Pourquoi suivre Jésus ? L’avis de Napoléon…
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Pourquoi suivre Jésus ? L’avis de Napoléon…
Beaucoup, soumis au Père du mensonge, ne veulent pas du Christ, leur Sauveur. Les musulmans en particulier ne veulent pas être chrétiens parce que le Coran leur enseigne que la Foi en la divinité de Jésus est le plus grand des péchés (Coran 4.48). Mais puisque humainement parlant Jésus est un maître de sagesse incomparablement supérieur à Mahomet, pourquoi ne le prendraient-il pas pour maître plutôt que Mahomet ? Le seul fait qu’ils préfèrent Mahomet à Jésus (Lc 23.18-25) ne suffit-il pas à les condamner (Coran 3.55) ? Même Napoléon en a convenu :
« Le plus grand miracle du Christ a été de fonder le royaume de la charité : Lui seul a été jusqu’à élever le cœur de l’homme à des hauteurs inimaginables, à l’annulation du temps ; Lui seul, créant cette immolation, a établi un lien entre le Ciel et la terre. Tous ceux qui croient en Lui, ressentent cet amour extraordinaire, supérieur, surnaturel ; phénomène inexpliqué et impossible à la raison. […] Je connais les hommes et je vous dis que Jésus n’était pas [que] un homme. Les esprits superficiels voient une ressemblance entre le Christ et les fondateurs d’empires, les conquérants et les dieux des autres religions. Cette similitude n’existe pas : entre le christianisme et les autres religions, il y a la distance de l’infini. Tout du Christ m’étonne ; Son esprit me dépasse et Sa volonté me confond. Entre Lui et quoi que ce soit au monde, il n’y a pas de terme possible de comparaison. […] Dans toute autre existence que celle du Christ que d’imperfections, que de vicissitudes ! Quel est le caractère qui ne fléchisse abattu par certains obstacles ? Quel est l’individu qui ne soit modifié par les événements ou par les lieux, et qui ne transige avec les mœurs et les passions, avec quelque nécessité qui le surmonte ? Je défie de citer aucune existence semblable à celle du Christ, exempte de la moindre altération de ce genre, qui soit pure de toutes ces souillures et de ces vicissitudes. […] Qu’Il parle ou qu’Il agisse, Jésus est lumineux, immuable, impassible. Le sublime, dit-on, est un trait de la divinité. […] Jésus ne pactise pas davantage avec les autres faiblesses humaines. Les sens, ces tyrans de l’homme, sont traités par Lui en esclaves faits pour obéir et non pour commander. Les vices sont l’objet de Sa haine implacable. Il en parle en maître à la nature humaine dégradée, en maître courroucé qui exige une expiation. Sa parole tout austère qu’elle est s’insinue dans l’âme comme un air subtil et pur ; la conscience en est pénétrée et silencieusement persuadée. […] Ceux qui examinent les Évangiles ne trouvent rien à critiquer dans Sa vie. Si le titre d’imposteur s’accole facilement au nom de Mahomet, il répugne tellement avec celui du Christ, que je ne crois pas qu’aucun ennemi du christianisme ait jamais osé l’en flétrir ! Et cependant il n’y a pas de milieu : le Christ est un imposteur ou Il est Dieu. […] Il n’y a pas de Dieu dans le Ciel, si un homme a pu concevoir et exécuter, avec plein succès, le dessein gigantesque de dérober pour lui le culte suprême, en usurpant le nom de Dieu. […] Il bâtit Son culte de ses mains, non avec des pierres mais avec des hommes. On s’extasie devant les conquêtes d’Alexandre ! Eh bien, voici un conquérant qui confisque à son profit, qui unit, qui incorpore à Lui-même, non pas une nation, mais l’espèce humaine. Quel miracle ! L’âme humaine avec toutes ses facultés devient une annexe de l’existence du Christ. Et comment ? Par un prodige qui surpasse tout prodige. Il veut l’amour des hommes, c’est-à-dire ce qui est le plus difficile à obtenir : ce qu’un sage demande vainement à quelques amis, une épouse à son époux, un frère à son frère, en un mot le cœur : c’est là ce qu’Il veut pour Lui, Il l’exige absolument, et Il y réussit tout de suite. J’en conclus Sa divinité.
(Napoléon Bonaparte, Conversations sur le Christianisme, Le Rocher, 2014, p.51-53) »
Une autre raison qu’avait Napoléon de glorifier Jésus-Christ, n’était-elle pas, sur le tard de sa vie et dans la retraite forcée de son exil, à l’instar de saint Paul et de tant de grands pécheurs repentis, le miracle de sa propre conversion ?
Merl1- Vénérable
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Re: Pourquoi suivre Jésus ? L’avis de Napoléon…
Quand Napoléon était le champion de l'islam
Bonaparte a multiplié les marques de bienveillance envers la religion musulmane. Un nouveau livre sur la personnalité de l'Empereur revient sur cette fascination méconnue. Par Marc Fourny
Modifié le 25/11/2019 à 08:45 - Publié le 24/11/2019 à 10:49 | Le Point.fr
Le conseil du diwan lui attribua le titre d'Ali-Bonaparte.
Le conseil du diwan lui attribua le titre d’Ali-Bonaparte.
« J'aime mieux la religion de Mahomet, elle est moins ridicule que la nôtre », confia Napoléon au soir de sa vie au baron Gourgaud. Une confession qui fit longtemps gloser sur le réel attrait de Napoléon pour l'islam, même s'il a toujours confessé son appartenance à la religion catholique – sa mère était très pieuse et il assistait encore à la messe lors de son exil à Sainte-Hélène. Mais l'homme a toujours été intéressé par l'islam, comme le développe un chapitre de Napoléon sur le divan, le nouveau livre de Dimitri Casali, grand spécialiste de Bonaparte, qui décortique avec précision la psychologie complexe du personnage. Dès l'adolescence, rappelle-t-il, Napoléon se plonge dans le Coran, et à 20 ans, il écrit une nouvelle s'inspirant de Mahomet, Le Masque prophète, dans laquelle il raconte le destin d'un religieux qui soulève les peuples…
Quand Bonaparte arrive en Égypte pendant l'été 1798, envoyé par le gouvernement du Directoire qui craint désormais cet ambitieux général, il connaît bien la religion du pays à conquérir et se montre d'emblée soucieux de la respecter. Avant même le débarquement, il prévient ses hommes en leur demandant de faire preuve d'ouverture et de tolérance : « Les peuples avec lesquels nous allons vivre sont musulmans, lance-t-il à ses officiers et soldats. Ayez des égards pour leurs imams comme vous en avez eu pour les rabbins et les évêques… » Et dès qu'il met un pied à Alexandrie, il prend soin de rassurer les populations locales, qui vivent sous l'autorité des mamelouks, laissant croire qu'il se fera bientôt mahométan : « On dira que je viens détruire votre religion, ne les croyez pas, proclame-t-il. Réponds que je viens vous restituer vos droits, punir les usurpateurs, et que je respecte (…) Dieu, son prophète et le Coran ».
Ali-Bonaparte
Après avoir brisé les mamelouks du sultan Mourad Bey, il prend sans hésiter les atours d'un despote local, raconte l'historien Dimitri Casali. « Napoléon se met à porter le costume oriental, notamment pour la grande fête du Nil, en août 1798, ce qui amuse beaucoup son état-major, notamment ses généraux Murat et Lannes qui éclatent de rire… Le peuple l'appelle rapidement “le sultan El-Kébir”, un surnom qui lui restera longtemps, et le conseil du diwan lui attribue le titre d'Ali-Bonaparte. Lui-même se fait appeler “digne enfant du Prophète” et “favori d'Allah”… » Son attachement aux rites locaux ira même assez loin puisqu'en juillet 1799, le général français proclame quasiment son adhésion à la foi musulmane avec ce qui ressemble à une shahada, une véritable profession de foi : « Il n'y a pas d'autres dieux que Dieu et Mahomet est son prophète ! » affirme-t-il devant les populations locales.
Comment interpréter ces actes ? La shahada se doit d'être sincère pour être effective, et sur ce point, Bonaparte a fait plus preuve d'opportunisme que de conviction… « C'est le prince des caméléons, le génie de la com, rappelle Dimitri Casali. On est alors à la veille de la bataille d'Aboukir, le général a plus que besoin du ralliement et de la confiance des locaux pour faire face aux forces ottomanes qui attaquent l'Égypte, un combat qu'il finira par emporter haut la main. » Quand il revient en France, pour confisquer le pouvoir, il montrera le même pragmatisme pour rallier à lui les catholiques en signant le concordat avec le pape Pie VII en 1801, après les exactions révolutionnaires, puis en se faisant sacrer à Notre-Dame, toujours en présence du pape. Mais quand ce dernier finira par l'excommunier, il n'hésitera pas à l'enfermer pendant cinq ans, preuve que la politique a toujours pris le pas sur la religion. Selon lui, elle n'est qu'un moyen pour asseoir son pouvoir et garantir l'obéissance des citoyens : « Une société sans religion est comme un vaisseau sans boussole », disait-il.
La France était catholique, va pour le catholicisme… Mais s'il avait conquis l'Orient et l'Inde, comme il en rêvait, il aurait tout aussi bien adopté d'autres dieux pour consolider son trône, en évitant tout fanatisme, qu'il détestait en digne héritier des Lumières – il supprima l'Inquisition en Espagne. « C'est en me faisant catholique que j'ai fini la guerre de Vendée, déclarait-il en 1800, en me faisant musulman que je me suis établi en Égypte, en me faisant ultramontain que j'ai gagné les esprits en Italie. Si je gouvernais le peuple juif, je rétablirais le temple de Salomon… » On ne peut être plus clair.
Bonaparte a multiplié les marques de bienveillance envers la religion musulmane. Un nouveau livre sur la personnalité de l'Empereur revient sur cette fascination méconnue. Par Marc Fourny
Modifié le 25/11/2019 à 08:45 - Publié le 24/11/2019 à 10:49 | Le Point.fr
Le conseil du diwan lui attribua le titre d'Ali-Bonaparte.
Le conseil du diwan lui attribua le titre d’Ali-Bonaparte.
« J'aime mieux la religion de Mahomet, elle est moins ridicule que la nôtre », confia Napoléon au soir de sa vie au baron Gourgaud. Une confession qui fit longtemps gloser sur le réel attrait de Napoléon pour l'islam, même s'il a toujours confessé son appartenance à la religion catholique – sa mère était très pieuse et il assistait encore à la messe lors de son exil à Sainte-Hélène. Mais l'homme a toujours été intéressé par l'islam, comme le développe un chapitre de Napoléon sur le divan, le nouveau livre de Dimitri Casali, grand spécialiste de Bonaparte, qui décortique avec précision la psychologie complexe du personnage. Dès l'adolescence, rappelle-t-il, Napoléon se plonge dans le Coran, et à 20 ans, il écrit une nouvelle s'inspirant de Mahomet, Le Masque prophète, dans laquelle il raconte le destin d'un religieux qui soulève les peuples…
Quand Bonaparte arrive en Égypte pendant l'été 1798, envoyé par le gouvernement du Directoire qui craint désormais cet ambitieux général, il connaît bien la religion du pays à conquérir et se montre d'emblée soucieux de la respecter. Avant même le débarquement, il prévient ses hommes en leur demandant de faire preuve d'ouverture et de tolérance : « Les peuples avec lesquels nous allons vivre sont musulmans, lance-t-il à ses officiers et soldats. Ayez des égards pour leurs imams comme vous en avez eu pour les rabbins et les évêques… » Et dès qu'il met un pied à Alexandrie, il prend soin de rassurer les populations locales, qui vivent sous l'autorité des mamelouks, laissant croire qu'il se fera bientôt mahométan : « On dira que je viens détruire votre religion, ne les croyez pas, proclame-t-il. Réponds que je viens vous restituer vos droits, punir les usurpateurs, et que je respecte (…) Dieu, son prophète et le Coran ».
Ali-Bonaparte
Après avoir brisé les mamelouks du sultan Mourad Bey, il prend sans hésiter les atours d'un despote local, raconte l'historien Dimitri Casali. « Napoléon se met à porter le costume oriental, notamment pour la grande fête du Nil, en août 1798, ce qui amuse beaucoup son état-major, notamment ses généraux Murat et Lannes qui éclatent de rire… Le peuple l'appelle rapidement “le sultan El-Kébir”, un surnom qui lui restera longtemps, et le conseil du diwan lui attribue le titre d'Ali-Bonaparte. Lui-même se fait appeler “digne enfant du Prophète” et “favori d'Allah”… » Son attachement aux rites locaux ira même assez loin puisqu'en juillet 1799, le général français proclame quasiment son adhésion à la foi musulmane avec ce qui ressemble à une shahada, une véritable profession de foi : « Il n'y a pas d'autres dieux que Dieu et Mahomet est son prophète ! » affirme-t-il devant les populations locales.
Comment interpréter ces actes ? La shahada se doit d'être sincère pour être effective, et sur ce point, Bonaparte a fait plus preuve d'opportunisme que de conviction… « C'est le prince des caméléons, le génie de la com, rappelle Dimitri Casali. On est alors à la veille de la bataille d'Aboukir, le général a plus que besoin du ralliement et de la confiance des locaux pour faire face aux forces ottomanes qui attaquent l'Égypte, un combat qu'il finira par emporter haut la main. » Quand il revient en France, pour confisquer le pouvoir, il montrera le même pragmatisme pour rallier à lui les catholiques en signant le concordat avec le pape Pie VII en 1801, après les exactions révolutionnaires, puis en se faisant sacrer à Notre-Dame, toujours en présence du pape. Mais quand ce dernier finira par l'excommunier, il n'hésitera pas à l'enfermer pendant cinq ans, preuve que la politique a toujours pris le pas sur la religion. Selon lui, elle n'est qu'un moyen pour asseoir son pouvoir et garantir l'obéissance des citoyens : « Une société sans religion est comme un vaisseau sans boussole », disait-il.
La France était catholique, va pour le catholicisme… Mais s'il avait conquis l'Orient et l'Inde, comme il en rêvait, il aurait tout aussi bien adopté d'autres dieux pour consolider son trône, en évitant tout fanatisme, qu'il détestait en digne héritier des Lumières – il supprima l'Inquisition en Espagne. « C'est en me faisant catholique que j'ai fini la guerre de Vendée, déclarait-il en 1800, en me faisant musulman que je me suis établi en Égypte, en me faisant ultramontain que j'ai gagné les esprits en Italie. Si je gouvernais le peuple juif, je rétablirais le temple de Salomon… » On ne peut être plus clair.
Re: Pourquoi suivre Jésus ? L’avis de Napoléon…
Au Point, on raconte que Napoléon aimait l’islam et s’apprêtait à prononcer la chahada…
. Si vous n’avez pas compris que les médias sont, en majorité, islamophiles et prêts à se soumettre, il suffit de lire cet article de Marc Fourny : à partir d’un chapitre du livre de Dimitri Casalis (« Napoléon sur le divan »), le journaliste du Point en déduit que le futur empereur « était le champion de l’islam », qu’il exigeait de ses soldats « ouverture et tolérance », et qu’ « Ali-Bonaparte » deviendrait bientôt mahométan en prononçant (presque) la chahada.
.
C’est, d’une part, confondre le fougueux général Bonaparte avec le Premier consul pragmatique puis l’empereur conquérant. Et que d’autre part, Napoléon n’a jamais renié sa religion – le catholicisme – dans un pays où l’islam et les musulmans n’existaient pas.
.
Ensuite, c’est oublier que les troupes napoléoniennes n’ont pas hésité à massacrer la garnison assiégée de Jaffa et ses habitants musulmans.
.
Enfin, dans l’hypothèse délirante où Napoléon reviendrait aujourd’hui au pouvoir, il aurait tôt fait de mettre au pas l’islam et ses adeptes.
.
Conclusion : Le Point et Marc Fourny prennent leurs vessies pour des lanternes et Macron n’a rien d’un Napoléon.
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Quand Napoléon était le champion de l’islam Bonaparte a multiplié les marques de bienveillance envers la religion musulmane. Un nouveau livre sur la personnalité de l’Empereur revient sur cette fascination méconnue.
Par Marc Fourny
« J’aime mieux la religion de Mahomet, elle est moins ridicule que la nôtre », confia Napoléon au soir de sa vie au baron Gourgaud…
Quand Bonaparte arrive en Égypte pendant l’été 1798, envoyé par le gouvernement du Directoire qui craint désormais cet ambitieux général, il connaît bien la religion du pays à conquérir et se montre d’emblée soucieux de la respecter.
Avant même le débarquement, il prévient ses hommes en leur demandant de faire preuve d’ouverture et de tolérance : « Les peuples avec lesquels nous allons vivre sont musulmans, lance-t-il à ses officiers et soldats.
Ayez des égards pour leurs imams comme vous en avez eu pour les rabbins et les évêques… »
Et dès qu’il met un pied à Alexandrie, il prend soin de rassurer les populations locales, qui vivent sous l’autorité des mamelouks, laissant croire qu’il se fera bientôt mahométan :
« On dira que je viens détruire votre religion, ne les croyez pas, proclame-t-il. Réponds que je viens vous restituer vos droits, punir les usurpateurs, et que je respecte (…) Dieu, son prophète et le Coran ».
Ali-Bonaparte
Après avoir brisé les mamelouks du sultan Mourad Bey, il prend sans hésiter les atours d’un despote local, raconte l’historien Dimitri Casali. « Napoléon se met à porter le costume oriental, notamment pour la grande fête du Nil, en août 1798, ce qui amuse beaucoup son état-major, notamment ses généraux Murat et Lannes qui éclatent de rire…
Le peuple l’appelle rapidement “le sultan El-Kébir”, un surnom qui lui restera longtemps, et le conseil du diwan lui attribue le titre d’Ali-Bonaparte. Lui-même se fait appeler “digne enfant du Prophète” et “favori d’Allah”… »
Son attachement aux rites locaux ira même assez loin puisqu’en juillet 1799, le général français proclame quasiment son adhésion à la foi musulmane avec ce qui ressemble à une shahada, une véritable profession de foi : « Il n’y a pas d’autres dieux que Dieu et Mahomet est son prophète ! » affirme-t-il devant les populations locales.
Comment interpréter ces actes ? La chahada se doit d’être sincère pour être effective, et sur ce point, Bonaparte a fait plus preuve d’opportunisme que de conviction…
Quand il revient en France, pour confisquer le pouvoir, il montrera le même pragmatisme pour rallier à lui les catholiques en signant le concordat avec le pape Pie VII en 1801, après les exactions révolutionnaires, puis en se faisant sacrer à Notre-Dame, toujours en présence du pape.
Mais quand ce dernier finira par l’excommunier, il n’hésitera pas à l’enfermer pendant cinq ans, preuve que la politique a toujours pris le pas sur la religion.
Selon lui, elle n’est qu’un moyen pour asseoir son pouvoir et garantir l’obéissance des citoyens : « Une société sans religion est comme un vaisseau sans boussole », disait-il.
La France était catholique, va pour le catholicisme… Mais s’il avait conquis l’Orient et l’Inde, comme il en rêvait, il aurait tout aussi bien adopté d’autres dieux pour consolider son trône, en évitant tout fanatisme, qu’il détestait en digne héritier des Lumières – il supprima l’Inquisition en Espagne.
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« C’est en me faisant catholique que j’ai fini la guerre de Vendée, déclarait-il en 1800, en me faisant musulman que je me suis établi en Égypte, en me faisant ultramontain que j’ai gagné les esprits en Italie. Si je gouvernais le peuple juif, je rétablirais le temple de Salomon… » On ne peut être plus clair.
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-20191125]https://www.lepoint.fr/histoire/quand-napoleon-etait-le-champion-de-l-islam-24-11-2019-2349219_1615.php
. Si vous n’avez pas compris que les médias sont, en majorité, islamophiles et prêts à se soumettre, il suffit de lire cet article de Marc Fourny : à partir d’un chapitre du livre de Dimitri Casalis (« Napoléon sur le divan »), le journaliste du Point en déduit que le futur empereur « était le champion de l’islam », qu’il exigeait de ses soldats « ouverture et tolérance », et qu’ « Ali-Bonaparte » deviendrait bientôt mahométan en prononçant (presque) la chahada.
.
C’est, d’une part, confondre le fougueux général Bonaparte avec le Premier consul pragmatique puis l’empereur conquérant. Et que d’autre part, Napoléon n’a jamais renié sa religion – le catholicisme – dans un pays où l’islam et les musulmans n’existaient pas.
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Ensuite, c’est oublier que les troupes napoléoniennes n’ont pas hésité à massacrer la garnison assiégée de Jaffa et ses habitants musulmans.
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Enfin, dans l’hypothèse délirante où Napoléon reviendrait aujourd’hui au pouvoir, il aurait tôt fait de mettre au pas l’islam et ses adeptes.
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Conclusion : Le Point et Marc Fourny prennent leurs vessies pour des lanternes et Macron n’a rien d’un Napoléon.
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Quand Napoléon était le champion de l’islam Bonaparte a multiplié les marques de bienveillance envers la religion musulmane. Un nouveau livre sur la personnalité de l’Empereur revient sur cette fascination méconnue.
Par Marc Fourny
« J’aime mieux la religion de Mahomet, elle est moins ridicule que la nôtre », confia Napoléon au soir de sa vie au baron Gourgaud…
Quand Bonaparte arrive en Égypte pendant l’été 1798, envoyé par le gouvernement du Directoire qui craint désormais cet ambitieux général, il connaît bien la religion du pays à conquérir et se montre d’emblée soucieux de la respecter.
Avant même le débarquement, il prévient ses hommes en leur demandant de faire preuve d’ouverture et de tolérance : « Les peuples avec lesquels nous allons vivre sont musulmans, lance-t-il à ses officiers et soldats.
Ayez des égards pour leurs imams comme vous en avez eu pour les rabbins et les évêques… »
Et dès qu’il met un pied à Alexandrie, il prend soin de rassurer les populations locales, qui vivent sous l’autorité des mamelouks, laissant croire qu’il se fera bientôt mahométan :
« On dira que je viens détruire votre religion, ne les croyez pas, proclame-t-il. Réponds que je viens vous restituer vos droits, punir les usurpateurs, et que je respecte (…) Dieu, son prophète et le Coran ».
Ali-Bonaparte
Après avoir brisé les mamelouks du sultan Mourad Bey, il prend sans hésiter les atours d’un despote local, raconte l’historien Dimitri Casali. « Napoléon se met à porter le costume oriental, notamment pour la grande fête du Nil, en août 1798, ce qui amuse beaucoup son état-major, notamment ses généraux Murat et Lannes qui éclatent de rire…
Le peuple l’appelle rapidement “le sultan El-Kébir”, un surnom qui lui restera longtemps, et le conseil du diwan lui attribue le titre d’Ali-Bonaparte. Lui-même se fait appeler “digne enfant du Prophète” et “favori d’Allah”… »
Son attachement aux rites locaux ira même assez loin puisqu’en juillet 1799, le général français proclame quasiment son adhésion à la foi musulmane avec ce qui ressemble à une shahada, une véritable profession de foi : « Il n’y a pas d’autres dieux que Dieu et Mahomet est son prophète ! » affirme-t-il devant les populations locales.
Comment interpréter ces actes ? La chahada se doit d’être sincère pour être effective, et sur ce point, Bonaparte a fait plus preuve d’opportunisme que de conviction…
Quand il revient en France, pour confisquer le pouvoir, il montrera le même pragmatisme pour rallier à lui les catholiques en signant le concordat avec le pape Pie VII en 1801, après les exactions révolutionnaires, puis en se faisant sacrer à Notre-Dame, toujours en présence du pape.
Mais quand ce dernier finira par l’excommunier, il n’hésitera pas à l’enfermer pendant cinq ans, preuve que la politique a toujours pris le pas sur la religion.
Selon lui, elle n’est qu’un moyen pour asseoir son pouvoir et garantir l’obéissance des citoyens : « Une société sans religion est comme un vaisseau sans boussole », disait-il.
La France était catholique, va pour le catholicisme… Mais s’il avait conquis l’Orient et l’Inde, comme il en rêvait, il aurait tout aussi bien adopté d’autres dieux pour consolider son trône, en évitant tout fanatisme, qu’il détestait en digne héritier des Lumières – il supprima l’Inquisition en Espagne.
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« C’est en me faisant catholique que j’ai fini la guerre de Vendée, déclarait-il en 1800, en me faisant musulman que je me suis établi en Égypte, en me faisant ultramontain que j’ai gagné les esprits en Italie. Si je gouvernais le peuple juif, je rétablirais le temple de Salomon… » On ne peut être plus clair.
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-20191125]https://www.lepoint.fr/histoire/quand-napoleon-etait-le-champion-de-l-islam-24-11-2019-2349219_1615.php
Re: Pourquoi suivre Jésus ? L’avis de Napoléon…
.bref emmanuel macron se prend pour napoléon ! cependant il a fait sur les autres nations pour y être vénéré, car le napoléon aujourd’hui (en France) avec les LGBT , le marxisme , le capitalisme et autres deviendrait fou et chèvre ! s"il pensait faire une bonne bouillabaisse en rajoutant du sable et du pétrole bouilli dans le pipi de chameaux !
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: Pourquoi suivre Jésus ? L’avis de Napoléon…
« Dieu t’a donné cette nourriture que ni toi ni tes pères n’aviez connue » (Dt 8, 2-3.14b-16a)
Lecture du livre du Deutéronome
Moïse disait au peuple d’Israël :
« Souviens-toi de la longue marche que tu as faite
pendant quarante années dans le désert ;
le Seigneur ton Dieu te l’a imposée
pour te faire passer par la pauvreté ;
il voulait t’éprouver et savoir ce que tu as dans le cœur :
allais-tu garder ses commandements, oui ou non ?
Il t’a fait passer par la pauvreté, il t’a fait sentir la faim,
et il t’a donné à manger la manne
– cette nourriture que ni toi ni tes pères n’aviez connue –
pour que tu saches que l’homme
ne vit pas seulement de pain,
mais de tout ce qui vient de la bouche du Seigneur.
N’oublie pas le Seigneur ton Dieu
qui t’a fait sortir du pays d’Égypte,
de la maison d’esclavage.
C’est lui qui t’a fait traverser ce désert,
vaste et terrifiant,
pays des serpents brûlants et des scorpions,
pays de la sécheresse et de la soif.
C’est lui qui, pour toi, a fait jaillir l’eau
de la roche la plus dure.
C’est lui qui, dans le désert, t’a donné la manne
– cette nourriture inconnue de tes pères. »
– Parole du Seigneur.
Lecture du livre du Deutéronome
Moïse disait au peuple d’Israël :
« Souviens-toi de la longue marche que tu as faite
pendant quarante années dans le désert ;
le Seigneur ton Dieu te l’a imposée
pour te faire passer par la pauvreté ;
il voulait t’éprouver et savoir ce que tu as dans le cœur :
allais-tu garder ses commandements, oui ou non ?
Il t’a fait passer par la pauvreté, il t’a fait sentir la faim,
et il t’a donné à manger la manne
– cette nourriture que ni toi ni tes pères n’aviez connue –
pour que tu saches que l’homme
ne vit pas seulement de pain,
mais de tout ce qui vient de la bouche du Seigneur.
N’oublie pas le Seigneur ton Dieu
qui t’a fait sortir du pays d’Égypte,
de la maison d’esclavage.
C’est lui qui t’a fait traverser ce désert,
vaste et terrifiant,
pays des serpents brûlants et des scorpions,
pays de la sécheresse et de la soif.
C’est lui qui, pour toi, a fait jaillir l’eau
de la roche la plus dure.
C’est lui qui, dans le désert, t’a donné la manne
– cette nourriture inconnue de tes pères. »
– Parole du Seigneur.
Oméga83- Habitué
- Messages : 95
Date d'inscription : 23/05/2020
Re: Pourquoi suivre Jésus ? L’avis de Napoléon…
dans le but de fuir l’Égypte , pour qu'ils ne sont pas leurs esclaves , ni se soumettre aux pharaons, ni conditionné par l'homme , car ils ont abuser d'un peuple qui était élu de Dieu (celui d’Israël et non pas celui de mahomet qui les conditionne à sa façon et non pas à Dieu) !!!Oméga83 a écrit:« Dieu t’a donné cette nourriture que ni toi ni tes pères n’aviez connue » (Dt 8, 2-3.14b-16a)
Lecture du livre du Deutéronome
Moïse disait au peuple d’Israël :
« Souviens-toi de la longue marche que tu as faite
pendant quarante années dans le désert ;
le Seigneur ton Dieu te l’a imposée
pour te faire passer par la pauvreté ;
il voulait t’éprouver et savoir ce que tu as dans le cœur :
allais-tu garder ses commandements, oui ou non ?
Il t’a fait passer par la pauvreté, il t’a fait sentir la faim,
et il t’a donné à manger la manne
– cette nourriture que ni toi ni tes pères n’aviez connue –
pour que tu saches que l’homme
ne vit pas seulement de pain,
mais de tout ce qui vient de la bouche du Seigneur.
N’oublie pas le Seigneur ton Dieu
qui t’a fait sortir du pays d’Égypte,
de la maison d’esclavage.
C’est lui qui t’a fait traverser ce désert,
vaste et terrifiant,
pays des serpents brûlants et des scorpions,
pays de la sécheresse et de la soif.
C’est lui qui, pour toi, a fait jaillir l’eau
de la roche la plus dure.
C’est lui qui, dans le désert, t’a donné la manne
– cette nourriture inconnue de tes pères. »
– Parole du Seigneur.
Frère Barnabé- Vénérable
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