Cagnotte du policier: les motivations des donateurs

[Jean-Louis de Toqueville]

Le succès populaire et fulgurant de la cagnotte créée en faveur du policier qui a arrêté un voyou, aujourd'hui décédé, mérite que l'on s'intéresse aux ressorts et motivations des très nombreux et très divers donateurs en faveur de la famille ce ce policier.

L'article ci-dessous du Figaro détaille quelques unes de ces motivations. Parmi celles-ci, on relèvera:
- une très forte diversité de l'origine sociale des donateurs, de tous âges et de toutes conditions,
- une volonté très forte de soutenir ce policier, qui n'a pas commis de faute et dont le passé professionnel incline au respect et à la reconnaissance de ses compétences professionnelles,
- une forte compassion pour le policier, alors qu'elle n'existe naturellement pas pour la famille du jeune voyou qui s'est de fait suicidé,
- un désintérêt complet pour la personnalité de l'auteur de l'initiative de la cagnotte qu'une majorité de donateurs ne connaissent même pas et dont ils se moquent par ailleurs de son appartenance politique,
- la manifestation d'un soutien sans faille de nos policiers dans le difficile exercice de leur métier («Franchement, on est bien contents qu'ils soient là quand on a des pépins» dit l'un d'eux), compliqué par l'apparition de nouveaux voyous politisés en extrême gauche (LFI) et prêts à tuer des policiers.

Les donateurs, à grande majorité pacifistes, considèrent que c'est par cette action qu'ils peuvent s'exprimer en dénonçant la "voyoucratisation" de la société attisée par l'extrême gauche et notamment LFI. Ils estiment appartenir à la majorité silencieuse. Ils lancent aussi un avertissement: «Si des gens continuent à saccager et piller, ce sera moins pacifique…».

«La majorité silencieuse s'est exprimée, glisse Jules, 23 ans, elle n'a pas les moyens de le faire autrement, car elle sait bien que les autres moyens seraient mal vus - descendre dans la rue, se protéger nous-mêmes».

Et une participante de préciser: «Je suis lasse. Le gouvernement a pris position trop vite, manqué de discrétion, laissé passer des mots excessifs sur le policier. Alors qu'on ne savait rien des circonstances, poursuit-elle, à côté de ça, personne ne parle de la Mercedes hors de prix du jeune, des plaques polonaises, de l’absence de permis… Quand on connaît les histoires de drogue, on sait ce que ça veut dire. C'est tout juste si on n’a pas organisé des funérailles nationales. Et ce policier qui a été tout de suite accablé, traité, maltraité… C'est la goutte d'eau».

Ces témoignages, qui ne constituent qu'un simple échantillon de points de vue, sont toutefois significatifs de ce que pense l'opinion. On entend souvent les grands leaders ou décideurs théoriser le théorie et parler en vase clos. Le fig nous livre là une séquence de live et de rue que chacun intègre intuitivement, tant elle transpire la réalité, le vécu et le concret.  


 
https://www.lefigaro.fr/actualite-france/c-est-la-seule-voix-qu-il-nous-reste-comment-les-participants-a-la-cagnotte-pour-le-policier-de-nanterre-expliquent-leurs-dons-20230707

[patatisanspatata]

Le succès populaire et fulgurant de la cagnotte créée en faveur du policier qui a arrêté un voyou, aujourd'hui décédé, mérite que l'on s'intéresse aux ressorts et motivations des très nombreux et très divers donateurs en faveur de la famille ce ce policier.

L'article ci-dessous du Figaro détaille quelques unes de ces motivations. Parmi celles-ci, on relèvera:
- une très forte diversité de l'origine sociale des donateurs, de tous âges et de toutes conditions,
- une volonté très forte de soutenir ce policier, qui n'a pas commis de faute et dont le passé professionnel incline au respect et à la reconnaissance de ses compétences professionnelles,
- une forte compassion pour le policier, alors qu'elle n'existe naturellement pas pour la famille du jeune voyou qui s'est de fait suicidé,
- un désintérêt complet pour la personnalité de l'auteur de l'initiative de la cagnotte qu'une majorité de donateurs ne connaissent même pas et dont ils se moquent par ailleurs de son appartenance politique,
- la manifestation d'un soutien sans faille de nos policiers dans le difficile exercice de leur métier («Franchement, on est bien contents qu'ils soient là quand on a des pépins» dit l'un d'eux), compliqué par l'apparition de nouveaux voyous politisés en extrême gauche (LFI) et prêts à tuer des policiers.

Les donateurs, à grande majorité pacifistes, considèrent que c'est par cette action qu'ils peuvent s'exprimer en dénonçant la "voyoucratisation" de la société attisée par l'extrême gauche et notamment LFI. Ils estiment appartenir à la majorité silencieuse. Ils lancent aussi un avertissement: «Si des gens continuent à saccager et piller, ce sera moins pacifique…».

«La majorité silencieuse s'est exprimée, glisse Jules, 23 ans, elle n'a pas les moyens de le faire autrement, car elle sait bien que les autres moyens seraient mal vus - descendre dans la rue, se protéger nous-mêmes».

Et une participante de préciser: «Je suis lasse. Le gouvernement a pris position trop vite, manqué de discrétion, laissé passer des mots excessifs sur le policier. Alors qu'on ne savait rien des circonstances, poursuit-elle, à côté de ça, personne ne parle de la Mercedes hors de prix du jeune, des plaques polonaises, de l’absence de permis… Quand on connaît les histoires de drogue, on sait ce que ça veut dire. C'est tout juste si on n’a pas organisé des funérailles nationales. Et ce policier qui a été tout de suite accablé, traité, maltraité… C'est la goutte d'eau».

Ces témoignages, qui ne constituent qu'un simple échantillon de points de vue, sont toutefois significatifs de ce que pense l'opinion. On entend souvent les grands leaders ou décideurs théoriser le théorie et parler en vase clos. Le fig nous livre là une séquence de live et de rue que chacun intègre intuitivement, tant elle transpire la réalité, le vécu et le concret.  


 
https://www.lefigaro.fr/actualite-france/c-est-la-seule-voix-qu-il-nous-reste-comment-les-participants-a-la-cagnotte-pour-le-policier-de-nanterre-expliquent-leurs-dons-20230707

Et ce policier qui a été tout de suite accablé, traité, maltraité… C'est la goutte d'eau».

Il faut dire que c'est macron qui s'en est mélé des le départ . chose qui le sort de son statu de président , il avait pas à s'insinuer dans cette affaire . c'est une faute de l'état .

[Jean-Louis de Toqueville]

Macron est sorti de son rôle et sa bécasse bornée aussi....

Je pense que les flics, notamment leurs puissants syndicats, n'ont pas dit leur dernier mot, sans compter que personne ne sait comment l'instruction et le procès éventuel, s'il y a procès, tourneront.

Le porteur de valises et colleur d'affiches des fieux risque de faire sa mauvaise gueule dans quelque temps.

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