-musulmans.
1450. Procès de juifs accusés d'avoir écrit le nom de Mahomet dans leur synagogue de Fustat ; ils sont convertis de force.
1460 Conquête de Constantinople par les Musulmans et fin de l’empire Byzantin. L’empire Ottoman à venir sera un des ensembles politiques les plus tolérants à l’égard des Juifs et abritera de nombreuses communautés.
1465. MAROC : sous la dynastie des Merinides, pogrom dans le mellah, les habitants furent presque tous massacrés
1474. La synagogue de Jérusalem est détruite par des fanatiques Musulmans. Elle est reconstruite la même année sur ordre du sultan Mamelouk Qalbay.
1488. Alya du rabbin Ovadia de Bartinoro, auteur d’un incontournable commentaire de la Mishna. Il passe dans son voyage par la célèbre synagogue du Caire, qu’il décrit comme la synagogue du prophète Elie, contenant un rouleau de la Torah copié par Ezra lui-même. Arrivé à Jérusalem, il donne une description lapidaire de l’état de la ville et de la communauté juive : « Le nombre de ses habitants, m’a-t-on dit, se monte à 4 000 familles. Quant aux Juifs, il en reste environ 70 familles, de la classe la plus déshéritée. Il n’est guère de famille qui ne manque des choses les plus nécessaires ; celle qui a du pain pour un an est dite riche ».
1492. Communauté juive de Touat au Maroc massacrée ; synagogues détruites.
1560 Joseph Nassi est parmi les courtisans proches de Soleman 1er le magnifique. Il le pousse à choisir Selim comme héritier du trône au détriment de son autre fils, Bayazid. Proche de Selim, il est promu par celui-ci membre de la garde royale, après sa victoire sur son frère. Soleman, quant à lui, offre à Joseph Nassi la ville de Tibériade en Galilée avec de nombreuses terres cultivables, pour en faire un domaine destiné exclusivement à l’immigration des Juifs. Il pense alors réaliser son projet en implantant à Tibériade la culture de vers à soie, produit précieux et demandé dans toute l’Europe. Il met également en place la logistique afin d’amener d’Italie les Juifs convertis de force au christianisme.
1608 Persécution pendant deux ans des juifs de Taroudat par les Berbères.
-
1622 persécutions contre les juifs en Perse
-
1656 conversions forcées des juifs en Perse
1656-61 - les Juifs chassés sont chassé d'Ispahan
1676. Expulsion des juifs de Sanaa au Yémen.
1700 Massacre des juifs au Yémen
1700 à 1786 juifs expulsés de Jeddah et se réfugient au Yémen
1790Massacre de juifs à Tétouan
1791
19èm siècle
1805. Pogrom contre les juifs d'Alger après une famine
Exil des juifs d'Alger vers Tunis et Livourne
-
1806 Expulsion par fatwa des juifs de Sali au Maroc
Interdiction pour les juifs marocains d'avoir des vêtements occidentaux
Les janissaires du dey d'Alger massacrent et pillent dans le quartier juif
Les juifs d'Alger sont forcés à lutter contre une invasion de sauterelles.
1807 Expulsion des juifs de Tétouan
1815 Les juifs d'Alger sont forcés à lutter contre une invasion de sauterelles.
1828 Massacre de juifs à Bagdad
1830Tabriz : 400 Juifs égorgés.
1830 : début de la persécution des juifs en Perse, provoquée par l'avance russe dans le Caucase.
-
1834 - Pillage à Safed
1839 Conversions forcées et massacre de juifs à Meshed (Iran)
-
1840 Massacre de juifs à Damas - affaire des meurtres rituels
-
1848 Disparition totale des juifs de Machhad en Iran
-
1852 Profanation de la synagogue de Naplouse par des soldats turcs
-
1854 Pogrom antijuif à Demnate au Maroc
-
1867 Massacre de juifs à Barfurush (Iran) Milieu du 18èm siècle
Les sultans du royaume de Boukhara entament une série de campagne d'islamisation forcée
-
Explosion de violence au Maroc, en Algérie, Tunisie, Libye, et dans les pays arabes du Moyen-Orient
20èm siècle
1912
17 au 19 avril 1912
« Les journées sanglantes de Fez » (voir document en fin de liste)
1921 Palestine : 95 morts (fomentés par Al Husseini)
1929 Palestine : Hébron 70 morts
1934 Constantine, Algérie : plus d'une trentaine de juifs sont massacrés par les arabes. Femmes enceintes éventrées, seins coupés, enfants égorgés.
-
1941 IRAK - LE FAHROUD : 200 morts - 2.000 blessés - 1.200 maisons pillées
-
1948
Pendaison à Bagdad de SHAFIK ADAS membre important de la communauté juive –
Oujda et Jerada : Pogrom - 100 morts
Aussi la Résidence passa à des actes plus conformes à son style. Après un échec d'une tentative de provocation au Mellah de Fès le soir de Mimouna, échec dû à la réaction immédiate de militants du Parti Communiste Marocain, le Contrôleur Civil Chennebault organisa à Oujda et Jerada les 7 et 8 juin 1948, le massacre d'une centaine de marocains juifs.(a. serfaty : le judaïsme marocain et le sionisme
En 1948, l’état d’Israël voit le jour. Des troubles éclatent au Maroc qui feront plus de 40 victimes juives. Ces émeutes provoquent le début de l’émigration vers Israël.
Attentat contre la synagogue – à Bagdad - IRAK
Au début du vingtième siècle, au Yémen, eût lieu la mise en pratique de la loi islamique prônant l'islamisation forcée des orphelins. (16.000 yéménites émigrèrent de 1919 à 1948 en Israël) - Les juifs du Najran, Arabie Saoudite, se joignirent à eux.
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http://www.dafina.ne...emeutes_fez.htm
http://www.frebend.com/forum/read.php3?f=1&i=12061&t=12061
Re: Du judaïsme
▬ Dr Saleem Farrukh ▬ [Opinion]
♦ Pourquoi les juifs sont si puissants et les musulmans si impuissants ?
Il y a seulement 14 à 15 millions de Juifs dans le monde ; dont 5,8 millions en Israël ; 5,5 millions aux Etats-Unis d’Amérique ; trois millions en Asie, deux millions en Europe et 100.000 en Afrique.
Pour chaque Juif dans le monde, il y a 100 musulmans.
Pourtant, les Juifs sont cent fois plus puissants que tous les musulmans réunis.
Vous êtes vous demandé pourquoi ?
Jésus était juif. Albert Einstein, le savant le plus influent de tous les temps et le magazine TIME a désigné « personne du siècle », Sigmund Freud Moi, Surmoi – le père de la psychanalyse qui était un Juif. C’était aussi le cas de Karl Marx, Samuelson Paul et Milton Friedman.
Voici d’autres Juifs, dont la production intellectuelle a enrichi l’ensemble de l’humanité :
- Benjamin Rubin a donné à l’humanité l’aiguille vaccination.
- Jonas Salk a mis au point le premier vaccin antipoliomyélitique.
- Alerte Sabin a développé et améliorée le vaccin antipoliomyélitique.
- Gertrude Elion nous a donné un médicament contre la leucémie.
- Baruch Blumberg a développé le vaccin contre l’hépatite B.
- Paul Ehrlich découvre un traitement de la syphilis (une maladie sexuellement transmissible).
- Elie Metchnikoff remporté un prix Nobel dans les maladies infectieuses.
- Bernard Katz a remporté un prix Nobel de la transmission neuromusculaire.
- Andrew Schally a remporté un prix Nobel en endocrinologie (troubles du système endocrinien, diabète, hyperthyroïdie).
- Aaron Beck a fondé la thérapie Cognitive (psychothérapie traiter les troubles mentaux, la dépression et les phobies).
- Gregory Pincus développés la première pilule contraceptive.
- George Wald a remporté un prix Nobel pour son travail sur la compréhension de l’œil humain.
- Stanley Cohen a remporté un prix Nobel en embryologie (Étude des embryons et leur développement).
- Willem Kolff a crée la machine de dialyse rénale.
- Au cours des 105 dernières années, 14 millions de Juifs ont remporté 180 prix Nobel tandis que seulement 3 prix Nobel ont été remportés par 1,4 milliard de musulmans (autre que le Prix pour la paix).
- Stanley Mezor a inventé la première puce micro-informatique.
- Leo Szilard mis au point le réacteur nucléaire de la première génération.
- Peter Schultz, le câble à fibres optiques.
- Charles Adler les feux de circulation.
- Benno Strauss l’acier inoxydable.
- Isador Kisee les films sonores.
- Emile Berliner le téléphone et le microphone.
- Charles Ginsburg le magnétoscope.
Les financiers célèbres dans le monde des affaires appartiennent à la religion juive.
Sans compter Ralph Lauren (Polo), Levi Strauss (Levi’s), Howard Schultz (Starbuck’s), Sergey Brin (Google), Michael Dell (Dell Computers), Larry Ellison (Oracle), Donna Karan (DKNY), Robbins Irv (Baskins & Robbins) et Rosenberg projet de loi (Dunkin Donuts).
- Richard Levin, président de l’Université de Yale, est un Juif.
- Il en est de même pour Henry Kissinger (secrétaire d’État américain),
- Alan Greenspan (Président de la Banque fédéral sous Reagan, Bush, Clinton et Bush, Jr.),
- Joseph Lieberman, Le sénateur,
- Madeleine Albright (ancienne secrétaire d’État),
- Maxim Litvinov (ministre des Affaires étrangères de l’URSS),
- David Maréchal (le premier ministre de Singapour),
- Isaacs Issac (gouverneur général d’Australie),
- Benjamin Disraeli (Homme d’État et auteur),
- Yevgeny Primakov (Premier ministre russe),
- Jorge Sampaio (Président du Portugal),
- Herb Gray (plusieurs fois ministre et Vice premier Ministre du Canada),
- Pierre Mendes (Premier ministre français),
- Michael Howard (British Home Secretary),
- Bruno Kreisky (Chancelier d’Autriche) et Robert Rubin (ancien Secrétaire au Trésor).
Dans les médias, les Juifs célèbres incluent Wolf Blitzer (CNN),
- Barbara Walters (ABC Nouvelles),
- Eugene Meyer (Washington Post),
- Henry Grunwald (rédacteur en chef du Time Magazine),
- Katherine Graham (éditeur du Washington Post),
- Joseph Lelyyeld (rédacteur en chef, The New York Times), et Max Frankel (New York Times).
Pouvez-vous donner le nom du philanthrope le plus généreux dans l’histoire du monde ?
- Le nom est George Soros, un Juif, qui a jusqu’à présent fait des dons colossaux à hauteur de 4 milliards de dollars ; dont la majeure partie en aide à des scientifiques et des universités de par le monde.
- Deuxième après George Soros est Walter Annenberg, un autre Juif, qui a construit une centaine de bibliothèques en donnant un montant estimé à 2 milliards.
Aux Jeux olympiques, Mark Spitz a établi un record du genre en remportant sept médailles d’or. Lenny Krayzelburg est médaillée d’or olympique à trois reprises. Spitz, Krayzelburg et Boris Becker (tennis) sont tous juifs.
Saviez-vous que Harrison Ford, George Burns, Tony Curtis, Charles Bronson, Sandra Bullock, Barbra Streisand, Billy Crystal, Woody Allen, Paul Newman, Peter Sellers, Dustin Hoffman, Michael Douglas, Ben Kingsley, Kirk Douglas, William Shatner, Jerry Lewis et Peter Falk sont tous juifs ?
Alors, pourquoi les Juifs sont si puissants ?
Réponse : l’Education.
Hollywood elle-même a été fondée par un Juif. Parmi les réalisateurs et producteurs, Steven Spielberg, Mel Brooks, Oliver Stone, Aaron Spelling (Beverly Hills 90210), Neil Simon (The Odd Couple), Vaina Andrew (Rambo 1, 2 et 3), Michael Mann (Starsky et Hutch), Milos Forman (Vol au-dessus d’un nid de coucou), Douglas Fairbanks (Le Voleur de Bagdad) et Ivan Reitman (Ghostbusters) sont tous Juifs.
Pour être certain, Washington est la capitale qui compte et à Washington, le lobby qui compte, c’est l’American Israel Public Affairs Committee, ou AIPAC.
William James Sidis, avec un QI de 250-300, est le plus brillant homme qui ait jamais existé. Devinez à quelle religion il appartient ?
Alors, pourquoi les Juifs sont si puissants ?
Réponse : l’éducation.
Pourquoi les musulmans si impuissant ?
On estime à 1,476,233,470 musulmans sur la surface du globe : un milliard en Asie, 400 millions en Afrique, 44 millions en Europe et six millions en Amérique.
Un cinquième du genre humain est musulman. Pour chaque hindou, il ya deux musulmans, pour tous les bouddhistes il ya deux musulmans, et pour chaque Juif il y a cent musulmans.
Jamais on s’est demandé pourquoi les musulmans sont si impuissants ?
Voici pourquoi : Il ya 57 pays membres de l’Organisation de la Conférence Islamique (OCI), et tous ont mis en place près 500 universités ; une université pour trois millions de musulmans.
Les États-Unis ont 5758 universités (1 pour 57 000 Américains).
En 2004, Shanghai Jiao Tong University a comparé les performances des universités dans le monde, et curieusement, pas une université d’un pays musulman ne se trouve dans le top 500.
Selon les données recueillies par le PNUD, l’alphabétisation dans le monde chrétien se situe à près de 90 pour cent et les 15 Etats à majorité chrétienne ont un taux d’alphabétisation de 100 pour cent.
Un état à majorité musulmane, a en moyenne un taux d’alphabétisation d’environ 40 pour cent et il n’y a pas un seul état à majorité musulmane avec un taux d’alphabétisation de 100 pour cent.
Quelque 98 pour cent des « alphabètes » dans le monde chrétien terminent l’école primaire, tandis que moins de 50 p. cent des « alphabètes » dans le monde musulman fait la même chose. Environ 40 pour cent des « lettrés » dans le monde chrétien fréquentent l’université soit plus de deux pour cent des « lettrés » qui dans le monde musulman font la même chose.
Pourquoi les musulmans impuissants ?
Parce que nous ne savons pas produire et mettre en application un savoir musulman. Les pays à majorité musulmane ont 230 scientifiques par million Musulmans. Les États-Unis ont 4.000 scientifiques par million et le Japon à 5.000 par million d’habitants. Dans le monde arabe tout entier, le nombre total de chercheurs à plein temps est de 35.000 et il n’y a que 50 techniciens par un million d’Arabes (dans le monde chrétien, il ya jusqu’à 1.000 techniciens par million). En outre, le monde musulman dépense 0,2 pour cent de son PIB à la recherche et développement, tout le monde chrétien consacre environ cinq pour cent de ses PIB.
Conclusion : Le monde musulman n’a pas la capacité de produire des connaissances.
Les quotidiens pour 1000 habitants et le nombre de titres de livres par million sont deux indicateurs pour savoir si la connaissance est diffusée dans une société. Au Pakistan, il existe 23 quotidiens pour 1.000 Pakistanais tandis que le même ratio est de 360 à Singapour. Au Royaume-Uni, le nombre de titres de livres par million d’habitants s’élève à 2.000 alors qu’il est de 20 en Egypte.
Conclusion : Le monde musulman ne parvient pas à la diffusion du savoir.
Les exportations de produits de haute technologie en pourcentage du total des exportations sont un indicateur important de l’application des connaissances.
Les exportations de produits de haute technologie du Pakistan s’élèvent à un pour cent du total de ses exportations. C’est pire pour l’Arabie saoudite, le Koweït, le Maroc et l’Algérie (tous à 0,3 p. cent) alors que Singapour est à 58 pour cent.
Conclusion : Le monde musulman ne parvient pas à mettre en application son savoir.
Pourquoi les musulmans impuissants ?
Parce que nous ne sommes pas capables de produire des connaissances.
Pourquoi les musulmans impuissants ?
Parce que nous ne sommes pas capables de diffuser le savoir.
Pourquoi les musulmans impuissants ?
Parce que nous ne sommes pas capables de trouver des applications à nos connaissances.
Et, l’avenir appartient aux sociétés du savoir.
Fait intéressant, le PIB combiné annuel de 57 pays de l’OCI-est de moins de 2 mille milliards de dollars. L’Amérique, juste à elle-seule, produit des biens et services d’une valeur de 12 mille milliards de $, la Chine 8 mille milliards de dollars, le Japon – 3,8 mille milliards de $ et l’Allemagne 2,4 mille de milliards de dollars (en parité de pouvoir d’achat).
Les pays riche en pétrole à savoir l’Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, le Koweït et le Qatar collectivement produisent des biens et services (surtout en pétrole) pour une valeur de 500 milliards de dollars, alors que l’Espagne seule produit des biens et services d’une valeur de plus de 1000 milliards et la Pologne catholique 489 milliards de $ et la bouddhiste Thaïlande 545 milliards de dollars.
La part Musulmane du PIB, en pourcentage du PIB mondial, est baisse rapide.
Alors, pourquoi les musulmans sont si impuissants ?
Réponse : Le manque d’éducation.
Tout ce que nous faisons c’est prier Dieu toute la journée et blâmer tout le monde pour nos défaillances multiples.
• Dr Saleem Farrukh, le directeur exécutif pakistanais du Centre pour la recherche et les Etudes sur la sécurité centre crée en 2007. Il est aussi un chroniqueur indépendant à Islamabad.
♦ Pourquoi les juifs sont si puissants et les musulmans si impuissants ?
Il y a seulement 14 à 15 millions de Juifs dans le monde ; dont 5,8 millions en Israël ; 5,5 millions aux Etats-Unis d’Amérique ; trois millions en Asie, deux millions en Europe et 100.000 en Afrique.
Pour chaque Juif dans le monde, il y a 100 musulmans.
Pourtant, les Juifs sont cent fois plus puissants que tous les musulmans réunis.
Vous êtes vous demandé pourquoi ?
Jésus était juif. Albert Einstein, le savant le plus influent de tous les temps et le magazine TIME a désigné « personne du siècle », Sigmund Freud Moi, Surmoi – le père de la psychanalyse qui était un Juif. C’était aussi le cas de Karl Marx, Samuelson Paul et Milton Friedman.
Voici d’autres Juifs, dont la production intellectuelle a enrichi l’ensemble de l’humanité :
- Benjamin Rubin a donné à l’humanité l’aiguille vaccination.
- Jonas Salk a mis au point le premier vaccin antipoliomyélitique.
- Alerte Sabin a développé et améliorée le vaccin antipoliomyélitique.
- Gertrude Elion nous a donné un médicament contre la leucémie.
- Baruch Blumberg a développé le vaccin contre l’hépatite B.
- Paul Ehrlich découvre un traitement de la syphilis (une maladie sexuellement transmissible).
- Elie Metchnikoff remporté un prix Nobel dans les maladies infectieuses.
- Bernard Katz a remporté un prix Nobel de la transmission neuromusculaire.
- Andrew Schally a remporté un prix Nobel en endocrinologie (troubles du système endocrinien, diabète, hyperthyroïdie).
- Aaron Beck a fondé la thérapie Cognitive (psychothérapie traiter les troubles mentaux, la dépression et les phobies).
- Gregory Pincus développés la première pilule contraceptive.
- George Wald a remporté un prix Nobel pour son travail sur la compréhension de l’œil humain.
- Stanley Cohen a remporté un prix Nobel en embryologie (Étude des embryons et leur développement).
- Willem Kolff a crée la machine de dialyse rénale.
- Au cours des 105 dernières années, 14 millions de Juifs ont remporté 180 prix Nobel tandis que seulement 3 prix Nobel ont été remportés par 1,4 milliard de musulmans (autre que le Prix pour la paix).
- Stanley Mezor a inventé la première puce micro-informatique.
- Leo Szilard mis au point le réacteur nucléaire de la première génération.
- Peter Schultz, le câble à fibres optiques.
- Charles Adler les feux de circulation.
- Benno Strauss l’acier inoxydable.
- Isador Kisee les films sonores.
- Emile Berliner le téléphone et le microphone.
- Charles Ginsburg le magnétoscope.
Les financiers célèbres dans le monde des affaires appartiennent à la religion juive.
Sans compter Ralph Lauren (Polo), Levi Strauss (Levi’s), Howard Schultz (Starbuck’s), Sergey Brin (Google), Michael Dell (Dell Computers), Larry Ellison (Oracle), Donna Karan (DKNY), Robbins Irv (Baskins & Robbins) et Rosenberg projet de loi (Dunkin Donuts).
- Richard Levin, président de l’Université de Yale, est un Juif.
- Il en est de même pour Henry Kissinger (secrétaire d’État américain),
- Alan Greenspan (Président de la Banque fédéral sous Reagan, Bush, Clinton et Bush, Jr.),
- Joseph Lieberman, Le sénateur,
- Madeleine Albright (ancienne secrétaire d’État),
- Maxim Litvinov (ministre des Affaires étrangères de l’URSS),
- David Maréchal (le premier ministre de Singapour),
- Isaacs Issac (gouverneur général d’Australie),
- Benjamin Disraeli (Homme d’État et auteur),
- Yevgeny Primakov (Premier ministre russe),
- Jorge Sampaio (Président du Portugal),
- Herb Gray (plusieurs fois ministre et Vice premier Ministre du Canada),
- Pierre Mendes (Premier ministre français),
- Michael Howard (British Home Secretary),
- Bruno Kreisky (Chancelier d’Autriche) et Robert Rubin (ancien Secrétaire au Trésor).
Dans les médias, les Juifs célèbres incluent Wolf Blitzer (CNN),
- Barbara Walters (ABC Nouvelles),
- Eugene Meyer (Washington Post),
- Henry Grunwald (rédacteur en chef du Time Magazine),
- Katherine Graham (éditeur du Washington Post),
- Joseph Lelyyeld (rédacteur en chef, The New York Times), et Max Frankel (New York Times).
Pouvez-vous donner le nom du philanthrope le plus généreux dans l’histoire du monde ?
- Le nom est George Soros, un Juif, qui a jusqu’à présent fait des dons colossaux à hauteur de 4 milliards de dollars ; dont la majeure partie en aide à des scientifiques et des universités de par le monde.
- Deuxième après George Soros est Walter Annenberg, un autre Juif, qui a construit une centaine de bibliothèques en donnant un montant estimé à 2 milliards.
Aux Jeux olympiques, Mark Spitz a établi un record du genre en remportant sept médailles d’or. Lenny Krayzelburg est médaillée d’or olympique à trois reprises. Spitz, Krayzelburg et Boris Becker (tennis) sont tous juifs.
Saviez-vous que Harrison Ford, George Burns, Tony Curtis, Charles Bronson, Sandra Bullock, Barbra Streisand, Billy Crystal, Woody Allen, Paul Newman, Peter Sellers, Dustin Hoffman, Michael Douglas, Ben Kingsley, Kirk Douglas, William Shatner, Jerry Lewis et Peter Falk sont tous juifs ?
Alors, pourquoi les Juifs sont si puissants ?
Réponse : l’Education.
Hollywood elle-même a été fondée par un Juif. Parmi les réalisateurs et producteurs, Steven Spielberg, Mel Brooks, Oliver Stone, Aaron Spelling (Beverly Hills 90210), Neil Simon (The Odd Couple), Vaina Andrew (Rambo 1, 2 et 3), Michael Mann (Starsky et Hutch), Milos Forman (Vol au-dessus d’un nid de coucou), Douglas Fairbanks (Le Voleur de Bagdad) et Ivan Reitman (Ghostbusters) sont tous Juifs.
Pour être certain, Washington est la capitale qui compte et à Washington, le lobby qui compte, c’est l’American Israel Public Affairs Committee, ou AIPAC.
William James Sidis, avec un QI de 250-300, est le plus brillant homme qui ait jamais existé. Devinez à quelle religion il appartient ?
Alors, pourquoi les Juifs sont si puissants ?
Réponse : l’éducation.
Pourquoi les musulmans si impuissant ?
On estime à 1,476,233,470 musulmans sur la surface du globe : un milliard en Asie, 400 millions en Afrique, 44 millions en Europe et six millions en Amérique.
Un cinquième du genre humain est musulman. Pour chaque hindou, il ya deux musulmans, pour tous les bouddhistes il ya deux musulmans, et pour chaque Juif il y a cent musulmans.
Jamais on s’est demandé pourquoi les musulmans sont si impuissants ?
Voici pourquoi : Il ya 57 pays membres de l’Organisation de la Conférence Islamique (OCI), et tous ont mis en place près 500 universités ; une université pour trois millions de musulmans.
Les États-Unis ont 5758 universités (1 pour 57 000 Américains).
En 2004, Shanghai Jiao Tong University a comparé les performances des universités dans le monde, et curieusement, pas une université d’un pays musulman ne se trouve dans le top 500.
Selon les données recueillies par le PNUD, l’alphabétisation dans le monde chrétien se situe à près de 90 pour cent et les 15 Etats à majorité chrétienne ont un taux d’alphabétisation de 100 pour cent.
Un état à majorité musulmane, a en moyenne un taux d’alphabétisation d’environ 40 pour cent et il n’y a pas un seul état à majorité musulmane avec un taux d’alphabétisation de 100 pour cent.
Quelque 98 pour cent des « alphabètes » dans le monde chrétien terminent l’école primaire, tandis que moins de 50 p. cent des « alphabètes » dans le monde musulman fait la même chose. Environ 40 pour cent des « lettrés » dans le monde chrétien fréquentent l’université soit plus de deux pour cent des « lettrés » qui dans le monde musulman font la même chose.
Pourquoi les musulmans impuissants ?
Parce que nous ne savons pas produire et mettre en application un savoir musulman. Les pays à majorité musulmane ont 230 scientifiques par million Musulmans. Les États-Unis ont 4.000 scientifiques par million et le Japon à 5.000 par million d’habitants. Dans le monde arabe tout entier, le nombre total de chercheurs à plein temps est de 35.000 et il n’y a que 50 techniciens par un million d’Arabes (dans le monde chrétien, il ya jusqu’à 1.000 techniciens par million). En outre, le monde musulman dépense 0,2 pour cent de son PIB à la recherche et développement, tout le monde chrétien consacre environ cinq pour cent de ses PIB.
Conclusion : Le monde musulman n’a pas la capacité de produire des connaissances.
Les quotidiens pour 1000 habitants et le nombre de titres de livres par million sont deux indicateurs pour savoir si la connaissance est diffusée dans une société. Au Pakistan, il existe 23 quotidiens pour 1.000 Pakistanais tandis que le même ratio est de 360 à Singapour. Au Royaume-Uni, le nombre de titres de livres par million d’habitants s’élève à 2.000 alors qu’il est de 20 en Egypte.
Conclusion : Le monde musulman ne parvient pas à la diffusion du savoir.
Les exportations de produits de haute technologie en pourcentage du total des exportations sont un indicateur important de l’application des connaissances.
Les exportations de produits de haute technologie du Pakistan s’élèvent à un pour cent du total de ses exportations. C’est pire pour l’Arabie saoudite, le Koweït, le Maroc et l’Algérie (tous à 0,3 p. cent) alors que Singapour est à 58 pour cent.
Conclusion : Le monde musulman ne parvient pas à mettre en application son savoir.
Pourquoi les musulmans impuissants ?
Parce que nous ne sommes pas capables de produire des connaissances.
Pourquoi les musulmans impuissants ?
Parce que nous ne sommes pas capables de diffuser le savoir.
Pourquoi les musulmans impuissants ?
Parce que nous ne sommes pas capables de trouver des applications à nos connaissances.
Et, l’avenir appartient aux sociétés du savoir.
Fait intéressant, le PIB combiné annuel de 57 pays de l’OCI-est de moins de 2 mille milliards de dollars. L’Amérique, juste à elle-seule, produit des biens et services d’une valeur de 12 mille milliards de $, la Chine 8 mille milliards de dollars, le Japon – 3,8 mille milliards de $ et l’Allemagne 2,4 mille de milliards de dollars (en parité de pouvoir d’achat).
Les pays riche en pétrole à savoir l’Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, le Koweït et le Qatar collectivement produisent des biens et services (surtout en pétrole) pour une valeur de 500 milliards de dollars, alors que l’Espagne seule produit des biens et services d’une valeur de plus de 1000 milliards et la Pologne catholique 489 milliards de $ et la bouddhiste Thaïlande 545 milliards de dollars.
La part Musulmane du PIB, en pourcentage du PIB mondial, est baisse rapide.
Alors, pourquoi les musulmans sont si impuissants ?
Réponse : Le manque d’éducation.
Tout ce que nous faisons c’est prier Dieu toute la journée et blâmer tout le monde pour nos défaillances multiples.
• Dr Saleem Farrukh, le directeur exécutif pakistanais du Centre pour la recherche et les Etudes sur la sécurité centre crée en 2007. Il est aussi un chroniqueur indépendant à Islamabad.
Re: Du judaïsme
«Affaire Unesco-Jérusalem»: mensonges et harcèlement
«Affaire Unesco-Jérusalem»: mensonges et harcèlement
La polémique sur la résolution votée par l’Unesco à propos de Jérusalem a connu, cette semaine, un tour nouveau. Le CRIF et ses amis ont déployé une stratégie d’interpellations acharnées du gouvernement français. En totale disproportion avec la réalité de l’affaire. Et au prix de quelques gros mensonges, validés par Valls et Cazeneuve ! Du jamais vu sous la cinquième république. Récit détaillé.
Il n’était pas dans mes intentions d’ajouter une suite au précédent billet que j’ai consacré à cette affaire, mais les développements de ces derniers jours m’y obligent un peu. Pour mémoire, rappelons donc que le 16 avril dernier, l’Unesco avait voté, une résolution proposée par différents pays arabes, reprochant à Israël de multiples violations du statu quo qui avait normalement prévalu dans la vieille ville de Jérusalem, de 1967 à 2000, par lequel les Israéliens et le Waqf jordanien s’étaient partagé la gestion et l’administration des lieux saints juifs et musulmans. Cette résolution critiquait notamment divers travaux effectués par les Israéliens sur et aux alentours d’une passerelle reliant le mur des lamentations - le lieu le plus saint du judaïsme - à l’esplanade des mosquées, troisième lieu saint de l’islam. Deux lieux dont la contigüité est d’autant plus source d’affrontements, réels ou fantasmés, que la tradition juive désigne l’esplanade des mosquées sous l’appellation de « Mont du temple ». Depuis quelques années, des groupes juifs religieux intégristes militent pour la reconstruction d’un troisième temple, réplique de celui qui fut détruit par les Romains en 70 après JC en lieu et place des mosquées qui datent du 7ème siècle… La résolution de l’Unesco critiquait donc Israël pour toutes une série d’actions alléguées par les pays arabes (et pas toujours vérifiables dans la mesure où Israël se refuse à autoriser des experts indépendants à se rendre sur place) et appelait de ses vœux au retour du statu quo qui avait fonctionné à peu près normalement jusqu’en 2000. Enfin, cette résolution réitérait les termes d’une précédente décision de novembre 2015 relative aux « tombeaux des patriarches », lieux saints communs au judaïsme, au christianisme et à l’islam situés en Cisjordanie mais qu’Israël avait décidé d’inscrire à son patrimoine national : l’Unesco avait alors estimé que ces tombeaux devaient être considérés comme faisant « partie intégrante des territoires palestiniens occupés ».
Colère du gouvernement Israélien, et de ses relais habituels en France. Certes, cette résolution critique beaucoup Israël, peut-être parfois à tort. Mais on l’a dit, le gouvernement israélien refuse le moindre contrôle sur ses fouilles archéologiques et ses travaux d’aménagement de la vieille ville. Certes, la résolution qualifie à chaque ligne Israël de « puissance occupante ». Mais, contrairement à ce que prétendent certains, ce qualificatif n’implique aucune intention péjorative : il désigne un statut juridique qui, en droit international, implique un certains nombre d’obligations, celles-là mêmes dont le non-respect est, à tort ou à raison, reproché, à Israël. Certes, les lieux litigieux sont désignés sous leur nom arabe. Rien d’étonnant puisque le projet a été écrit… dans la langue des pays requérants. Mais le texte de la résolution soumis au vote final a ajouté à certains d’entre eux l’appellation habituellement utilisée par les israéliens : ainsi le mur des lamentations appelée par les Arabes « Place al Buraq » est également appelée « Mur occidental ». Quant à l’esplanade des mosquées, il ne saurait être question de l’appeler « Mont du temple », précisément en raison du statu quo de 1967 par lequel Israéliens et Jordaniens était tombés d’accord pour qu'elle demeurât un lieu de culte musulman.
Mais surtout, horresco referens … la France a voté en faveur de cette résolution !
Il n’en fallait pas plus pour que le ressentiment contre l’Unesco se transforme aussitôt en une série d’attaques très ciblées contre la diplomatie française. Un french bashing dont certains milieux pro-israéliens sont coutumiers, qui se manifeste habituellement par la voie d’insinuations, que relayent divers médias, radios, journaux ou sites Internet. Cette fois-ci, l’affaire devait être grave puisque les attaques ont pris la forme de mises en demeures adressées tous azimuts aux plus hautes autorités de l’Etat, de manière officielle, solennelle, grandiloquente et… mensongère.
La France « négationniste »
C'est le président du CRIF Roger Cukierman qui ouvre le ban par un courrier adressé à François Hollande le 18 avril, soit deux jours après le vote controversé, dans lequel il déplore que la France ait voté « en faveur d’une résolution qui dénie le lien historique entre les Juifs, le Mur des Lamentations et le Mont du Temple à Jérusalem ». Ce faisant, dès cette première phrase, le président du CRIF entretient en fait une confusion entre le lien historique (c'est-à-dire mémoriel, émotionnel et subjectif) qui peut s’attacher à tel ou tel lieu et la destination de ce lieu qui, dans une réalité présente, actuelle, objective, et en vertu d’accords juridiques explicites ou implicites, le constitue comme un lieu de culte pour une religion particulière. Une confusion qui permet ainsi, à Roger Cukierman de mettre dans le même sac le mur des lamentations et le mont du temple (là où, précisément, la résolution de l’Unesco, attachée au statu quo de 1967, se fonde sur le fait que l’esplanade des mosquées est effectivement un lieu de culte musulman). Et qui permet au président du CRIF de poursuivre, à la phrase suivante : « Cette décision est une négation délibérée [qui] ignore le lien historique du judaïsme avec Jérusalem, capitale du peuple juif ». Il n’est donc plus seulement question du mur des lamentations et du mont du temple, mais de Jérusalem tout entière, dont le simple fait de rappeler qu’elle abrite des lieux saints des trois religions monothéistes s’apparenterait donc à une « négation »… Moyennant quoi Roger Cukierman peut asséner sa conclusion : « L’Unesco tente de réécrire une partie de l’histoire de l’humanité et prouve encore une fois que la mauvaise foi et la haine d’Israël ne connaissent aucune limite ». Rien que ça.
La campagne est lancée. Le 25 avril, Gilles-William Goldnadel, président de l’association France-Israël, écrit dans Le Figaro que « cette résolution insensée fait du Mur des lamentations à Jérusalem, un monument exclusivement musulman ». Trois jours plus tard, c'est Meyer Habib, député (UDI) des Français de l'étranger (il possède la double nationalité franco-israélienne et fait partie des intimes du premier ministre israélien Netanyahu) qui écrit sur le Huffington Post que « la France s’est déshonorée » en votant une « résolution négationniste », et qu’elle se rend complice d’une tentative de rendre Jérusalem « judenrei » (une expression allemande empruntée à la phraséologie nazie qui signifie « vide de juifs »). Dans la foulée, Meyer Habib, prétend (en se référant à une autre résolution, mais citée elle aussi de manière grossièrement inexacte) que l’Unesco aurait fait des tombeaux des patriarches un site « exclusivement musulman ». Affirmation reprise quelques jours plus tard, toujours dans le Figaro, par le Grand rabbin de France Haïm Korsia, ainsi que par un grand nombre de sites et blogs de la communauté juive. Le monde à l’envers ! Car bien au contraire, dans sa résolution du 16 avril comme dans les précédentes, l’Unesco s’appuyait sur « l’importance religieuse » revêtue par les tombeaux des patriarches aux yeux « du judaïsme, du christianisme et de l’Islam » pour affirmer qu’ils ne pouvaient en conséquence être inscrits sur le patrimoine national israélien, étant de surcroit « partie intégrante des territoires palestiniens ». Ou comment faire dire à autrui l’exact contraire de ce qu'il a réellement dit.
L’affaire aurait pu en rester là, ce qui aurait déjà été beaucoup de bruit pour rien.
Mais le 6 mai, François Hollande adresse à Roger Cukierman une lettre en réponse à son courrier du 18 avril. La missive présidentielle est courte, formelle, mais le ton est courtois ; ni sec, ni laconique, avec quelques mentions manuscrites amicales. Le président de la république admet que des incompréhensions ont pu naitre de certaines formulations du texte de la résolution (ce qui est le cas de 99% des textes émanant des organisations internationales, rédigés dans un jargon onusien indigeste censé représenter un consensus très relatif, obtenu au prix de laborieuses négociations, à travers des traductions en plusieurs langues…), mais affirme que la France garde une position claire, fondée sur le respect du statu quo et de la garantie d’accès aux lieux saints pour les trois grandes religions.
Ces mots, certes convenus mais qui se veulent apaisants, déclenchent la tempête. Chose inouïe dans l’histoire de la cinquième république, les plus hautes autorités de l’Etat vont alors accepter de venir se justifier – et pour certains s’excuser – d’une faute imaginaire commise à l’occasion de ce qui constitue un non-évènement absolu.
Cazeneuve et Valls désavouent Hollande et Ayrault
C'est d’abord une nouvelle lettre que Cukierman adresse le 10 mai à François Hollande, mise en ligne sur le site du CRIF. Il s’y déclare « blessé » par la réponse du président de la république en ce quelle ne reconnait pas « le caractère négationniste » du vote de la France. Pas moins !
Le même jour, le député LR Claude Goasguen interpelle le ministre des affaires étrangères Jean-Marc Ayrault lors de la séance des questions au gouvernement. Les mensonges du CRIF et de ses amis font leur entrée à l’assemblée nationale : « Ainsi, depuis le 16 avril, le mont du temple à Jérusalem et d’autres édifices religieux juifs situés également à Jérusalem doivent être considérés comme des lieux saints exclusivement musulmans ! (…) la France s’est déshonorée en participant à une opération de négationnisme culturel, qui n’implique pas seulement Israël mais l’ensemble de l’humanité ! ». Car, ajoute Goasguen : « le Mont du temple n’est pas seulement un des fondements de la culture juive, mais c'est aussi un des fondements de la culture chrétienne ». On se croirait revenu au temps de Christine Boutin brandissant sa bible. La réponse d’Ayrault reprend les termes de la lettre adressée par Hollande à Cukierman : la France n’a fait que marquer son attachement au statu quo afin que soit garantie pour tous l’accès aux lieux saints.
Mais le soir même, le ministre de l'intérieur Bernard Cazeneuve est invité à une conférence organisée par Les amis du CRIF, et il désavoue la diplomatie française en déclarant – après avoir beaucoup tourné autour du pot – « qu’il ne fallait pas adopter » la résolution de l’Unesco. Reste à savoir quelle sont les compétences d’attribution en matière de politique extérieure du locataire de la place Beauvau. Mais la salle, chauffée à blanc par les semaines qui viennent de s’écouler n’en reste pas là et réclame… des excuses publiques de François Hollande ! Réponse particulièrement emberlificotée – et totalement surréaliste ! - de Cazeneuve qui, benoitement, semble admettre la légitimité d’une telle demande : « Si [François Hollande] me demande ce que j'en pense, je lui dirai des choses qui sont de nature à lui permettre de faire la déclaration que vous avez envie d’entendre. Je ne peux pas être plus clair… » [1].Un ministre de l'intérieur désavouant publiquement le président de la république sur un sujet de politique étrangère et anticipant sur ses excuses souhaitables… Une grande première sous la cinquième !
Le lendemain, 11 mai, nouvelle interpellation au Palais Bourbon. Et c'est à nouveau Meyer Habib qui interpelle le premier ministre, car, dit-il, la réponse de Jean-Marc Ayrault, la veille, ne l’a pas convaincu. Le refrain est maintenant bien rodé : la France s’est « déshonorée » et s’est « fourvoyée dans une entreprise négationniste ». Valls prend la parole et admet que « ce vote n’aurait pas du avoir lieu ». Le chef du gouvernement vient à cet instant précis de valider devant la représentation nationale les mensonges du CRIF, en désavouant son ministre des affaires étrangères ainsi que le… président de la république.
La réaction israélienne ne se fait pas attendre. Dès le lendemain, la classe politique et les médias exultent. Une lettre adressée par Netanyahu à Hollande est rendue publique. La France se serait disqualifiée en tant qu’organisateur de la réunion internationale censée relancer le processus de paix au Proche-Orient, qui doit se tenir à Paris à partir du 30 mai prochain, et qu’Israël a de toute façon annoncé, de longue date, rejeter par avance. C'était donc ça…
Ce dimanche 15 mai, la chaîne Israélienne francophone I24, a mis en ligne un article intitulé « France : " le soutien à la résolution de l’Unesco est un malentendu (Hollande) ». Hollande n’a jamais dit ça. Dans sa lettre à Cukierman il évoquait un « malentendu », non pour parler du soutien de la France à la résolution de l’Unesco mais de l’interprétation qui en était faite par certains… Mais déjà, hier, samedi, le journal Haaretz mettait en ligne un article expliquant que dans sa lettre à Cukierman, Hollande s’était « engagé à ne plus soutenir, à l’avenir, de pareilles résolutions ».
Deux petits mensonges de plus. Au point où on en est…
[1] http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/citations/2016/05/10/25002-20160510ARTFIG00001-israel-cazeneuve-critique-la-resolution-de-l-unesco-votee-par-la-france.php
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Quelqu'un à un avis sur la critique de Martine Gozlan dans le Marianne qui vient de sortir ?
C'est au moins articulé en ce qui concerne l'explication : Ayrault piloté sur l'Orient par un expert du consulta à Jerusalem et non un conseiller d'ambassade à Tel-Aviv, la représentation française à Jérusalem étant orientée vers la vision chrétienne ou palestinienne des choses, elle le dit mieux que moi bien sûr.
«Affaire Unesco-Jérusalem»: mensonges et harcèlement
La polémique sur la résolution votée par l’Unesco à propos de Jérusalem a connu, cette semaine, un tour nouveau. Le CRIF et ses amis ont déployé une stratégie d’interpellations acharnées du gouvernement français. En totale disproportion avec la réalité de l’affaire. Et au prix de quelques gros mensonges, validés par Valls et Cazeneuve ! Du jamais vu sous la cinquième république. Récit détaillé.
Il n’était pas dans mes intentions d’ajouter une suite au précédent billet que j’ai consacré à cette affaire, mais les développements de ces derniers jours m’y obligent un peu. Pour mémoire, rappelons donc que le 16 avril dernier, l’Unesco avait voté, une résolution proposée par différents pays arabes, reprochant à Israël de multiples violations du statu quo qui avait normalement prévalu dans la vieille ville de Jérusalem, de 1967 à 2000, par lequel les Israéliens et le Waqf jordanien s’étaient partagé la gestion et l’administration des lieux saints juifs et musulmans. Cette résolution critiquait notamment divers travaux effectués par les Israéliens sur et aux alentours d’une passerelle reliant le mur des lamentations - le lieu le plus saint du judaïsme - à l’esplanade des mosquées, troisième lieu saint de l’islam. Deux lieux dont la contigüité est d’autant plus source d’affrontements, réels ou fantasmés, que la tradition juive désigne l’esplanade des mosquées sous l’appellation de « Mont du temple ». Depuis quelques années, des groupes juifs religieux intégristes militent pour la reconstruction d’un troisième temple, réplique de celui qui fut détruit par les Romains en 70 après JC en lieu et place des mosquées qui datent du 7ème siècle… La résolution de l’Unesco critiquait donc Israël pour toutes une série d’actions alléguées par les pays arabes (et pas toujours vérifiables dans la mesure où Israël se refuse à autoriser des experts indépendants à se rendre sur place) et appelait de ses vœux au retour du statu quo qui avait fonctionné à peu près normalement jusqu’en 2000. Enfin, cette résolution réitérait les termes d’une précédente décision de novembre 2015 relative aux « tombeaux des patriarches », lieux saints communs au judaïsme, au christianisme et à l’islam situés en Cisjordanie mais qu’Israël avait décidé d’inscrire à son patrimoine national : l’Unesco avait alors estimé que ces tombeaux devaient être considérés comme faisant « partie intégrante des territoires palestiniens occupés ».
Colère du gouvernement Israélien, et de ses relais habituels en France. Certes, cette résolution critique beaucoup Israël, peut-être parfois à tort. Mais on l’a dit, le gouvernement israélien refuse le moindre contrôle sur ses fouilles archéologiques et ses travaux d’aménagement de la vieille ville. Certes, la résolution qualifie à chaque ligne Israël de « puissance occupante ». Mais, contrairement à ce que prétendent certains, ce qualificatif n’implique aucune intention péjorative : il désigne un statut juridique qui, en droit international, implique un certains nombre d’obligations, celles-là mêmes dont le non-respect est, à tort ou à raison, reproché, à Israël. Certes, les lieux litigieux sont désignés sous leur nom arabe. Rien d’étonnant puisque le projet a été écrit… dans la langue des pays requérants. Mais le texte de la résolution soumis au vote final a ajouté à certains d’entre eux l’appellation habituellement utilisée par les israéliens : ainsi le mur des lamentations appelée par les Arabes « Place al Buraq » est également appelée « Mur occidental ». Quant à l’esplanade des mosquées, il ne saurait être question de l’appeler « Mont du temple », précisément en raison du statu quo de 1967 par lequel Israéliens et Jordaniens était tombés d’accord pour qu'elle demeurât un lieu de culte musulman.
Mais surtout, horresco referens … la France a voté en faveur de cette résolution !
Il n’en fallait pas plus pour que le ressentiment contre l’Unesco se transforme aussitôt en une série d’attaques très ciblées contre la diplomatie française. Un french bashing dont certains milieux pro-israéliens sont coutumiers, qui se manifeste habituellement par la voie d’insinuations, que relayent divers médias, radios, journaux ou sites Internet. Cette fois-ci, l’affaire devait être grave puisque les attaques ont pris la forme de mises en demeures adressées tous azimuts aux plus hautes autorités de l’Etat, de manière officielle, solennelle, grandiloquente et… mensongère.
La France « négationniste »
C'est le président du CRIF Roger Cukierman qui ouvre le ban par un courrier adressé à François Hollande le 18 avril, soit deux jours après le vote controversé, dans lequel il déplore que la France ait voté « en faveur d’une résolution qui dénie le lien historique entre les Juifs, le Mur des Lamentations et le Mont du Temple à Jérusalem ». Ce faisant, dès cette première phrase, le président du CRIF entretient en fait une confusion entre le lien historique (c'est-à-dire mémoriel, émotionnel et subjectif) qui peut s’attacher à tel ou tel lieu et la destination de ce lieu qui, dans une réalité présente, actuelle, objective, et en vertu d’accords juridiques explicites ou implicites, le constitue comme un lieu de culte pour une religion particulière. Une confusion qui permet ainsi, à Roger Cukierman de mettre dans le même sac le mur des lamentations et le mont du temple (là où, précisément, la résolution de l’Unesco, attachée au statu quo de 1967, se fonde sur le fait que l’esplanade des mosquées est effectivement un lieu de culte musulman). Et qui permet au président du CRIF de poursuivre, à la phrase suivante : « Cette décision est une négation délibérée [qui] ignore le lien historique du judaïsme avec Jérusalem, capitale du peuple juif ». Il n’est donc plus seulement question du mur des lamentations et du mont du temple, mais de Jérusalem tout entière, dont le simple fait de rappeler qu’elle abrite des lieux saints des trois religions monothéistes s’apparenterait donc à une « négation »… Moyennant quoi Roger Cukierman peut asséner sa conclusion : « L’Unesco tente de réécrire une partie de l’histoire de l’humanité et prouve encore une fois que la mauvaise foi et la haine d’Israël ne connaissent aucune limite ». Rien que ça.
La campagne est lancée. Le 25 avril, Gilles-William Goldnadel, président de l’association France-Israël, écrit dans Le Figaro que « cette résolution insensée fait du Mur des lamentations à Jérusalem, un monument exclusivement musulman ». Trois jours plus tard, c'est Meyer Habib, député (UDI) des Français de l'étranger (il possède la double nationalité franco-israélienne et fait partie des intimes du premier ministre israélien Netanyahu) qui écrit sur le Huffington Post que « la France s’est déshonorée » en votant une « résolution négationniste », et qu’elle se rend complice d’une tentative de rendre Jérusalem « judenrei » (une expression allemande empruntée à la phraséologie nazie qui signifie « vide de juifs »). Dans la foulée, Meyer Habib, prétend (en se référant à une autre résolution, mais citée elle aussi de manière grossièrement inexacte) que l’Unesco aurait fait des tombeaux des patriarches un site « exclusivement musulman ». Affirmation reprise quelques jours plus tard, toujours dans le Figaro, par le Grand rabbin de France Haïm Korsia, ainsi que par un grand nombre de sites et blogs de la communauté juive. Le monde à l’envers ! Car bien au contraire, dans sa résolution du 16 avril comme dans les précédentes, l’Unesco s’appuyait sur « l’importance religieuse » revêtue par les tombeaux des patriarches aux yeux « du judaïsme, du christianisme et de l’Islam » pour affirmer qu’ils ne pouvaient en conséquence être inscrits sur le patrimoine national israélien, étant de surcroit « partie intégrante des territoires palestiniens ». Ou comment faire dire à autrui l’exact contraire de ce qu'il a réellement dit.
L’affaire aurait pu en rester là, ce qui aurait déjà été beaucoup de bruit pour rien.
Mais le 6 mai, François Hollande adresse à Roger Cukierman une lettre en réponse à son courrier du 18 avril. La missive présidentielle est courte, formelle, mais le ton est courtois ; ni sec, ni laconique, avec quelques mentions manuscrites amicales. Le président de la république admet que des incompréhensions ont pu naitre de certaines formulations du texte de la résolution (ce qui est le cas de 99% des textes émanant des organisations internationales, rédigés dans un jargon onusien indigeste censé représenter un consensus très relatif, obtenu au prix de laborieuses négociations, à travers des traductions en plusieurs langues…), mais affirme que la France garde une position claire, fondée sur le respect du statu quo et de la garantie d’accès aux lieux saints pour les trois grandes religions.
Ces mots, certes convenus mais qui se veulent apaisants, déclenchent la tempête. Chose inouïe dans l’histoire de la cinquième république, les plus hautes autorités de l’Etat vont alors accepter de venir se justifier – et pour certains s’excuser – d’une faute imaginaire commise à l’occasion de ce qui constitue un non-évènement absolu.
Cazeneuve et Valls désavouent Hollande et Ayrault
C'est d’abord une nouvelle lettre que Cukierman adresse le 10 mai à François Hollande, mise en ligne sur le site du CRIF. Il s’y déclare « blessé » par la réponse du président de la république en ce quelle ne reconnait pas « le caractère négationniste » du vote de la France. Pas moins !
Le même jour, le député LR Claude Goasguen interpelle le ministre des affaires étrangères Jean-Marc Ayrault lors de la séance des questions au gouvernement. Les mensonges du CRIF et de ses amis font leur entrée à l’assemblée nationale : « Ainsi, depuis le 16 avril, le mont du temple à Jérusalem et d’autres édifices religieux juifs situés également à Jérusalem doivent être considérés comme des lieux saints exclusivement musulmans ! (…) la France s’est déshonorée en participant à une opération de négationnisme culturel, qui n’implique pas seulement Israël mais l’ensemble de l’humanité ! ». Car, ajoute Goasguen : « le Mont du temple n’est pas seulement un des fondements de la culture juive, mais c'est aussi un des fondements de la culture chrétienne ». On se croirait revenu au temps de Christine Boutin brandissant sa bible. La réponse d’Ayrault reprend les termes de la lettre adressée par Hollande à Cukierman : la France n’a fait que marquer son attachement au statu quo afin que soit garantie pour tous l’accès aux lieux saints.
Mais le soir même, le ministre de l'intérieur Bernard Cazeneuve est invité à une conférence organisée par Les amis du CRIF, et il désavoue la diplomatie française en déclarant – après avoir beaucoup tourné autour du pot – « qu’il ne fallait pas adopter » la résolution de l’Unesco. Reste à savoir quelle sont les compétences d’attribution en matière de politique extérieure du locataire de la place Beauvau. Mais la salle, chauffée à blanc par les semaines qui viennent de s’écouler n’en reste pas là et réclame… des excuses publiques de François Hollande ! Réponse particulièrement emberlificotée – et totalement surréaliste ! - de Cazeneuve qui, benoitement, semble admettre la légitimité d’une telle demande : « Si [François Hollande] me demande ce que j'en pense, je lui dirai des choses qui sont de nature à lui permettre de faire la déclaration que vous avez envie d’entendre. Je ne peux pas être plus clair… » [1].Un ministre de l'intérieur désavouant publiquement le président de la république sur un sujet de politique étrangère et anticipant sur ses excuses souhaitables… Une grande première sous la cinquième !
Le lendemain, 11 mai, nouvelle interpellation au Palais Bourbon. Et c'est à nouveau Meyer Habib qui interpelle le premier ministre, car, dit-il, la réponse de Jean-Marc Ayrault, la veille, ne l’a pas convaincu. Le refrain est maintenant bien rodé : la France s’est « déshonorée » et s’est « fourvoyée dans une entreprise négationniste ». Valls prend la parole et admet que « ce vote n’aurait pas du avoir lieu ». Le chef du gouvernement vient à cet instant précis de valider devant la représentation nationale les mensonges du CRIF, en désavouant son ministre des affaires étrangères ainsi que le… président de la république.
La réaction israélienne ne se fait pas attendre. Dès le lendemain, la classe politique et les médias exultent. Une lettre adressée par Netanyahu à Hollande est rendue publique. La France se serait disqualifiée en tant qu’organisateur de la réunion internationale censée relancer le processus de paix au Proche-Orient, qui doit se tenir à Paris à partir du 30 mai prochain, et qu’Israël a de toute façon annoncé, de longue date, rejeter par avance. C'était donc ça…
Ce dimanche 15 mai, la chaîne Israélienne francophone I24, a mis en ligne un article intitulé « France : " le soutien à la résolution de l’Unesco est un malentendu (Hollande) ». Hollande n’a jamais dit ça. Dans sa lettre à Cukierman il évoquait un « malentendu », non pour parler du soutien de la France à la résolution de l’Unesco mais de l’interprétation qui en était faite par certains… Mais déjà, hier, samedi, le journal Haaretz mettait en ligne un article expliquant que dans sa lettre à Cukierman, Hollande s’était « engagé à ne plus soutenir, à l’avenir, de pareilles résolutions ».
Deux petits mensonges de plus. Au point où on en est…
[1] http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/citations/2016/05/10/25002-20160510ARTFIG00001-israel-cazeneuve-critique-la-resolution-de-l-unesco-votee-par-la-france.php
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Quelqu'un à un avis sur la critique de Martine Gozlan dans le Marianne qui vient de sortir ?
C'est au moins articulé en ce qui concerne l'explication : Ayrault piloté sur l'Orient par un expert du consulta à Jerusalem et non un conseiller d'ambassade à Tel-Aviv, la représentation française à Jérusalem étant orientée vers la vision chrétienne ou palestinienne des choses, elle le dit mieux que moi bien sûr.
Re: Du judaïsme
Ministre de la défense israélien :Si je devais choisir entre la France de Hollande et l'Etat islamique, je choisirais l'Etat islamique
Ministre de la défense israélien :Si je devais choisir entre la France de Hollande et l'Etat islamique, je choisirais l'Etat islamique
En parlant à l'Institut pour les Études de Sécurité nationale à Tel Aviv, le 19 janvier, le ministre de la Défense Nationale israélien, Moshe Ya'alon, a fait une déclaration audacieuse : il a déclaré au public que s'il devait choisir entre la France de Hollande et l'État Islamique (EI), il "choisirait l'Etat islamique."
Ya'alon a déclaré que la propagation de l'idéologie de l'islam par le gouvernement de Hollande avait des capacités plus grandes que l'État Islamique et restait la plus grande menace pour Israël. Il a soutenu que si la Syrie devait tomber entre les mains d'un des deux pouvoirs, il préférerait que ce soit l'État Islamique plutôt que l'occident ou des groupes soutenus par les occidentaux.
https://payhip.com/b/z8CU
"Nous croyons que l'Etat islamique sera finalement battu territorialement après les coups dont il a souffert et à la lumière des attaques sur ses réserves pétrolières," a-t-il déclaré à la conférence, selon le journal "Maariv".
"Manuel Valls a laissé proliférer le développement d’une idéologie antioccidentale, misogyne et antisémite, contraire aux valeurs identitaires culturelles et cultuelles de la France,et si le gouvernement francais continue sa politique antisémite,Israel se verra obligé de rompre ses relations diplomatiques avec pays"
Ministre de la défense israélien :Si je devais choisir entre la France de Hollande et l'Etat islamique, je choisirais l'Etat islamique
En parlant à l'Institut pour les Études de Sécurité nationale à Tel Aviv, le 19 janvier, le ministre de la Défense Nationale israélien, Moshe Ya'alon, a fait une déclaration audacieuse : il a déclaré au public que s'il devait choisir entre la France de Hollande et l'État Islamique (EI), il "choisirait l'Etat islamique."
Ya'alon a déclaré que la propagation de l'idéologie de l'islam par le gouvernement de Hollande avait des capacités plus grandes que l'État Islamique et restait la plus grande menace pour Israël. Il a soutenu que si la Syrie devait tomber entre les mains d'un des deux pouvoirs, il préférerait que ce soit l'État Islamique plutôt que l'occident ou des groupes soutenus par les occidentaux.
https://payhip.com/b/z8CU
"Nous croyons que l'Etat islamique sera finalement battu territorialement après les coups dont il a souffert et à la lumière des attaques sur ses réserves pétrolières," a-t-il déclaré à la conférence, selon le journal "Maariv".
"Manuel Valls a laissé proliférer le développement d’une idéologie antioccidentale, misogyne et antisémite, contraire aux valeurs identitaires culturelles et cultuelles de la France,et si le gouvernement francais continue sa politique antisémite,Israel se verra obligé de rompre ses relations diplomatiques avec pays"
Re: Du judaïsme
Histoire des juifs en terre d'islam
MASSACRES PERPÉTRÉS PAR LES MUSULMANS LORS DE LEURS CONQUÊTES
Liste des massacres perpétrés au nom de l'islam dans sa conquête de l'Afrique, l'Asie et l'Europe.
D'après le livre d'IBN WARRAQ "Pourquoi je ne suis pas musulman"
Complété par
http://www.lemanlake.com/french/chronos_2.htm
«Histoire des Juifs »
http://www.histoiredesjuifs.com
Et par différentes recherches sur Internet
_____________________________________________________
624. Après la victoire de Badr, début de l'élimination des juifs.
625. Expulsion du clan juif des Al Nadir.
626. Massacre des juifs Beni Khazradj et partage des familles et du butin.
Expédition contre les juifs Beni Qoraizha, insultés par Mahomet : "O vous, singes et cochons".
Massacre des 700 juifs Beni Qoraizha, liés pendant trois jours, puis égorgés au-dessus d'un fossé, avec les jeunes garçons.
Meurtre du juif Kab chef des Beni nadhir poète satiriste, et de sa femme, qui s'était moqué de Mahomet
Expédition contre les juifs de Khaybar.
Meurtre sur ordre de Mahomet du juif Sallam Abou Rafi
Mahomet fait couper les palmiers de l'oasis des juifs Beni Nadhir
Mahomet prend parmi les Beni Qoraizha une jeune fille très belle comme part du butin Rayhanna
Près la bataille du Fossé, en 627, Muhammad décide d’en finir avec la tribu des Banu-Kuraiza, qu'il accuse d'avoir soutenu ses ennemis ;
Sur son ordre, les musulmans décapitent 600 à 700 hommes (d’autres sources écrivent 600 à 900 victimes) s’emparent des biens de la tribu, et vendent les femmes et les enfants en esclavage.
même époque: expulsion des Nadir et leur massacre
628. Mahomet aux juifs beni Qainoqa : "Si vous n'embrassez par l'islam, je vous déclare la guerre".
Rapt des femmes et enfants de la tribu des Moshjarik
Attaque des juifs de Khaïbar, et torture des prisonniers
Prise de l'oasis juive de Fadak comme bien personnel de Mahomet
Soumission des juifs de Wadil Qora.
630. Soumission des juifs et chrétiens de Makna, Eilat, Jarba
Mort de Mohammed
-
638. Expulsion des juifs de Jérusalem
-
640. Expulsion des juifs du Hedjez
-
643. Expulsion des juifs de Khaybar par Omar
Prise de Reï : "Le sang coulait dans la ville comme un ruisseau"
-
940. Décapitation de l'exilarque juif de Bagdad pour avoir souillé le nom de Mahomet
-
945. Assassinat par une foule de fanatiques du dernier exilarque juif de Bagdad
-
948. Fermeture de l'école de théologie juive de Bagdad "Sora".
-
1004. Juifs et chrétiens doivent porter un turban et une ceinture noirs en Égypte
1009. Juifs et chrétiens d’Égypte doivent porter une croix ou des clochettes dans les bains
1010/ 1013. Des centaines de juifs tués dans le sud de l'Espagne.
-
1016: juifs chassés de Kairouan (Tunisie)
1033: massacre de 6000 juifs à Fez (Maroc)
1040. Décapitation du théologien juif Gaon Chiskiya chef d'une école talmudique.
-
1152. Avènement d'Abd el Moumin ; choix pour les chrétiens et juifs entre la conversion ou la mort
1066: Au cours du massacre de Grenade, assassinat du Nagid de la communauté,
successeur de Samuel Ha Nagid
Massacre de 4.000 juifs à Grenade
-
1073. Début des persécutions contre juifs et chrétiens par les Turcs à Jérusalem
Massacres d'infidèles à Damas.
1090 Expulsion de Juifs de Grenade -
1100. Massacre de juifs à Fez et Grenade
1140. Les Almohades deviennent maîtres du Maghreb. Cette dynastie fondamentaliste de l’Islam ne laissera aux Juifs que le choix entre la conversion et la mort.
1145. L’Andalousie passe des mains des Almoravides à celles des Almohades, dynastie musulmane qui persécutera les Juifs et détruira les principales communautés juives d’Andalousie. Les Juifs sont contraints d’adopter l’Islam et ne peuvent pratiquer le judaïsme qu’en cachette.
1146. TLEMCEN Massacre de juifs par les Almohades
1159. La famille de Maïmonide quitte l’Espagne, aux mains des Almohades, et se réfugie à Fès, au Maroc. C’est à cette époque que Maïmonide rédige son Maamar Kidoush Hashem (la lettre sur la sanctification du Nom) où il traite de la question du martyr, question que la dynastie des Almohades rend très actuelle. Au cours de cette période, il rédige également un ouvrage où il tente d’éclairer le contenu et le plan de la Mishna, le luminaire (HaMaor).
1165 et 1178 conversions forcées au Yémen pour les juifs
1165 (avant) Benjamin de Tudèle visite le faubourg de Pera, à proximité de Constantinople, d’où les Juifs ont été expulsés. A Pera, un mur sépare le quartier Juif rabbinique du quartier Caraïte.
1184.à 1199 Règne des Almohades Abu Yousouf Akub Al Mansour qui persécutera durement les Juifs.
Ils obligent les juifs à porter des insignes distinctifs – c’est l’invention de la future étoile jaune.
1198. conversions forcées à Aden pour les juifs
Al Malik Al Mouez, sultan Ayyubide, convertit de force les Juifs du Yémen à l’Islam. Maimonide leur adresse une lettre de consolation. (Epître au Yémen)
1201. à la mort du Sultan, les Juifs reprennent leur ancienne foi.
1200 massacres de juifs en Afrique du nord par les Almohades
1232 massacres de juifs à Marrakech
1270. Ségrégation généralisée des juifs en Andalousie
1291 conversions forcées des juifs à Tabriz (nord ouest de l'Iran)
1276. Émeute anti-juive à Fès
-
1301. Début de la persécution des juifs en Égypte
En Eretz Israël, et dans tout le territoire Mamelouk, le statut des Dhimmis, Juifs et Chrétiens, est durci.
1318. conversions forcées des juifs à Tabriz (nord ouest de l'Iran
1333. conversions forcées des juifs à Bagdad (Irak)
-
1334. conversions forcées des juifs à Bagdad (Irak)
1448. Le sultan Mamelouk Djakmak interdit aux Musulmans de se faire soigner par des non-musulmans.
1450. Procès de juifs accusés d'avoir écrit le nom de Mahomet dans leur synagogue de Fustat ; ils sont convertis de force.
1460 Conquête de Constantinople par les Musulmans et fin de l’empire Byzantin. L’empire Ottoman à venir sera un des ensembles politiques les plus tolérants à l’égard des Juifs et abritera de nombreuses communautés.
1465. MAROC : sous la dynastie des Merinides, pogrom dans le mellah, les habitants furent presque tous massacrés
1474. La synagogue de Jérusalem est détruite par des fanatiques Musulmans. Elle est reconstruite la même année sur ordre du sultan Mamelouk Qalbay.
1488. Alya du rabbin Ovadia de Bartinoro, auteur d’un incontournable commentaire de la Mishna. Il passe dans son voyage par la célèbre synagogue du Caire, qu’il décrit comme la synagogue du prophète Elie, contenant un rouleau de la Torah copié par Ezra lui-même. Arrivé à Jérusalem, il donne une description lapidaire de l’état de la ville et de la communauté juive : « Le nombre de ses habitants, m’a-t-on dit, se monte à 4 000 familles. Quant aux Juifs, il en reste environ 70 familles, de la classe la plus déshéritée. Il n’est guère de famille qui ne manque des choses les plus nécessaires ; celle qui a du pain pour un an est dite riche ».
1492. Communauté juive de Touat au Maroc massacrée ; synagogues détruites.
1560 Joseph Nassi est parmi les courtisans proches de Soleman 1er le magnifique. Il le pousse à choisir Selim comme héritier du trône au détriment de son autre fils, Bayazid. Proche de Selim, il est promu par celui-ci membre de la garde royale, après sa victoire sur son frère. Soleman, quant à lui, offre à Joseph Nassi la ville de Tibériade en Galilée avec de nombreuses terres cultivables, pour en faire un domaine destiné exclusivement à l’immigration des Juifs. Il pense alors réaliser son projet en implantant à Tibériade la culture de vers à soie, produit précieux et demandé dans toute l’Europe. Il met également en place la logistique afin d’amener d’Italie les Juifs convertis de force au christianisme.
1608 Persécution pendant deux ans des juifs de Taroudat par les Berbères.
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1622 persécutions contre les juifs en Perse
-
1656 conversions forcées des juifs en Perse
1656-61 - les Juifs chassés sont chassé d'Ispahan
1676. Expulsion des juifs de Sanaa au Yémen.
1700 Massacre des juifs au Yémen
1700 à 1786 juifs expulsés de Jeddah et se réfugient au Yémen
1790Massacre de juifs à Tétouan
1791
19èm siècle
1805. Pogrom contre les juifs d'Alger après une famine
Exil des juifs d'Alger vers Tunis et Livourne
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1806 Expulsion par fatwa des juifs de Sali au Maroc
Interdiction pour les juifs marocains d'avoir des vêtements occidentaux
Les janissaires du dey d'Alger massacrent et pillent dans le quartier juif
Les juifs d'Alger sont forcés à lutter contre une invasion de sauterelles.
1807 Expulsion des juifs de Tétouan
1815 Les juifs d'Alger sont forcés à lutter contre une invasion de sauterelles.
1828 Massacre de juifs à Bagdad
1830Tabriz : 400 Juifs égorgés.
1830 : début de la persécution des juifs en Perse, provoquée par l'avance russe dans le Caucase.
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1834 - Pillage à Safed
1839 Conversions forcées et massacre de juifs à Meshed (Iran)
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1840 Massacre de juifs à Damas - affaire des meurtres rituels
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1848 Disparition totale des juifs de Machhad en Iran
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1852 Profanation de la synagogue de Naplouse par des soldats turcs
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1854 Pogrom antijuif à Demnate au Maroc
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1867 Massacre de juifs à Barfurush (Iran) Milieu du 18èm siècle
Les sultans du royaume de Boukhara entament une série de campagne d'islamisation forcée
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Explosion de violence au Maroc, en Algérie, Tunisie, Libye, et dans les pays arabes du Moyen-Orient
20èm siècle
1912
17 au 19 avril 1912
« Les journées sanglantes de Fez » (voir document en fin de liste)
1921 Palestine : 95 morts (fomentés par Al Husseini)
1929 Palestine : Hébron 70 morts
1934 Constantine, Algérie : plus d'une trentaine de juifs sont massacrés par les arabes. Femmes enceintes éventrées, seins coupés, enfants égorgés.
-
1941 IRAK - LE FAHROUD : 200 morts - 2.000 blessés - 1.200 maisons pillées
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1948
Pendaison à Bagdad de SHAFIK ADAS membre important de la communauté juive –
Oujda et Jerada : Pogrom - 100 morts
Aussi la Résidence passa à des actes plus conformes à son style. Après un échec d'une tentative de provocation au Mellah de Fès le soir de Mimouna, échec dû à la réaction immédiate de militants du Parti Communiste Marocain, le Contrôleur Civil Chennebault organisa à Oujda et Jerada les 7 et 8 juin 1948, le massacre d'une centaine de marocains juifs.(a. serfaty : le judaïsme marocain et le sionisme http://www.lehman.cuny.edu/deanhum/lang ... .html)"
En 1948, l’état d’Israël voit le jour. Des troubles éclatent au Maroc qui feront plus de 40 victimes juives. Ces émeutes provoquent le début de l’émigration vers Israël.
http://www.bladi.net/492-l-histoire-des ... e=histoire
1951
Attentat contre la synagogue – à Bagdad - IRAK
Au début du vingtième siècle, au Yémen, eût lieu la mise en pratique de la loi islamique prônant l'islamisation forcée des orphelins. (16.000 yéménites émigrèrent de 1919 à 1948 en Israël) - Les juifs du Najran, Arabie Saoudite, se joignirent à eux.
Pour le Tritl, saccage de Fès en 1912, cliquez sur le lien
http://www.dafina.net/tritl_emeutes_fez.htm
MA LISTE NE COMPREND QUE LES JUIFS
MASSACRES PERPÉTRÉS PAR LES MUSULMANS LORS DE LEURS CONQUÊTES
Liste des massacres perpétrés au nom de l'islam dans sa conquête de l'Afrique, l'Asie et l'Europe.
D'après le livre d'IBN WARRAQ "Pourquoi je ne suis pas musulman"
Complété par
http://www.lemanlake.com/french/chronos_2.htm
«Histoire des Juifs »
http://www.histoiredesjuifs.com
Et par différentes recherches sur Internet
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624. Après la victoire de Badr, début de l'élimination des juifs.
625. Expulsion du clan juif des Al Nadir.
626. Massacre des juifs Beni Khazradj et partage des familles et du butin.
Expédition contre les juifs Beni Qoraizha, insultés par Mahomet : "O vous, singes et cochons".
Massacre des 700 juifs Beni Qoraizha, liés pendant trois jours, puis égorgés au-dessus d'un fossé, avec les jeunes garçons.
Meurtre du juif Kab chef des Beni nadhir poète satiriste, et de sa femme, qui s'était moqué de Mahomet
Expédition contre les juifs de Khaybar.
Meurtre sur ordre de Mahomet du juif Sallam Abou Rafi
Mahomet fait couper les palmiers de l'oasis des juifs Beni Nadhir
Mahomet prend parmi les Beni Qoraizha une jeune fille très belle comme part du butin Rayhanna
Près la bataille du Fossé, en 627, Muhammad décide d’en finir avec la tribu des Banu-Kuraiza, qu'il accuse d'avoir soutenu ses ennemis ;
Sur son ordre, les musulmans décapitent 600 à 700 hommes (d’autres sources écrivent 600 à 900 victimes) s’emparent des biens de la tribu, et vendent les femmes et les enfants en esclavage.
même époque: expulsion des Nadir et leur massacre
628. Mahomet aux juifs beni Qainoqa : "Si vous n'embrassez par l'islam, je vous déclare la guerre".
Rapt des femmes et enfants de la tribu des Moshjarik
Attaque des juifs de Khaïbar, et torture des prisonniers
Prise de l'oasis juive de Fadak comme bien personnel de Mahomet
Soumission des juifs de Wadil Qora.
630. Soumission des juifs et chrétiens de Makna, Eilat, Jarba
Mort de Mohammed
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638. Expulsion des juifs de Jérusalem
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640. Expulsion des juifs du Hedjez
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643. Expulsion des juifs de Khaybar par Omar
Prise de Reï : "Le sang coulait dans la ville comme un ruisseau"
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940. Décapitation de l'exilarque juif de Bagdad pour avoir souillé le nom de Mahomet
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945. Assassinat par une foule de fanatiques du dernier exilarque juif de Bagdad
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948. Fermeture de l'école de théologie juive de Bagdad "Sora".
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1004. Juifs et chrétiens doivent porter un turban et une ceinture noirs en Égypte
1009. Juifs et chrétiens d’Égypte doivent porter une croix ou des clochettes dans les bains
1010/ 1013. Des centaines de juifs tués dans le sud de l'Espagne.
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1016: juifs chassés de Kairouan (Tunisie)
1033: massacre de 6000 juifs à Fez (Maroc)
1040. Décapitation du théologien juif Gaon Chiskiya chef d'une école talmudique.
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1152. Avènement d'Abd el Moumin ; choix pour les chrétiens et juifs entre la conversion ou la mort
1066: Au cours du massacre de Grenade, assassinat du Nagid de la communauté,
successeur de Samuel Ha Nagid
Massacre de 4.000 juifs à Grenade
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1073. Début des persécutions contre juifs et chrétiens par les Turcs à Jérusalem
Massacres d'infidèles à Damas.
1090 Expulsion de Juifs de Grenade -
1100. Massacre de juifs à Fez et Grenade
1140. Les Almohades deviennent maîtres du Maghreb. Cette dynastie fondamentaliste de l’Islam ne laissera aux Juifs que le choix entre la conversion et la mort.
1145. L’Andalousie passe des mains des Almoravides à celles des Almohades, dynastie musulmane qui persécutera les Juifs et détruira les principales communautés juives d’Andalousie. Les Juifs sont contraints d’adopter l’Islam et ne peuvent pratiquer le judaïsme qu’en cachette.
1146. TLEMCEN Massacre de juifs par les Almohades
1159. La famille de Maïmonide quitte l’Espagne, aux mains des Almohades, et se réfugie à Fès, au Maroc. C’est à cette époque que Maïmonide rédige son Maamar Kidoush Hashem (la lettre sur la sanctification du Nom) où il traite de la question du martyr, question que la dynastie des Almohades rend très actuelle. Au cours de cette période, il rédige également un ouvrage où il tente d’éclairer le contenu et le plan de la Mishna, le luminaire (HaMaor).
1165 et 1178 conversions forcées au Yémen pour les juifs
1165 (avant) Benjamin de Tudèle visite le faubourg de Pera, à proximité de Constantinople, d’où les Juifs ont été expulsés. A Pera, un mur sépare le quartier Juif rabbinique du quartier Caraïte.
1184.à 1199 Règne des Almohades Abu Yousouf Akub Al Mansour qui persécutera durement les Juifs.
Ils obligent les juifs à porter des insignes distinctifs – c’est l’invention de la future étoile jaune.
1198. conversions forcées à Aden pour les juifs
Al Malik Al Mouez, sultan Ayyubide, convertit de force les Juifs du Yémen à l’Islam. Maimonide leur adresse une lettre de consolation. (Epître au Yémen)
1201. à la mort du Sultan, les Juifs reprennent leur ancienne foi.
1200 massacres de juifs en Afrique du nord par les Almohades
1232 massacres de juifs à Marrakech
1270. Ségrégation généralisée des juifs en Andalousie
1291 conversions forcées des juifs à Tabriz (nord ouest de l'Iran)
1276. Émeute anti-juive à Fès
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1301. Début de la persécution des juifs en Égypte
En Eretz Israël, et dans tout le territoire Mamelouk, le statut des Dhimmis, Juifs et Chrétiens, est durci.
1318. conversions forcées des juifs à Tabriz (nord ouest de l'Iran
1333. conversions forcées des juifs à Bagdad (Irak)
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1334. conversions forcées des juifs à Bagdad (Irak)
1448. Le sultan Mamelouk Djakmak interdit aux Musulmans de se faire soigner par des non-musulmans.
1450. Procès de juifs accusés d'avoir écrit le nom de Mahomet dans leur synagogue de Fustat ; ils sont convertis de force.
1460 Conquête de Constantinople par les Musulmans et fin de l’empire Byzantin. L’empire Ottoman à venir sera un des ensembles politiques les plus tolérants à l’égard des Juifs et abritera de nombreuses communautés.
1465. MAROC : sous la dynastie des Merinides, pogrom dans le mellah, les habitants furent presque tous massacrés
1474. La synagogue de Jérusalem est détruite par des fanatiques Musulmans. Elle est reconstruite la même année sur ordre du sultan Mamelouk Qalbay.
1488. Alya du rabbin Ovadia de Bartinoro, auteur d’un incontournable commentaire de la Mishna. Il passe dans son voyage par la célèbre synagogue du Caire, qu’il décrit comme la synagogue du prophète Elie, contenant un rouleau de la Torah copié par Ezra lui-même. Arrivé à Jérusalem, il donne une description lapidaire de l’état de la ville et de la communauté juive : « Le nombre de ses habitants, m’a-t-on dit, se monte à 4 000 familles. Quant aux Juifs, il en reste environ 70 familles, de la classe la plus déshéritée. Il n’est guère de famille qui ne manque des choses les plus nécessaires ; celle qui a du pain pour un an est dite riche ».
1492. Communauté juive de Touat au Maroc massacrée ; synagogues détruites.
1560 Joseph Nassi est parmi les courtisans proches de Soleman 1er le magnifique. Il le pousse à choisir Selim comme héritier du trône au détriment de son autre fils, Bayazid. Proche de Selim, il est promu par celui-ci membre de la garde royale, après sa victoire sur son frère. Soleman, quant à lui, offre à Joseph Nassi la ville de Tibériade en Galilée avec de nombreuses terres cultivables, pour en faire un domaine destiné exclusivement à l’immigration des Juifs. Il pense alors réaliser son projet en implantant à Tibériade la culture de vers à soie, produit précieux et demandé dans toute l’Europe. Il met également en place la logistique afin d’amener d’Italie les Juifs convertis de force au christianisme.
1608 Persécution pendant deux ans des juifs de Taroudat par les Berbères.
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1622 persécutions contre les juifs en Perse
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1656 conversions forcées des juifs en Perse
1656-61 - les Juifs chassés sont chassé d'Ispahan
1676. Expulsion des juifs de Sanaa au Yémen.
1700 Massacre des juifs au Yémen
1700 à 1786 juifs expulsés de Jeddah et se réfugient au Yémen
1790Massacre de juifs à Tétouan
1791
19èm siècle
1805. Pogrom contre les juifs d'Alger après une famine
Exil des juifs d'Alger vers Tunis et Livourne
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1806 Expulsion par fatwa des juifs de Sali au Maroc
Interdiction pour les juifs marocains d'avoir des vêtements occidentaux
Les janissaires du dey d'Alger massacrent et pillent dans le quartier juif
Les juifs d'Alger sont forcés à lutter contre une invasion de sauterelles.
1807 Expulsion des juifs de Tétouan
1815 Les juifs d'Alger sont forcés à lutter contre une invasion de sauterelles.
1828 Massacre de juifs à Bagdad
1830Tabriz : 400 Juifs égorgés.
1830 : début de la persécution des juifs en Perse, provoquée par l'avance russe dans le Caucase.
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1834 - Pillage à Safed
1839 Conversions forcées et massacre de juifs à Meshed (Iran)
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1840 Massacre de juifs à Damas - affaire des meurtres rituels
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1848 Disparition totale des juifs de Machhad en Iran
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1852 Profanation de la synagogue de Naplouse par des soldats turcs
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1854 Pogrom antijuif à Demnate au Maroc
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1867 Massacre de juifs à Barfurush (Iran) Milieu du 18èm siècle
Les sultans du royaume de Boukhara entament une série de campagne d'islamisation forcée
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Explosion de violence au Maroc, en Algérie, Tunisie, Libye, et dans les pays arabes du Moyen-Orient
20èm siècle
1912
17 au 19 avril 1912
« Les journées sanglantes de Fez » (voir document en fin de liste)
1921 Palestine : 95 morts (fomentés par Al Husseini)
1929 Palestine : Hébron 70 morts
1934 Constantine, Algérie : plus d'une trentaine de juifs sont massacrés par les arabes. Femmes enceintes éventrées, seins coupés, enfants égorgés.
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1941 IRAK - LE FAHROUD : 200 morts - 2.000 blessés - 1.200 maisons pillées
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1948
Pendaison à Bagdad de SHAFIK ADAS membre important de la communauté juive –
Oujda et Jerada : Pogrom - 100 morts
Aussi la Résidence passa à des actes plus conformes à son style. Après un échec d'une tentative de provocation au Mellah de Fès le soir de Mimouna, échec dû à la réaction immédiate de militants du Parti Communiste Marocain, le Contrôleur Civil Chennebault organisa à Oujda et Jerada les 7 et 8 juin 1948, le massacre d'une centaine de marocains juifs.(a. serfaty : le judaïsme marocain et le sionisme http://www.lehman.cuny.edu/deanhum/lang ... .html)"
En 1948, l’état d’Israël voit le jour. Des troubles éclatent au Maroc qui feront plus de 40 victimes juives. Ces émeutes provoquent le début de l’émigration vers Israël.
http://www.bladi.net/492-l-histoire-des ... e=histoire
1951
Attentat contre la synagogue – à Bagdad - IRAK
Au début du vingtième siècle, au Yémen, eût lieu la mise en pratique de la loi islamique prônant l'islamisation forcée des orphelins. (16.000 yéménites émigrèrent de 1919 à 1948 en Israël) - Les juifs du Najran, Arabie Saoudite, se joignirent à eux.
Pour le Tritl, saccage de Fès en 1912, cliquez sur le lien
http://www.dafina.net/tritl_emeutes_fez.htm
MA LISTE NE COMPREND QUE LES JUIFS
Re: Du judaïsme
Des musulmans de France auraient commis des exactions en France ? Je ne le crois pas.
Re: Du judaïsme
LA BOMBE : LE VERSET DU [CORAN 5 ] EST UN VIL PLAGIAT DU TALMUD DE BABYLONE, SANHÉDRIN 37A, PAGE 162.
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Il faut rappeler que le Talmud est un recueil de commentaires et de discussions de grands rabbins qui dissertent sur le sens de la Torah et sur ses lois. Ce n'est donc pas un livre divin pour les Juifs, mais une simple exégèse compilée par de grands maîtres Rabbins... Plagié sur un livre qui n'est pas de Dieu, mais des rabbins, c'est le summum de l'idiotie de l'Auteur du Coran
.
****************
.
Voilà ce que Mahomet a copié lorsqu'il prétendait être dans sa grotte en présence de l'ange Gabriel ! Eh oui ! L'imposture de l'islam se découvre de jour en jour. Cela annonce le début de la fin de l'islam, pour les musulmans qui raisonnent.
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Le Talmud de Babylone date du 6ème siècle, tandis que le Coran est du 7ème !
.
CONTEXTE ET ANALYSE PAR MARC VIGNET
Non seulement le Coran est partiellement un plagiat du Talmud de Babylone, mais en plus, il a été mal recopié, regardez les deux passages respectifs, premièrement le Talmud de Babylone, Sanhédrin, 37a :
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« En revanche, dans un procès capital, le sang de celui qui aura été exécuté à tort et le sang de toute la descendance qu’il aurait pu avoir jusqu’à la fin des temps retombent sur celui qui est responsable de sa mort. C’est ce qui apparaît du récit biblique du meurtre d’Abel par son frère Caïn, puisqu’il est écrit : « Les sangs de ton frère crient ». Il n’est pas dit : « Le sang de ton frère » mais « les sangs de ton frère » - son sang et celui de sa descendance. Autre explication : Pourquoi « Les sangs de ton frère » ? Parce que le sang d’Abel n’était pas resté sur place mais avait coulé alentour sur le bois et les pierres.
.
C’est pour cela, disait-on encore aux témoins, que l’homme a été créé seul, pour t’enseigner que quiconque anéantit une âme d’Israël, l’Écriture lui en tient compte comme s’il avait anéanti tout un univers. Et quiconque fait subsister une âme d’Israël, l’Écriture le lui compte comme s’il avait fait subsister tout un univers. C’est aussi pour assurer la paix entre les hommes – afin que personne ne dise à un autre : Mon père était plus grand que le tien. Et encore, pour que les hérétiques ne puissent prétendre que le ciel est peuplé de nombreuses divinités ayant créé, chacune, un autre homme.
.
Et enfin pour proclamer la grandeur du Saint béni soit-Il. Parce qu’une personne frappe plusieurs monnaies avec un seul sceau – et toutes se ressemblent. Mais le Roi des rois, le Saint béni soit-Il frappe chaque individu avec le sceau du premier homme et pourtant aucun ne ressemble à l’autre. C’est pourquoi, poursuivaient les juges, en s’adressant toujours aux témoins, chacun est tenu de se dire : « Le monde a été créé pour moi » (Talmud de Babylone : Sanhédrin, 37a).
.
MAINTENANT LE PASSAGE DU CORAN, EXTRAIT DE LA SOURATE AL-MAIIDA :
.
27. « Et raconte-leur en toute vérité l'histoire des deux fils d'Adam. Les deux offrirent des sacrifices; celui de l'un fut accepté et celui de l'autre ne le fut pas. Celui-ci dit : + Je te tuerai sûrement +. + Allah n'accepte, dit l'autre, que de la part des pieux + ».
28. « Si tu étends vers moi ta main pour me tuer, moi, je n'étendrai pas vers toi ma main pour te tuer : Car je crains Allah, le Seigneur de l'Univers ».
29. « Je veux que tu partes avec le péché de m'avoir tué et avec ton propre péché : alors tu seras du nombre des gens du Feu. Telle est la récompense des injustes ».
30. « Son âme l'incita à tuer son frère. Il le tua donc et devint ainsi du nombre des perdants ».
31. « Puis Allah envoya un corbeau qui se mit à gratter la terre pour lui montrer comment ensevelir le cadavre de son frère. Il dit : + Malheur à moi! Suis-je incapable d'être, comme ce corbeau, à même d'ensevelir le cadavre de mon frère ? +" Il devint alors du nombre de ceux que ronge le remords ».
32. « C'est pourquoi Nous avons prescrit pour les Enfants d'Israël que quiconque tuerait une personne non coupable d'un meurtre ou d'une corruption sur la terre, c'est comme s'il avait tué tous les hommes. Et quiconque lui fait don de la vie, c'est comme s'il faisait don de la vie à tous les hommes. En effet Nos messagers sont venus à eux avec les preuves. Et puis voilà, qu'en dépit de cela, beaucoup d'entre eux se mettent à commettre des excès sur la terre ».
.
Le passage du Talmud est net et précis, il parle d'un procès et d'une éventuelle condamnation à mort, si les juges font une erreur, ils prennent le risque de priver à l'éventuelle descendance du condamné de tout simplement exister, d'où la destruction de tout un univers.
.
Les copieurs coraniques n'ont pas compris ce passage, d'ailleurs les savants musulmans non plus, ils ne le pouvaient qu'en prenant le Talmud, le passage du Coran n'est pas compréhensible en l'état car mal recopié.
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NOTE :
Un énorme merci également à Marc Vignet qui a pris ces photos à la bibliothèque municipale et nous permet de lire ce passage en français.
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Source : L'Islamophobie expliquée.
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Il faut rappeler que le Talmud est un recueil de commentaires et de discussions de grands rabbins qui dissertent sur le sens de la Torah et sur ses lois. Ce n'est donc pas un livre divin pour les Juifs, mais une simple exégèse compilée par de grands maîtres Rabbins... Plagié sur un livre qui n'est pas de Dieu, mais des rabbins, c'est le summum de l'idiotie de l'Auteur du Coran
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Voilà ce que Mahomet a copié lorsqu'il prétendait être dans sa grotte en présence de l'ange Gabriel ! Eh oui ! L'imposture de l'islam se découvre de jour en jour. Cela annonce le début de la fin de l'islam, pour les musulmans qui raisonnent.
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Le Talmud de Babylone date du 6ème siècle, tandis que le Coran est du 7ème !
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CONTEXTE ET ANALYSE PAR MARC VIGNET
Non seulement le Coran est partiellement un plagiat du Talmud de Babylone, mais en plus, il a été mal recopié, regardez les deux passages respectifs, premièrement le Talmud de Babylone, Sanhédrin, 37a :
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« En revanche, dans un procès capital, le sang de celui qui aura été exécuté à tort et le sang de toute la descendance qu’il aurait pu avoir jusqu’à la fin des temps retombent sur celui qui est responsable de sa mort. C’est ce qui apparaît du récit biblique du meurtre d’Abel par son frère Caïn, puisqu’il est écrit : « Les sangs de ton frère crient ». Il n’est pas dit : « Le sang de ton frère » mais « les sangs de ton frère » - son sang et celui de sa descendance. Autre explication : Pourquoi « Les sangs de ton frère » ? Parce que le sang d’Abel n’était pas resté sur place mais avait coulé alentour sur le bois et les pierres.
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C’est pour cela, disait-on encore aux témoins, que l’homme a été créé seul, pour t’enseigner que quiconque anéantit une âme d’Israël, l’Écriture lui en tient compte comme s’il avait anéanti tout un univers. Et quiconque fait subsister une âme d’Israël, l’Écriture le lui compte comme s’il avait fait subsister tout un univers. C’est aussi pour assurer la paix entre les hommes – afin que personne ne dise à un autre : Mon père était plus grand que le tien. Et encore, pour que les hérétiques ne puissent prétendre que le ciel est peuplé de nombreuses divinités ayant créé, chacune, un autre homme.
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Et enfin pour proclamer la grandeur du Saint béni soit-Il. Parce qu’une personne frappe plusieurs monnaies avec un seul sceau – et toutes se ressemblent. Mais le Roi des rois, le Saint béni soit-Il frappe chaque individu avec le sceau du premier homme et pourtant aucun ne ressemble à l’autre. C’est pourquoi, poursuivaient les juges, en s’adressant toujours aux témoins, chacun est tenu de se dire : « Le monde a été créé pour moi » (Talmud de Babylone : Sanhédrin, 37a).
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MAINTENANT LE PASSAGE DU CORAN, EXTRAIT DE LA SOURATE AL-MAIIDA :
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27. « Et raconte-leur en toute vérité l'histoire des deux fils d'Adam. Les deux offrirent des sacrifices; celui de l'un fut accepté et celui de l'autre ne le fut pas. Celui-ci dit : + Je te tuerai sûrement +. + Allah n'accepte, dit l'autre, que de la part des pieux + ».
28. « Si tu étends vers moi ta main pour me tuer, moi, je n'étendrai pas vers toi ma main pour te tuer : Car je crains Allah, le Seigneur de l'Univers ».
29. « Je veux que tu partes avec le péché de m'avoir tué et avec ton propre péché : alors tu seras du nombre des gens du Feu. Telle est la récompense des injustes ».
30. « Son âme l'incita à tuer son frère. Il le tua donc et devint ainsi du nombre des perdants ».
31. « Puis Allah envoya un corbeau qui se mit à gratter la terre pour lui montrer comment ensevelir le cadavre de son frère. Il dit : + Malheur à moi! Suis-je incapable d'être, comme ce corbeau, à même d'ensevelir le cadavre de mon frère ? +" Il devint alors du nombre de ceux que ronge le remords ».
32. « C'est pourquoi Nous avons prescrit pour les Enfants d'Israël que quiconque tuerait une personne non coupable d'un meurtre ou d'une corruption sur la terre, c'est comme s'il avait tué tous les hommes. Et quiconque lui fait don de la vie, c'est comme s'il faisait don de la vie à tous les hommes. En effet Nos messagers sont venus à eux avec les preuves. Et puis voilà, qu'en dépit de cela, beaucoup d'entre eux se mettent à commettre des excès sur la terre ».
.
Le passage du Talmud est net et précis, il parle d'un procès et d'une éventuelle condamnation à mort, si les juges font une erreur, ils prennent le risque de priver à l'éventuelle descendance du condamné de tout simplement exister, d'où la destruction de tout un univers.
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Les copieurs coraniques n'ont pas compris ce passage, d'ailleurs les savants musulmans non plus, ils ne le pouvaient qu'en prenant le Talmud, le passage du Coran n'est pas compréhensible en l'état car mal recopié.
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NOTE :
Un énorme merci également à Marc Vignet qui a pris ces photos à la bibliothèque municipale et nous permet de lire ce passage en français.
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Source : L'Islamophobie expliquée.
Re: Du judaïsme
La Torah interdit formellement le vol, d'un juif ou d'un non-juif.
Il n'y a pas de différence !
Suite aux montages grossiers qui circulent sur les réseaux sociaux, voici un message clair et net du Rav Ron Chaya.
Le Rav demande à chacun et chacune de partager et de faire partager au maximum cette vidéo afin de rétablir l'honneur de la Torah.
Ne nous trompons pas, en diffamant le Rav Ron Chaya, c'est le peuple juif qui est visé.
Merci de prendre quelques minutes et de transmettre ce message important à tous vos contacts
https://youtu.be/6SbTV3qd8wg
Il n'y a pas de différence !
Suite aux montages grossiers qui circulent sur les réseaux sociaux, voici un message clair et net du Rav Ron Chaya.
Le Rav demande à chacun et chacune de partager et de faire partager au maximum cette vidéo afin de rétablir l'honneur de la Torah.
Ne nous trompons pas, en diffamant le Rav Ron Chaya, c'est le peuple juif qui est visé.
Merci de prendre quelques minutes et de transmettre ce message important à tous vos contacts
https://youtu.be/6SbTV3qd8wg
Re: Du judaïsme
Kristale a écrit:Tu souffres quand tu entends l'appel à la prière ?
ah bon , vous n'êtes pas libre de prier , quand vous le souhaitez ??? , pour ma par je suis en relation avec la sainteté du Père Eternel dans les Cieux 24 heure sur 24 et 7 jours sur 7 , vue que je le demande en prière , et me demande en prière , donc Dieu Père prie que je reste à son écoute ! et donc dans la vie Eternel on ne tien pas compte à l'appel à la prière !
Frère Barnabé- Vénérable
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Age : 61
Localisation : saint Etienne
Re: Du judaïsme
Al-Aqsa ou la chute d'Ichmaël - Rav Ron Chaya
Jérusalem ou la chute de l'islam
http://www.torah-box.com/question/que...
http://www.leava.fr/faire-un-don
http://www.sefarim.fr/Hagiographes_Ps...
http://www.haaretz.com/israel-news/.p...
http://www.torah-box.com/vie-juive/fe...
Jérusalem ou la chute de l'islam
http://www.torah-box.com/question/que...
http://www.leava.fr/faire-un-don
http://www.sefarim.fr/Hagiographes_Ps...
http://www.haaretz.com/israel-news/.p...
http://www.torah-box.com/vie-juive/fe...
https://youtu.be/_mHSM-QFIko
Re: Du judaïsme
TORAH & Spiritualité
Symbolisme et Talmud
L’Étoile de David – La Maguen David
L’étoile de David (en hébreu Maguen David ou « bouclier de David ») est un symbole mystique qui est constitué de deux triangles équilatéraux superposés, l’un dirigé vers le haut, l’autre vers le bas. Ces deux triangles forment une étoile à six branches que l’on appelle également hexagramme.
etoile-de-david-L’étoile de David est aujourd’hui le symbole du judaïsme et elle est connue comme étant l’étoile du peuple juif.
Bien qu’on le retrouve dans la synagogue de Capharnaüm (IIIème siècle de notre ère), ce symbole n’était pas à l’origine un motif décoratif juif. L’étoile de David est représentée par exemple dans des pavements de mosaïque romains et dans des églises chrétiennes du Moyen-Âge. Elle n’est cependant pas mentionnée dans la littérature rabbinique et on ne la retrouve pas non plus dans la décoration juive contemporaine.
A la fondation de l’état d’Israël, l’étoile de David représentée sur le drapeau est alors devenu également le symbole d’Israël. On a récemment retrouvé une représentation de l’étoile de David sur un tombeau juif dans la ville de Taranto dans le sud de l’Italie, tombeau datant du début du IIIème siècle de notre ère.
Sa première apparition dans les écrits juifs remonte au milieu du XIIème siècle. C’est l’ouvrage Eshkol HaKofer écrit par le Karaite Judah Hadassi qui la mentionne pour la première fois dans le chapitre 242 : «Sept noms d’anges précèdent la mezouza : Michaël, Gabriel, etc… le Tétragramme Te protège ! Et de la même manière, le symbole appelé «le Bouclier de David» se trouve derrière le nom de chaque ange».
L’étoile de David était alors à l’époque un symbole magique protecteur représenté sur les amulettes.
Sur les papyrus de l’antiquité, des pentagrammes, des étoiles ainsi que d’autres symboles sont souvent représentés sur les amulettes. Les appellations juives de Dieu étaient inscrites sur ces amulettes qui étaient utilisées pour se protéger de la fièvre et d’autres maladies. Il est bien possible que la Kabbale ait pris le symbole des Templiers.
La Kabbale utilise ce symbole pour la représentation des dix sephiroth (forces de la volonté Divine) sur les amulettes.
Une Bible manuscrite datant de 1307 et appartenant au Rabbi Yossef Bar Yehuda Ben Marvas de Tolède en Espagne est décorée d’une étoile de David. Son appellation «Bouclier de David» lui a été d’ailleurs donnée en vertu de ses présumés pouvoirs protecteurs.
A l’origine, l’hexagramme a aussi été utilisé comme ornement et élément décoratif dans les synagogues. Il en est de même également dans les cathédrales de Brandenburg et Stendal et à l’église Marktkirche à Hanovre.
En 1354, Charles IV, empereur germanique et roi de Bohème, octroya aux juifs de Prague une bannière de couleur rouge sur laquelle était représentée une étoile à six branches qui fut appelée plus tard Maguen David ou «Bouclier de David».
En 1592, Mordekhai Maizel, notable juif de la ville, fut autorisé à hisser sur sa synagogue un «drapeau du Roi David semblable à celui qui se trouvait dans la Grande Synagogue».
En 1648, les juifs de Prague obtinrent de nouveau une bannière, en reconnaissance de leur contribution à la défense de la ville contre les envahisseurs suédois. De couleur rouge, le drapeau comportait un bouclier de David jaune avec en son centre l’étoile de Suède.
En Hongrie, les juifs de Ofen (Budapest) avaient déjà en 1460 accueilli le roi Mathias Corvin avec un drapeau rouge où figuraient deux boucliers de David et deux étoiles.
Selon la tradition kabbalistique, l’étoile de David constitue un symbole religieux juif lié à la rédemption et la venue du Messie qui serait de lignée davidique. Le prophète Isaïe propose six définitions des honneurs à rendre au Messie, correspondant aux six branches de l’étoile de David : «Or un rameau sortira de la souche de Jessé, un rejeton jaillira de ses racines. Sur lui reposera l’Esprit du Seigneur, esprit de sagesse (1) et d’intelligence (2), esprit de conseil (3) et de force (4), esprit de connaissance (5) et de crainte du Seigneur (6)» (Isaïe 11:1-2).
En outre, l’étoile de David indique les quatre points cardinaux : le nord, le sud, l’est et l’ouest, le paradis au sommet et la terre ici-bas, Dieu régissant l’ensemble.
La forme de l’étoile représente un hexagramme, symbole qui contient également plusieurs significations dans diverses croyances.
En dehors du judaïsme, l’hexagramme était et reste encore un symbole fréquemment utilisé pour représenter les puissances occultes. Certains groupes juifs orthodoxes rejettent d’ailleurs l’utilisation de l’hexagramme à cause de l’association qu’on en fait au monde de la magie et à l’occultisme.
Des groupes ultra-orthodoxes tels que le mouvement Neturei Kartarejettent également ce symbole parce qu’il représente le sionisme. L’étoile de David demeure pourtant un symbole ésotérique puissant du peuple juif et de la Kabbale.
De nombreuses synagogues modernes orthodoxes ainsi que des synagogues d’autres mouvements juifs ont un drapeau israélien avec l’étoile de David qui est mis en évidence près de l’arche contenant les rouleaux de la Torah. On retrouve aussi en Europe l’étoile de David représentée sur des tombeaux de juifs religieux remontant à plusieurs centaines d’années. Cette étoile était effectivement déjà acceptée comme symbole universel du peuple juif.
Certains chercheurs pensent que l’étoile de David représente la carte astrologique au moment de la naissance de David ou au moment où il a été consacré roi par l’onction. Connue également en tant que «Etoile du Roi» dans les cercles astrologiques, l’étoile de David est également sans aucun doute un puissant symbole astrologique du zoroastrisme.
etoile-de-david-symbole-islam-date-1240Piece d’un royaume musulman 1240 après Jc
étoile de david vishnuMatsya est Vishnu quand il est dans la constellation des Poissons
Selon la théorie du professeur Gershom Sholem, l’origine de l’étoile de David se trouverait dans les écrits d’Aristote qui disposait des triangles dans différentes positions pour représenter les différents éléments basiques. Les triangles superposés étaient alors la combinaison de ces éléments.
Après les écrits d’Aristote, on retrouve ces symboles dans les premiers ouvrages littéraires arabes préislamiques. Les arabes portaient beaucoup d’intérêt à l’arithmétique. L’occultisme ainsi que les légendes démoniaques les intéressaient également. D’ailleurs, l’un des personnages les plus importants que l’on retrouve dans les premiers ouvrages littéraires arabes est le Roi Salomon (Suliman).
armenie-maguen-david1Tombe en marbre du Grand Prince Hasan Jalal Vahtangian (Arménie) (1214-1261)
Le Talmud babylonien raconte une légende où le Roi Salomon est kidnappé par Asmodée, le roi des démons. Il réussit à enlever le roi en lui dérobant son «sceau de Salomon» (en arabe «Hattam Soliman»), bien que selon le Talmud ce sceau n’était qu’une simple pièce de métal avec inscrit dessus le nom de Dieu en lettres hébraïques. Il est possible que l’apparence du sceau ait été modifiée dans les légendes arabes. On retrouve le symbole pour la première fois dans les textes juifs dans les écrits kabbalistiques orientaux, il se peut donc que le pentagramme ait été modifié sous l’influence arabe.
Parmi les premiers symboles juifs, on trouve le Shofar («corne de bélier»), le Lulav (rameau de palmier) et la ménorah (chandelier à sept branches), mais l’hexagramme ne figure pas parmi les premiers symboles nationaux et religieux du judaïsme.
Source : http://dafina.net/
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Symbolisme et Talmud
L’Étoile de David – La Maguen David
L’étoile de David (en hébreu Maguen David ou « bouclier de David ») est un symbole mystique qui est constitué de deux triangles équilatéraux superposés, l’un dirigé vers le haut, l’autre vers le bas. Ces deux triangles forment une étoile à six branches que l’on appelle également hexagramme.
etoile-de-david-L’étoile de David est aujourd’hui le symbole du judaïsme et elle est connue comme étant l’étoile du peuple juif.
Bien qu’on le retrouve dans la synagogue de Capharnaüm (IIIème siècle de notre ère), ce symbole n’était pas à l’origine un motif décoratif juif. L’étoile de David est représentée par exemple dans des pavements de mosaïque romains et dans des églises chrétiennes du Moyen-Âge. Elle n’est cependant pas mentionnée dans la littérature rabbinique et on ne la retrouve pas non plus dans la décoration juive contemporaine.
A la fondation de l’état d’Israël, l’étoile de David représentée sur le drapeau est alors devenu également le symbole d’Israël. On a récemment retrouvé une représentation de l’étoile de David sur un tombeau juif dans la ville de Taranto dans le sud de l’Italie, tombeau datant du début du IIIème siècle de notre ère.
Sa première apparition dans les écrits juifs remonte au milieu du XIIème siècle. C’est l’ouvrage Eshkol HaKofer écrit par le Karaite Judah Hadassi qui la mentionne pour la première fois dans le chapitre 242 : «Sept noms d’anges précèdent la mezouza : Michaël, Gabriel, etc… le Tétragramme Te protège ! Et de la même manière, le symbole appelé «le Bouclier de David» se trouve derrière le nom de chaque ange».
L’étoile de David était alors à l’époque un symbole magique protecteur représenté sur les amulettes.
Sur les papyrus de l’antiquité, des pentagrammes, des étoiles ainsi que d’autres symboles sont souvent représentés sur les amulettes. Les appellations juives de Dieu étaient inscrites sur ces amulettes qui étaient utilisées pour se protéger de la fièvre et d’autres maladies. Il est bien possible que la Kabbale ait pris le symbole des Templiers.
La Kabbale utilise ce symbole pour la représentation des dix sephiroth (forces de la volonté Divine) sur les amulettes.
Une Bible manuscrite datant de 1307 et appartenant au Rabbi Yossef Bar Yehuda Ben Marvas de Tolède en Espagne est décorée d’une étoile de David. Son appellation «Bouclier de David» lui a été d’ailleurs donnée en vertu de ses présumés pouvoirs protecteurs.
A l’origine, l’hexagramme a aussi été utilisé comme ornement et élément décoratif dans les synagogues. Il en est de même également dans les cathédrales de Brandenburg et Stendal et à l’église Marktkirche à Hanovre.
En 1354, Charles IV, empereur germanique et roi de Bohème, octroya aux juifs de Prague une bannière de couleur rouge sur laquelle était représentée une étoile à six branches qui fut appelée plus tard Maguen David ou «Bouclier de David».
En 1592, Mordekhai Maizel, notable juif de la ville, fut autorisé à hisser sur sa synagogue un «drapeau du Roi David semblable à celui qui se trouvait dans la Grande Synagogue».
En 1648, les juifs de Prague obtinrent de nouveau une bannière, en reconnaissance de leur contribution à la défense de la ville contre les envahisseurs suédois. De couleur rouge, le drapeau comportait un bouclier de David jaune avec en son centre l’étoile de Suède.
En Hongrie, les juifs de Ofen (Budapest) avaient déjà en 1460 accueilli le roi Mathias Corvin avec un drapeau rouge où figuraient deux boucliers de David et deux étoiles.
Selon la tradition kabbalistique, l’étoile de David constitue un symbole religieux juif lié à la rédemption et la venue du Messie qui serait de lignée davidique. Le prophète Isaïe propose six définitions des honneurs à rendre au Messie, correspondant aux six branches de l’étoile de David : «Or un rameau sortira de la souche de Jessé, un rejeton jaillira de ses racines. Sur lui reposera l’Esprit du Seigneur, esprit de sagesse (1) et d’intelligence (2), esprit de conseil (3) et de force (4), esprit de connaissance (5) et de crainte du Seigneur (6)» (Isaïe 11:1-2).
En outre, l’étoile de David indique les quatre points cardinaux : le nord, le sud, l’est et l’ouest, le paradis au sommet et la terre ici-bas, Dieu régissant l’ensemble.
La forme de l’étoile représente un hexagramme, symbole qui contient également plusieurs significations dans diverses croyances.
En dehors du judaïsme, l’hexagramme était et reste encore un symbole fréquemment utilisé pour représenter les puissances occultes. Certains groupes juifs orthodoxes rejettent d’ailleurs l’utilisation de l’hexagramme à cause de l’association qu’on en fait au monde de la magie et à l’occultisme.
Des groupes ultra-orthodoxes tels que le mouvement Neturei Kartarejettent également ce symbole parce qu’il représente le sionisme. L’étoile de David demeure pourtant un symbole ésotérique puissant du peuple juif et de la Kabbale.
De nombreuses synagogues modernes orthodoxes ainsi que des synagogues d’autres mouvements juifs ont un drapeau israélien avec l’étoile de David qui est mis en évidence près de l’arche contenant les rouleaux de la Torah. On retrouve aussi en Europe l’étoile de David représentée sur des tombeaux de juifs religieux remontant à plusieurs centaines d’années. Cette étoile était effectivement déjà acceptée comme symbole universel du peuple juif.
Certains chercheurs pensent que l’étoile de David représente la carte astrologique au moment de la naissance de David ou au moment où il a été consacré roi par l’onction. Connue également en tant que «Etoile du Roi» dans les cercles astrologiques, l’étoile de David est également sans aucun doute un puissant symbole astrologique du zoroastrisme.
etoile-de-david-symbole-islam-date-1240Piece d’un royaume musulman 1240 après Jc
étoile de david vishnuMatsya est Vishnu quand il est dans la constellation des Poissons
Selon la théorie du professeur Gershom Sholem, l’origine de l’étoile de David se trouverait dans les écrits d’Aristote qui disposait des triangles dans différentes positions pour représenter les différents éléments basiques. Les triangles superposés étaient alors la combinaison de ces éléments.
Après les écrits d’Aristote, on retrouve ces symboles dans les premiers ouvrages littéraires arabes préislamiques. Les arabes portaient beaucoup d’intérêt à l’arithmétique. L’occultisme ainsi que les légendes démoniaques les intéressaient également. D’ailleurs, l’un des personnages les plus importants que l’on retrouve dans les premiers ouvrages littéraires arabes est le Roi Salomon (Suliman).
armenie-maguen-david1Tombe en marbre du Grand Prince Hasan Jalal Vahtangian (Arménie) (1214-1261)
Le Talmud babylonien raconte une légende où le Roi Salomon est kidnappé par Asmodée, le roi des démons. Il réussit à enlever le roi en lui dérobant son «sceau de Salomon» (en arabe «Hattam Soliman»), bien que selon le Talmud ce sceau n’était qu’une simple pièce de métal avec inscrit dessus le nom de Dieu en lettres hébraïques. Il est possible que l’apparence du sceau ait été modifiée dans les légendes arabes. On retrouve le symbole pour la première fois dans les textes juifs dans les écrits kabbalistiques orientaux, il se peut donc que le pentagramme ait été modifié sous l’influence arabe.
Parmi les premiers symboles juifs, on trouve le Shofar («corne de bélier»), le Lulav (rameau de palmier) et la ménorah (chandelier à sept branches), mais l’hexagramme ne figure pas parmi les premiers symboles nationaux et religieux du judaïsme.
Source : http://dafina.net/
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Re: Du judaïsme
maguen dans le ciel ça vaut un coup d'œil!
https://youtu.be/VyoXdtYjEuM
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Frère Barnabé- Vénérable
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Re: Du judaïsme
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Puis on clique sur la balise Youtube
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Re: Du judaïsme
Kristale a écrit:Tu souffres quand tu entends l'appel à la prière ?
les appels à la prière dirigé sur la mecque , ne sont pas les mêmes que venant du Ciel sur Israël !
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: Du judaïsme
Les prières, c'est bon pour les gogos qui croient que quelqu'un les écoute quelque part.
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