un risque du nucléaire non solutioné
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un risque du nucléaire non solutioné
http://www.francetvinfo.fr/societe/nucleaire/
3Quelles sont les mesures préconisées ?
Les experts mandatés par Greenpeace préconisent un renforcement significatif des structures des 58 piscines de refroidissement et des 58 réacteurs nucléaires présents sur le territoire français.
Problème : le coût de ces rénovations est très élevé. Le renforcement des piscines coûterait à lui seul entre 1,6 milliard et 2,26 milliards d'euros par piscine, et celui des 58 réacteurs entre 2,7 milliards et 3,8 milliards par réacteur. Au total, l'opération serait donc comprise entre 140 et à 222 milliards d'euros. "Soit entre trois et cinq fois plus que ce qu'EDF a prévu de dépenser
3Quelles sont les mesures préconisées ?
Les experts mandatés par Greenpeace préconisent un renforcement significatif des structures des 58 piscines de refroidissement et des 58 réacteurs nucléaires présents sur le territoire français.
Problème : le coût de ces rénovations est très élevé. Le renforcement des piscines coûterait à lui seul entre 1,6 milliard et 2,26 milliards d'euros par piscine, et celui des 58 réacteurs entre 2,7 milliards et 3,8 milliards par réacteur. Au total, l'opération serait donc comprise entre 140 et à 222 milliards d'euros. "Soit entre trois et cinq fois plus que ce qu'EDF a prévu de dépenser
Frère Barnabé- Vénérable
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Merl1- Vénérable
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Re: un risque du nucléaire non solutioné
[quote="Merl1"]
[/quote
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: un risque du nucléaire non solutioné
Il est autre que non solutionné on est dans un vrai risque car els centrales ne sont pas protégées efficacement et elles sont loin être en pur état de marche donc un problème majeur en plus avec les changement climatique et les inondations qui peuvent d'un moment à l'autre en toucher certaines je ne m'étonne pas des dangers que nous courons
Nemie- Habitué
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Re: un risque du nucléaire non solutioné
Nemie a écrit:Il est autre que non solutionné on est dans un vrai risque car els centrales ne sont pas protégées efficacement et elles sont loin être en pur état de marche donc un problème majeur en plus avec les changement climatique et les inondations qui peuvent d'un moment à l'autre en toucher certaines je ne m'étonne pas des dangers que nous courons
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: un risque du nucléaire non solutioné
Mais non ! Ne nous laissons pas enfumer par des groupes comme Greenpeace, des verts-pastèques irresponsables !
El seductor- Maître
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Re: un risque du nucléaire non solutioné
Pourquoi forcément enfumer ? on peut être pour le nucléaire et rester vigilant .
Invité- Invité
Re: un risque du nucléaire non solutioné
Je suis d'accord avec toi, mais sans obéir aux enfumages, car ce sont bien des enfumages, de Greenpeace !
El seductor- Maître
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Re: un risque du nucléaire non solutioné
le nucléaire peut $être indispensable vu le nombre d'humains à avoir besoin d'énergie mais encore faudrait il penser vraiment à comment le faire et où et surtout à l'entretenir si l'argent n'était pas le moteur de tout et l'intérêt qui pousse aux économies pour s'enrichir plus on aurait peut être moins de soucis
Nemie- Habitué
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Re: un risque du nucléaire non solutioné
Je suis favorable à l'arrêt rapide du nucléaire. Tout d'abord, dois-je vous rappeler que cette énergie est très dangereuse ? Une seule secousse, et c'est le drame. De plus cette énergie pollue sur le long terme : nous transmettrons à nos enfants des déchets nucléaires dont ils ne seront quoi faire. Mais bon, Seductor s'en fou de la jeunesse et de son avenir. Il préfère rester dans son petit confort du quotidient court-termiste. Et encore une connerie sur les vilains méchants bobos de Greenpeace, qui ont le malheur d'alerter sur notre modèle de consommation et sur le réchauffement climatique.
Pierre Lequédec- Postulant
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Re: un risque du nucléaire non solutioné
au lieu de fabriquer des batteries pour voiture électrique , passons directement à l'hydrogène et air comprimé , pour lutter contre les déchets radioactif ! et avoir du courant et propulsion proprePierre Lequédec a écrit:Je suis favorable à l'arrêt rapide du nucléaire. Tout d'abord, dois-je vous rappeler que cette énergie est très dangereuse ? Une seule secousse, et c'est le drame. De plus cette énergie pollue sur le long terme : nous transmettrons à nos enfants des déchets nucléaires dont ils ne seront quoi faire. Mais bon, Seductor s'en fou de la jeunesse et de son avenir. Il préfère rester dans son petit confort du quotidient court-termiste. Et encore une connerie sur les vilains méchants bobos de Greenpeace, qui ont le malheur d'alerter sur notre modèle de consommation et sur le réchauffement climatique.
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: un risque du nucléaire non solutioné
l'hydrogène n'est pas encore sans risque mais c'est vrai que le nucléaire n'est pas la solution et l'électricité va rencontrer ses limites maintenant que tout est devenu électrique!!!
Nemie- Habitué
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Re: un risque du nucléaire non solutioné
J'ai confiance à la capacité de nos ingénieurs à trouver des solutions pour sécuriser les sources de l'énergie nucléaire. Après tout, nous sommes passés de la lampe à huile, à l'ampoule électrique, non ?
El seductor- Maître
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Re: un risque du nucléaire non solutioné
de l'ampoule avec filament et gaz inerte au led , donc du nucléaire à autre chose !El seductor a écrit:J'ai confiance à la capacité de nos ingénieurs à trouver des solutions pour sécuriser les sources de l'énergie nucléaire. Après tout, nous sommes passés de la lampe à huile, à l'ampoule électrique, non ?
comme par exemple l'électricité statique, générateur magnétique et autres de ce genre là !
le générateur magnétique est réalisable , je pense même pourrait être fabriquer pour les voitures et l'electricité libre à chaque maison , moins de polluant que les voitures électrique, que le nucléaire pour sa fabrication et totalement autonome ! !
Frère Barnabé- Vénérable
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Re: un risque du nucléaire non solutioné
Superphénix était à l'origine un prototype de réacteur à neutrons rapides à caloporteur sodium. Le nom Superphénix provient de l'oiseau mythique Phénix qui renaît de ses cendres, comme le nouveau combustible nucléaire au plutonium provient des « cendres » du combustible usé par les autres centrales nucléaires.
Le projet était prometteur et visait à terme à recycler les déchets des centrales françaises mais aussi italiennes et allemandes. C'était le prototype d'une nouvelle filière qui aurait pu réduire d'une façon drastique les déchets nucléaires et qui avait vocation a devenir rentable par le captage des déchets nucléaires issus d'autres pays étrangers, pas seulement européens.
L'arrêt de Superphénix est une décision grave prise à la suite d'un accord entre le parti politique les Verts et le gouvernement socialiste à la fin des années 1990.
La fermeture de la centrale de Creys-Malville (Superphénix) en 1998 s’apparente à un suicide économique et technologique.
La lâcheté politique pour obtenir ou conserver les rênes du pouvoir, eurent finalement raison de cette formidable réalisation commune de la France, de l’Italie et de l’Allemagne. Injustement discrédité, ce remarquable surgénérateur, unique au monde, sera finalement sacrifié sur l’autel de l’éphémère «majorité plurielle» arrivée au pouvoir en juin 1997 avec Lionel Jospin comme Premier ministre.
Cette année-là, la mise au point de la centrale électrique était enfin terminée, comme l’a montré son excellente disponibilité lors de son fonctionnement tout au long de l’année 1996 (96 % de taux de disponibilité de la chaudière). L’investissement était totalement réalisé, et le combustible déjà fabriqué était encore capable de produire 30 milliards de kWh (30 TWh). Il ne restait donc plus qu’à recueillir le fruit de tous les efforts humains et financiers consentis depuis dix ans en exploitant cette source de richesses. Dans le même temps, ce réacteur aurait pu participer à peu de frais à la recherche sur la transmutation des déchets radioactifs de haute activité et à longue durée prévue par la loi de décembre 1991.
Prés de vingt ans plus tard, on peut mesurer combien cet abandon fut une triple faute.
1) Une faute sur le plan de la connaissance scientifique et technologique qui a entraîné la perte d’un capital humain considérable de savoir et d’expérience qu’il faut maintenant laborieusement reconstituer.
2) Une faute économique qui a conduit au démantèlement des installations de recherche et à la dissolution du tissu industriel spécifique dédiés à cette technologie.
3) Une faute sur le plan de l’emploi qui fut à l’origine d’une gabegie financière (plusieurs milliards de francs de l’époque) dont ni la centrale, ni ses concepteurs, ni son exploitant ne portent la responsabilité.
Le «battement de l’aile du papillon»
En juin 1990, le réacteur Superphénix fonctionne à 90% de sa puissance nominale lorsque les mesures de surveillance de la pureté du sodium primaire du réacteur montrent une lente oxydation de ce sodium. Elle reste cependant largement inférieure aux limites admissibles spécifiées par les critères de sûreté. Cette tendance persistant, il est décidé d’arrêter momentanément la centrale le 3 juillet 1990 afin d’en déterminer l’origine. Une membrane déchirée en néoprène de quelques centimètres de diamètre localisée au niveau d’un compresseur d’un circuit auxiliaire se révèle être à l’origine d’une entrée d’air qui cause l’oxydation du sodium.
Cette membrane en néoprène sera le prétexte saisi qui conduira, de fil en aiguille et après de multiples péripéties, jusqu’à la fermeture de la centrale, huit ans plus tard, à cause d’un mélange de malveillances d’opposants et de lâchetés politiques.
La décision de fermeture définitive de Superphénix est annoncée le 2 février 1998. Elle se trouve incluse dans le document de quinze pages qui faisait connaître la politique énergétique du gouvernement de Lionel Jospin.
Il y est reconnu que : «Superphénix représente une technologie très riche, développée par des personnels particulièrement motivés et performants qui ont montré que la France savait mettre au point des équipements technologiques innovants de très haut niveau » et « qu’il faudra tirer profit de l’expérience accumulée et poursuivre les recherches dans le domaine des réacteurs à neutrons rapides pour l’avenir à plus long terme».
Ce passage est surréaliste. Comment comprendre le cheminement intellectuel des auteurs de ce vibrant hommage à la machine et aux hommes qui les conduit à cette surprenante conclusion ? Il faut abandonner cette «technologie très riche», perdre le savoir et l’expérience de ces « personnels particulièrement motivés et performants » et, malgré cette dispersion et cet arrêt, «tirer profit de l’expérience accumulée», et surtout «poursuivre les recherches dans le domaine des réacteurs à neutrons rapides pour l’avenir à plus long terme».
Quelle hypocrisie ! Ce prétendu hommage en forme d’oraison funèbre sonne faux, et il est d’autant plus insoutenable qu’il émane des «tueurs» eux-mêmes.
Quelle inconséquence vis-à-vis de l’avenir d’un pays et quelle perte pour la recherche et la technologie ! L’abandon de Superphénix fut bel et bien une faute.
Quelques jours après cette annonce, en février 1998, le Docteur Srinivasan, Conseiller à l’Énergie du Premier Ministre indien a qualifié cette décision de “crime contre l’humanité”. En 2005, l’Inde a entrepris la construction d’un réacteur à neutrons rapides de 500 MWe, refroidi au sodium, du même type que Superphénix.
Nous payons aujourd’hui le prix de cette trahison nationale avec nos difficultés à retrouver la voie des réacteurs surgénérateurs alors que nos concurrents progressent (Russie, Chine, Inde).
https://fr.wikipedia.org/wiki/Superph%C3%A9nix
https://www.contrepoints.org/2015/09/09/221198-larret-de-superphenix-fut-un-desastre-humain
Le projet était prometteur et visait à terme à recycler les déchets des centrales françaises mais aussi italiennes et allemandes. C'était le prototype d'une nouvelle filière qui aurait pu réduire d'une façon drastique les déchets nucléaires et qui avait vocation a devenir rentable par le captage des déchets nucléaires issus d'autres pays étrangers, pas seulement européens.
L'arrêt de Superphénix est une décision grave prise à la suite d'un accord entre le parti politique les Verts et le gouvernement socialiste à la fin des années 1990.
La fermeture de la centrale de Creys-Malville (Superphénix) en 1998 s’apparente à un suicide économique et technologique.
La lâcheté politique pour obtenir ou conserver les rênes du pouvoir, eurent finalement raison de cette formidable réalisation commune de la France, de l’Italie et de l’Allemagne. Injustement discrédité, ce remarquable surgénérateur, unique au monde, sera finalement sacrifié sur l’autel de l’éphémère «majorité plurielle» arrivée au pouvoir en juin 1997 avec Lionel Jospin comme Premier ministre.
Cette année-là, la mise au point de la centrale électrique était enfin terminée, comme l’a montré son excellente disponibilité lors de son fonctionnement tout au long de l’année 1996 (96 % de taux de disponibilité de la chaudière). L’investissement était totalement réalisé, et le combustible déjà fabriqué était encore capable de produire 30 milliards de kWh (30 TWh). Il ne restait donc plus qu’à recueillir le fruit de tous les efforts humains et financiers consentis depuis dix ans en exploitant cette source de richesses. Dans le même temps, ce réacteur aurait pu participer à peu de frais à la recherche sur la transmutation des déchets radioactifs de haute activité et à longue durée prévue par la loi de décembre 1991.
Prés de vingt ans plus tard, on peut mesurer combien cet abandon fut une triple faute.
1) Une faute sur le plan de la connaissance scientifique et technologique qui a entraîné la perte d’un capital humain considérable de savoir et d’expérience qu’il faut maintenant laborieusement reconstituer.
2) Une faute économique qui a conduit au démantèlement des installations de recherche et à la dissolution du tissu industriel spécifique dédiés à cette technologie.
3) Une faute sur le plan de l’emploi qui fut à l’origine d’une gabegie financière (plusieurs milliards de francs de l’époque) dont ni la centrale, ni ses concepteurs, ni son exploitant ne portent la responsabilité.
Le «battement de l’aile du papillon»
En juin 1990, le réacteur Superphénix fonctionne à 90% de sa puissance nominale lorsque les mesures de surveillance de la pureté du sodium primaire du réacteur montrent une lente oxydation de ce sodium. Elle reste cependant largement inférieure aux limites admissibles spécifiées par les critères de sûreté. Cette tendance persistant, il est décidé d’arrêter momentanément la centrale le 3 juillet 1990 afin d’en déterminer l’origine. Une membrane déchirée en néoprène de quelques centimètres de diamètre localisée au niveau d’un compresseur d’un circuit auxiliaire se révèle être à l’origine d’une entrée d’air qui cause l’oxydation du sodium.
Cette membrane en néoprène sera le prétexte saisi qui conduira, de fil en aiguille et après de multiples péripéties, jusqu’à la fermeture de la centrale, huit ans plus tard, à cause d’un mélange de malveillances d’opposants et de lâchetés politiques.
La décision de fermeture définitive de Superphénix est annoncée le 2 février 1998. Elle se trouve incluse dans le document de quinze pages qui faisait connaître la politique énergétique du gouvernement de Lionel Jospin.
Il y est reconnu que : «Superphénix représente une technologie très riche, développée par des personnels particulièrement motivés et performants qui ont montré que la France savait mettre au point des équipements technologiques innovants de très haut niveau » et « qu’il faudra tirer profit de l’expérience accumulée et poursuivre les recherches dans le domaine des réacteurs à neutrons rapides pour l’avenir à plus long terme».
Ce passage est surréaliste. Comment comprendre le cheminement intellectuel des auteurs de ce vibrant hommage à la machine et aux hommes qui les conduit à cette surprenante conclusion ? Il faut abandonner cette «technologie très riche», perdre le savoir et l’expérience de ces « personnels particulièrement motivés et performants » et, malgré cette dispersion et cet arrêt, «tirer profit de l’expérience accumulée», et surtout «poursuivre les recherches dans le domaine des réacteurs à neutrons rapides pour l’avenir à plus long terme».
Quelle hypocrisie ! Ce prétendu hommage en forme d’oraison funèbre sonne faux, et il est d’autant plus insoutenable qu’il émane des «tueurs» eux-mêmes.
Quelle inconséquence vis-à-vis de l’avenir d’un pays et quelle perte pour la recherche et la technologie ! L’abandon de Superphénix fut bel et bien une faute.
Quelques jours après cette annonce, en février 1998, le Docteur Srinivasan, Conseiller à l’Énergie du Premier Ministre indien a qualifié cette décision de “crime contre l’humanité”. En 2005, l’Inde a entrepris la construction d’un réacteur à neutrons rapides de 500 MWe, refroidi au sodium, du même type que Superphénix.
Nous payons aujourd’hui le prix de cette trahison nationale avec nos difficultés à retrouver la voie des réacteurs surgénérateurs alors que nos concurrents progressent (Russie, Chine, Inde).
https://fr.wikipedia.org/wiki/Superph%C3%A9nix
https://www.contrepoints.org/2015/09/09/221198-larret-de-superphenix-fut-un-desastre-humain
Merl1- Vénérable
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Re: un risque du nucléaire non solutioné
Ces structures en plus d'être dangereuse, défigure nos paysages français
Eobard- Habitué
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Re: un risque du nucléaire non solutioné
Eobard a écrit:Ces structures en plus d'être dangereuse, défigure nos paysages français
Je suis assez d'accord avec ça. Je trouve personnellement que les éoliennes s'adaptent mieux à nos campagnes. Avis purement personnel.
El seductor a écrit:J'ai confiance à la capacité de nos ingénieurs à trouver des solutions pour sécuriser les sources de l'énergie nucléaire. Après tout, nous sommes passés de la lampe à huile, à l'ampoule électrique, non ?
Je crois que nous avons trouvé notre nouveau Thomas Eddison
Pierre Lequédec- Postulant
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Date d'inscription : 13/08/2017
Re: un risque du nucléaire non solutioné
Pierre Lequédec a écrit:
Je crois que nous avons trouvé notre nouveau Thomas Eddison
La fermeture de la centrale de Creys-Malville (Superphénix) en 1998 s’apparente à un suicide économique et technologique. Le projet était prometteur et visait à terme à recycler les déchets des centrales françaises mais aussi italiennes et allemandes. C'était le prototype d'une nouvelle filière qui aurait pu réduire d'une façon drastique les déchets nucléaires et qui avait vocation a devenir rentable par le captage des déchets nucléaires issus d'autres pays étrangers, pas seulement européens.
Quelques jours après cette annonce, en février 1998, le Docteur Srinivasan, Conseiller à l’Énergie du Premier Ministre indien a qualifié cette décision de “crime contre l’humanité”. En 2005, l’Inde a entrepris la construction d’un réacteur à neutrons rapides de 500 MWe, refroidi au sodium, du même type que Superphénix.
Nous payons aujourd’hui le prix de cette trahison nationale avec nos difficultés à retrouver la voie des réacteurs surgénérateurs alors que nos concurrents progressent (Russie, Chine, Inde).
Merl1- Vénérable
- Messages : 13812
Date d'inscription : 12/07/2011
Localisation : La Géhenne ou presque...
Re: un risque du nucléaire non solutioné
JE crois que si les pays oublié un peu les questions d'argent et de pouvoir et pensaient plus à une meilleure survie de l'humanité en général et développait vraiment les recherches scientifiques on aurait de meilleurs résultats mais on veut encore et encore s'engraisser quand on mène les autres....on utilise le n-bois et le charbon peu importe si ils sont toxiques tant qu'ils rapportent et les nouveaux inventeurs se voient aussi bloqués par la loi de la rentabilité .... comme si chercher aboutissait toujours à trouver même si pour trouver il faut souvent avoir cherché......
Nemie- Habitué
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Localisation : Toulouse
Re: un risque du nucléaire non solutioné
Nemie a écrit:JE crois que si les pays oublié un peu les questions d'argent et de pouvoir et pensaient plus à une meilleure survie de l'humanité en général et développait vraiment les recherches scientifiques on aurait de meilleurs résultats mais on veut encore et encore s'engraisser quand on mène les autres....on utilise le n-bois et le charbon peu importe si ils sont toxiques tant qu'ils rapportent et les nouveaux inventeurs se voient aussi bloqués par la loi de la rentabilité .... comme si chercher aboutissait toujours à trouver même si pour trouver il faut souvent avoir cherché......
FAB42- Chef
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Date d'inscription : 17/08/2013
Localisation : SAINT-ETIENNE
Re: un risque du nucléaire non solutioné
Nemie a écrit:JE crois que si les pays oublié un peu les questions d'argent et de pouvoir et pensaient plus à une meilleure survie de l'humanité en général et développait vraiment les recherches scientifiques on aurait de meilleurs résultats mais on veut encore et encore s'engraisser quand on mène les autres....on utilise le n-bois et le charbon peu importe si ils sont toxiques tant qu'ils rapportent et les nouveaux inventeurs se voient aussi bloqués par la loi de la rentabilité .... comme si chercher aboutissait toujours à trouver même si pour trouver il faut souvent avoir cherché......
Parfaitement d'accord NEMIE ! Je crois qu'on est sur la même longueur d'ondes et j'en suis heureuse ! Personnellement je pense que nos élites politiques se soucient trop peu de l'environnement, et que celles qui tapent sur Trump (à raison, c'est un *******) parce qu'il est sorti de la COP21, sont des HYPOCRITES ! De très très GROS HYPOCRITES. Car n'est-ce pas eux qui ont signé l'ignoble traité CETA ? N'est-ce pas eux qui sont soumis au lobby de MOSANTO ? (qui est très influent au sein de la COMMISSION EUROPÉENNE...)
Cette chose, là, qui est censée nous protéger là ---> Elle est en grande partie la cause de nos soucis !
Moi j'aimerais un président qui s'immerge dans la nature. Un président qui pense la beauté du monde par la diversité des animaux, des plantes et des minéraux qu'il habite. Parce que finalement, c'est ça le retour aux sources. Pour moi, l'enracinement, le patriotisme, c'est aussi l'écologie : c'est le respect de nos forêts, de nos lacs, de nos rivières, de nos sources, de nos chants d'oiseaux, de nos beaux animaux (les loups ... ). Voilà c'était mon petit moment de rêverie et de poésie (et on aimerait que nos dirigeants soient un peu plus rêveurs et poétiques que les monstres technocratiques qu'ils sont devenus ...)
Modéré par Merl1
Andrea Nicole- Habitué
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Date d'inscription : 04/10/2017
Re: un risque du nucléaire non solutioné
Andrea Nicole a écrit:
Parfaitement d'accord NEMIE ! Je crois qu'on est sur la même longueur d'ondes et j'en suis heureuse ! Personnellement je pense que nos élites politiques se soucient trop peu de l'environnement, et que celles qui tapent sur Trump (à raison, c'est un *******) parce qu'il est sorti de la COP21, sont des HYPOCRITES ! De très très GROS HYPOCRITES. Car n'est-ce pas eux qui ont signé l'ignoble traité CETA ? N'est-ce pas eux qui sont soumis au lobby de MOSANTO ? (qui est très influent au sein de la COMMISSION EUROPÉENNE...)
Cette chose, là, qui est censée nous protéger là ---> Elle est en grande partie la cause de nos soucis !
Moi j'aimerais un président qui s'immerge dans la nature. Un président qui pense la beauté du monde par la diversité des animaux, des plantes et des minéraux qu'il habite. Parce que finalement, c'est ça le retour aux sources. Pour moi, l'enracinement, le patriotisme, c'est aussi l'écologie : c'est le respect de nos forêts, de nos lacs, de nos rivières, de nos sources, de nos chants d'oiseaux, de nos beaux animaux (les loups ... ). Voilà c'était mon petit moment de rêverie et de poésie (et on aimerait que nos dirigeants soient un peu plus rêveurs et poétiques que les monstres technocratiques qu'ils sont devenus ...)
Modéré par Merl1
le système de vie danois me plait !
Frère Barnabé- Vénérable
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Age : 61
Localisation : saint Etienne
Re: un risque du nucléaire non solutioné
Je ne connais pas le mode de vie danois, aPOTRE ... pourrais-tu m'en dire plus si il te plait ?
Andrea Nicole- Habitué
- Messages : 85
Date d'inscription : 04/10/2017
Re: un risque du nucléaire non solutioné
rien que la vidéo de France info te montre la vie sociale et économique danoise , et il me semble que les prisons sont presque vide !Andrea Nicole a écrit:Je ne connais pas le mode de vie danois, aPOTRE ... pourrais-tu m'en dire plus si il te plait ?
Frère Barnabé- Vénérable
- Messages : 29046
Date d'inscription : 11/05/2017
Age : 61
Localisation : saint Etienne
Re: un risque du nucléaire non solutioné
aPOTRE a écrit:
rien que la vidéo de France info te montre la vie sociale et économique danoise , et il me semble que les prisons sont presque vide !
Oui, d'une façon générale les pays scandinaves me paraissent être de supers modèles !
Andrea Nicole- Habitué
- Messages : 85
Date d'inscription : 04/10/2017
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