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SUPREMACISTES DANS NOS FORCES DE L'ORDRE
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Re: SUPREMACISTES DANS NOS FORCES DE L'ORDRE
Dédé 2B a écrit:Et les capitalistes avec leurs deux guerres mondiales et les guerres coloniales, Dieu pardonne?heureux a écrit:C'est des tatouages, c'est tout.
les communistes ont bien plus tuer
mon simple avis
dieu pardonne leurs péchés
Ce ne sont pas les capitalistes qui ont déclenché les deux guerres mondiales, ça c'est l'antienne imbécile et irraisonnée des gauchistes !
Vous tentez piteusement de charger le capitalisme de tous les maux, alors qu'il n'existe pas, c'est une théorie. Vous pensez ainsi minimiser les horreurs et les crimes communistes, mais la ficelle est un peu grosse.
Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
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Date d'inscription : 03/12/2021
Re: SUPREMACISTES DANS NOS FORCES DE L'ORDRE
Jean-Louis de Toqueville a écrit:Dédé 2B a écrit:Et les capitalistes avec leurs deux guerres mondiales et les guerres coloniales, Dieu pardonne?heureux a écrit:C'est des tatouages, c'est tout.
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Ce ne sont pas les capitalistes qui ont déclenché les deux guerres mondiales, ça c'est l'antienne imbécile et irraisonnée des gauchistes !
Vous tentez piteusement de charger le capitalisme de tous les maux, alors qu'il n'existe pas, c'est une théorie. Vous pensez ainsi minimiser les horreurs et les crimes communistes, mais la ficelle est un peu grosse.
C'est le paysan et l'ouvrier qui l'ont déclenché ?
zarathustra- Sage
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Re: SUPREMACISTES DANS NOS FORCES DE L'ORDRE
Hitler et Hjalmar Schacht n'étaient pas de capitalistes?Ce ne sont pas les capitalistes qui ont déclenché les deux guerres mondiales, ça c'est l'antienne imbécile et irraisonnée des gauchistes !
En 14 - 18 Staline e et mao ont déclaré la guerre ?
Je te rappelle que Trotsky à arrété la guerre en 17!
https://www.persee.fr/doc/efr_0000-0000_1987_act_95_1_2887
André de Montalembert- Vénérable
- Messages : 10554
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Age : 81
Localisation : Lucciana
Re: SUPREMACISTES DANS NOS FORCES DE L'ORDRE
Dédé 2B a écrit:Et les capitalistes avec leurs deux guerres mondiales et les guerres coloniales, Dieu pardonne?heureux a écrit:C'est des tatouages, c'est tout.
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heureux- Postulant
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Date d'inscription : 06/06/2023
Re: SUPREMACISTES DANS NOS FORCES DE L'ORDRE
heureux a écrit:Dédé 2B a écrit:Et les capitalistes avec leurs deux guerres mondiales et les guerres coloniales, Dieu pardonne?heureux a écrit:C'est des tatouages, c'est tout.
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Tiens un nouveau, vraisemblablement bas du front. Je crois qu'on va s'amuser ... encore un alias de ... chuuuttt faut pas dire
Vladimir de Volog- Vénérable
- Messages : 32866
Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: SUPREMACISTES DANS NOS FORCES DE L'ORDRE
heureux a écrit:Dédé 2B a écrit:Et les capitalistes avec leurs deux guerres mondiales et les guerres coloniales, Dieu pardonne?heureux a écrit:C'est des tatouages, c'est tout.
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Vladimir de Volog- Vénérable
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Date d'inscription : 22/01/2018
Localisation : Nouvelle Aquitaine
Re: SUPREMACISTES DANS NOS FORCES DE L'ORDRE
Dieu te pardonnera tes crimes à l'égard des catholiques.
Tous hurlaient : « Communistes, assassins ! », « Boudarel, assassin ! » Ainsi s'est terminé, en défilé de la Mutualité à Notre-Dame, dans une atmosphère quelque peu hystérique, la journée de « procès international des crimes contre l'humanité des régimes communistes » organisée, dimanche 9 novembre, par Chrétienté-Solidarité, à la salle de la Mutualité, à Paris. « Il ne s'agit pas d'une procédure pénale, mais d'un procès moral », avait pris la précaution de préciser M. Antony, qui n'ignore pas que le principal accusé de la journée, celui dont le portrait figurait sur les affichettes annonçant le « procès », le Français Georges Boudarel, bénéficie d'un non-lieu pour ses activités dans le camp viet-minh 113, où il était « commissaire politique ». M. Boudarel n'était qu'un symbole pour un procès politique où il s'agissait de montrer, comme l'ont affirmé tour à tour l'ancien député Pierre Clostermann, aviateur de la France libre, le journaliste d'extrême droite Jean-Pierre Cohen, ou l'ancien député Alain Griotteray, lui aussi ancien résistant, qui avait envoyé un message de sympathie, qu'« Hitler était un bébé à côté de Staline », que « devant les responsables des crimes communistes, Papon fait figure de petit garçon » et, enfin, que « le communisme et le nazisme sont les monstrueux rejetons du marxisme et du socialisme ». « VOLEURS D'ÂMES »
D'anciens détenus au Vietnam, en URSS, au Laos sont venus témoigner, réclamant que les « voleurs d'âmes », les auteurs de « lavages de cerveaux » des régimes communistes soient jugés pour crimes contre l'humanité. Pour M. Antony, Karl Marx a « fait allégeance à Satan, et le communisme a été marqué de cette allégeance ». Le nombre des victimes des Goulags s'élèverait à deux cents millions et « non à quatre-vingt-cinq millions, comme par je ne sais quel révisionnisme certains le prétendent », a-t-il précisé en rejetant ainsi l'évaluation du Livre noir du communisme (Le Monde daté 9-10 novembre)
Tous hurlaient : « Communistes, assassins ! », « Boudarel, assassin ! » Ainsi s'est terminé, en défilé de la Mutualité à Notre-Dame, dans une atmosphère quelque peu hystérique, la journée de « procès international des crimes contre l'humanité des régimes communistes » organisée, dimanche 9 novembre, par Chrétienté-Solidarité, à la salle de la Mutualité, à Paris. « Il ne s'agit pas d'une procédure pénale, mais d'un procès moral », avait pris la précaution de préciser M. Antony, qui n'ignore pas que le principal accusé de la journée, celui dont le portrait figurait sur les affichettes annonçant le « procès », le Français Georges Boudarel, bénéficie d'un non-lieu pour ses activités dans le camp viet-minh 113, où il était « commissaire politique ». M. Boudarel n'était qu'un symbole pour un procès politique où il s'agissait de montrer, comme l'ont affirmé tour à tour l'ancien député Pierre Clostermann, aviateur de la France libre, le journaliste d'extrême droite Jean-Pierre Cohen, ou l'ancien député Alain Griotteray, lui aussi ancien résistant, qui avait envoyé un message de sympathie, qu'« Hitler était un bébé à côté de Staline », que « devant les responsables des crimes communistes, Papon fait figure de petit garçon » et, enfin, que « le communisme et le nazisme sont les monstrueux rejetons du marxisme et du socialisme ». « VOLEURS D'ÂMES »
D'anciens détenus au Vietnam, en URSS, au Laos sont venus témoigner, réclamant que les « voleurs d'âmes », les auteurs de « lavages de cerveaux » des régimes communistes soient jugés pour crimes contre l'humanité. Pour M. Antony, Karl Marx a « fait allégeance à Satan, et le communisme a été marqué de cette allégeance ». Le nombre des victimes des Goulags s'élèverait à deux cents millions et « non à quatre-vingt-cinq millions, comme par je ne sais quel révisionnisme certains le prétendent », a-t-il précisé en rejetant ainsi l'évaluation du Livre noir du communisme (Le Monde daté 9-10 novembre)
heureux- Postulant
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Date d'inscription : 06/06/2023
Re: SUPREMACISTES DANS NOS FORCES DE L'ORDRE
Parmi les violences ayant le plus marqué l'opinion internationale durant la guerre civile espagnole, les attaques contre le clergé espagnol causent un émoi particulier14. Celles-ci incluent des profanations de monastères, d'églises et de gravures religieuses, ainsi que le meurtre de 6 832 membres du clergé catholique15.
Pour l'historien français Guy Hermet, le massacre des prêtres espagnols représente « la plus grande hécatombe anticléricale avec celles de la France révolutionnaire puis du Mexique d'après 1911 »16.
L'historien Bartolomé Bennassar rappelle que, « dès mai 1931, une centaine d'églises avaient été détruites ». Des groupes anarchistes s'en prennent à des prêtres et à des monastères dans les premiers mois de la guerre civile (1936)17, le clergé catholique étant souvent vu comme un bastion du conservatisme et de l'ordre établi. La propagande du camp nationaliste avance initialement le chiffre de 20 000 prêtres massacrés. L'historien britannique Antony Beevor cite le chiffre de 13 évêques, 41 814 prêtres, 2 365 membres d'ordres divers et 283 religieuses, pour la plupart tués au cours de l'été 1936.
Des exactions sont commises en Aragon, en Catalogne et à Valence, où des églises sont incendiées et vandalisées. Des prêtres sont brûlés vifs dans leurs églises, et l'on signale des cas de castration et d'éviscération[réf. nécessaire]18.
Les violences contre le clergé ont lieu à peu près partout sauf au Pays basque espagnol19.
Rapporté à l'ensemble des effectifs du clergé espagnol, le nombre de victimes représente 13 % des prêtres diocésains, 23 % des religieux et 3 à 4 % des religieuses. Les proportions, qui concernent l'ensemble du territoire espagnol, sont largement dépassées s'agissant de la seule zone « loyaliste » : les assassinats de prêtres concernent 87,8 % de ceux du diocèse de Barbastro et 63,5 % de ceux du diocèse de Lérida. D'autres diocèses perdent 30 à 50 % de leurs prêtres. Pendant plusieurs mois, en dehors du Pays basque, le seul fait d'être reconnu comme prêtre peut constituer un motif d'assassinat ou d'exécution20.
Dans la région de Barcelone, où les anarchistes sont rapidement maîtres de la rue21, le massacre commence dès le 19 juillet 1936 : des groupes entiers de prêtres, parfois capturés dans leurs cachettes, sont fusillés, cela jusqu'en mars 1937, et des « incidents mortels » se produisent jusqu'en avril et mai.[réf. nécessaire]
Les incendies de bâtiments religieux se multiplient dans la région, et seule la cathédrale de Barcelone échappe au feu et aux déprédations. La Sagrada Família, en cours de construction, est endommagée par des vandales révolutionnaires ; les maquettes et les plans de l'atelier de l'architecte Antonio Gaudi sont détruits par les républicains. Dix mille volumes précieux de la bibliothèque des capucins de Sarrià sont dispersés22.
Les violences anticléricales sont inégales selon les lieux et aucun schéma régional n’apparaît pour l'ensemble de ces exactions19. Les persécutions semblent avoir, pour une part, dépendu moins d'ordres précis donnés par les milices anarchistes (CNT et FAI) que de l'humeur des dirigeants des « comités antifascistes » locaux. Le gouvernement républicain est dépassé et se contente d'accuser réception des appels au secours du clergé, avant de cesser tout à fait d'y répondre23.
Près de 2 000 martyrs de la guerre d'Espagne ont été officiellement reconnus par le Vatican et sont concernés par des procédures de béatification.
Pour l'historien français Guy Hermet, le massacre des prêtres espagnols représente « la plus grande hécatombe anticléricale avec celles de la France révolutionnaire puis du Mexique d'après 1911 »16.
L'historien Bartolomé Bennassar rappelle que, « dès mai 1931, une centaine d'églises avaient été détruites ». Des groupes anarchistes s'en prennent à des prêtres et à des monastères dans les premiers mois de la guerre civile (1936)17, le clergé catholique étant souvent vu comme un bastion du conservatisme et de l'ordre établi. La propagande du camp nationaliste avance initialement le chiffre de 20 000 prêtres massacrés. L'historien britannique Antony Beevor cite le chiffre de 13 évêques, 41 814 prêtres, 2 365 membres d'ordres divers et 283 religieuses, pour la plupart tués au cours de l'été 1936.
Des exactions sont commises en Aragon, en Catalogne et à Valence, où des églises sont incendiées et vandalisées. Des prêtres sont brûlés vifs dans leurs églises, et l'on signale des cas de castration et d'éviscération[réf. nécessaire]18.
Les violences contre le clergé ont lieu à peu près partout sauf au Pays basque espagnol19.
Rapporté à l'ensemble des effectifs du clergé espagnol, le nombre de victimes représente 13 % des prêtres diocésains, 23 % des religieux et 3 à 4 % des religieuses. Les proportions, qui concernent l'ensemble du territoire espagnol, sont largement dépassées s'agissant de la seule zone « loyaliste » : les assassinats de prêtres concernent 87,8 % de ceux du diocèse de Barbastro et 63,5 % de ceux du diocèse de Lérida. D'autres diocèses perdent 30 à 50 % de leurs prêtres. Pendant plusieurs mois, en dehors du Pays basque, le seul fait d'être reconnu comme prêtre peut constituer un motif d'assassinat ou d'exécution20.
Dans la région de Barcelone, où les anarchistes sont rapidement maîtres de la rue21, le massacre commence dès le 19 juillet 1936 : des groupes entiers de prêtres, parfois capturés dans leurs cachettes, sont fusillés, cela jusqu'en mars 1937, et des « incidents mortels » se produisent jusqu'en avril et mai.[réf. nécessaire]
Les incendies de bâtiments religieux se multiplient dans la région, et seule la cathédrale de Barcelone échappe au feu et aux déprédations. La Sagrada Família, en cours de construction, est endommagée par des vandales révolutionnaires ; les maquettes et les plans de l'atelier de l'architecte Antonio Gaudi sont détruits par les républicains. Dix mille volumes précieux de la bibliothèque des capucins de Sarrià sont dispersés22.
Les violences anticléricales sont inégales selon les lieux et aucun schéma régional n’apparaît pour l'ensemble de ces exactions19. Les persécutions semblent avoir, pour une part, dépendu moins d'ordres précis donnés par les milices anarchistes (CNT et FAI) que de l'humeur des dirigeants des « comités antifascistes » locaux. Le gouvernement républicain est dépassé et se contente d'accuser réception des appels au secours du clergé, avant de cesser tout à fait d'y répondre23.
Près de 2 000 martyrs de la guerre d'Espagne ont été officiellement reconnus par le Vatican et sont concernés par des procédures de béatification.
heureux- Postulant
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Date d'inscription : 06/06/2023
Re: SUPREMACISTES DANS NOS FORCES DE L'ORDRE
Exécutions sommaires et violences politiques
Article détaillé : Assassinat de José Calvo Sotelo.
L'assassinat par Luis Cuenca, policier et garde du corps d'Indalecio Prieto, chef du Parti socialiste PSOE, de l'un des chefs et des députés de la droite monarchiste, José Calvo Sotelo le 13 juillet 1936, décide les militaires à agir24. Non sans mal, les militaires obtiennent l'appui des milices carlistes et de la Phalange. Les militaires décident de lancer l'offensive les 17 (au Maroc) et 18 juillet 1936 (péninsule), sans objectif politique autre que le renversement du pouvoir de gauche.
Dans certaines grandes villes où socialistes et communistes dominent, les partis et syndicats de gauche réquisitionnent des bâtiments et créent des « commissions d'enquêtes », généralement connues sous le nom de « checas » en référence à la Tchéka)25 : des partisans de l'insurrection nationaliste sont traînés devant des « tribunaux populaires », quand ils ne sont pas abattus sommairement. Ces centres de rétention et de massacres sommaires sont notamment dirigés par Loreto Apellaniz Garcia, Agapito Garcia Atadell, Ernon Gerö ou encore, Alfonso Lorencic26,27. « Mieux vaut condamner cent innocents que d'absoudre un seul coupable », déclarait Dolores Ibárruri, la présidente du Parti communiste d'Espagne28.
Des monarchistes, des personnalités de droite, des officiers demeurés en zone républicaine après l'échec du coup d'État, sont tués sans jugement ou après des simulacres de procès : 1 500 officiers sont tués sur les arrières du front29.
De nombreux abus et erreurs judiciaires semblent en outre avoir été commis, des rancunes personnelles ayant entraîné des dénonciations abusives. De fausses lettres de la Phalange espagnole sont parfois produites pour hâter la condamnation et l'exécution des accusés. Dans le climat de suspicion généralisée, un grand nombre de criminels trouvent commode d'agir sous pavillon politique : certaines checas deviennent des gangs dirigés par des opportunistes.[réf. nécessaire] Un certain nombre d'exactions politiques sont l'œuvre de prisonniers libérés, amenant la CNT-FAI à déplorer que « la pègre déshonore la révolution ».
Madrid connaît une vague de meurtres politiques ou supposés tels. Dans la nuit du 22 au 23 août 1936, à l'annonce du massacre de deux mille deux cents républicains aux arènes de Badajoz, une foule de miliciens prend d'assaut la prison Modelo : une trentaine de prisonniers politiques, dont plusieurs notables de droite et d'anciens ministres, sont massacrés lors de « sacas de presos ». Manuel Azaña, horrifié par les évènements de Madrid, est à deux doigts de démissionner de ses fonctions de président de la République.
À Barcelone, les industriels ayant brisé des grèves sont des cibles privilégiées : une vague de répression est menée par le Comité central des milices antifascistes. Des règlements de comptes opposent les syndicalistes aux anciens « jaunes » (non grévistes ou briseurs de grève)30.
Entre le 6 et le 8 novembre 1936, à l'approche de la conquête de Madrid par les franquistes, et tandis que le communiste Santiago Carrillo détient le poste de conseiller à l'ordre public de la Junte de défense madrilène, entre 2 200 et 2 500 détenus politiques sont fusillés au cours de l'épisode du massacre de Paracuellos, qui représente l'apogée des sacas envers les prisonniers politiques31.
Entre révolutionnaires, entre les gauches
Après cet épisode, les violences politiques tendent à diminuer, et s'apparentent davantage à une répression politique de type stalinien, avec les tortures et les assassinats commis par le Servicio de Información Militar (es), police politique de l'Armée populaire. Les victimes n'en sont plus uniquement des hommes de droite : l'épuration vise aussi les factions minoritaires de l'extrême-gauche espagnole, qualifiées de « fascistes »32.
Parallèlement, une « guerre civile dans la guerre civile » se développe dès juillet 1936, avec les conflits entre républicains. Les affrontements sanglants entre communistes et anarchistes en Catalogne s'achèvent, en mai 1937, par la victoire des communistes, qui exécutent sommairement (sous l'euphémisme de « purge ») des membres de la CNT ainsi que du POUM. Dénoncé par André Marty, le chef du POUM, Andreu Nin, est emprisonné avant d'être tué par une équipe de membres des Brigades Internationales, commandée par un agent soviétique, Alexandre Orlov33. Le communiste français André Marty prend une part active à ces actions criminelles34,35. Il décide, en particulier, de l'exécution sommaire du Commandant Delasalle36. En mars 1939 a lieu une deuxième guerre civile interne au camp républicain, quand des combats opposent à Madrid des unités militaires communistes et anarchistes37.
On trouve une évocation et une condamnation de brutalités commises dès 1936 par des Républicains, y compris pour terroriser les ouvriers, chez des auteurs aussi différents que Simone Weilnote 2 ou George Orwellnote 3, tous deux engagés dans des milices républicainesnote 4.
Répartition des violences sur le territoire espagnol
Les exactions assimilées à la « terreur rouge » ont lieu dans l'ensemble du territoire républicain, mais leur répartition est très inégale sur le territoire. Dans l'ensemble, les régions touchées par la crise économique sont celles ayant connu le plus de violences, notamment en Vieille-Castille, où 2 000 personnes sont tuées durant la guerre. À Tolède, 400 personnes sont tuées entre le 20 et le 31 juillet. Certaines régions d'Andalousie connaissent de véritables tueries. À Malaga, un bombardement de l'aviation nationaliste sur un marché de la ville entraîne une vague de répression en juillet : des suspects sont traînés hors des prisons pour être fusillés38. La plus grande partie de la Catalogne est affectée par la terreur : dans les derniers jours de juillet, le passage des colonnes anarchistes est accompagné d'exécutions dans les villages. Des listes noires comportant la plupart du temps des notables et des partisans des insurgés franquistes sont dressées et des groupes spéciaux dépendant des colonnes s'emploient à les retrouver, quand ils n'ont pas déjà fui vers les lignes franquistes. Nombreux sont les prisonniers passés par les armes, ce qui n'est pas toujours pour déplaire aux habitants qui règlent ainsi d'anciens comptes.
Une partie des exécutions sommaires est le fait des habitants eux-mêmes qui profitent du passage des colonnes pour leur en attribuer la paternité. À Figueras, le comité anarchiste fait exécuter quatorze personnes détenues dans la prison
Article détaillé : Assassinat de José Calvo Sotelo.
L'assassinat par Luis Cuenca, policier et garde du corps d'Indalecio Prieto, chef du Parti socialiste PSOE, de l'un des chefs et des députés de la droite monarchiste, José Calvo Sotelo le 13 juillet 1936, décide les militaires à agir24. Non sans mal, les militaires obtiennent l'appui des milices carlistes et de la Phalange. Les militaires décident de lancer l'offensive les 17 (au Maroc) et 18 juillet 1936 (péninsule), sans objectif politique autre que le renversement du pouvoir de gauche.
Dans certaines grandes villes où socialistes et communistes dominent, les partis et syndicats de gauche réquisitionnent des bâtiments et créent des « commissions d'enquêtes », généralement connues sous le nom de « checas » en référence à la Tchéka)25 : des partisans de l'insurrection nationaliste sont traînés devant des « tribunaux populaires », quand ils ne sont pas abattus sommairement. Ces centres de rétention et de massacres sommaires sont notamment dirigés par Loreto Apellaniz Garcia, Agapito Garcia Atadell, Ernon Gerö ou encore, Alfonso Lorencic26,27. « Mieux vaut condamner cent innocents que d'absoudre un seul coupable », déclarait Dolores Ibárruri, la présidente du Parti communiste d'Espagne28.
Des monarchistes, des personnalités de droite, des officiers demeurés en zone républicaine après l'échec du coup d'État, sont tués sans jugement ou après des simulacres de procès : 1 500 officiers sont tués sur les arrières du front29.
De nombreux abus et erreurs judiciaires semblent en outre avoir été commis, des rancunes personnelles ayant entraîné des dénonciations abusives. De fausses lettres de la Phalange espagnole sont parfois produites pour hâter la condamnation et l'exécution des accusés. Dans le climat de suspicion généralisée, un grand nombre de criminels trouvent commode d'agir sous pavillon politique : certaines checas deviennent des gangs dirigés par des opportunistes.[réf. nécessaire] Un certain nombre d'exactions politiques sont l'œuvre de prisonniers libérés, amenant la CNT-FAI à déplorer que « la pègre déshonore la révolution ».
Madrid connaît une vague de meurtres politiques ou supposés tels. Dans la nuit du 22 au 23 août 1936, à l'annonce du massacre de deux mille deux cents républicains aux arènes de Badajoz, une foule de miliciens prend d'assaut la prison Modelo : une trentaine de prisonniers politiques, dont plusieurs notables de droite et d'anciens ministres, sont massacrés lors de « sacas de presos ». Manuel Azaña, horrifié par les évènements de Madrid, est à deux doigts de démissionner de ses fonctions de président de la République.
À Barcelone, les industriels ayant brisé des grèves sont des cibles privilégiées : une vague de répression est menée par le Comité central des milices antifascistes. Des règlements de comptes opposent les syndicalistes aux anciens « jaunes » (non grévistes ou briseurs de grève)30.
Entre le 6 et le 8 novembre 1936, à l'approche de la conquête de Madrid par les franquistes, et tandis que le communiste Santiago Carrillo détient le poste de conseiller à l'ordre public de la Junte de défense madrilène, entre 2 200 et 2 500 détenus politiques sont fusillés au cours de l'épisode du massacre de Paracuellos, qui représente l'apogée des sacas envers les prisonniers politiques31.
Entre révolutionnaires, entre les gauches
Après cet épisode, les violences politiques tendent à diminuer, et s'apparentent davantage à une répression politique de type stalinien, avec les tortures et les assassinats commis par le Servicio de Información Militar (es), police politique de l'Armée populaire. Les victimes n'en sont plus uniquement des hommes de droite : l'épuration vise aussi les factions minoritaires de l'extrême-gauche espagnole, qualifiées de « fascistes »32.
Parallèlement, une « guerre civile dans la guerre civile » se développe dès juillet 1936, avec les conflits entre républicains. Les affrontements sanglants entre communistes et anarchistes en Catalogne s'achèvent, en mai 1937, par la victoire des communistes, qui exécutent sommairement (sous l'euphémisme de « purge ») des membres de la CNT ainsi que du POUM. Dénoncé par André Marty, le chef du POUM, Andreu Nin, est emprisonné avant d'être tué par une équipe de membres des Brigades Internationales, commandée par un agent soviétique, Alexandre Orlov33. Le communiste français André Marty prend une part active à ces actions criminelles34,35. Il décide, en particulier, de l'exécution sommaire du Commandant Delasalle36. En mars 1939 a lieu une deuxième guerre civile interne au camp républicain, quand des combats opposent à Madrid des unités militaires communistes et anarchistes37.
On trouve une évocation et une condamnation de brutalités commises dès 1936 par des Républicains, y compris pour terroriser les ouvriers, chez des auteurs aussi différents que Simone Weilnote 2 ou George Orwellnote 3, tous deux engagés dans des milices républicainesnote 4.
Répartition des violences sur le territoire espagnol
Les exactions assimilées à la « terreur rouge » ont lieu dans l'ensemble du territoire républicain, mais leur répartition est très inégale sur le territoire. Dans l'ensemble, les régions touchées par la crise économique sont celles ayant connu le plus de violences, notamment en Vieille-Castille, où 2 000 personnes sont tuées durant la guerre. À Tolède, 400 personnes sont tuées entre le 20 et le 31 juillet. Certaines régions d'Andalousie connaissent de véritables tueries. À Malaga, un bombardement de l'aviation nationaliste sur un marché de la ville entraîne une vague de répression en juillet : des suspects sont traînés hors des prisons pour être fusillés38. La plus grande partie de la Catalogne est affectée par la terreur : dans les derniers jours de juillet, le passage des colonnes anarchistes est accompagné d'exécutions dans les villages. Des listes noires comportant la plupart du temps des notables et des partisans des insurgés franquistes sont dressées et des groupes spéciaux dépendant des colonnes s'emploient à les retrouver, quand ils n'ont pas déjà fui vers les lignes franquistes. Nombreux sont les prisonniers passés par les armes, ce qui n'est pas toujours pour déplaire aux habitants qui règlent ainsi d'anciens comptes.
Une partie des exécutions sommaires est le fait des habitants eux-mêmes qui profitent du passage des colonnes pour leur en attribuer la paternité. À Figueras, le comité anarchiste fait exécuter quatorze personnes détenues dans la prison
heureux- Postulant
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Re: SUPREMACISTES DANS NOS FORCES DE L'ORDRE
Bilan
Le nombre de victimes n'a jamais été chiffré avec exactitude6. Selon l'historien britannique Hugh Thomas, le bilan des persécutions antireligieuses s'élève à 55 000 morts40, le même auteur estimant les assassinats et exécutions politiques de « nationalistes » à environ 75 000 pendant la guerre41. Selon Antony Beevor, le bilan de la plupart des actes de la Terreur rouge espagnole, qui se déroulèrent au début du conflit à l'été et automne 1936, s'élèverait à environ 38 000 personnes, dont presque la moitié furent tués à Madrid (8 815 victimes) et en Catalogne (8 352 victimes)42. Guy Hermet observe que si le chiffre de 300 000 victimes, avancé par la propagande nationaliste, est très exagéré, les estimations oscillent entre 86 000 et 200 000, « étant entendu que ce dernier chiffre (avancé par l'historien américain Gabriel Jackson) semble tendre surtout à démontrer que les assassinats ont été moins nombreux sur le territoire loyaliste que dans l'Espagne nationale » : lui-même penche pour une estimation de 75 000 victimes environ6.
La « Terreur rouge » est contemporaine de la « Terreur blanche » et sera suivie plus tard de mesures de représailles et d'épuration par les nationalistes. Le bilan de la terreur blanche, qui est prolongée après le conflit par la dictature franquiste, aboutit à un chiffre de victimes nettement supérieur, les estimations allant de 150 00043 à 400 000 morts44,45.
Le nombre de victimes n'a jamais été chiffré avec exactitude6. Selon l'historien britannique Hugh Thomas, le bilan des persécutions antireligieuses s'élève à 55 000 morts40, le même auteur estimant les assassinats et exécutions politiques de « nationalistes » à environ 75 000 pendant la guerre41. Selon Antony Beevor, le bilan de la plupart des actes de la Terreur rouge espagnole, qui se déroulèrent au début du conflit à l'été et automne 1936, s'élèverait à environ 38 000 personnes, dont presque la moitié furent tués à Madrid (8 815 victimes) et en Catalogne (8 352 victimes)42. Guy Hermet observe que si le chiffre de 300 000 victimes, avancé par la propagande nationaliste, est très exagéré, les estimations oscillent entre 86 000 et 200 000, « étant entendu que ce dernier chiffre (avancé par l'historien américain Gabriel Jackson) semble tendre surtout à démontrer que les assassinats ont été moins nombreux sur le territoire loyaliste que dans l'Espagne nationale » : lui-même penche pour une estimation de 75 000 victimes environ6.
La « Terreur rouge » est contemporaine de la « Terreur blanche » et sera suivie plus tard de mesures de représailles et d'épuration par les nationalistes. Le bilan de la terreur blanche, qui est prolongée après le conflit par la dictature franquiste, aboutit à un chiffre de victimes nettement supérieur, les estimations allant de 150 00043 à 400 000 morts44,45.
heureux- Postulant
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Re: SUPREMACISTES DANS NOS FORCES DE L'ORDRE
Il serait heureux qu'il pardonne les crimes des religions monothéistes depuis la guerre du pays de Canaan jusqu'au guerres actuelles sur fond religieux!Heureux a écrit:Dieu te pardonnera tes crimes à l'égard des catholiques.
C'est pas des gauchistes qui ont brulés Jeanne d'Arc ....et autres femmes affirmées comme sorcières!
Et les croisades ?
https://www.lesclesdumoyenorient.com/Les-Croisades-1096-1291-le-choc-de-la-rencontre-entre-deux-mondes-2-3.html
André de Montalembert- Vénérable
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Re: SUPREMACISTES DANS NOS FORCES DE L'ORDRE
Il me tarde de voir la nouvelle croisade.
“Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens !”. La phrase est célèbre et pour cause ! D’une rare violence, elle a pourtant été prononcée par un religieux, Arnaud Amaury. Ou plus particulière, elle lui est attribuée, retranscrite par Césaire, onze ans plus tard.
“Tuez-les tous, Dieu reconnaîtra les siens !”. La phrase est célèbre et pour cause ! D’une rare violence, elle a pourtant été prononcée par un religieux, Arnaud Amaury. Ou plus particulière, elle lui est attribuée, retranscrite par Césaire, onze ans plus tard.
heureux- Postulant
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Re: SUPREMACISTES DANS NOS FORCES DE L'ORDRE
Dédé 2B a écrit:Il serait heureux qu'il pardonne les crimes des religions monothéistes depuis la guerre du pays de Canaan jusqu'au guerres actuelles sur fond religieux!Heureux a écrit:Dieu te pardonnera tes crimes à l'égard des catholiques.
C'est pas des gauchistes qui ont brulés Jeanne d'Arc ....et autres femmes affirmées comme sorcières!
Et les croisades ?
https://www.lesclesdumoyenorient.com/Les-Croisades-1096-1291-le-choc-de-la-rencontre-entre-deux-mondes-2-3.html
Le sujet de ce topic c'est le suprémacisme dans les FDO,
et voilà-t-y pas, qu'autoproclamecadresup, lheureux du jour et consort viennent chanter la gloire du capitalisme et l'horreur de l'enfer qui bien sur est toujours à l'est.
Mais bien sur qu'ils hurlent et se défendent bec et ongles dehors .
Quoi on voudrait accuser les FDO de donner dans des pensés antirépublicaines, mais non, mais non, c'est faut et ..... ils nous le prouvent avec des tas de conneries vraiment à leur niveau.
Comme quoi, jaures avait raison :
Le courage c'est chercher la vérité et la dire,
Mais eux ne veulent même pas l'entendre,
ça les dérange,
ça contredit leurs affirmations démentes,
ça les met en difficulté,
alors ils bordélisent le topic,
leurs méthodes montrent si c'en était besoin,
qu'il faut dire la vérité, même et encore plus sur les forces de l'ordre.
Ainsi va la vie dans ce monde minable.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: SUPREMACISTES DANS NOS FORCES DE L'ORDRE
RETOUR AU SUJET POUR LES HAINEUX BAS DU FRONT
SUPREMACISTES DANS NOS FORCES DE L'ORDRE,
C'est inadmissible,
C'est anti-républicain.
Nous apprenons par différents médias que l’IGPN est saisie pour des tatouages suprémacistes portés par des policiers, grâce à un photographe indépendant qui a publié sur Twitter des images de policiers arborant le Valknut, un symbole « très en vogue chez les suprémacistes blancs et néonazis »
Lorsqu'on dit qu'il y a des nazis dans notre police, ce ne sont pas de vains mots. Le pouvoir actuel , qui a le dos au mur, utilise toutes les formes de violence pour frapper durement ceux qui veulent le respect de la démocratie, ceux qui veulent que le peuple soit respectée.
Ce pouvoir, et ces gens porteurs d'insignes suprémacistes, développent une idéologie néo-nazie contraire aux fondements de notre république.
Le pouvoir lui aussi glisse de plus en plus vers la fascisation du régime.
STOP, mettons en place une sixième république.
SUPREMACISTES DANS NOS FORCES DE L'ORDRE,
C'est inadmissible,
C'est anti-républicain.
Nous apprenons par différents médias que l’IGPN est saisie pour des tatouages suprémacistes portés par des policiers, grâce à un photographe indépendant qui a publié sur Twitter des images de policiers arborant le Valknut, un symbole « très en vogue chez les suprémacistes blancs et néonazis »
Lorsqu'on dit qu'il y a des nazis dans notre police, ce ne sont pas de vains mots. Le pouvoir actuel , qui a le dos au mur, utilise toutes les formes de violence pour frapper durement ceux qui veulent le respect de la démocratie, ceux qui veulent que le peuple soit respectée.
Ce pouvoir, et ces gens porteurs d'insignes suprémacistes, développent une idéologie néo-nazie contraire aux fondements de notre république.
Le pouvoir lui aussi glisse de plus en plus vers la fascisation du régime.
STOP, mettons en place une sixième république.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: SUPREMACISTES DANS NOS FORCES DE L'ORDRE
Et un autre, un troisième ange les suivit, en disant d'une voix forte: Si quelqu'un adore la bête et son image, et reçoit une marque sur son front ou sur sa main, il boira, lui aussi, du vin de la fureur de Dieu, versé sans mélange dans la coupe de sa colère, et il sera tourmenté dans le feu et le soufre, devant les saints anges et devant l'agneau. Et la fumée de leur tourment monte aux siècles des siècles; et ils n'ont de repos ni jour ni nuit, ceux qui adorent la bête et son image, et quiconque reçoit la marque de son nom.
heureux- Postulant
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Re: SUPREMACISTES DANS NOS FORCES DE L'ORDRE
dieu, ne juge pas un tatouage
Jaunes, rouges ou oranges… Les tatoueurs européens sont interdits, depuis mardi 4 janvier, d'utiliser certaines encres de couleurs, considérées comme toxiques ou cancérogènes, en vertu d'une réglementation européenne, signée et publiée le 14 décembre 2020.5 janv. 2022
Jaunes, rouges ou oranges… Les tatoueurs européens sont interdits, depuis mardi 4 janvier, d'utiliser certaines encres de couleurs, considérées comme toxiques ou cancérogènes, en vertu d'une réglementation européenne, signée et publiée le 14 décembre 2020.5 janv. 2022
heureux- Postulant
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Date d'inscription : 06/06/2023
Re: SUPREMACISTES DANS NOS FORCES DE L'ORDRE
heureux a écrit:dieu, ne juge pas un tatouage
Jaunes, rouges ou oranges… Les tatoueurs européens sont interdits, depuis mardi 4 janvier, d'utiliser certaines encres de couleurs, considérées comme toxiques ou cancérogènes, en vertu d'une réglementation européenne, signée et publiée le 14 décembre 2020.5 janv. 2022
Dis donc lheureux, c'est ton dieu qui t'a dit de bordéliser mon topic ????
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: SUPREMACISTES DANS NOS FORCES DE L'ORDRE
dieu est partout
respecte tes frères
19Quant à nous, nous aimons parce que Dieu nous a aimés le premier. 20Si quelqu'un dit : « J'aime Dieu », et qu'il a de la haine envers son frère ou sa sœur, c'est un menteur. En effet, s'il n'aime pas son frère ou sa sœur qu'il voit, il ne peut pas aimer Dieu qu'il ne voit pas. 21Voici donc le commandement qu'il nous a donné : celui qui aime Dieu doit aussi aimer son frère ou sa sœur.
respecte tes frères
19Quant à nous, nous aimons parce que Dieu nous a aimés le premier. 20Si quelqu'un dit : « J'aime Dieu », et qu'il a de la haine envers son frère ou sa sœur, c'est un menteur. En effet, s'il n'aime pas son frère ou sa sœur qu'il voit, il ne peut pas aimer Dieu qu'il ne voit pas. 21Voici donc le commandement qu'il nous a donné : celui qui aime Dieu doit aussi aimer son frère ou sa sœur.
heureux- Postulant
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Re: SUPREMACISTES DANS NOS FORCES DE L'ORDRE
@Heureux, quand quelqu'un te gifles sur la joue droite gauche du plat comme du revers des deux mains, que fais-tu?
Moi je lui fou une bonne droite. Parce-que le revers de la main et être frappé de la main gauche c'est non.
Il a des marqueurs d'adhérences à certains organisations néfastes tu ne peux le nier.
Moi je lui fou une bonne droite. Parce-que le revers de la main et être frappé de la main gauche c'est non.
Il a des marqueurs d'adhérences à certains organisations néfastes tu ne peux le nier.
Revanchisti- Vénérable
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Re: SUPREMACISTES DANS NOS FORCES DE L'ORDRE
Revanchisti a écrit:@Heureux, quand quelqu'un te gifles sur la joue droite gauche du plat comme du revers des deux mains, que fais-tu?
Moi je lui fou une bonne droite. Parce-que le revers de la main et être frappé de la main gauche c'est non.
Il a des marqueurs d'adhérences à certains organisations néfastes tu ne peux le nier.
heureux- Postulant
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Re: SUPREMACISTES DANS NOS FORCES DE L'ORDRE
Le principe de tendre l'autre joue c'est pour éviter le plat d’une droite.
Mais il y a des organisations qui se frittent pour des raison pus ou moins légitimes, et très rarement la paix du christ inetrvient pour qu'on arrête de se mettre sur la gueule.
Le reste du temps bah voilà quoi.
On se met des beignes.
Mais il y a des organisations qui se frittent pour des raison pus ou moins légitimes, et très rarement la paix du christ inetrvient pour qu'on arrête de se mettre sur la gueule.
Le reste du temps bah voilà quoi.
On se met des beignes.
Revanchisti- Vénérable
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Date d'inscription : 04/09/2022
Re: SUPREMACISTES DANS NOS FORCES DE L'ORDRE
Vladimir de Volog красны a écrit:heureux a écrit:dieu, ne juge pas un tatouage
Jaunes, rouges ou oranges… Les tatoueurs européens sont interdits, depuis mardi 4 janvier, d'utiliser certaines encres de couleurs, considérées comme toxiques ou cancérogènes, en vertu d'une réglementation européenne, signée et publiée le 14 décembre 2020.5 janv. 2022
Dis donc lheureux, c'est ton dieu qui t'a dit de bordéliser mon topic ????
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: SUPREMACISTES DANS NOS FORCES DE L'ORDRE
Le Fascisme, est-ce seulement le RN et ses bottes brunes ?
Mi-mai, des nazis défilent sur le pavé parisien sous la protection bienveillante du préfet de police qui a la caution de la Gorgone de Matignon.
06 juin, journée d'action contre les deux ans de travail supplémentaires et la casse des retraites :
11 000 policiers et gendarmes seront déployés mardi, annonce le pouvoir.
Il y a un RN fasciste et sa cheffe, il y a un pouvoir ostensiblement fascisant disposant de son guide.
Ne pas les traiter à égalité revient à accepter un dosage du fascisme ambiant.
Il n'y a pas que sur les manifs que les nasses sont en place.
Une gigantesque politique à l'échelle du pays est en voie de réalisation avec les violences fascistes tolérées ici et des unités spéciales de policiers fascisants réprimant sur ordre là.
Un vocabulaire qui emprunte au pétainisme dans tous les espaces possibles, une attaque en règle contre la République et son calendrier, les torsions de l'histoire une répression antisyndicale sans précédents sauf la période 1938-1944. dans l'après guerre seul Jules Moch a un tel palmarès.
Se réveiller avant qu'il ne soit trop tard.
Mi-mai, des nazis défilent sur le pavé parisien sous la protection bienveillante du préfet de police qui a la caution de la Gorgone de Matignon.
06 juin, journée d'action contre les deux ans de travail supplémentaires et la casse des retraites :
11 000 policiers et gendarmes seront déployés mardi, annonce le pouvoir.
Il y a un RN fasciste et sa cheffe, il y a un pouvoir ostensiblement fascisant disposant de son guide.
Ne pas les traiter à égalité revient à accepter un dosage du fascisme ambiant.
Il n'y a pas que sur les manifs que les nasses sont en place.
Une gigantesque politique à l'échelle du pays est en voie de réalisation avec les violences fascistes tolérées ici et des unités spéciales de policiers fascisants réprimant sur ordre là.
Un vocabulaire qui emprunte au pétainisme dans tous les espaces possibles, une attaque en règle contre la République et son calendrier, les torsions de l'histoire une répression antisyndicale sans précédents sauf la période 1938-1944. dans l'après guerre seul Jules Moch a un tel palmarès.
Se réveiller avant qu'il ne soit trop tard.
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: SUPREMACISTES DANS NOS FORCES DE L'ORDRE
Jean-Louis de Toqueville a écrit: ça c'est l'antienne imbécile et irraisonnée des gauchistes !
Dis donc l'autoproclamecadresup, tu nous insulte en nous traitant d'imbéciles et d'irraisonnés, modère un peu tes ardeurs à vouloir nous taper sur la gueule. Je t'attends toujours à bordeaux, pour régler ça dans l'honneur et à l'ancienne, mais faudrait que tu en ai ............ du courage, parce que là, ton courage, c'est assi dans ton fauteuil derrière ton petit écran. Grand courageux va..
Comme nous sommes dans les épreuves du bac, je t'en propose une en philo.
Démontre moi que Jaurès avait tort lorsqu'il écrivit :
Tu as 2 heures pour ce sujet ....
Vladimir de Volog- Vénérable
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Re: SUPREMACISTES DANS NOS FORCES DE L'ORDRE
Vladimir de Volog красны a écrit:SUPREMACISTES DANS NOS FORCES DE L'ORDRE,
C'est inadmissible,
C'est anti-républicain.
Nous apprenons par différents médias que l’IGPN est saisie pour des tatouages suprémacistes portés par des policiers, grâce à un photographe indépendant qui a publié sur Twitter des images de policiers arborant le Valknut, un symbole « très en vogue chez les suprémacistes blancs et néonazis »
Lorsqu'on dit qu'il y a des nazis dans notre police, ce ne sont pas de vains mots. Le pouvoir actuel , qui a le dos au mur, utilise toutes les formes de violence pour frapper durement ceux qui veulent le respect de la démocratie, ceux qui veulent que le peuple soit respectée.
Ce pouvoir, et ces gens porteurs d'insignes suprémacistes, développent une idéologie néo-nazie contraire aux fondements de notre république.
Le pouvoir lui aussi glisse de plus en plus vers la fascisation du régime.
STOP, mettons en place une sixième république.
Vladimir de Volog- Vénérable
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