La conquête mensongère de Mars
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Frère Barnabé
Monsieur Trololo
Ferdinand de Talmont
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Re: La conquête mensongère de Mars
Vous aimez évoquer le nazisme , moi pas !Winipinkibubonepakolé a écrit:Et, ça va le cuistot là ?!
T'es sûr que ce n'est pas toi le gros facho ?
oscarire- Sage
- Messages : 5359
Date d'inscription : 16/10/2020
Re: La conquête mensongère de Mars
Sauf qu'il y a des moments dans la vie, mon petit gars, où qu'on aime l'évoquer ou pas, il faut parler du problème !
Marie-Pauline de Crécy- Sage
- Messages : 9051
Date d'inscription : 12/03/2022
Re: La conquête mensongère de Mars
Winipinkibubonepakolé a écrit:Oui, parce que c'est le sujet d'actualité du moment.
Il y a des néo-nazis qui tuent des gens en Ukraine,
Tiens c'est pas croyable il y a encore des gens qui gobent ces foutaises, je croyais pourtant qu'on avait suspendu Russia TV et Sputnik !
Monsieur Trololo- Vénérable
- Messages : 15509
Date d'inscription : 03/08/2021
Re: La conquête mensongère de Mars
Oui, mais on a laissé Ratatouille par contre !
Marie-Pauline de Crécy- Sage
- Messages : 9051
Date d'inscription : 12/03/2022
Re: La conquête mensongère de Mars
Pour en revenir à la conquête de Mars et d'autres planètes.
Le problème des humains dans l'espace repose sur 2 problèmes principaux :
les radiations gamma, rayonnement cosmique, et la gravité.
La gravité se résout pas trop difficilement avec des centrifugeuses (il n'est pas indispensables qu'elles soit énormes comme dans les films et romans de SF, car on peut les faire tourner très vite). Des tests ont été réalisés dans l'ISS. On pourrait facilement en positionner sur les planètes faible gravité que nous habiterions (et bien évidemment dans les vaisseaux et les stations orbitales), pour compenser.
Par contre le rayonnement gamma nécessite des écran très épais de matériaux lourds et denses (typiquement du plomb) ce qui n'est pas très compatibles avec le décollage de telles solutions.
Il faut savoir que les astronautes qui tournent autour de la Terre sont bien protégés par la magnétoshère terrestre et la protection perdure assez loin de la Terre. La Lune, au moment où elle était deux fois plus proche de la Terre (elle serait ralentie par les marées terrestres) était englobée et participait à cette magnétosphère.
Sur la Lune les astronaute gardent une certaine protection de ce type, mais au-delà elle disparait.
Il faut aussi savoir que le rayonnement solaire est nocif, mais on peut s'en protéger plus facilement que du rayonnement cosmique. le soleil et sa magnétosphère protège du rayonnement cosmique aussi, mais plus on s'éloigne du soleil, plus cette protection disparaît.
Toutes les planètes n'ont pas une magnétosphère active. Il leur faut un noyau métallique en mouvement (rotation de la planète ou glissement interne). Des éléments que nous connaissons sous forme de gaz, sous haute pression, au centre des grandes gazeuses deviennent métalliques.
Du coup Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune possèdent une magnétosphère très importante, et qui englobe généralement leurs satellites, qui sont du coup en partie protégés de rayonnements cosmiques. Ces satellites sont très poches de leur planète contrairement à la Lune, qui est atypique à ce niveau.
Mars ne possède pas de magnétosphère ! C'est ballot quand même. Du coup, pour se protéger ils faut se "terrer" à quelques mètres sous de la régolite martienne, sans jamais regarder le ciel martien. les sorties occasionnelles devraient être décomptés sur un temps global de sortie autorisée en plus du voyage pendant le quel on subira le rayonnement sans vraie protection. Et pour ce qui est de faire pousser des plantes dans des serres exposées au soleil, il faudra pas compter sur le soleil absent de longs mois pendant les tempêtes de sable. le sol martien en lui-même serait bon s'il ne fallait pas complètement le déchlorer avant. Autre défaut de Mars : une atmosphère quasi-inexistante qui nous obligera à porter un scaphandre sous pression comme dans l'espace ou sur la Lune.
Autre défaut de mars : malgré une gravité de 0.3 celle de la terre, elle oblige a avoir un système assez lourd pour atterrir et décoller. De plus l'atmosphère très tenue ne permet pas une freinage atmosphérique facile à maîtriser (il faudra pas s'imaginer atterrir juste en se freinant à la manière d'une navette spatiale mais compter sur d'énormes parachutes et l'usage de moteurs fusées pour freiner). Bref : grosse galère, faible intéret.
Tout ça alors qu'on a la Lune juste à côté nettement plus intéressant comme base de tremplin vers la conquête du système solaire.
Les planètes (ou corps célestes) qui présentent finalement un intérêt sont :
- la Lune
- les astéroîdes pour leurs minerais (deux d'entre eux seraient couverts d'or et de platine) et une gravité très faible permettant un "appontage".
- les satellites de géantes gazeuses, avec notamment Titan, le gros satellite de Saturne.
Titan collectionne les avantages.
Il a une gravité similaire à la Lune, possède une atmosphère plus dense que la Terre (carrément) largement composée d'azote (encore plus que sur Terre) et de méthane. Sa surface serait composée de glace et avec des océans, rivières et lacs de méthane, et d'un peu de hydrogène.
Bref : protection absolue contre les rayonnement cosmiques (mieux que sur Terre), scaphandre sous pression inutile, mais protection contre le froid (facile à faire). L'atmosphère en elle-même n'est pas respirable mais n'est pas toxique. On pourrait faire un respirateur portable extrayant l'oxygène des composés atmosphériques et de la glace moyennant une batterie. On aurait le carburant méthane et comburant (oxygène de la glace d'eau) à volonté pour redécoller. problème : l'éloignement de Saturne de la Terre.
Les déplacements à vitesse supérieure à la combustion des moteurs fusée chimiques classique : plusieurs possibilités se présentent et son étudiées des braves moteurs ioniques, aux voiles solaires, à la propulsion laser (voiles poussées par une laser terrestre ou lunaire), jusqu'aux moteurs à fusion (tuyère émettant un plasma de gaz en fusion). Aucun de ces moteurs ne relève de la science fiction, ni le réacteur nucléaire dont on a une bonne idée sur comment l'optimiser (les réacteurs nucléaires ont beaucoup de mal à se refroidir dans l'espace et il leur faut de gros radiateurs émetteurs de calories mais la chaleur peut aussi s'évacuer par un transfert de chaleur par le gaz ionisé des tuyères).
Bref, ces technos peuvent même aboutir à des vaisseaux capables d'approcher la vitesse de la lumière (10, 20, 40%).
Du coup on aborde le problème des très grandes vitesses.
Quand on dépasse des vitesses de l'ordre 1/100 la vitesse de la lumière, commence à se poser le problème des particules que rencontre le vaisseau. A 1/100 de la vitesse de la lumière une particule de l'ordre du cm va détruire un vaisseau classique. L'énergie générée par le choc va être proche d'une mini-bombe nucléaire. Il faudra une émission très puissante laser vers l'avant (pour dévier les particules) plus un bouclier conséquent pour prévenir ce genre de problème.
A 1/10e de la vitesse de la lumière ce sera une particule de l'ordre du mm cube qui va générer le même problème. A 40% de la vitesse de la lumière c'est une molécule complexe ou un atome lourd qui posera le même problème.
Or l'environnement du système solaire caractérisé par le vent solaire n'est pas totalement vide. Il y a des poussières et du gaz. il serait inconcevable jusque largement au-delà de pluton de vouloir aller à 1/100e de la vitesse de la lumière. Il faudra se contenter d'1000e de la vitesse de la lumière, ou alors adopter un bouclier conséquent et lourd à lavant du vaisseau pour atteindre les 1/100e.
Ensuite jusqu'à la sortie du nuage d'Oort, à une année lumière autour du Soleil, il faudra éviter de dépasser les 1% de la vitesse de la lumière ou alors adopter un bouclier avec laser pour 10% de la vitesse de la lumière. Et entre les étoiles on n'a aucune idée de la densité de l'espace... qui avec de la chance sera voisine de 0 effectif.
On voit donc que pour sortir du système solaire, on ne pourra éviter, et avec de gros risques, de perdre 10 années et pareil pour entrer dans un autre système stellaire équivalent.
Et bien pour aller sur Saturne avec un vaisseau qui monterait très rapidement (non réaliste) à la vitesse de 1/1000e de la vitesse lumière, il faudrait 2 mois. Si on utilise un vaisseau blindé à 1/100e de la vitesse de la lumière, il faudra toujours une semaine. Et pour atteindre cette vitesse de 1/100e de la vitesse de la lumière, ou décélérer, il faudra avec un moteur à fusion performant à raison de sensiblement moins de 0.1g d'accélération au moins un mois. Donc tout ça peut devenir praticable, mais on est à la limite du faisable technologique mais aussi théorique, sans même considérer les coûts.
Actuellement les meilleurs moteurs fusée chimiques permettent d'attendre une vitesse inférieur à 1/10 000e la vitesse de la lumière.
Il faut aussi noter Vénus. Vénus est un enfer de CO2 et acide sulfurique à plus de 400 degrés au sol. Oui mais dans un dirigeable à pression atmosphérique terrestre, on est à des températures terrestres stables (environ 20°C)... mais sans échapper aux nuages d'acide sulfurique bien présents à cette altitude de 50km au dessus du sol. De plus décollage après un atterrissage sont quasiment inconcevables sur Vénus qui a la même gravité que la Terre.
Mercure. Mercure est une planète métallique renfermant probablement beaucoup de minerais intéressants. Le bon coup serait d'atterrir sur le côté à l'ombre de la planète extraire les minerais en moins d'un mois et repartir avant la période du jour de 1 mois. L'un des problème est alors son attraction de 0.4g (supérieur à Mars), sans atmosphère pour freiner et difficile pour décoller avec probablement aucun moyen de tirer du carburant et comburant du sol.
Il faut bien comprendre que le principe actuel et à terme c'est de décoller et atterrir avec des moteurs chimiques ou freiné par l'atmosphère, quitte à faire des voyages interplanétaires grâce à des moteurs nucléaires ioniques ou à fusion. Il est donc impératif de devoir se réapprovisionner sur place, notamment extraire ou fabriquer du méthane-éthane/oxygène ou hydrogène/oxygène.
Le problème des humains dans l'espace repose sur 2 problèmes principaux :
les radiations gamma, rayonnement cosmique, et la gravité.
La gravité se résout pas trop difficilement avec des centrifugeuses (il n'est pas indispensables qu'elles soit énormes comme dans les films et romans de SF, car on peut les faire tourner très vite). Des tests ont été réalisés dans l'ISS. On pourrait facilement en positionner sur les planètes faible gravité que nous habiterions (et bien évidemment dans les vaisseaux et les stations orbitales), pour compenser.
Par contre le rayonnement gamma nécessite des écran très épais de matériaux lourds et denses (typiquement du plomb) ce qui n'est pas très compatibles avec le décollage de telles solutions.
Il faut savoir que les astronautes qui tournent autour de la Terre sont bien protégés par la magnétoshère terrestre et la protection perdure assez loin de la Terre. La Lune, au moment où elle était deux fois plus proche de la Terre (elle serait ralentie par les marées terrestres) était englobée et participait à cette magnétosphère.
Sur la Lune les astronaute gardent une certaine protection de ce type, mais au-delà elle disparait.
Il faut aussi savoir que le rayonnement solaire est nocif, mais on peut s'en protéger plus facilement que du rayonnement cosmique. le soleil et sa magnétosphère protège du rayonnement cosmique aussi, mais plus on s'éloigne du soleil, plus cette protection disparaît.
Toutes les planètes n'ont pas une magnétosphère active. Il leur faut un noyau métallique en mouvement (rotation de la planète ou glissement interne). Des éléments que nous connaissons sous forme de gaz, sous haute pression, au centre des grandes gazeuses deviennent métalliques.
Du coup Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune possèdent une magnétosphère très importante, et qui englobe généralement leurs satellites, qui sont du coup en partie protégés de rayonnements cosmiques. Ces satellites sont très poches de leur planète contrairement à la Lune, qui est atypique à ce niveau.
Mars ne possède pas de magnétosphère ! C'est ballot quand même. Du coup, pour se protéger ils faut se "terrer" à quelques mètres sous de la régolite martienne, sans jamais regarder le ciel martien. les sorties occasionnelles devraient être décomptés sur un temps global de sortie autorisée en plus du voyage pendant le quel on subira le rayonnement sans vraie protection. Et pour ce qui est de faire pousser des plantes dans des serres exposées au soleil, il faudra pas compter sur le soleil absent de longs mois pendant les tempêtes de sable. le sol martien en lui-même serait bon s'il ne fallait pas complètement le déchlorer avant. Autre défaut de Mars : une atmosphère quasi-inexistante qui nous obligera à porter un scaphandre sous pression comme dans l'espace ou sur la Lune.
Autre défaut de mars : malgré une gravité de 0.3 celle de la terre, elle oblige a avoir un système assez lourd pour atterrir et décoller. De plus l'atmosphère très tenue ne permet pas une freinage atmosphérique facile à maîtriser (il faudra pas s'imaginer atterrir juste en se freinant à la manière d'une navette spatiale mais compter sur d'énormes parachutes et l'usage de moteurs fusées pour freiner). Bref : grosse galère, faible intéret.
Tout ça alors qu'on a la Lune juste à côté nettement plus intéressant comme base de tremplin vers la conquête du système solaire.
Les planètes (ou corps célestes) qui présentent finalement un intérêt sont :
- la Lune
- les astéroîdes pour leurs minerais (deux d'entre eux seraient couverts d'or et de platine) et une gravité très faible permettant un "appontage".
- les satellites de géantes gazeuses, avec notamment Titan, le gros satellite de Saturne.
Titan collectionne les avantages.
Il a une gravité similaire à la Lune, possède une atmosphère plus dense que la Terre (carrément) largement composée d'azote (encore plus que sur Terre) et de méthane. Sa surface serait composée de glace et avec des océans, rivières et lacs de méthane, et d'un peu de hydrogène.
Bref : protection absolue contre les rayonnement cosmiques (mieux que sur Terre), scaphandre sous pression inutile, mais protection contre le froid (facile à faire). L'atmosphère en elle-même n'est pas respirable mais n'est pas toxique. On pourrait faire un respirateur portable extrayant l'oxygène des composés atmosphériques et de la glace moyennant une batterie. On aurait le carburant méthane et comburant (oxygène de la glace d'eau) à volonté pour redécoller. problème : l'éloignement de Saturne de la Terre.
Les déplacements à vitesse supérieure à la combustion des moteurs fusée chimiques classique : plusieurs possibilités se présentent et son étudiées des braves moteurs ioniques, aux voiles solaires, à la propulsion laser (voiles poussées par une laser terrestre ou lunaire), jusqu'aux moteurs à fusion (tuyère émettant un plasma de gaz en fusion). Aucun de ces moteurs ne relève de la science fiction, ni le réacteur nucléaire dont on a une bonne idée sur comment l'optimiser (les réacteurs nucléaires ont beaucoup de mal à se refroidir dans l'espace et il leur faut de gros radiateurs émetteurs de calories mais la chaleur peut aussi s'évacuer par un transfert de chaleur par le gaz ionisé des tuyères).
Bref, ces technos peuvent même aboutir à des vaisseaux capables d'approcher la vitesse de la lumière (10, 20, 40%).
Du coup on aborde le problème des très grandes vitesses.
Quand on dépasse des vitesses de l'ordre 1/100 la vitesse de la lumière, commence à se poser le problème des particules que rencontre le vaisseau. A 1/100 de la vitesse de la lumière une particule de l'ordre du cm va détruire un vaisseau classique. L'énergie générée par le choc va être proche d'une mini-bombe nucléaire. Il faudra une émission très puissante laser vers l'avant (pour dévier les particules) plus un bouclier conséquent pour prévenir ce genre de problème.
A 1/10e de la vitesse de la lumière ce sera une particule de l'ordre du mm cube qui va générer le même problème. A 40% de la vitesse de la lumière c'est une molécule complexe ou un atome lourd qui posera le même problème.
Or l'environnement du système solaire caractérisé par le vent solaire n'est pas totalement vide. Il y a des poussières et du gaz. il serait inconcevable jusque largement au-delà de pluton de vouloir aller à 1/100e de la vitesse de la lumière. Il faudra se contenter d'1000e de la vitesse de la lumière, ou alors adopter un bouclier conséquent et lourd à lavant du vaisseau pour atteindre les 1/100e.
Ensuite jusqu'à la sortie du nuage d'Oort, à une année lumière autour du Soleil, il faudra éviter de dépasser les 1% de la vitesse de la lumière ou alors adopter un bouclier avec laser pour 10% de la vitesse de la lumière. Et entre les étoiles on n'a aucune idée de la densité de l'espace... qui avec de la chance sera voisine de 0 effectif.
On voit donc que pour sortir du système solaire, on ne pourra éviter, et avec de gros risques, de perdre 10 années et pareil pour entrer dans un autre système stellaire équivalent.
Et bien pour aller sur Saturne avec un vaisseau qui monterait très rapidement (non réaliste) à la vitesse de 1/1000e de la vitesse lumière, il faudrait 2 mois. Si on utilise un vaisseau blindé à 1/100e de la vitesse de la lumière, il faudra toujours une semaine. Et pour atteindre cette vitesse de 1/100e de la vitesse de la lumière, ou décélérer, il faudra avec un moteur à fusion performant à raison de sensiblement moins de 0.1g d'accélération au moins un mois. Donc tout ça peut devenir praticable, mais on est à la limite du faisable technologique mais aussi théorique, sans même considérer les coûts.
Actuellement les meilleurs moteurs fusée chimiques permettent d'attendre une vitesse inférieur à 1/10 000e la vitesse de la lumière.
Il faut aussi noter Vénus. Vénus est un enfer de CO2 et acide sulfurique à plus de 400 degrés au sol. Oui mais dans un dirigeable à pression atmosphérique terrestre, on est à des températures terrestres stables (environ 20°C)... mais sans échapper aux nuages d'acide sulfurique bien présents à cette altitude de 50km au dessus du sol. De plus décollage après un atterrissage sont quasiment inconcevables sur Vénus qui a la même gravité que la Terre.
Mercure. Mercure est une planète métallique renfermant probablement beaucoup de minerais intéressants. Le bon coup serait d'atterrir sur le côté à l'ombre de la planète extraire les minerais en moins d'un mois et repartir avant la période du jour de 1 mois. L'un des problème est alors son attraction de 0.4g (supérieur à Mars), sans atmosphère pour freiner et difficile pour décoller avec probablement aucun moyen de tirer du carburant et comburant du sol.
Il faut bien comprendre que le principe actuel et à terme c'est de décoller et atterrir avec des moteurs chimiques ou freiné par l'atmosphère, quitte à faire des voyages interplanétaires grâce à des moteurs nucléaires ioniques ou à fusion. Il est donc impératif de devoir se réapprovisionner sur place, notamment extraire ou fabriquer du méthane-éthane/oxygène ou hydrogène/oxygène.
Dernière édition par Jeannot Lapin le Lun 18 Avr - 14:24, édité 2 fois
Jeannot Lapin- Sage
- Messages : 9223
Date d'inscription : 31/07/2021
Re: La conquête mensongère de Mars
Le problème actuel est de faire décoller des fusées avec une charge au-delà d'un certain poids.
Mais le problème principal est surtout humain :
l'apesanteur a des effets sur le corps humain.
Sur Mars par exemple, c'est un voyage de 7 mois rien que pour l'aller ; personne pour réceptionner les astronautes démusclés à l'arrivée ; impossibilité technique de faire redécoller des fusées depuis Mars pour le retour.
Ils cherchent à trouver le moyen de faire revenir les échantillons martiens qui ne pèsent que quelques kilos. Je crois qu'ils prévoient ça pour 2030.
Des projets comme Mars One (interdit par l'Union Européenne, on ne peut pas leur reprocher ça) sont des meurtres purs et simples : des meurtres filmés, spécial détraqués, contre de l'argent à d'autres détraqués qui se croient braves ... comme ils faisaient avec indiens !
Et non, ce n'est pas brave car c'est nourrir les détraqués et les encourager dans leurs délires de fous dangereux !
Ce sont des criminels contre lesquels il faut rester très vigilant !
Mais le problème principal est surtout humain :
l'apesanteur a des effets sur le corps humain.
Sur Mars par exemple, c'est un voyage de 7 mois rien que pour l'aller ; personne pour réceptionner les astronautes démusclés à l'arrivée ; impossibilité technique de faire redécoller des fusées depuis Mars pour le retour.
Ils cherchent à trouver le moyen de faire revenir les échantillons martiens qui ne pèsent que quelques kilos. Je crois qu'ils prévoient ça pour 2030.
Des projets comme Mars One (interdit par l'Union Européenne, on ne peut pas leur reprocher ça) sont des meurtres purs et simples : des meurtres filmés, spécial détraqués, contre de l'argent à d'autres détraqués qui se croient braves ... comme ils faisaient avec indiens !
Et non, ce n'est pas brave car c'est nourrir les détraqués et les encourager dans leurs délires de fous dangereux !
Ce sont des criminels contre lesquels il faut rester très vigilant !
Marie-Pauline de Crécy- Sage
- Messages : 9051
Date d'inscription : 12/03/2022
Re: La conquête mensongère de Mars
Les astronautes ont déjà du mal à faire tenir leur chorizo sur leur pizza et à ne pas se faire catchosossotter pour des actions "humanitaires" en redescendant d'apesanteur dans les vapes, vous ne croyez pas qu'ils vont aller sur Mars pour vos beaux yeux, non ?
Marie-Pauline de Crécy- Sage
- Messages : 9051
Date d'inscription : 12/03/2022
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