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Violences policières .
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Re: Violences policières .
Ceux qui soutiennent inconditionnellement les FDO se transforment en soutiens inconditionnels à des délinquants condamnés
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32751
Date d'inscription : 22/01/2018
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Re: Violences policières .
Ces condamnations devraient être affichées dans les commissariats .
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32751
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: Violences policières .
Vrais policiers qui donnent de faux PV le top niveau de la formation et du recrutement.
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32751
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: Violences policières .
Comme disait encore hier Nicolas Sarkozy:
les violences policières, ça ne peut pas exister....
Cherchez l'erreur....
Bien sur que partout il y a des gens qui ne sont pas à leurs places et qui usent et abusent du système.
D'ailleurs il est bien placé pour en parler....
les violences policières, ça ne peut pas exister....
Cherchez l'erreur....
Bien sur que partout il y a des gens qui ne sont pas à leurs places et qui usent et abusent du système.
D'ailleurs il est bien placé pour en parler....
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32751
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
...... tué d’une balle dans la poitrine .........
Les premières pièces de l’enquête judiciaire révèlent le rôle trouble du commissaire de Nanterre et mettent en lumière des versions divergentes entre les deux policiers.
Nahel Merzouk, 17 ans, est tué d’une balle dans la poitrine, tirée par Florian M, mis en examen pour meurtre et incarcéré depuis le 29 juin.
Selon la fiche «Pégase» – un document administratif policier qui relate l’intervention des agents –, c’est ce commissaire qui va affirmer que Florian M. était menacé par la trajectoire du véhicule quand il a ouvert le feu, une version qui pourrait justifier légalement le tir, alors que des images captées par des témoins démontreront bientôt l’inverse.
«A 10h11, TI 720 [qui correspond selon nos informations à l’indicatif du commissaire Jean-Charles Lucas, ndlr] précise les faits […] Le moteur coupé est rallumé et le conducteur fonce sur le fonctionnaire de police qui fait usage de son arme», détaille cette fiche rédigée depuis la salle de commandement.
Selon les éléments de l’enquête, c’est également ce commissaire présent sur les lieux qui va prévenir le parquet des faits. L’affaire est suivie par la procureure adjointe de Nanterre, Virginie Deneux. Cette dernière permet aux deux policiers d’être examinés par un médecin avant d’être auditionnés mais la hiérarchie policière fait pourtant le choix de conduire les deux motards au commissariat de Nanterre plutôt qu’à l’hôpital.
Au cours de ce laps de temps, l’enquête révèle que Florian M. a pu communiquer par téléphone avec deux de ses collègues et son syndicat. Quand les enquêteurs de l’IGPN arrivent sur les lieux des faits, un peu après 10 heures, ils ne savent d’ailleurs pas où se trouve le tireur et s’il est effectivement à l’hôpital pour un examen ou encore au commissariat de Nanterre.
...En début d’après-midi, les deux agents sont auditionnés dans le cadre d’une audition libre, sur consigne de la procureure adjointe : Florian M. en tant que suspect et Julien L. en tant que témoin. Le placement en garde à vue du tireur lui sera finalement notifié dix heures après les faits.
«Juste avant de me positionner, j’ai sorti mon arme. Je me mets au niveau du pare-brise, en opposition avec mon arme en tir fichant pour éviter de tirer n’importe où et pour viser le bas du corps si besoin il y avait», assure Florian M. Puis ce dernier «hurle de couper le contact» et affirme que son collègue «avait rentré le haut du corps dans l’habitacle». Ce dernier point est en contradiction avec ce que permettent d’observer les images de la scène.
«Quand j’ai senti qu’il allait accélérer fortement pour s’extirper, j’ai pris la décision d’ouvrir le feu pour stopper la fuite, car je pense que sinon il aurait pu renverser quelqu’un, embarquer mon collègue», assure Florian M.
Le policier ajoute avoir été «un peu poussé en même temps», car il était en «appui sur le pare-brise» et avoir craint d’être coincé par le mur qui se trouvait dans son dos. Aucun des deux policiers n’est blessé. La balle tirée par le policier traverse le cœur et les deux poumons de l’adolescent.
«L’examen audio de la séquence du tir semblait démontrer que les termes “balle dans la tête” avaient bien été employés mais sans pouvoir dire à qui les attribuer», note l’IGPN dans la synthèse des investigations rédigée à l’issue de la garde à vue de Florian M.
Dans leurs auditions, aucun des deux policiers ne reconnaît avoir prononcé ces mots et la confrontation organisée entre eux n’a rien apporté de plus. «Je n’ai jamais dit ces propos, en tout cas je ne m’en souviens pas et je ne me souviens pas que [Florian M.] les ait prononcés également», déclare Julien L.
Florian M est toujours incarcéré. Une demande de mise en liberté a été rejetée le 10 août par la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Versailles.
Nahel Merzouk, 17 ans, est tué d’une balle dans la poitrine, tirée par Florian M, mis en examen pour meurtre et incarcéré depuis le 29 juin.
Selon la fiche «Pégase» – un document administratif policier qui relate l’intervention des agents –, c’est ce commissaire qui va affirmer que Florian M. était menacé par la trajectoire du véhicule quand il a ouvert le feu, une version qui pourrait justifier légalement le tir, alors que des images captées par des témoins démontreront bientôt l’inverse.
«A 10h11, TI 720 [qui correspond selon nos informations à l’indicatif du commissaire Jean-Charles Lucas, ndlr] précise les faits […] Le moteur coupé est rallumé et le conducteur fonce sur le fonctionnaire de police qui fait usage de son arme», détaille cette fiche rédigée depuis la salle de commandement.
Selon les éléments de l’enquête, c’est également ce commissaire présent sur les lieux qui va prévenir le parquet des faits. L’affaire est suivie par la procureure adjointe de Nanterre, Virginie Deneux. Cette dernière permet aux deux policiers d’être examinés par un médecin avant d’être auditionnés mais la hiérarchie policière fait pourtant le choix de conduire les deux motards au commissariat de Nanterre plutôt qu’à l’hôpital.
Au cours de ce laps de temps, l’enquête révèle que Florian M. a pu communiquer par téléphone avec deux de ses collègues et son syndicat. Quand les enquêteurs de l’IGPN arrivent sur les lieux des faits, un peu après 10 heures, ils ne savent d’ailleurs pas où se trouve le tireur et s’il est effectivement à l’hôpital pour un examen ou encore au commissariat de Nanterre.
...En début d’après-midi, les deux agents sont auditionnés dans le cadre d’une audition libre, sur consigne de la procureure adjointe : Florian M. en tant que suspect et Julien L. en tant que témoin. Le placement en garde à vue du tireur lui sera finalement notifié dix heures après les faits.
«Juste avant de me positionner, j’ai sorti mon arme. Je me mets au niveau du pare-brise, en opposition avec mon arme en tir fichant pour éviter de tirer n’importe où et pour viser le bas du corps si besoin il y avait», assure Florian M. Puis ce dernier «hurle de couper le contact» et affirme que son collègue «avait rentré le haut du corps dans l’habitacle». Ce dernier point est en contradiction avec ce que permettent d’observer les images de la scène.
«Quand j’ai senti qu’il allait accélérer fortement pour s’extirper, j’ai pris la décision d’ouvrir le feu pour stopper la fuite, car je pense que sinon il aurait pu renverser quelqu’un, embarquer mon collègue», assure Florian M.
Le policier ajoute avoir été «un peu poussé en même temps», car il était en «appui sur le pare-brise» et avoir craint d’être coincé par le mur qui se trouvait dans son dos. Aucun des deux policiers n’est blessé. La balle tirée par le policier traverse le cœur et les deux poumons de l’adolescent.
«L’examen audio de la séquence du tir semblait démontrer que les termes “balle dans la tête” avaient bien été employés mais sans pouvoir dire à qui les attribuer», note l’IGPN dans la synthèse des investigations rédigée à l’issue de la garde à vue de Florian M.
Dans leurs auditions, aucun des deux policiers ne reconnaît avoir prononcé ces mots et la confrontation organisée entre eux n’a rien apporté de plus. «Je n’ai jamais dit ces propos, en tout cas je ne m’en souviens pas et je ne me souviens pas que [Florian M.] les ait prononcés également», déclare Julien L.
Florian M est toujours incarcéré. Une demande de mise en liberté a été rejetée le 10 août par la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Versailles.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Violences policières .
17 OCTOBRE 1961 Massacre d'Etat à Paris
https://infos-ouvrieres.fr/2023/11/01/17-octobre-1961-massacre-detat-de-maniestants-algeriens-a-paris/
https://infos-ouvrieres.fr/2023/11/01/17-octobre-1961-massacre-detat-de-maniestants-algeriens-a-paris/
André de Montalembert- Vénérable
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Localisation : Lucciana
Re: Violences policières .
Seine-Saint-Denis :
Un policier condamné pour des violences contre un jeune placé en garde à vue.
Un policier a été condamné, ce jeudi, par le tribunal correctionnel de Bobigny (Seine-Saint-Denis) à six mois de prison avec sursis et trois mois d’interdiction professionnelle pour avoir, en 2022, roué de coups un jeune homme qui se trouvait en cellule de garde à vue, au commissariat de Sevran.
« Vous avez complètement dérapé face à une situation que vous pouviez totalement maîtriser, » a assené le procureur Loïc Pageot en interrogeant l’agent, aujourd’hui âgé de 25 ans.
20 Minutes avec AFP
Un policier condamné pour des violences contre un jeune placé en garde à vue.
Un policier a été condamné, ce jeudi, par le tribunal correctionnel de Bobigny (Seine-Saint-Denis) à six mois de prison avec sursis et trois mois d’interdiction professionnelle pour avoir, en 2022, roué de coups un jeune homme qui se trouvait en cellule de garde à vue, au commissariat de Sevran.
« Vous avez complètement dérapé face à une situation que vous pouviez totalement maîtriser, » a assené le procureur Loïc Pageot en interrogeant l’agent, aujourd’hui âgé de 25 ans.
20 Minutes avec AFP
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Violences policières .
Seine-Saint-Denis : Un policier condamné pour des violences contre un médiateur.
Un policier a été condamné, ce jeudi, par le tribunal correctionnel de Bobigny à sept mois de prison avec sursis pour avoir asséné plusieurs coups à un médiateur de la ville de Sevran (Seine-Saint-Denis) en 2019, une affaire médiatisée par la diffusion d’une vidéo de l’interpellation.
Le fonctionnaire de police, âgé de 39 ans, a par ailleurs été condamné à verser plus de 3.000 euros au titre de la réparation des préjudices subis.
20 Minutes avec AFP
Un policier a été condamné, ce jeudi, par le tribunal correctionnel de Bobigny à sept mois de prison avec sursis pour avoir asséné plusieurs coups à un médiateur de la ville de Sevran (Seine-Saint-Denis) en 2019, une affaire médiatisée par la diffusion d’une vidéo de l’interpellation.
Le fonctionnaire de police, âgé de 39 ans, a par ailleurs été condamné à verser plus de 3.000 euros au titre de la réparation des préjudices subis.
20 Minutes avec AFP
Vladimir de Volog- Vénérable
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Enquête ouverte après le décès d’un piéton, percuté par un motard de la Brav-M
Enquête ouverte après le décès d’un piéton, percuté par un motard de la Brav-M.
Un homme est mort mi-décembre à Paris après avoir été percuté par un motard de la Brav-M, une unité de police controversée, et une enquête a été ouverte pour « déterminer les circonstances » de ce décès, a indiqué le parquet de Paris à 20 Minutes, confirmant une information de Mediapart.
L’enquête « pour homicide involontaire par conducteur » fait suite à un accident mortel impliquant une moto de la Brav-M et un riverain, né en 1939, qui traversait l’avenue de Flandre au feu vert pour les piétons, mardi 12 décembre dans le 19e arrondissement de la capitale, ajoute le Parquet.
L’enquête confiée à l’IGPN et au Service de traitement judiciaire des accidents.
Un homme est mort mi-décembre à Paris après avoir été percuté par un motard de la Brav-M, une unité de police controversée, et une enquête a été ouverte pour « déterminer les circonstances » de ce décès, a indiqué le parquet de Paris à 20 Minutes, confirmant une information de Mediapart.
L’enquête « pour homicide involontaire par conducteur » fait suite à un accident mortel impliquant une moto de la Brav-M et un riverain, né en 1939, qui traversait l’avenue de Flandre au feu vert pour les piétons, mardi 12 décembre dans le 19e arrondissement de la capitale, ajoute le Parquet.
L’enquête confiée à l’IGPN et au Service de traitement judiciaire des accidents.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Violences policières .
source : https://www.20minutes.fr/paris/4067238-20231218-enquete-ouverte-apres-deces-pieton-percute-motard-brav
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Violences policières .
Vladimir de Volog a écrit:source : https://www.20minutes.fr/paris/4067238-20231218-enquete-ouverte-apres-deces-pieton-percute-motard-brav
Avant longtemps il sera déclaré que ce pauvre homme s'est jeté sous les roues de la moto
Vladimir de Volog- Vénérable
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Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: Violences policières .
D'après le ministère de l'Intérieur, il s'agirait d'un suicide et d'une manipulation des islamo-gauchistes pour tenter de discréditer nos valeureux policiers.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Violences policières .
Vladimir de Volog a écrit:
D'après le ministère de l'Intérieur, il s'agirait d'un suicide et d'une manipulation des islamo-gauchistes pour tenter de discréditer nos valeureux policiers.
Donc les flics s'amusent à shooter les vieux en motos ??
Et il t'auraient loupé ?? J'en doute ...
Crapouille la vinasse- Maître
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Re: Violences policières .
Crapouille la vinasse
shut up coucou
Volog
shut up coucou
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Vladimir de Volog- Vénérable
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Oise : Un octogénaire meurt écrasé par un véhicule de gendarmes
Oise : Un octogénaire meurt écrasé par un véhicule de gendarmes
Lundi, dans l’Oise, un piéton de 81 ans est décédé à la suite d’une collision avec un véhicule de gendarmerie « qui partait en intervention, gyrophares allumés », a indiqué à l’AFP le procureur de Senlis, confirmant une information du média Oise-Hebdo.
Une enquête pour homicide involontaire a été ouverte à la suite de cette collision survenue entre 16h30 et 17 heures, sur une avenue de Senlis, dans l’Oise, précise le procureur, Loïc Abrial.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: Violences policières .
Le gyrophare n'est pas un permis de faire n'importe quoi !
Vladimir de Volog- Vénérable
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Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: Violences policières .
André de Montalembert a écrit:17 OCTOBRE 1961 Massacre d'Etat à Paris
https://infos-ouvrieres.fr/2023/11/01/17-octobre-1961-massacre-detat-de-maniestants-algeriens-a-paris/
Juin 731, les hordes musulmanes tuent et pillent le sud de la France... et pas un mot de la part des insoumis !!!
Minos de Rhadamanthe- Sage
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Localisation : Oise
Jacques Cartier aime ce message
Re: Violences policières .
Crapouille la vinasse a écrit:Vladimir de Volog a écrit:
D'après le ministère de l'Intérieur, il s'agirait d'un suicide et d'une manipulation des islamo-gauchistes pour tenter de discréditer nos valeureux policiers.
Donc les flics s'amusent à shooter les vieux en motos ??
Et il t'auraient loupé ?? J'en doute ...
Autant on a des cow boys dans la police autant parfois la défense de la racaille par des gauchistes naïfs manipulés par les frères musulmans est parfois excessive.
Revanchisti- Vénérable
- Messages : 10026
Date d'inscription : 04/09/2022
Clavier et Crapouille la vinasse aiment ce message
Re: Violences policières .
El l'on ne sait pas tout.
Dernière édition par Vladimir de Volog le Sam 13 Jan 2024 - 13:36, édité 1 fois
Vladimir de Volog- Vénérable
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Localisation : Nouvelle Aquitaine
Un syndicaliste policier au tribunal pour violences intrafamiliales
Un syndicaliste policier au tribunal pour violences intrafamiliales.
Jérôme Jimenez, porte-parole de l’Unsa Police, était jugé pour des violences physiques et psychologiques sur son ex-conjointe et son fils de 8 ans. Il nie les faits. Mardi, la procureure de République a requis un stage de parentalité...
Il lui est reproché d’avoir commis des violences sur sa conjointe ayant entraîné dix jours d’interruption totale de travail du 24 mars 2017 au 4 mai 2023, « en la menaçant avec un tournevis, en lui portant des coups de poing dans le dos, derrière la tête et sur le bras, en la poussant, en l’insultant, en lui tirant les cheveux, en la dénigrant ».
Le fonctionnaire est également mis en cause pour des violences sur son fils âgé de 8 ans « en lui tirant les cheveux, donnant une fessée, un coup de pied » en présence de sa sœur de 11 ans, du 1er novembre 2022 au 31 août 2023.
La procureure, elle, estime que les violences conjugales ne sont pas matérialisées : « Je ne suis pas certaine que vous ayez des éléments suffisants pour entrer en voie de condamnation. » En revanche, au sujet du fils : « Monsieur vous dit que son éducation est bienveillante, je ne suis pas d’accord avec ça. [...] Il crie sur les enfants, il a reconnu les fessées. » Elle demande une peine minimale : un stage de responsabilité parentale. Une honte !
Jérôme Jimenez, porte-parole de l’Unsa Police, était jugé pour des violences physiques et psychologiques sur son ex-conjointe et son fils de 8 ans. Il nie les faits. Mardi, la procureure de République a requis un stage de parentalité...
Il lui est reproché d’avoir commis des violences sur sa conjointe ayant entraîné dix jours d’interruption totale de travail du 24 mars 2017 au 4 mai 2023, « en la menaçant avec un tournevis, en lui portant des coups de poing dans le dos, derrière la tête et sur le bras, en la poussant, en l’insultant, en lui tirant les cheveux, en la dénigrant ».
Le fonctionnaire est également mis en cause pour des violences sur son fils âgé de 8 ans « en lui tirant les cheveux, donnant une fessée, un coup de pied » en présence de sa sœur de 11 ans, du 1er novembre 2022 au 31 août 2023.
La procureure, elle, estime que les violences conjugales ne sont pas matérialisées : « Je ne suis pas certaine que vous ayez des éléments suffisants pour entrer en voie de condamnation. » En revanche, au sujet du fils : « Monsieur vous dit que son éducation est bienveillante, je ne suis pas d’accord avec ça. [...] Il crie sur les enfants, il a reconnu les fessées. » Elle demande une peine minimale : un stage de responsabilité parentale. Une honte !
Vladimir de Volog- Vénérable
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Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: Violences policières .
Oise : Un octogénaire meurt écrasé par un véhicule de gendarmes
Lundi, dans l’Oise, un piéton de 81 ans est décédé à la suite d’une collision avec un véhicule de gendarmerie « qui partait en intervention, gyrophares allumés », a indiqué à l’AFP le procureur de Senlis, confirmant une information du média Oise-Hebdo.
Une enquête pour homicide involontaire a été ouverte à la suite de cette collision survenue entre 16h30 et 17 heures, sur une avenue de Senlis, dans l’Oise, précise le procureur, Loïc Abrial.
Lundi, dans l’Oise, un piéton de 81 ans est décédé à la suite d’une collision avec un véhicule de gendarmerie « qui partait en intervention, gyrophares allumés », a indiqué à l’AFP le procureur de Senlis, confirmant une information du média Oise-Hebdo.
Une enquête pour homicide involontaire a été ouverte à la suite de cette collision survenue entre 16h30 et 17 heures, sur une avenue de Senlis, dans l’Oise, précise le procureur, Loïc Abrial.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: Violences policières .
Minos de Rhadamanthe a écrit:André de Montalembert a écrit:17 OCTOBRE 1961 Massacre d'Etat à Paris
https://infos-ouvrieres.fr/2023/11/01/17-octobre-1961-massacre-detat-de-maniestants-algeriens-a-paris/
Juin 731, les hordes musulmanes tuent et pillent le sud de la France... et pas un mot de la part des insoumis !!!
Heureusement il y a eu 732 et notre ami Charles !
Jacques Cartier- Chef
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Re: Violences policières .
On comprend que leurs descendant aient de la rancœur, et je ne parles même pas de la colonisation, en Algérie en 62 on pouvaient en voir des restes!Jacques Cartier a écrit:Minos de Rhadamanthe a écrit:André de Montalembert a écrit:17 OCTOBRE 1961 Massacre d'Etat à Paris
https://infos-ouvrieres.fr/2023/11/01/17-octobre-1961-massacre-detat-de-maniestants-algeriens-a-paris/
Juin 731, les hordes musulmanes tuent et pillent le sud de la France... et pas un mot de la part des insoumis !!!
Heureusement il y a eu 732 et notre ami Charles !
André de Montalembert- Vénérable
- Messages : 10554
Date d'inscription : 13/12/2022
Age : 81
Localisation : Lucciana
Re: Violences policières .
Fin 2022, un major de police de Blois refuse de prendre la plainte de Chloé contre son ex, prétextant l'heure tardive (17h). 2h après, son ex la frappe jusqu'au coma. Les syndicats de police ont refusé de voter sa révocation.
Le policier qui a éconduit la jeune femme, en décembre 2022, est mis à la retraite d'office.
Deux heures après avoir été éconduite par ce policier, Chloé, 24 ans, était violemment agressée par son ex-compagnon, dans le hall de son immeuble. Elle en gardera des séquelles définitives.
La jeune femme voulait porter plainte pour des faits de menaces, de violences et de harcèlement, au commissariat de Blois, le policier lui demande de repasser le lendemain. Alors qu'il avait déjà été averti par sa hiérarchie quelques mois plus tôt, pour négligences professionnelles, ce major de 55 ans a été suspendu de ses fonctions après les faits. Il avait expliqué à l'IGPN, la police des polices, avoir eu une "mauvaise interprétation de la situation", indiquant également avoir occupé plusieurs postes à la fois ce jour-là.
Sa mise à la retraite d'office lui a été notifiée le 1er novembre 2023. Il ne peut donc plus exercer au sein de la police et il ne peut bénéficier d'une retraite à taux plein puisque la barre est fixée à 57 ans. La sanction, décidée par la direction générale de la police nationale, aurait cependant pu être plus lourde puisque le policier échappe à la révocation.
Le policier qui a éconduit la jeune femme, en décembre 2022, est mis à la retraite d'office.
Deux heures après avoir été éconduite par ce policier, Chloé, 24 ans, était violemment agressée par son ex-compagnon, dans le hall de son immeuble. Elle en gardera des séquelles définitives.
La jeune femme voulait porter plainte pour des faits de menaces, de violences et de harcèlement, au commissariat de Blois, le policier lui demande de repasser le lendemain. Alors qu'il avait déjà été averti par sa hiérarchie quelques mois plus tôt, pour négligences professionnelles, ce major de 55 ans a été suspendu de ses fonctions après les faits. Il avait expliqué à l'IGPN, la police des polices, avoir eu une "mauvaise interprétation de la situation", indiquant également avoir occupé plusieurs postes à la fois ce jour-là.
Sa mise à la retraite d'office lui a été notifiée le 1er novembre 2023. Il ne peut donc plus exercer au sein de la police et il ne peut bénéficier d'une retraite à taux plein puisque la barre est fixée à 57 ans. La sanction, décidée par la direction générale de la police nationale, aurait cependant pu être plus lourde puisque le policier échappe à la révocation.
Vladimir de Volog- Vénérable
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