Re: C'est déjà le début de la fin pour Poutine !

[El Rachid Ibn Youssoufi2]

Poutine fait partie du NWO. Toute cette guerre n'est que de la poudre aux yeux pour amorcer la décroissance. Le Covid était le point de départ.

[Revanchisti]

Poutine est dans un pays capitaliste de production.
Le fait qu'il a essayé par le passé de rejoindre Davos et de faire de la Russie un pays capitaliste financier ne change pas cetet réalité.

[Henri-Gatien Bertrand]

Poutine dispose de missiles hypersoniques, ça va vraiment mais alors vraiment très vite, si bien qu'il n'y a même pas besoin de les charger de matières explosives pour détruire une cible, la seule impacte suffit à générer un cratère, donc, pour le coup, l'arme nucléaire va rester dans son rôle, à savoir être dissuasive.

D'ailleurs je me demande une chose : qu'est-ce qui provoque le plus de dégâts ? un pétard lancé à mach 2 ou ce même pétard vide mais lancé à mach 20 ?

[Henri-Gatien Bertrand]

Poutine fait partie du NWO. Toute cette guerre n'est que de la poudre aux yeux pour amorcer la décroissance. Le Covid était le point de départ.

Effectivement, le NWO est le but final de cette guerre et de la prochaine qui opposera la Chine et Taïwan, mais en réalité, il y a 2 visions du NWO qui s'opposent :
- La version étasunienne qui se veut ultra libérale, on retrouve dans ce camps-là Trudeau, Macron, Biden et bien d'autres
- La version russe qui se veut quant à elle nationaliste, on retrouve dans ce camps-là Bolsonaro, Trump, Poutine, Xi-Jing Pin et bien d'autres.

Le Covid a été le point de départ de notre point de vue mais en réalité, cette confrontation dure depuis très très longtemps, peut-être même des siècles.

[Henri-Gatien Bertrand]

Poutine est dans un pays capitaliste de production.
Le fait qu'il a essayé par le passé de rejoindre Davos et de faire de la Russie un pays capitaliste financier ne change pas cetet réalité.

On vit dans un monde capitaliste, dans un monde de marché, si quelqu'un a quelque chose à vendre ou à échanger, il ne va pas rester cloitré dans son coin, il va naturellement essayer de le proposer à la vente ou à l'échange avec d'autres qui feront pareil, ça ne vous ai jamais arrivé de vendre quelque chose sur le bon coin ?
Un Etat, c'est la même chose que vous mais à une bien plus grande échelle.
Le capitalisme n'est pas nécessairement une mauvaise chose, ce qui est mauvais en revanche, c'est l'abus qui en est fait et ça vaut dans tous les domaines.
Je préconise donc un plafonnement des patrimoines à 20 millions d'€, du coup, plus personne ne serait motivé par l'apat du gain ou bien moins et l'excédent reviendrait à l'Etat.
Du coup, on ne pairait presque plus d'impôts, et il y aurait naturellement un rééquilibrage économique avec une moindre grande différence entre les riches et les classes moyennes puisque dans ce monde-là, il n'y aurait plus de pauvre.

[Clavier]

Bref ...ce n'est pas la fin pour Poutine

[Cedille]

Le capitalisme "désigne au sens strict un système économique fondé sur la primauté du droit de propriété individuelle et en particulier de la propriété privée des moyens de production. Le capitalisme est un régime économique et social dans lequel les capitaux, source de revenus, n'appartiennent pas, en règle générale, à celles et ceux qui les mettent en valeur par leur travail." [...]

Il "est basé sur le principe d'accumulation continue du capital, sachant que celui-ci se déprécie au cours du temps. L'investissement permet l'augmentation et le renouvellement du capital. L'entreprise est le lieu central de cette accumulation.

[Cedille]

En macro-économie, l'accumulation du capital est le processus qui permet de transformer l'épargne en moyens de production ou en actifs financiers. Avec le travail et le progrès technique, elle est l'un des facteurs de production qui est nécessaire au développement économique. Ce concept est issu de l'économie politique classique chez Adam Smith et David Ricardo.

Au sein des entreprises, l’accumulation du capital est liée à l'investissement qui est financé par l'excédent brut d'exploitation ou par l'emprunt. Comme le capital subit une dépréciation permanente du fait de son utilisation pour la production, il y a accroissement du capital et donc accumulation si l'investissement brut est supérieur à cette dépréciation.


Dans l'économie politique critique de Karl Marx (1818-1883) et de ses disciples, l'accumulation du capital, qui commence avec la "révolution industrielle", désigne le processus qui permet au capital de s'accroître. Sa conséquence est de mettre l'ensemble des biens d'un pays aux mains de la "classe possédante", la bourgeoisie.

Karl Marx montra que les capitalistes réinvestissent en grande partie la plus-value dégagée par l'exploitation des travailleurs afin d'accroître sans cesse les capacités de production pour en retirer toujours plus de profits. Cette course en avant provoque des crises économiques de surproduction ou de suraccumulation de capital qui ne peut plus être rentabilisé au niveau attendu. Pour Marx, ces crises sont des contradictions inhérentes au capitalisme.

De nos jours, la crise écologique remet en question les dogmes, tant libéraux d'une croissance économique sans fin par l'accumulation du capital que marxistes d'un développement illimité des forces de production, qui seraient synonymes d'amélioration du bien être.

[Revanchisti]

Le capitalisme "désigne au sens strict un système économique fondé sur la primauté du droit de propriété individuelle et en particulier de la propriété privée des moyens de production. Le capitalisme est un régime économique et social dans lequel les capitaux, source de revenus, n'appartiennent pas, en règle générale, à celles et ceux qui les mettent en valeur par leur travail." [...]

Il "est basé sur le principe d'accumulation continue du capital, sachant que celui-ci se déprécie au cours du temps. L'investissement permet l'augmentation et le renouvellement du capital. L'entreprise est le lieu central de cette accumulation.

Propriété lucrative et privée des grand moyen de production et d'échange.

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