Re: La violence en hausse en France

[archange 64]

La violence peut revêtir plusieurs formes ,physique, verbale qui a de plus en plus pignon sur rue.
Et la période électorale est surement loin d’apaiser cette tendance.

Ce n’est pas la peine d’aller bien loin pour voir dans les joutes verbales des noms d’oiseaux fleurir sur ce forum .Je ne fais qu’un simple constat. Les mots ont un sens et dépassent parfois heureusement le fond de la pensée de leur auteur.

Ceci est banalisé et accepté au nom de la libre expression. Soit mais c’est un début d’escalade.

Avant de tirer à boulet rouge sur tel ou tel gouvernement car la violence ne s’est pas installée que récemment il serait nécessaire d’apporter ses propres solutions afin que nous puissions entamer le dialogue de façon plus seine.
Mais voila ….

Ceci dit content d’être parmi vous.

[Edouard de Montmonrency]

La violence peut revêtir plusieurs formes ,physique, verbale qui a de plus en plus pignon sur rue.
Et la période électorale est  surement loin d’apaiser cette tendance.

Ce n’est pas la peine d’aller bien loin pour voir dans les joutes verbales des noms d’oiseaux fleurir sur ce forum .Je ne fais qu’un simple constat. Les mots ont un sens et dépassent parfois heureusement le fond de la pensée de leur auteur.

Ceci est banalisé et accepté au nom de la libre expression. Soit mais  c’est un début d’escalade....

Le début de l'escalade, c'est la violence pécuniaire et sociale.

Même les lions repus sont dociles et apaisés.

[archange 64]

La violence peut revêtir plusieurs formes ,physique, verbale qui a de plus en plus pignon sur rue.
Et la période électorale est  surement loin d’apaiser cette tendance.

Ce n’est pas la peine d’aller bien loin pour voir dans les joutes verbales des noms d’oiseaux fleurir sur ce forum .Je ne fais qu’un simple constat. Les mots ont un sens et dépassent parfois heureusement le fond de la pensée de leur auteur.

Ceci est banalisé et accepté au nom de la libre expression. Soit mais  c’est un début d’escalade....

Le début de l'escalade, c'est la violence pécuniaire et sociale.

Même les lions repus sont dociles et apaisés.

[archange 64]

La violence peut revêtir plusieurs formes ,physique, verbale qui a de plus en plus pignon sur rue.
Et la période électorale est  surement loin d’apaiser cette tendance.

Ce n’est pas la peine d’aller bien loin pour voir dans les joutes verbales des noms d’oiseaux fleurir sur ce forum .Je ne fais qu’un simple constat. Les mots ont un sens et dépassent parfois heureusement le fond de la pensée de leur auteur.

Ceci est banalisé et accepté au nom de la libre expression. Soit mais  c’est un début d’escalade....

Le début de l'escalade, c'est la violence pécuniaire et sociale.

Même les lions repus sont dociles et apaisés.

J’entends bien la violence sociale qui trouve sa source dans bien des domaines et dont la lutte est interminable. Ce qui n’est pas une raison pour ne pas se résigner. Je suis d’accord .On peut citer
Pauvreté La pauvreté n'est pas la cause directe de la criminalité violente. ...
• Racisme. ...
• Aménagement urbain. ...
• Problèmes dans le système éducatif. ...
• Problèmes familiaux. ...
• Santé ...
• Les jeunes n'ont pas la possibilité de s'exprimer. ...
Absence de débouchés économiques pour les jeunes

La violence pécunière .
Le tout est déjà de déterminer ce que l’on entend par seuil de pauvreté .Bien des organismes s’y collent mais difficile d’avoir un consensus sur ce seuil, chacun ayant une idée sur le sujet.
L’emploi,logement,l’alimentation, les vetements ,l’accés au confort énergétique,la mobilité etc.. Voila peut-être les priorités .Vous mesurez à quel point nos avis peuvent diverger sur cette seule liste .Sans oublier tous les équipements devenus pour beaucoup indispensables .PC ,portable.

Chaque gouvernement apporte sa pierre peu ou prou sur ces sujets mais sans satisfaction générale.

Augmenter les aides sociales ce n’est jamais suffisant et pourtant nous ne sommes pas les derniers dans ce domaine.
Alors oui ce sont des sujets qui sont source de violence .

[Oligark]

Avant de tirer à boulet rouge sur tel ou tel gouvernement car la violence ne s’est pas installée que récemment il serait nécessaire d’apporter ses propres solutions afin que nous puissions entamer le dialogue de façon plus seine.

Oui, le problème de la politique c'est qu'elle ne prend plus au sérieux même des manifestations...
Les solutions sont connues depuis 30 ans mais elles sont soient à moitié soient pas du tout appliquées.

L’emploi,logement,l’alimentation, les vetements ,l’accés au confort énergétique,la mobilité etc.. Voila peut-être les priorités .Vous mesurez à quel point nos avis peuvent diverger sur cette seule liste .Sans oublier tous les équipements devenus pour beaucoup indispensables .PC ,portable.

Chaque gouvernement apporte sa pierre peu ou prou sur ces sujets mais sans satisfaction générale.

Par contre je n'aurai pas mis les problèmes dans cet ordre là et je ne pense pas que la politique doit se mêler de la vie privée des gens et le racisme en fait partie.
Les problèmes familiaux sociaux découlent plutôt de problèmes en amont le reste ce sont les conséquences des politiques publiques et du libre arbitre.

Imposer des conditions tout comme imposer des choix de vie ne relève pas de la politique pourtant elle choisit de le faire pour des raisons économiques et cela finit toujours pas des rétropédalages.
L'aménagement urbain c'est une vaste farce, ils ne veulent pas le faire. La politique parisienne restera toujours une mauvaise politique. Aménager uniquement des grandes villes c'est volontaire. Au contraire les villes sont détruites en France au profit des grandes villes.
Augmenter au XXIème siècle les loyers c'est scandaleux, l'immobilier est devenu un monde de profits à l'image du secteur bancaire qui vous accorde un crédit!
Dans ma région, on pouvait se loger facilement, et le Covid n'a rien à voir avec cette augmentation de 10 à 30%!

[archange 64]

Les exemples ne manquent pas ou une manifestation qui au départ veut mettre à l’index un problème , à l’arrivée un catalogue de revendications qui partent dans tous les sens avec souvent des troubles parfois violents .Qu’elle aubaine pour les casseurs et peut-être aussi pour nos gouvernants.

Ce bric à brac fini par tout brouiller et ceci au final ne dessert que ceux qui le provoquent .

Le fait de manifester ne peut être remis en question mais sommes nous certains de l’utiliser à bon escient.
Certains abusent de leur position dominante ce qui n'arrange pas les choses.
Les blocages initiés se retournent toujours contre une large part de la population. Nous n’avons que trop peu la culture du compromis.C'est tout et tout de suite.
Nos gouvernants de droite comme de gauche savent noyer le poisson et temporiser.

Les solutions connues mais réalisables je ne suis pas certain. Trop de paramètres à gérer pour répondre à l’urgence partout. Prioriser cela fera des mécontents par ailleurs.
Ceci ne doit pas cependant servir éternellement d’excuse. Donner du temps au temps pas sur que la patience soit notre tasse de thé.

La pandémie a mis un moment l’économie mondiale en sommeil ce qui de surcroît a raréfié la production mondiale. La demande est si forte que tous les producteurs abusent de la situation.

Le rôle tampon de l’Etat pourrait surement être un peu plus conséquent. Le quoi qu’il en coûte a toutefois ses limites. Peut-on laisser filer la dette indéfiniment. Qui ne crie pas aujourd’hui sur les milliards issus de la pandémie .

J’ai toujours pensé que retirer à la banque de France ses prérogatives dans le domaine des prêts d’état notamment était un non sens. Les banques ont de fait pris une importance injustifiée .

[Jeannot Lapin]

La seule solution : peines de prison. Multiplier le nombre de places par 3, donc 300% de places de prison indispensables tout de suite.
En prison y appliquer un régime militaire, avec obligation de s'éduquer et réussir ses examens, sous peine de voir sa sentence augmentée.
Baisser les peines sur les infractions et délits sans violence et augmenter eux avec violence.
Un vol de sac à main à l'arraché : 5 ans de prison ferme !
Hacker un site internet : 6 mois avec sursis.

Et retour du bagne pour les gros criminels. Pas besoin de peine de mort.

[Oligark]

Les solutions connues mais réalisables je ne suis pas certain. Trop de paramètres à gérer pour répondre à l’urgence partout. Prioriser cela fera des mécontents par ailleurs.
Ceci ne doit pas cependant servir éternellement d’excuse. Donner du temps au temps pas sur que la patience soit notre tasse de thé.

La pandémie a mis un moment l’économie mondiale en sommeil ce qui de surcroît a raréfié la production mondiale. La demande est si forte que tous les producteurs abusent de la situation.

Le rôle tampon de l’Etat pourrait surement être un peu plus conséquent. Le quoi qu’il en coûte a toutefois ses limites. Peut-on laisser filer la dette indéfiniment. Qui ne crie pas aujourd’hui sur les milliards issus de la pandémie .

J’ai toujours pensé que retirer à la banque de France ses prérogatives dans le domaine des prêts d’état notamment était un non sens. Les banques ont de fait pris une importance injustifiée .

Prioriser depuis 30 ans la politique est en échec car elle priorise uniquement pour son électorat qui se dit et se revendique élitiste.
La dépendance mondiale empêche notre Nation de prendre les décisions urgentes qui s'imposent à l'image de l'Union Européenne. Elle se cache derrière les traités pour justifier sa politique nauséabonde et inutile.

L'Etat est absent, il ne joue plus son rôle de protection de la population. Les gens auront beau dire ce qu'ils veulent, les statistiques montrent que nous sommes l'un des pays qui a sût le moins bien protéger sa population. Mais la dette devrait concerner ceux qui l'on contracté et pas d'autres générations.
Les banques ne sont là que pour tenter de réguler l'économie, seul les banques de développement ont un rôle à jouer. Les prêts devront être remboursés. L'Allemagne en prêtant à la Grèce à profiter de sa dette publique.

[Jean-Louis de Toqueville]

La seule solution : peines de prison. Multiplier le nombre de places par 3, donc 300% de places de prison indispensables tout de suite.
En prison y appliquer un régime militaire, avec obligation de s'éduquer et réussir ses examens, sous peine de voir sa sentence augmentée.
Baisser les peines sur les infractions et délits sans violence et augmenter eux avec violence.
Un vol de sac à main à l'arraché : 5 ans de prison ferme !
Hacker un site internet : 6 mois avec sursis.

Et retour du bagne pour les gros criminels. Pas besoin de peine de mort.

Tout à fait d'accord. Et lorsqu'il s'agit d'étrangers délinquants ou criminels condamnés, ce qui est très souvent le cas, renvoi systématique dans le pays d'origine.

Le problème en France est le laxisme judiciaire et il n'y a guère, hélas, de solution.

.

[Compte supprimé Ejainiste]

Les faits remontent au 2 octobre dernier. Franck était en voiture avec sa femme et ses enfants lorsqu’il a soudainement reçu une alerte sur son téléphone portable. Celle-ci lui indiquait que le système de sécurité d’un entrepôt qu’il possède à Cublize, dans le Rhône, venait de se déclencher. Sans plus attendre, le père de famille prend donc la décision de se rendre sur place afin de surprendre les voleurs. Une fois près du hangar, il aperçoit deux individus en train de s’enfuir. Prêt à tout pour défendre son territoire, il parvient à en intercepter un. En colère, il décide de l’enfermer dans le coffre de son véhicule.

Ce n’est qu’un peu plus tard, après un appel téléphonique, que son père débarque pour lui venir en aide. Père et fils ont bien l’intention de se faire justice et pendant qu’ils échafaudent un plan, l’épouse du propriétaire reprend la route avec les enfants. De leur côté, les deux hommes ont eu le temps de réfléchir à la suite. Ils décident de se servir du voleur pour retrouver son complice. Malheureusement, les recherches n’aboutissent à rien. C’est alors qu’ils optent pour une punition radicale. Toujours à bord de la voiture, les deux hommes emmènent le cambrioleur au cœur de la forêt où ils l’abandonnent nu, les mains attachées, « pour lui donner une bonne leçon »

Un acte qui restera en travers de la gorge de la désormais victime. Deux semaines après avoir été laissé dans les bois, le voleur se rebelle et décide de se venger en mettant le feu à l’entrepôt. Ce mardi 15 février 2022, le père et le fils se retrouvaient alors face au tribunal correctionnel de Villefranche-sur-Saône. Loin d’avoir apprécié leur décision, le juge a reproché aux deux hommes de ne pas avoir « remis la personne dans un temps bref aux autorités », selon Le Progrès. Ils ont écopé d’une peine de six mois de prison avec sursis et de 60 jours-amendes à 20 euros. De son côté, le cambrioleur récidiviste est toujours en attente de jugement.

==================

Alors que les "volés" ont déjà été jugés et condamnés, les voleurs incendiaires récidivistes sont toujours en attente de jugement ... Il est temps d'éradiquer cette justice "vologiste"

[Oligark]

Les faits remontent au 2 octobre dernier. Franck était en voiture avec sa femme et ses enfants lorsqu’il a soudainement reçu une alerte sur son téléphone portable. Celle-ci lui indiquait que le système de sécurité d’un entrepôt qu’il possède à Cublize, dans le Rhône, venait de se déclencher. Sans plus attendre, le père de famille prend donc la décision de se rendre sur place afin de surprendre les voleurs. Une fois près du hangar, il aperçoit deux individus en train de s’enfuir. Prêt à tout pour défendre son territoire, il parvient à en intercepter un. En colère, il décide de l’enfermer dans le coffre de son véhicule.

Ce n’est qu’un peu plus tard, après un appel téléphonique, que son père débarque pour lui venir en aide. Père et fils ont bien l’intention de se faire justice et pendant qu’ils échafaudent un plan, l’épouse du propriétaire reprend la route avec les enfants. De leur côté, les deux hommes ont eu le temps de réfléchir à la suite. Ils décident de se servir du voleur pour retrouver son complice. Malheureusement, les recherches n’aboutissent à rien. C’est alors qu’ils optent pour une punition radicale. Toujours à bord de la voiture, les deux hommes emmènent le cambrioleur au cœur de la forêt où ils l’abandonnent nu, les mains attachées, « pour lui donner une bonne leçon »

Un acte qui restera en travers de la gorge de la désormais victime. Deux semaines après avoir été laissé dans les bois, le voleur se rebelle et décide de se venger en mettant le feu à l’entrepôt. Ce mardi 15 février 2022, le père et le fils se retrouvaient alors face au tribunal correctionnel de Villefranche-sur-Saône. Loin d’avoir apprécié leur décision, le juge a reproché aux deux hommes de ne pas avoir « remis la personne dans un temps bref aux autorités », selon Le Progrès. Ils ont écopé d’une peine de six mois de prison avec sursis et de 60 jours-amendes à 20 euros. De son côté, le cambrioleur récidiviste est toujours en attente de jugement.

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Alors que les "volés" ont déjà été jugés et condamnés, les voleurs incendiaires récidivistes sont toujours en attente de jugement ... Il est temps d'éradiquer cette justice "vologiste"

L'assurance va rembourser. Les incendiaires écoperont d'une peine pour leur délit après les victimes, certes, mais ils seront tout de même jugés.

[oscarire]

Nous  pauvres malheureux franchouillards , on pleurs,
on se plaint en toutes circonstances que nous subissons
une atroce violence des petites racailles de banlieues .

Je me marre de l'échelle des comparaisons qui explosent
en rapport avec les évènements de l'Ukraine.

Allez chercher vos draps blancs pour pleurnicher sur votre sort
d'enfant gâté.
Et garder votre drap en cas d'invasion de toute l'Europe
(rien n'est impossible) comme étendard de reddition .
Finalement, le grand remplacement n'est pas celui qu'on pensait.

[Edouard de Montmonrency]

Nous  pauvres malheureux franchouillards , on pleurs,
on se plaint en toutes circonstances que nous subissons
une atroce violence des petites racailles de banlieues ...

La concurrence victimaire a encore de beaux jours devant elle.

[Oligark]

Plus d'une dizaine de voitures ont été incendiées dans la nuit de mardi à mercredi sur le quartier de Perseigne à Alençon. Les forces de l'ordre et les pompiers ont essuyé des tirs de mortier. La préfète de l'Orne annonce l'arrivée de "renforts spécialisés".

Françoise Tahéri, la préfète de l'Orne, parle ce mercredi matin sur l'antenne de nos confrères de BFM d'une "nuit de violences urbaines" sur le quartier de Perseigne, à Alençon. Plusieurs véhicules ont été incendiés peu avant minuit ce mardi 26 octobre au soir. La représentante de l'Etat dans le département évoque "une bonne dizaine". Tout a commencé place de la paix avant de se propager aux rues adjacentes. Une trentaine d'individus seraient impliqués et auraient agi par groupe de six, munis de cocktails molotov.
Nuit de violences urbaines à Alençon
Sur place, les policiers mais aussi les gendarmes arrivés en renfort ainsi que les pompiers, venus éteindre les divers incendies, ont essuyé des tirs de mortier, comme le montre la vidéo publiée sur twitter par Sacha Martinez, journaliste à Ouest-France.

Certaines sources évoquent également des jets de pierre sur les forces de l'ordre et les services de secours. "Je me réjouis qu'il n'y ait pas eu de victimes (...) eu égard aux tirs de mortier, il y aurait pu y avoir des blessés", a déclaré ce mercredi matin la préfète de l'Orne. Le calme est revenu dans le quartier de Perseigne au milieu de la nuit, vers 2 heures du matin.

Cet embrasement pourrait être lié à l'interpellation quelques heures plus tôt par les policiers de deux trafiquants de drogue pris en flagrance. Un lien de cause à effet que l'enquête devra confirmer ou infirmer. "L'origine, c'est le trafic de stupéfiant", a estimé ce midi sur notre antenne le maire d'Alençon, Joquim Pueyo, évoquant "une réacion organisée par une minorité" et dénonçant "des faits extrêmemnt graves, inacceptables, qui remettent en cause nos valeurs républicaines (...) C'est un trafic qui s'amplifie, qui gagnrène nos territoires. Il faut tout faire pour le démanteler et arrêter ceux qui sont responsables ou complices de ce trafic."

Gifle à Macron: le maire de Cannes dénonce une «montée de violence qui devient un phénomène social»

[Plaristes Evariste]

Yep mais faut admettre que cette racaille à, ont les fait pas chier !
Alors que le français moyen c'est une serpillière.

[Compte supprimé Ejainiste]

Yep mais faut admettre que cette racaille à, ont les fait pas chier !
Alors que le français moyen c'est une serpillière.

Notre roi des dieux ,après s'être trop longtemps penché en avant afin d'assouvir les bas instincts de nos "zôtres exotiques", désormais rassasié il bombe le torse face à Poutine

[Oligark]

Plus d'une dizaine de voitures ont été incendiées dans la nuit de mardi à mercredi sur le quartier de Perseigne à Alençon. Les forces de l'ordre et les pompiers ont essuyé des tirs de mortier. La préfète de l'Orne annonce l'arrivée de "renforts spécialisés".

Françoise Tahéri, la préfète de l'Orne, parle ce mercredi matin sur l'antenne de nos confrères de BFM d'une "nuit de violences urbaines" sur le quartier de Perseigne, à Alençon. Plusieurs véhicules ont été incendiés peu avant minuit ce mardi 26 octobre au soir. La représentante de l'Etat dans le département évoque "une bonne dizaine". Tout a commencé place de la paix avant de se propager aux rues adjacentes. Une trentaine d'individus seraient impliqués et auraient agi par groupe de six, munis de cocktails molotov.
Nuit de violences urbaines à Alençon
Sur place, les policiers mais aussi les gendarmes arrivés en renfort ainsi que les pompiers, venus éteindre les divers incendies, ont essuyé des tirs de mortier, comme le montre la vidéo publiée sur twitter par Sacha Martinez, journaliste à Ouest-France.

Certaines sources évoquent également des jets de pierre sur les forces de l'ordre et les services de secours. "Je me réjouis qu'il n'y ait pas eu de victimes (...) eu égard aux tirs de mortier, il y aurait pu y avoir des blessés", a déclaré ce mercredi matin la préfète de l'Orne. Le calme est revenu dans le quartier de Perseigne au milieu de la nuit, vers 2 heures du matin.

Cet embrasement pourrait être lié à l'interpellation quelques heures plus tôt par les policiers de deux trafiquants de drogue pris en flagrance. Un lien de cause à effet que l'enquête devra confirmer ou infirmer. "L'origine, c'est le trafic de stupéfiant", a estimé ce midi sur notre antenne le maire d'Alençon, Joquim Pueyo, évoquant "une réacion organisée par une minorité" et dénonçant "des faits extrêmemnt graves, inacceptables, qui remettent en cause nos valeurs républicaines (...) C'est un trafic qui s'amplifie, qui gagnrène nos territoires. Il faut tout faire pour le démanteler et arrêter ceux qui sont responsables ou complices de ce trafic."

Gifle à Macron: le maire de Cannes dénonce une «montée de violence qui devient un phénomène social»

[Oligark]

"Une sorte de bataille rangée"

La police scientifique est sur place pour constater les dégâts. Des habitants sont venus vérifier l'état de leur voiture. Pascal Rosso a été réveillé à 1h30 du matin. Il a vu ce qui se passait de son balcon :

   On a vu des jeunes, je pense qu’ils venaient de la Gabelle, ils ont commencé à batailler avec les policiers, une sorte de bataille rangée, ils voulaient monter des barricades. Ils ont voulu renverser la voiture qui n’a pas brûlé là-bas (…) Ces derniers temps ils tirent des feux d’artifice… Plusieurs fois ils ont brûlé des poubelles sur le rond-point. C’est malheureux, c’est malheureux d’arriver à des choses pareilles. On ne sait même pas ce qu’ils veulent. Je pense qu’ils sont gênés au niveau du trafic.



L'Etat est absent!

[Oligark]

Le 27 octobre 2015, à Clichy-sous-Bois, deux jeunes de 15 et 17 ans entrent dans un transformateur électrique pour échapper à des policiers et meurent électrocutés. Ils s'appelaient Zyed et Bouna. Leur mort va provoquer pendant trois semaines une vague de violences urbaines et embraser les banlieues françaises.

Dix ans après les émeutes, les maux des quartiers dits "sensibles" n'ont pas disparu, ni le sentiment d'abandon. Pire, par endroits, la situation semble avoir empirée. Etat des lieux avec un spécialiste, le sociologue Laurent Mucchielli, directeur de recherche au CNRS et auteur notamment de Quand les banlieues brûlent: retour sur les émeutes de novembre 2005.  


Faire un bilan, dix ans après, est intéressant. Mais les approches pseudo-commémoratives sont ridicules. Le problème, récurrent, c'est que l'on ne s'intéresse aux banlieues que lors d'événements ou de fait-divers, et pas au quotidien. C'est lié au fonctionnement événementiel des médias, mais aussi au fait que les gens qui ont le pouvoir dans les médias appartiennent à l'élite politique et économique. Ils portent un regard teinté d'anxiété, de suspicion, voire de mépris sur les quartiers populaires, qu'ils considèrent comme une jungle dangereuse.  

https://www.lexpress.fr/actualite/societe/10-ans-apres-les-emeutes-la-situation-des-banlieues-est-encore-plus-mauvaise_1729611.html

[Oligark]

https://www.lexpress.fr/actualite/societe/10-ans-apres-les-emeutes-la-situation-des-banlieues-est-encore-plus-mauvaise_1729611.html[/quote]

On s'intéresse à la misère étrangère plutôt qu'à la misère française bien moins vendeuse.

               
Etouffer la vérité pour mieux Reigner


Or la justice est depuis plusieurs années le maillon faible de toute politique de sécurité avec le paradoxe qu’elle est continuellement réformée au nom d’un impératif de simplicité, de proximité et d’efficacité. Mais derrière les mots, ce sont des réformes mal faites, mal pensées sans moyens ni vision d’ensemble qui finissent par désorganiser, complexifier, bureaucratiser, dégrader la qualité et le sens de la réponse pénale. Parler des moyens n’a aucun sens s’ils ne sont pas adossés à un projet clair de politique pénale qui doit hiérarchiser les priorités et mettre le dispositif judiciaire au cœur d’une réflexion sur les causes de la montée des violences. C’est un enjeu politique de premier ordre car la multiplicité des violences dégrade fortement le lien social causant un coût économique exorbitant et pouvant à terme détruire le pouvoir politique, la démocratie et la paix sociale.

[Oligark]

https://www.lexpress.fr/actualite/societe/10-ans-apres-les-emeutes-la-situation-des-banlieues-est-encore-plus-mauvaise_1729611.html

On s'intéresse à la misère étrangère plutôt qu'à la misère française bien moins vendeuse.

               
Etouffer la vérité pour mieux Reigner


Or la justice est depuis plusieurs années le maillon faible de toute politique de sécurité avec le paradoxe qu’elle est continuellement réformée au nom d’un impératif de simplicité, de proximité et d’efficacité. Mais derrière les mots, ce sont des réformes mal faites, mal pensées sans moyens ni vision d’ensemble qui finissent par désorganiser, complexifier, bureaucratiser, dégrader la qualité et le sens de la réponse pénale. Parler des moyens n’a aucun sens s’ils ne sont pas adossés à un projet clair de politique pénale qui doit hiérarchiser les priorités et mettre le dispositif judiciaire au cœur d’une réflexion sur les causes de la montée des violences. C’est un enjeu politique de premier ordre car la multiplicité des violences dégrade fortement le lien social causant un coût économique exorbitant et pouvant à terme détruire le pouvoir politique, la démocratie et la paix sociale.[/quote]

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