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Violences policières .
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Re: Violences policières .
Dédé 2B a écrit:L'assassin de Méric était simplement un employé de M' Serge Ayoub le responsable du service d'ordre du parti de Mme et Mr LePen!michou a écrit:
le v méric, n était pas un saint
Les protagonistes appartiennent à des groupes d'extrême gauche et d'extrême droite, dont les codes, les méthodes et les valeurs sont proches respectivement de ceux des Redskins pour les premiers et des Skinheads pour les seconds15.
Un brave gars qui as été embrigadé par des gens comme michou, enfin d'un autre niveau intellectuel!
Aujourd'hui toute sa famille subit les contrecoup, virés des armées comme son père et son oncle! Mal vu dans le quartier de ce pays de l'Aisne.
Ses regrets ne suffirons pas à calmer la haine que son cousin, un certain Dédé 2B a contre les Ayoub, Lousteau, feu Devedjian etc qui lui ont inculqué ce fascisme du 21ème siècle!
Pas plus que son combat contre les fachos des forums!
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Violences policières .
J'ai relu une grande partie du topic, et réponses.
Comme pour les accidents, et tous autres faits graves, et de société,
jamais rien n'est dévoilé. Quand aux médias, ils relatent des faits, sans connaitre
la réalité de ceux-ci.
Quand à critiquer la police, c'est impossible de l'empêcher, on voit ce qui se passe
lors de manifestations. Il y a ceux qui sont pour, et les autres.
Ces autres, ne sont pas ceux qu'on imagine, à l'égal des casseurs.
Quand à ces casseurs, pour eux en grande partie, ils ne font pas de politique, ils viennent à chaque manifestation pour semer le trouble.
Quand à la Police, elle est sous ordre; et lors de manifestations également.
Heureusement que nous avons une bonne Police pour nous défendre,
sinon la révolution serait déjà " à nos portes". Les actes commis contre la Police
le prouvent à eux seuls.
La Police doit-être respectée, or elle ne l'est plus, car une partie de la société a changé.
N'est pas Policier qui veut. La Police mérite notre soutien.
Quand aux violences policières, seul l'IGPN est juge.
Et je ne pense pas qu'ils communiquent avec les médias.
Comme pour les accidents, et tous autres faits graves, et de société,
jamais rien n'est dévoilé. Quand aux médias, ils relatent des faits, sans connaitre
la réalité de ceux-ci.
Quand à critiquer la police, c'est impossible de l'empêcher, on voit ce qui se passe
lors de manifestations. Il y a ceux qui sont pour, et les autres.
Ces autres, ne sont pas ceux qu'on imagine, à l'égal des casseurs.
Quand à ces casseurs, pour eux en grande partie, ils ne font pas de politique, ils viennent à chaque manifestation pour semer le trouble.
Quand à la Police, elle est sous ordre; et lors de manifestations également.
Heureusement que nous avons une bonne Police pour nous défendre,
sinon la révolution serait déjà " à nos portes". Les actes commis contre la Police
le prouvent à eux seuls.
La Police doit-être respectée, or elle ne l'est plus, car une partie de la société a changé.
N'est pas Policier qui veut. La Police mérite notre soutien.
Quand aux violences policières, seul l'IGPN est juge.
Et je ne pense pas qu'ils communiquent avec les médias.
Charlotte d'Ortega- Impétrant
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Re: Violences policières .
La police c'est le "hard power" de notre état de droits, le problème c'est que notre état de droits n'a plus de soft power (de grain à moudre pour tous), ni de frontières de souveraineté pour réguler correctement les choses, du coup la police pédale dans la semoule, elle n'a plus d'appuis.
Edouard de Montmonrency- Vénérable
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Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Violences policières .
Dédé 2B a écrit:L'assassin de Méric était simplement un employé de M' Serge Ayoub le responsable du service d'ordre du parti de Mme et Mr LePen!michou a écrit:
le v méric, n était pas un saint
Les protagonistes appartiennent à des groupes d'extrême gauche et d'extrême droite, dont les codes, les méthodes et les valeurs sont proches respectivement de ceux des Redskins pour les premiers et des Skinheads pour les seconds15.
Un brave gars qui as été embrigadé par des gens comme michou, enfin d'un autre niveau intellectuel!
Aujourd'hui toute sa famille subit les contrecoup, virés des armées comme son père et son oncle! Mal vu dans le quartier de ce pays de l'Aisne.
Ses regrets ne suffirons pas à calmer la haine que son cousin, un certain Dédé 2B a contre les Ayoub, Lousteau, feu Devedjian etc qui lui ont inculqué ce fascisme du 21ème siècle!
Pas plus que son combat contre les fachos des forums!
Ce qui montre à l'évidence la violence extrême de ces gens là, capables de tuer au nom de leur idéologie nauséabonde.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Localisation : Nouvelle Aquitaine
Vladimir de Volog- Vénérable
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Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: Violences policières .
"Heureusement que nous avons une bonne Police pour nous défendre,
sinon la révolution serait déjà " à nos portes". Les actes commis contre la Police
le prouvent à eux seuls.
La Police doit-être respectée, or elle ne l'est plus, car une partie de la société a changé.
N'est pas Policier qui veut. La Police mérite notre soutien." voilà qui a le mérite d'être clair, précis et vrai ... n'en déplaise aux " mélenchonistes" et autre "lepenistes"
sinon la révolution serait déjà " à nos portes". Les actes commis contre la Police
le prouvent à eux seuls.
La Police doit-être respectée, or elle ne l'est plus, car une partie de la société a changé.
N'est pas Policier qui veut. La Police mérite notre soutien." voilà qui a le mérite d'être clair, précis et vrai ... n'en déplaise aux " mélenchonistes" et autre "lepenistes"
harlan- Postulant
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Localisation : à gauche au fond du couloir !
Jean-Louis de Toqueville aime ce message
Re: Violences policières .
harlan a écrit:"Heureusement que nous avons une bonne Police pour nous défendre,
sinon la révolution serait déjà " à nos portes". Les actes commis contre la Police
le prouvent à eux seuls.
La Police doit-être respectée, or elle ne l'est plus, car une partie de la société a changé.
N'est pas Policier qui veut. La Police mérite notre soutien." voilà qui a le mérite d'être clair, précis et vrai ... n'en déplaise aux " mélenchonistes" et autre "lepenistes"
lol ... Pour l'extrême centre, rien ne vaut le bon vieux statu quo pour que la doctrine Fric First perdure le plus longtemps possible ;-)
Edouard de Montmonrency- Vénérable
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Compte supprimé Ejainiste- Sage
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Localisation : DentonQ
Re: Violences policières .
harlan a écrit:Heureusement que nous avons une bonne Police pour nous défendre, sinon la révolution serait déjà " à nos portes". Les actes commis contre la Policele prouvent à eux seuls.La Police doit-être respectée, or elle ne l'est plus, car une partie de la société a changé.N'est pas Policier qui veut. La Police mérite notre soutien."voilà qui a le mérite d'être clair, précis et vrai ... n'en déplaise aux " mélenchonistes" et autre "lepenistes"
Brav-M : Jours d’exclusion et blâme, les sanctions proposées pour avoir menacé un manifestant
Le préfet de police Laurent Nuñez propose de sanctionner deux policiers de la Brav-M, l’un par trois jours d’exclusion et le second par un blâme, a-t-on appris vendredi auprès de la préfecture de police.
En juin, le préfet avait suivi l’avis de l’IGPN (« la police des polices ») en décidant de renvoyer trois policiers de cette unité mobile en conseil de discipline. Quatre autres avaient été condamnés à un avertissement. Trois policiers ont comparu jeudi devant le conseil de discipline. Pour le troisième, il n’y a pas eu de décision, a-t-on appris de source proche du dossier.
Menaces d’un étudiant
20 Minutes avec AFP
Vladimir de Volog- Vénérable
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Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: Violences policières .
2 policiers ont été condamnés à 1 an de prison avec sursis pour des violences aggravées en Seine-Saint-Denis.
Comparaissant pour des violences aggravées sur un jeune habitant de Bondy, en février 2020, deux agents ont été condamnés à un an de prison avec sursis et d’interdiction de port d’arme. Un troisième agent a été relaxé. Le tribunal est allé beaucoup plus loin que les réquisitions du parquet.
2 policiers de la préfecture de police de Paris ont été condamnés, en juin, à 12 mois de prison avec sursis pour des violences aggravées ayant entraîné une incapacité totale de travail (ITT) de plus de 8 jours, commises en 2020 contre un jeune habitant de Bondy (Seine-Saint-Denis).
Ils ont d’abord nié face à l’Inspection générale de la police nationale (IGPN), avant de changer de version à l’audience, qui se tenait au tribunal correctionnel de Bobigny en avril.
Les policiers ont également interdiction de porter une arme pendant un an. Un troisième agent poursuivi dans cette affaire a été relaxé.
Dans le jugement que révèle Libération, le tribunal se fait fort de rappeler aux agents «qu’en ce qu’ils sont détenteurs d’une parcelle de l’autorité publique qui leur était déléguée, chacune de leurs actions impliquait les pouvoirs publics dans leur ensemble».
Les faits remontent au 8 février 2020. Dans la soirée, sept fonctionnaires de la brigade territoriale de contact (BTC) d’Aulnay-sous-Bois décident de se rendre, sans en avoir reçu l’ordre ni prévenu leur hiérarchie, dans la commune voisine de Bondy, hors de leur territoire de compétence.
Comparaissant pour des violences aggravées sur un jeune habitant de Bondy, en février 2020, deux agents ont été condamnés à un an de prison avec sursis et d’interdiction de port d’arme. Un troisième agent a été relaxé. Le tribunal est allé beaucoup plus loin que les réquisitions du parquet.
2 policiers de la préfecture de police de Paris ont été condamnés, en juin, à 12 mois de prison avec sursis pour des violences aggravées ayant entraîné une incapacité totale de travail (ITT) de plus de 8 jours, commises en 2020 contre un jeune habitant de Bondy (Seine-Saint-Denis).
Ils ont d’abord nié face à l’Inspection générale de la police nationale (IGPN), avant de changer de version à l’audience, qui se tenait au tribunal correctionnel de Bobigny en avril.
Les policiers ont également interdiction de porter une arme pendant un an. Un troisième agent poursuivi dans cette affaire a été relaxé.
Dans le jugement que révèle Libération, le tribunal se fait fort de rappeler aux agents «qu’en ce qu’ils sont détenteurs d’une parcelle de l’autorité publique qui leur était déléguée, chacune de leurs actions impliquait les pouvoirs publics dans leur ensemble».
Les faits remontent au 8 février 2020. Dans la soirée, sept fonctionnaires de la brigade territoriale de contact (BTC) d’Aulnay-sous-Bois décident de se rendre, sans en avoir reçu l’ordre ni prévenu leur hiérarchie, dans la commune voisine de Bondy, hors de leur territoire de compétence.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Violences policières .
Il ne fait pas bon être Policier en 2023
Que d'abnégation.
La Police est "un sacerdoce" au service du prochain!
Police, Gendarmerie, Pompiers, Militaires,
sont " nos anges gardiens".
Que d'abnégation.
La Police est "un sacerdoce" au service du prochain!
Police, Gendarmerie, Pompiers, Militaires,
sont " nos anges gardiens".
Charlotte d'Ortega- Impétrant
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Re: Violences policières .
Respect et soutien à eux.
Quand je vois que toute la gôchaille, l'extrême gauche et leurs assos violentes et délinquantes veulent manifester contre la police, les bras m'en tombent.
Il m'est avis que dans cette manif, les flics vont tabasser ferme la racaille séditieuse et anarchienne.
Je propose aux syndicats de policiers et à tous les citoyens qui défendent notre police la tenue d'une contre-manif anti-voyous, anti-délinquants et anti-bandits rouges....
Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
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Date d'inscription : 03/12/2021
2 policiers ont été condamnés à 1 an de prison avec sursis pour des violences aggravées en Seine-Saint-Denis.
2 policiers ont été condamnés à 1 an de prison avec sursis pour des violences aggravées en Seine-Saint-Denis.
Comparaissant pour des violences aggravées sur un jeune habitant de Bondy, en février 2020, deux agents ont été condamnés à un an de prison avec sursis et d’interdiction de port d’arme.
Un troisième agent a été relaxé. Le tribunal est allé beaucoup plus loin que les réquisitions du parquet.
2 policiers de la préfecture de police de Paris ont été condamnés, en juin, à 12 mois de prison avec sursis pour des violences aggravées ayant entraîné une incapacité totale de travail (ITT) de plus de 8 jours, commises en 2020 contre un jeune habitant de Bondy (Seine-Saint-Denis).
Ils ont d’abord nié face à l’Inspection générale de la police nationale (IGPN), avant de changer de version à l’audience, qui se tenait au tribunal correctionnel de Bobigny en avril.
Les policiers ont également interdiction de porter une arme pendant un an. Un troisième agent poursuivi dans cette affaire a été relaxé.
Dans le jugement que révèle Libération, le tribunal se fait fort de rappeler aux agents «qu’en ce qu’ils sont détenteurs d’une parcelle de l’autorité publique qui leur était déléguée, chacune de leurs actions impliquait les pouvoirs publics dans leur ensemble».
Les faits remontent au 8 février 2020.
Dans la soirée, sept fonctionnaires de la brigade territoriale de contact (BTC) d’Aulnay-sous-Bois décident de se rendre, sans en avoir reçu l’ordre ni prévenu leur hiérarchie, dans la commune voisine de Bondy, hors de leur territoire de compétence.
Dernière édition par Vladimir de Volog красны le Mer 13 Sep 2023 - 9:29, édité 1 fois
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Violences policières .
Oui mais être dans les Forces de l'Ordre,
est un sacerdoce. Les Policiers sont " nos anges gardiens",
contre la violence. Ainsi que la Gendarmerie, Les Douanes, Les Pompiers, Gardiens de Prison.
Sans eux, qu'en serait-il de nos vies, ceci
bien qu'ils n'aient pas toutes les armes voulues (au sens figuré du terme)
pour Nous apporter une protection majeure.
est un sacerdoce. Les Policiers sont " nos anges gardiens",
contre la violence. Ainsi que la Gendarmerie, Les Douanes, Les Pompiers, Gardiens de Prison.
Sans eux, qu'en serait-il de nos vies, ceci
bien qu'ils n'aient pas toutes les armes voulues (au sens figuré du terme)
pour Nous apporter une protection majeure.
Charlotte d'Ortega- Impétrant
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Clavier et Jean-Louis de Toqueville aiment ce message
Re: Violences policières .
""""Je propose aux syndicats de policiers et à tous les citoyens qui défendent notre police la tenue d'une contre-manif""""
lautoproclamecadresup en appelle à la guerre civile, comme les fachos de l''extrême droite de lepen , zemmour ou la maréchalnousvoilà .... pppppfffffttttt quand je vous dit qu'il en croque le gugusse !!!
lautoproclamecadresup en appelle à la guerre civile, comme les fachos de l''extrême droite de lepen , zemmour ou la maréchalnousvoilà .... pppppfffffttttt quand je vous dit qu'il en croque le gugusse !!!
Vladimir de Volog- Vénérable
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Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: Violences policières .
Vladimir de Volog красны a écrit:""""Je propose aux syndicats de policiers et à tous les citoyens qui défendent notre police la tenue d'une contre-manif""""
lautoproclamecadresup en appelle à la guerre civile, comme les fachos de l''extrême droite de lepen , zemmour ou la maréchalnousvoilà .... pppppfffffttttt quand je vous dit qu'il en croque le gugusse !!!
Une jeune femme de 24 ans, qui a été atteinte dimanche soir chez elle par des tirs de kalachnikov (qui visaient vraisemblablement un point de trafic de stupéfiants à Marseille), est en état de mort cérébrale, a annoncé lundi la procureure de Marseille
Celui qui a tiré sur cette femme c'est quoi ? , tu vas changer un peu avec tes noms a la cons , fachos , nazis etc...imbéciles tu vois pas où est le danger ? , tu le vois pas ou tu veux pas y voir ? ;
patatisanspatata- Sage
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Re: Violences policières .
Vladimir de Volog красны a écrit:""""Je propose aux syndicats de policiers et à tous les citoyens qui défendent notre police la tenue d'une contre-manif""""
lautoproclamecadresup en appelle à la guerre civile, comme les fachos de l''extrême droite de lepen , zemmour ou la maréchalnousvoilà .... pppppfffffttttt quand je vous dit qu'il en croque le gugusse !!!
Dommage, vous passez à coté de vos réponses, (débats).
Au final, " on reste sur sa faim".
Charlotte d'Ortega- Impétrant
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Re: Violences policières .
Charlotte d'Ortega a écrit:Vladimir de Volog красны a écrit:""""Je propose aux syndicats de policiers et à tous les citoyens qui défendent notre police la tenue d'une contre-manif""""
lautoproclamecadresup en appelle à la guerre civile, comme les fachos de l''extrême droite de lepen , zemmour ou la maréchalnousvoilà .... pppppfffffttttt quand je vous dit qu'il en croque le gugusse !!!
Dommage, vous passez à coté de vos réponses, (débats).
Au final, " on reste sur sa faim".
il fait que ça placarder , ses annonces ou ses insultes , il est chouette notre juge non ?
patatisanspatata- Sage
- Messages : 4352
Date d'inscription : 14/09/2022
les policiers qui ont grièvement blessé Hedi à Marseille le 2 juillet
les policiers qui ont grièvement blessé Hedi à Marseille le 2 juillet
Les premiers éléments de l’enquête judiciaire, sur les policiers qui ont grièvement blessé Hedi à Marseille le 2 juillet, sont accablants pour les mis en cause et leur hiérarchie : De faux rapports rédigés pour couvrir les faits, des déclarations contradictoires, et pour certains des implications dans d’autres affaires de violences
L'IGPN insiste : « Je vous rappelle que nous sommes policiers et non des voyous. Il est grand temps de nous raconter ce qu’il s’est passé exactement.»"
À 1 heure 56 minutes et 15 secondes, Hedi « tombe lourdement au sol » touché par le tir de LBD. Un policier le relève et le ramène à l’angle de deux rues. Quelques secondes plus tard, à 1 heure 56 minutes et 28 secondes, Hedi « est debout, marche en titubant, porte sa main droite à sa tête et est maintenu par un policier », selon les retranscriptions de l’IGPN.
À 1 heure 56 minutes et 35 secondes, un autre policier « assène un violent coup de pied à Hedi » et le fait chuter. Entouré de trois, puis de quatre policiers, « dos au sol », Hedi reçoit alors « deux coups de pied dans le ventre ou le bassin », plusieurs coups de poing notamment au visage.
A 1 heure 56 minutes et 50 secondes, alors que le jeune homme se relève en se protégeant la tête, un policier lui donne un coup de pied aux fesses, avant de le laisser partir.
Hedi n’a rien fait. Mais il a été massacré.
-Côté police : De faux rapports rédigés pour couvrir les faits, des déclarations contradictoires, et pour certains des implications dans d’autres affaires de violences.
-Le principal mis en cause a été libéré.
Les premiers éléments de l’enquête judiciaire, sur les policiers qui ont grièvement blessé Hedi à Marseille le 2 juillet, sont accablants pour les mis en cause et leur hiérarchie : De faux rapports rédigés pour couvrir les faits, des déclarations contradictoires, et pour certains des implications dans d’autres affaires de violences
L'IGPN insiste : « Je vous rappelle que nous sommes policiers et non des voyous. Il est grand temps de nous raconter ce qu’il s’est passé exactement.»"
À 1 heure 56 minutes et 15 secondes, Hedi « tombe lourdement au sol » touché par le tir de LBD. Un policier le relève et le ramène à l’angle de deux rues. Quelques secondes plus tard, à 1 heure 56 minutes et 28 secondes, Hedi « est debout, marche en titubant, porte sa main droite à sa tête et est maintenu par un policier », selon les retranscriptions de l’IGPN.
À 1 heure 56 minutes et 35 secondes, un autre policier « assène un violent coup de pied à Hedi » et le fait chuter. Entouré de trois, puis de quatre policiers, « dos au sol », Hedi reçoit alors « deux coups de pied dans le ventre ou le bassin », plusieurs coups de poing notamment au visage.
A 1 heure 56 minutes et 50 secondes, alors que le jeune homme se relève en se protégeant la tête, un policier lui donne un coup de pied aux fesses, avant de le laisser partir.
Hedi n’a rien fait. Mais il a été massacré.
-Côté police : De faux rapports rédigés pour couvrir les faits, des déclarations contradictoires, et pour certains des implications dans d’autres affaires de violences.
-Le principal mis en cause a été libéré.
Dernière édition par Vladimir de Volog красны le Mer 13 Sep 2023 - 9:28, édité 1 fois
Vladimir de Volog- Vénérable
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c’est volontairement que le véhicule de police a percuté le jeune Sefa».
Sefa, le jeune homme en état de mort cérébrale, percuté par une voiture de police à Élancourt, est mort en Turquie.
Il a été transféré dans un hôpital en Turquie dimanche soir et il est décédé quelques heures plus tard.
L'adolescent se trouvait en "état de mort cérébrale" depuis l'accident. Sa famille avait refusé qu'il soit débranché, contre l'avis des médecins de l'hôpital Beaujon.
Le jeune homme est suspecté d'un refus d'obtempérer alors que son deux-roues était "suivi à distance" par un autre véhicule de police. Une information judiciaire pour "blessures involontaires" a été ouverte mardi matin, a annoncé le parquet de Versailles.
L'avocat de la famille a pour sa part annoncé, jeudi soir, avoir déposé plainte pour tentative d'homicide volontaire et demandé le dépaysement du dossier, accusant le parquet de Versailles de "mensonges".
«Selon plusieurs sources, c’est volontairement que le véhicule de police a percuté le jeune Sefa».
L’avocat de la famille soutient que la police aurait utilisé la technique interdite du «tamponnage» pour interpeller l’adolescent.
Il a été transféré dans un hôpital en Turquie dimanche soir et il est décédé quelques heures plus tard.
L'adolescent se trouvait en "état de mort cérébrale" depuis l'accident. Sa famille avait refusé qu'il soit débranché, contre l'avis des médecins de l'hôpital Beaujon.
Le jeune homme est suspecté d'un refus d'obtempérer alors que son deux-roues était "suivi à distance" par un autre véhicule de police. Une information judiciaire pour "blessures involontaires" a été ouverte mardi matin, a annoncé le parquet de Versailles.
L'avocat de la famille a pour sa part annoncé, jeudi soir, avoir déposé plainte pour tentative d'homicide volontaire et demandé le dépaysement du dossier, accusant le parquet de Versailles de "mensonges".
«Selon plusieurs sources, c’est volontairement que le véhicule de police a percuté le jeune Sefa».
L’avocat de la famille soutient que la police aurait utilisé la technique interdite du «tamponnage» pour interpeller l’adolescent.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Violences policières .
patatisanspatata a écrit:Charlotte d'Ortega a écrit:Vladimir de Volog красны a écrit:""""Je propose aux syndicats de policiers et à tous les citoyens qui défendent notre police la tenue d'une contre-manif""""
lautoproclamecadresup en appelle à la guerre civile, comme les fachos de l''extrême droite de lepen , zemmour ou la maréchalnousvoilà .... pppppfffffttttt quand je vous dit qu'il en croque le gugusse !!!
Dommage, vous passez à coté de vos réponses, (débats).
Au final, " on reste sur sa faim".
il fait que ça placarder , ses annonces ou ses insultes , il est chouette notre juge non ?
Rarement débats. Raisons personnelles.
Charlotte d'Ortega- Impétrant
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Re: Violences policières .
Charlotte d'Ortega a écrit:patatisanspatata a écrit:Charlotte d'Ortega a écrit:Vladimir de Volog красны a écrit:""""Je propose aux syndicats de policiers et à tous les citoyens qui défendent notre police la tenue d'une contre-manif""""
lautoproclamecadresup en appelle à la guerre civile, comme les fachos de l''extrême droite de lepen , zemmour ou la maréchalnousvoilà .... pppppfffffttttt quand je vous dit qu'il en croque le gugusse !!!
Dommage, vous passez à coté de vos réponses, (débats).
Au final, " on reste sur sa faim".
il fait que ça placarder , ses annonces ou ses insultes , il est chouette notre juge non ?
Rarement débats. Raisons personnelles.
Comment pourrait-on débattre avec des personnes qui n'ont que l'insulte comme argument ou qui ont décidé une fois pour toutes qu'elles détenaient la vérité révélée.
Je n'ai pas de temps à perdre avec ces gens d'extrême droite.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Violences policières .
Pantin : Violences, faux PV… Jusqu’à un an de prison ferme pour cinq policiers de Seine-Saint-Denis
Le représentant du ministère les a qualifiés de « justiciers » se sentant « pousser des ailes ». Cinq policiers d’une brigade de proximité de Pantin (Seine-Saint-Denis) qui opéraient dans des quartiers sensibles ont été lourdement condamnés ce jeudi par le tribunal de Bobigny. Main fracturée à la matraque en guise de leçon, faux procès-verbaux, perquisition nocturne illégale… La liste est effrayante !
Âgés de 30 à 48 ans, cinq fonctionnaires de la brigade territoriale de contact (BTC) des Quatre Chemins ont écopé de peines allant de trois ans de prison dont deux avec sursis à six mois avec sursis pour des faits de violences et faux procès-verbaux en 2019-2020, au préjudice d’habitants des cités Scandicci et des Courtilières, connues pour héberger du trafic de drogues. Un sixième mis en cause a été relaxé. Le tribunal est allé au-delà des réquisitions du parquet, qui n’avait demandé à l’audience en juin que jusqu’à six mois de prison ferme et deux relaxes.
Peines de prison et interdictions d’exercer comme fonctionnaire de police
« Si les peines peuvent paraître importantes, le tribunal a eu à juger des personnes qui détiennent une parcelle de l’autorité publique, qui sont garantes de la liberté et la sécurité des citoyens et un pilier de la démocratie et de la République », a justifié la présidente du tribunal Dominique Pittilloni en conclusion de son délibéré.
Le gardien de la paix Raphaël I., qui a depuis quitté la police pour se reconvertir dans l’informatique, a écopé de la peine la plus lourde de trois ans de prison dont deux avec sursis pour de multiples violences au cours d’interpellations. Il a notamment gratuitement frappé un gardien d’immeuble, qui était simplement essoufflé d’avoir remonté des poubelles. La justice l’a interdit définitivement d’exercer comme fonctionnaire de police.
Aux côtés du gardien de la paix Yazid B., il a aussi été reconnu coupable d’avoir mené une perquisition illégale en pleine nuit, justifiant a posteriori celle-ci par un procès-verbal mensonger. Le second a été condamné à douze mois de prison dont six avec sursis pour des coups non justifiés portés à des interpellés en plusieurs occasions.
45 jours d’ITT pour un dealer, dont la main a été fracassée
À l’encontre du chef de la brigade Christian M., dit « Le Dictateur », le tribunal a prononcé une peine de dix-huit mois de prison dont dix assortis d’un sursis simple pour avoir fracassé à la matraque la main d’un jeune dealer dans une pièce du commissariat en guise de leçon. Les os fracturés, la victime a reçu 45 jours d’ITT.
Julien S., surnommé « L’Électricien » pour sa propension à utiliser le pistolet à impulsion électrique, a écopé de huit mois avec sursis pour des coups et jets de gaz lacrymogène. Damien P., dont le parquet avait demandé la relaxe, a été condamné à six mois de prison avec sursis pour des violences.
« Nettoyer les cités où il y a du trafic de stupéfiants, c’est effectivement une tâche honorable, mais uniquement dans le respect de la loi », avait tancé le procureur Loïc Pageot en préambule de son réquisitoire. Avec sa politique d’arrestations fondée sur « l’intimidation », « la violence gratuite » et « le harcèlement » au contrôle d’identité, la BTC Quatre Chemins donnait « l’impression d’une équipe qui se sent pousser des ailes, se voit une vocation de justiciers », avait pourfendu le représentant du ministère public.
La défense d’une théorie du complot
Au procès, la mémoire des prévenus et témoins s’est révélée souvent défaillante. « Je ne me souviens pas de cette intervention », a-t-on entendu à longueur des trois jours d’audience, comme un écho déformé des « je ne me souviens pas de cette conversation » qui ponctuent les procès de trafiquants de drogues.
Pour les prévenus, les accusations relevaient d’un « complot » de leurs collègues policiers sur fond de rivalités délétères entre les différents départements du commissariat de Pantin. Dans une police adepte des objectifs chiffrés, les statistiques flatteuses de la BTC Quatre Chemins en matière d'arrestations et de saisies de stupéfiants auraient fait bien des envieux. À les en croire, leur bande de jeunes loups détonnait trop dans une institution policière encroûtée, composée de collègues et de gradés « plus fonctionnaires que flics ». « On a suivi des mecs avec nos voitures perso, on a fait je sais pas combien d’affaires, on était des jeunes flicards qui en voulaient ! », avait plaidé devant ses juges Yazid B., 37 ans. En vain.
https://www.20minutes.fr/paris/4053072-20230914-pantin-violences-faux-pv-jusqu-an-prison-ferme-cinq-policiers-seine-saint-denis
Le représentant du ministère les a qualifiés de « justiciers » se sentant « pousser des ailes ». Cinq policiers d’une brigade de proximité de Pantin (Seine-Saint-Denis) qui opéraient dans des quartiers sensibles ont été lourdement condamnés ce jeudi par le tribunal de Bobigny. Main fracturée à la matraque en guise de leçon, faux procès-verbaux, perquisition nocturne illégale… La liste est effrayante !
Âgés de 30 à 48 ans, cinq fonctionnaires de la brigade territoriale de contact (BTC) des Quatre Chemins ont écopé de peines allant de trois ans de prison dont deux avec sursis à six mois avec sursis pour des faits de violences et faux procès-verbaux en 2019-2020, au préjudice d’habitants des cités Scandicci et des Courtilières, connues pour héberger du trafic de drogues. Un sixième mis en cause a été relaxé. Le tribunal est allé au-delà des réquisitions du parquet, qui n’avait demandé à l’audience en juin que jusqu’à six mois de prison ferme et deux relaxes.
Peines de prison et interdictions d’exercer comme fonctionnaire de police
« Si les peines peuvent paraître importantes, le tribunal a eu à juger des personnes qui détiennent une parcelle de l’autorité publique, qui sont garantes de la liberté et la sécurité des citoyens et un pilier de la démocratie et de la République », a justifié la présidente du tribunal Dominique Pittilloni en conclusion de son délibéré.
Le gardien de la paix Raphaël I., qui a depuis quitté la police pour se reconvertir dans l’informatique, a écopé de la peine la plus lourde de trois ans de prison dont deux avec sursis pour de multiples violences au cours d’interpellations. Il a notamment gratuitement frappé un gardien d’immeuble, qui était simplement essoufflé d’avoir remonté des poubelles. La justice l’a interdit définitivement d’exercer comme fonctionnaire de police.
Aux côtés du gardien de la paix Yazid B., il a aussi été reconnu coupable d’avoir mené une perquisition illégale en pleine nuit, justifiant a posteriori celle-ci par un procès-verbal mensonger. Le second a été condamné à douze mois de prison dont six avec sursis pour des coups non justifiés portés à des interpellés en plusieurs occasions.
45 jours d’ITT pour un dealer, dont la main a été fracassée
À l’encontre du chef de la brigade Christian M., dit « Le Dictateur », le tribunal a prononcé une peine de dix-huit mois de prison dont dix assortis d’un sursis simple pour avoir fracassé à la matraque la main d’un jeune dealer dans une pièce du commissariat en guise de leçon. Les os fracturés, la victime a reçu 45 jours d’ITT.
Julien S., surnommé « L’Électricien » pour sa propension à utiliser le pistolet à impulsion électrique, a écopé de huit mois avec sursis pour des coups et jets de gaz lacrymogène. Damien P., dont le parquet avait demandé la relaxe, a été condamné à six mois de prison avec sursis pour des violences.
« Nettoyer les cités où il y a du trafic de stupéfiants, c’est effectivement une tâche honorable, mais uniquement dans le respect de la loi », avait tancé le procureur Loïc Pageot en préambule de son réquisitoire. Avec sa politique d’arrestations fondée sur « l’intimidation », « la violence gratuite » et « le harcèlement » au contrôle d’identité, la BTC Quatre Chemins donnait « l’impression d’une équipe qui se sent pousser des ailes, se voit une vocation de justiciers », avait pourfendu le représentant du ministère public.
La défense d’une théorie du complot
Au procès, la mémoire des prévenus et témoins s’est révélée souvent défaillante. « Je ne me souviens pas de cette intervention », a-t-on entendu à longueur des trois jours d’audience, comme un écho déformé des « je ne me souviens pas de cette conversation » qui ponctuent les procès de trafiquants de drogues.
Pour les prévenus, les accusations relevaient d’un « complot » de leurs collègues policiers sur fond de rivalités délétères entre les différents départements du commissariat de Pantin. Dans une police adepte des objectifs chiffrés, les statistiques flatteuses de la BTC Quatre Chemins en matière d'arrestations et de saisies de stupéfiants auraient fait bien des envieux. À les en croire, leur bande de jeunes loups détonnait trop dans une institution policière encroûtée, composée de collègues et de gradés « plus fonctionnaires que flics ». « On a suivi des mecs avec nos voitures perso, on a fait je sais pas combien d’affaires, on était des jeunes flicards qui en voulaient ! », avait plaidé devant ses juges Yazid B., 37 ans. En vain.
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Vladimir de Volog- Vénérable
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