L'un des plus grands criminels de guerre des Etats-Unis

[Vladimir de Volog]

Henry Kissinger, l'un des plus grands criminels de guerre des Etats-Unis, est mort à 100 ans.

Henry Kissinger, grande figure de la diplomatie américaine aux facettes parfois controversées, qui fut secrétaire d'Etat sous Richard Nixon et Gerald Ford, est mort à l'âge de 100 ans.3

Il est responsable de l'opération Condor, qui organisait dans les années 70 la répression des opposants aux dictatures latino-américaines, le coup d'Etat de Pinochet au Chili, le soutien à la dictature de Videla en Argentine, les bombardements du Cambodge, les assassinats à Chypre, en Grèce, au Bangladesh ou encore au Timor-Oriental.

C'est lui qui fut à la manœuvre pour abattre le Président Allende au Chili plaçant au pouvoir son ami Pinochet.

[Vladimir de Volog]

Tout au long de sa vie, Kissinger a été une figure controversée, illustrant une approche de la realpolitik où l’idéalisme n’avait pas sa place.

Sa réputation d’homme d’État manipulant les relations internationales au gré des intérêts américains lui vaut à la fois des critiques acerbes et des éloges pour sa détermination à servir son pays.

[Vladimir de Volog]

Sa disparition coïncidant avec le Jour international de solidarité avec le peuple palestinien ajoute une dimension symbolique à son héritage.

Entre héros et antagoniste de la scène mondiale, Henry Kissinger laisse derrière lui un débat persistant sur la nature et les conséquences de sa politique étrangère,

invitant chacun à réfléchir sur le rapport entre perception et réalité dans le monde complexe de la géopolitique contemporaine.

[André de Montalembert]

Il soutient en 1998 l'ancien dictateur chilien Augusto Pinochet à la suite de l'arrestation de ce dernier à Londres. De passage à Paris le 28 mai 2001, il reçoit la visite de la brigade criminelle, qui vient lui remettre une convocation judiciaire. Alors qu'il devait se présenter au palais de justice comme témoin dans l’affaire de la disparition de cinq Français au Chili, Henry Kissinger, vraisemblablement impliqué dans la création du plan Condor, quitte précipitamment la France le lendemain.
C'était un ju.if antisémite, Dans des transcriptions de propos dévoilés par la suite par le département d'État des États-Unis, il déclare devant un responsable de la Maison-Blanche : « Y a-t-il une seule communauté dans le monde qui soit aussi égoïste que les ju.ifs ?
Un homme d'Etat que l'humanité aurait pu se passer!

[Jeannot Lapin]

Kissinger est un homme du passé qui a vécu sur l'idée du conflit est-ouest, communiste contre capitalistes.
Depuis la chute du mur et l'effondrement de l'URSS il ne comprenait plus grand chose et s'est pas mal trompé.
Par contre il a été excellent durant l'époque de la guerre froide.
Je lui tire ma révérence. Un grand homme pour cette époque là.

Pour Pinochet au Chili, s'il en porte la moindre responsabilité, j'applaudis. Pinochet a sauvé le Chili qui est aujourd'hui une grande nation d'Amérique du Sud alors qu'ils étaient plutôt la trou du cul de l'Amérique Latine. Pas mal de gens de gauche le reconnaissent d'ailleurs, quand on sort de la politique politicienne et des influences internationale. Une dictature militaire de salut national au service des Chiliens et qui s'est maintenu au pouvoir par des référendums ce qui en fait une tyrannie selon la bonne définition de ce genre de régime. Il y a un fort parallèle entre Pinochet et Franco en Espagne.

A l'opposé la dictature militaire en Argentine a été une calamité comme tous les gouvernement qui se sont succédé depuis les Pérons, eux compris. La dictature militaire en Argentine a été une sorte de verrue supplémentaire du régime étatiste mafieux et clientéliste Péroniste sous couvert d'un discours pseudo-populaire, qui a fini d'ailleurs en guerre des Malouines pour essayer de se justifier. C'est ce qu'il arrive quand politiciens ambitieux s'infiltrent dans l'armée.

Un troisième type de dictature militaire a sévi en Amérique du Sud, au Brésil. C'est une dictature par vacance du pouvoir. Incompétences, disputes, ont mené à une prise de pouvoir militaire destinée à stabiliser le pays. Quand les choses revenaient en ordre l'armée rendait les clés...


Après il y a le cas des démocraties populaires en Amérique Latine, qui n'ont de démocratique que le nom. Cuba. Il s'agit comme en URSS non pas d'une révolution mais d'une révolte coordonnées utilisant l'armée en vue d'instaurer un régime totalitaire... les régimes les plus diaboliques de tous. Et il n'y pas plus militaire qu'eux.

[Revanchisti]

Ha bah oui, mais au mions Kissinger était un connard respectable.
Medvedev a raison à son sujet.


Zbigniew c'est Hitler ! C'est un fou furieux, Zbigniew était un salopard mais un salopard pragmatique.

Pinochet a sauvé le Chili

Ils a sauvé l’oligarchie chilienne, pas le Chili, le Chili ne résume qu'à cette petite bande de parasite que dans vos fantasmes.

[Vladimir de Volog]

Il soutient en 1998 l'ancien dictateur chilien Augusto Pinochet à la suite de l'arrestation de ce dernier à Londres. De passage à Paris le 28 mai 2001, il reçoit la visite de la brigade criminelle, qui vient lui remettre une convocation judiciaire. Alors qu'il devait se présenter au palais de justice comme témoin dans l’affaire de la disparition de cinq Français au Chili, Henry Kissinger, vraisemblablement impliqué dans la création du plan Condor, quitte précipitamment la France le lendemain.
C'était un ju.if antisémite, Dans des transcriptions de propos dévoilés par la suite par le département d'État des États-Unis, il déclare devant un responsable de la Maison-Blanche : « Y a-t-il une seule communauté dans le monde qui soit aussi égoïste que les ju.ifs ?
Un homme d'Etat que l'humanité aurait pu se passer!

[André de Montalembert]

Pour Pinochet au Chili, s'il en porte la moindre responsabilité, j'applaudis.

Tu applaudis
Selon une estimation, de Fanny Jedlicki, entre deux cent cinquante mille et un million de Chiliens se sont exilés ou ont été expulsés dans divers pays du monde entre 1973 et 1989. Une nouvelle estimation est établie en 2011, décomptant plus de 3 200 morts et « disparus », autour de 38 000 personnes torturées.
L'usage de la torture sur les opposants était institutionnalisé. Les tortures pratiquées comprenaient : l'usage de rats, torture par électricité, torture par l'eau, privation d'eau et de nourriture pendant plusieurs jours, viols, tortures psychologiques (tortures et viols de sa famille devant le prisonnier, humiliations diverses, privation de sommeil). Certains étaient pendus par les pieds18. Les prisonniers étaient également régulièrement frappés, et souvent drogués. Certains détenus étaient jetés dans la mer depuis des hélicoptères, après qu'on leur eut ouvert l'estomac au couteau (pour empêcher les corps de flotter)19. Au sein des centres de torture, les cellules font parfois 70 centimètres de large20, certains détenus sont placés au milieu de cadavres21. Des mineures sont torturées nues, et pendues par les poignets22.

La grève est passible de la peine de mort dans certains secteurs. Parallèlement à cette répression, les libertés publiques sont supprimées, la liberté de la presse est abolie et toute activité politique est suspendue. Les responsables politiques locaux et l’ensemble des maires sont destitués, leurs remplaçants étant nommés par la junte.
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À partir de 1973-1975, pour relancer l'économie chilienne, la junte avait fait appel aux Chicago Boys63, des économistes chiliens formés en bonne part aux idées de l'école de Chicago de Milton Friedman. Durant les premières années, l'inflation est très élevée (375 % en 1974 ; l'inflation était déjà de cet ordre avant le coup), puis est relativement maîtrisée et les industries sont re-privatisées (à l'exception des mines de cuivre). On assiste à un fort accroissement du chômage, qui passe de 4,8 % en 1973 à 31 % en 198364, et une récession. Les salaires réels baissent très fortement et les inégalités s’accroissent significativement65. Dans le même temps, la part du budget de la défense passe de 10 % en 1973 à 32 % en 198666 et la dette explose, passant de 5,6 milliards de dollars en 1977 à 15,6 milliards en 1981.
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Voilà ce que le Lapin approuve.
CQFD.

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