Macron ose parler de relance de la natalité tout en constitutionnalisant l’avortement !

[Héloïse de Salm]

LA RÉALITÉ ne peut plus être masquée. Selon l’INSEE, en 2023, la natalité n’a jamais été aussi faible en France que depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Depuis dix ans, le nombre de naissances annuelles ne cesse de baisser dans notre pays. Mais le phénomène s’est brusquement accéléré l’année dernière. En 2023, 678 000 bébés ont vu le jour (en majorité hors mariage !), soit 48 000 de moins qu’en 2022.

C’est près de 7 % de moins en un an. « C’est une baisse sans précédent » déclare à Libération Sylvie Le Minez, responsable de l’unité des études et enquêtes démographiques à l’INSEE. Ce passage sous le cap symbolique des 700 000 naissances s’explique par un déclin de la fécondité. Les femmes, en âge de procréer, font moins d’enfants, quel que soit leur classe d’âge, y compris celles de 30 ans ou plus qui étaient jusque-là relativement peu concernées par ce recul de la fécondité.

Ainsi l’indicateur conjoncturel de fécondité s’établit désormais à 1,68 enfant par femme contre 1,79 un an plus tôt. On est loin des 2,1 enfants par femme nécessaire au renouvellement de la population selon les démographes.

Malgré ces chiffres catastrophiques, la France reste le pays ayant le plus haut taux de fécondité en Europe, où la natalité moyenne tourne autour de 1,53 enfant par femme, la situation sur ce plan n’étant pas meilleure en Europe de l’Est qu’en Europe de l’Ouest. C’est tout le Vieux Continent, et au-delà l’ensemble du monde blanc, qui connaissent un hiver démographique sans précédent par son ampleur et sa durée.

IL FAUT DIRE que tout est fait actuellement pour décourager de donner la vie. De plus en plus de magazines féminins et de discours, notamment dans les milieux écolo-gauchistes, insistent sur les pollutions engendrées par les enfants européens, vantent le fait de ne pas vouloir de progéniture afin de sauvegarder la planète, de lutter contre le réchauffement climatique. Ce discours mortifère commence à porter ses fruits vénéneux chez les nouvelles générations. A cela s’ajoute la montée des individualismes et des égoïsmes de plus en plus monstrueux.

Il n’est pas rare aujourd’hui que des couples ayant finalement décidé d’avoir des enfants (même si au final c’est toujours le Bon Dieu qui les donne) le regrette par la suite car ils ne supportent pas, ou très difficilement, les entraves à leurs libertés quotidiennes qu’entraîne subitement l’arrivée d’un enfant dans leur foyer. Il n’est plus possible de sortir tous les soirs, de mener une vie de bohème, de ne s’occuper que de sa petite personne, de rester toute la journée voire toute la soirée devant des vidéos ou scotché à son téléphone portable. Il faut consacrer du temps, de l’énergie à la chair de sa chair.

Il faut faire preuve de dévouement, consentir à des sacrifices, ce qui est presque devenu un gros mot aujourd’hui. Il faut renoncer, au moins en partie, à un certain mode de vie et cela ne va pas sans grandes difficultés. Autour de nous, nous constatons ainsi l’explosion de nombreux couples parce que l’un des deux parents (et parfois même les deux !) ne veut pas prendre sa part et ne trouve aucun intérêt, aucun épanouissement à s’occuper d’un petit. Ils trouvent cela ennuyeux, pénible, répétitif voire liberticide. Ce qui semblait naturel pour des générations successives depuis des millénaires, depuis que le monde est monde, ne l’est plus, semble-t-il, aujourd’hui. Il est fréquent désormais que les couples se séparent dès les premiers mois, ou les toutes premières années, de leur enfant. Une directrice de crèche à Paris nous confiait récemment qu’en général le couple qui vient déposer sa progéniture lorsqu’il a quelques mois à peine n’est plus le même lorsque l’enfant a trois ans et qu’il faut l’inscrire en maternelle.

L’arrivée du bébé a conduit à l’explosion du couple et de nouveaux partenaires apparaissent. Ce phénomène ne cesse de s’accroître, surtout dans les grandes villes.
On ne peut nier également l’impact des difficultés économiques et du travail féminin généralisé dans cette baisse de la fécondité. L’INSEE pointe l’impact de l’inflation, la baisse du pouvoir d’achat : « L’augmentation générale des prix, qui pèse sur les ménages, peut altérer l’envie d’avoir des enfants ». Les démographes considèrent que cette baisse continue et aggravée de la natalité peut également s’expliquer par les difficultés qu’ont les femmes à concilier vie familiale et vie professionnelle car, qu’on le veuille ou non, et malgré le féminisme ambiant, la charge des enfants, surtout en bas âge, continue à reposer principalement sur elles.
Naguère, un homme, avec son seul salaire, arrivait à faire vivre toute sa famille. Pas forcément sur un grand pied mais enfin il parvenait à subvenir aux besoins du foyer. Tel n’est plus le cas aujourd’hui, sauf rares exceptions, et l’on voit à quel point le discours féministe vantant le travail féminin vu comme une émancipation a été un mensonge car le résultat c’est une double dose de travail et de responsabilités pour la mère. Avec toutes les conséquences négatives que cela entraîne.

DANS SON INTERMINABLE entretien télévisé le 16 janvier, Emmanuel Macron, réagissant à ces chiffres désastreux de la natalité, a appelé à « un réarmement démographique ». Il faut de sa part une sacrée audace quand au même moment (mais c’est sans doute une nouvelle mise en application de son fameux « en même temps » !) il encourage les députés et sénateurs à voter la constitutionnalisation du droit à l’avortement. Ce mercredi 24 janvier, le projet de loi constitutionnelle est en effet débattu à l’Assemblée nationale, avant de l’être au Sénat. Une fois voté dans les mêmes termes par les deux assemblées, le projet de loi sera solennellement adopté par le Parlement réuni en Congrès à Versailles.

Les parlementaires vont, sauf miracle, voter massivement cette abomination, — l’avortement, rappelons-le, étant une boucherie où un être humain, parfaitement viable, ayant un cœur qui bat, un cerveau, des bras et des jambes, est déchiqueté, son crâne fracassé, son corps supplicié et brûlé ou jeté aux ordures —, dans le palais de nos rois chrétiens, à deux pas de la chapelle royale, dans le château symbole de la grandeur de la France. Et cela se fera vite. Très vite. Le chef d’Etat est pressé.

Dans un courrier adressé aux chefs de partis en novembre, Emmanuel Macron avait évoqué la date du 4 mars pour cette réunion au Congrès dont l’issue ne fait pas de doute. En plein Carême. Quelques semaines seulement avant Pâques. Ils savent ce qu’ils font. Sur près d’un millier de députés et sénateurs, une petite poignée seulement (quelques dizaines tout au plus, d’après les derniers décomptes) devrait refuser cette constitutionnalisation du droit à l’avortement ,c’est-à-dire du permis de tuer l’innocence, de massacrer un être humain, de mettre à mort le fruit de ses entrailles en toute impunité. De le supplicier sur l’autel de ses égoïsmes, de sa dureté de cœur, de son irresponsabilité.

Comment peut-on oser parler de « réarmement démographique » quand on promeut parallèlement une telle ignominie ? Les mots n’ont décidément plus dans ce sens dans ce monde orwellien. Et par ailleurs le congé de naissance de six mois qu’a promis Macron, que pourraient faire valoir les deux parents et qui doit se substituer au congé parental qui pouvait durer jusqu’à trois ans, n’est nullement de nature à améliorer la situation. Six mois, c’est un laps de temps extrêmement court. Beaucoup reculeront à l’idée de mettre au monde un enfant si au bout d’un semestre seulement on doit le confier à une crèche ou à une assistante maternelle parce qu’on n’aura alors plus d’aide.

ON LE VOIT, on démantèle toujours davantage la politique familiale qui a permis à notre pays de connaître une baisse des naissances globalement moins calamiteuse que dans les autres pays européens. Mais de toute façon comment demander à des dirigeants de promouvoir une politique familiale et nataliste ambitieuse alors qu’ils n’ont ni famille ni enfants ? Le chef de l’Etat n’a pas de progéniture, le chef du gouvernement non plus, même s’il souhaitait il y a peu encore réaliser une « GPA éthique » avec son (ex- ?) concubin Stéphane Séjourné. La plupart des ministres sont de surcroît homosexuels, comme une grande partie des élus, tous partis confondus (et le RN n’est pas en reste là-dessus, tant s’en faut). Nous ne vivons pas les années folles mais les années des folles ! Dans ces conditions, le « réarmement démographique » n’est certainement pas pour demain.

[Jeannot Lapin]

LA RÉALITÉ ne peut plus être masquée. Selon l’INSEE, en 2023, la natalité n’a jamais été aussi faible en France que depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. Depuis dix ans, le nombre de naissances annuelles ne cesse de baisser dans notre pays. Mais le phénomène s’est brusquement accéléré l’année dernière. En 2023, 678 000 bébés ont vu le jour (en majorité hors mariage !), soit 48 000 de moins qu’en 2022.

C’est près de 7 % de moins en un an. « C’est une baisse sans précédent » déclare à Libération Sylvie Le Minez, responsable de l’unité des études et enquêtes démographiques à l’INSEE. Ce passage sous le cap symbolique des 700 000 naissances s’explique par un déclin de la fécondité. Les femmes, en âge de procréer, font moins d’enfants, quel que soit leur classe d’âge, y compris celles de 30 ans ou plus qui étaient jusque-là relativement peu concernées par ce recul de la fécondité.

Ainsi l’indicateur conjoncturel de fécondité s’établit désormais à 1,68 enfant par femme contre 1,79 un an plus tôt. On est loin des 2,1 enfants par femme nécessaire au renouvellement de la population selon les démographes.

Malgré ces chiffres catastrophiques, la France reste le pays ayant le plus haut taux de fécondité en Europe, où la natalité moyenne tourne autour de 1,53 enfant par femme, la situation sur ce plan n’étant pas meilleure en Europe de l’Est qu’en Europe de l’Ouest. C’est tout le Vieux Continent, et au-delà l’ensemble du monde blanc, qui connaissent un hiver démographique sans précédent par son ampleur et sa durée.

IL FAUT DIRE que tout est fait actuellement pour décourager de donner la vie. De plus en plus de magazines féminins et de discours, notamment dans les milieux écolo-gauchistes, insistent sur les pollutions engendrées par les enfants européens, vantent le fait de ne pas vouloir de progéniture afin de sauvegarder la planète, de lutter contre le réchauffement climatique. Ce discours mortifère commence à porter ses fruits vénéneux chez les nouvelles générations. A cela s’ajoute la montée des individualismes et des égoïsmes de plus en plus monstrueux.

Il n’est pas rare aujourd’hui que des couples ayant finalement décidé d’avoir des enfants (même si au final c’est toujours le Bon Dieu qui les donne) le regrette par la suite car ils ne supportent pas, ou très difficilement, les entraves à leurs libertés quotidiennes qu’entraîne subitement l’arrivée d’un enfant dans leur foyer. Il n’est plus possible de sortir tous les soirs, de mener une vie de bohème, de ne s’occuper que de sa petite personne, de rester toute la journée voire toute la soirée devant des vidéos ou scotché à son téléphone portable. Il faut consacrer du temps, de l’énergie à la chair de sa chair.

Il faut faire preuve de dévouement, consentir à des sacrifices, ce qui est presque devenu un gros mot aujourd’hui. Il faut renoncer, au moins en partie, à un certain mode de vie et cela ne va pas sans grandes difficultés. Autour de nous, nous constatons ainsi l’explosion de nombreux couples parce que l’un des deux parents (et parfois même les deux !) ne veut pas prendre sa part et ne trouve aucun intérêt, aucun épanouissement à s’occuper d’un petit. Ils trouvent cela ennuyeux, pénible, répétitif voire liberticide. Ce qui semblait naturel pour des générations successives depuis des millénaires, depuis que le monde est monde, ne l’est plus, semble-t-il, aujourd’hui. Il est fréquent désormais que les couples se séparent dès les premiers mois, ou les toutes premières années, de leur enfant. Une directrice de crèche à Paris nous confiait récemment qu’en général le couple qui vient déposer sa progéniture lorsqu’il a quelques mois à peine n’est plus le même lorsque l’enfant a trois ans et qu’il faut l’inscrire en maternelle.

L’arrivée du bébé a conduit à l’explosion du couple et de nouveaux partenaires apparaissent. Ce phénomène ne cesse de s’accroître, surtout dans les grandes villes.
On ne peut nier également l’impact des difficultés économiques et du travail féminin généralisé dans cette baisse de la fécondité. L’INSEE pointe l’impact de l’inflation, la baisse du pouvoir d’achat : « L’augmentation générale des prix, qui pèse sur les ménages, peut altérer l’envie d’avoir des enfants ». Les démographes considèrent que cette baisse continue et aggravée de la natalité peut également s’expliquer par les difficultés qu’ont les femmes à concilier vie familiale et vie professionnelle car, qu’on le veuille ou non, et malgré le féminisme ambiant, la charge des enfants, surtout en bas âge, continue à reposer principalement sur elles.
Naguère, un homme, avec son seul salaire, arrivait à faire vivre toute sa famille. Pas forcément sur un grand pied mais enfin il parvenait à subvenir aux besoins du foyer. Tel n’est plus le cas aujourd’hui, sauf rares exceptions, et l’on voit à quel point le discours féministe vantant le travail féminin vu comme une émancipation a été un mensonge car le résultat c’est une double dose de travail et de responsabilités pour la mère. Avec toutes les conséquences négatives que cela entraîne.

DANS SON INTERMINABLE entretien télévisé le 16 janvier, Emmanuel Macron, réagissant à ces chiffres désastreux de la natalité, a appelé à « un réarmement démographique ». Il faut de sa part une sacrée audace quand au même moment (mais c’est sans doute une nouvelle mise en application de son fameux « en même temps » !) il encourage les députés et sénateurs à voter la constitutionnalisation du droit à l’avortement. Ce mercredi 24 janvier, le projet de loi constitutionnelle est en effet débattu à l’Assemblée nationale, avant de l’être au Sénat. Une fois voté dans les mêmes termes par les deux assemblées, le projet de loi sera solennellement adopté par le Parlement réuni en Congrès à Versailles.

Les parlementaires vont, sauf miracle, voter massivement cette abomination, — l’avortement, rappelons-le, étant une boucherie où un être humain, parfaitement viable, ayant un cœur qui bat, un cerveau, des bras et des jambes, est déchiqueté, son crâne fracassé, son corps supplicié et brûlé ou jeté aux ordures —, dans le palais de nos rois chrétiens, à deux pas de la chapelle royale, dans le château symbole de la grandeur de la France. Et cela se fera vite. Très vite. Le chef d’Etat est pressé.

Dans un courrier adressé aux chefs de partis en novembre, Emmanuel Macron avait évoqué la date du 4 mars pour cette réunion au Congrès dont l’issue ne fait pas de doute. En plein Carême. Quelques semaines seulement avant Pâques. Ils savent ce qu’ils font. Sur près d’un millier de députés et sénateurs, une petite poignée seulement (quelques dizaines tout au plus, d’après les derniers décomptes) devrait refuser cette constitutionnalisation du droit à l’avortement ,c’est-à-dire du permis de tuer l’innocence, de massacrer un être humain, de mettre à mort le fruit de ses entrailles en toute impunité. De le supplicier sur l’autel de ses égoïsmes, de sa dureté de cœur, de son irresponsabilité.

Comment peut-on oser parler de « réarmement démographique » quand on promeut parallèlement une telle ignominie ? Les mots n’ont décidément plus dans ce sens dans ce monde orwellien. Et par ailleurs le congé de naissance de six mois qu’a promis Macron, que pourraient faire valoir les deux parents et qui doit se substituer au congé parental qui pouvait durer jusqu’à trois ans, n’est nullement de nature à améliorer la situation. Six mois, c’est un laps de temps extrêmement court. Beaucoup reculeront à l’idée de mettre au monde un enfant si au bout d’un semestre seulement on doit le confier à une crèche ou à une assistante maternelle parce qu’on n’aura alors plus d’aide.

ON LE VOIT, on démantèle toujours davantage la politique familiale qui a permis à notre pays de connaître une baisse des naissances globalement moins calamiteuse que dans les autres pays européens. Mais de toute façon comment demander à des dirigeants de promouvoir une politique familiale et nataliste ambitieuse alors qu’ils n’ont ni famille ni enfants ? Le chef de l’Etat n’a pas de progéniture, le chef du gouvernement non plus, même s’il souhaitait il y a peu encore réaliser une « GPA éthique » avec son (ex- ?) concubin Stéphane Séjourné. La plupart des ministres sont de surcroît homosexuels, comme une grande partie des élus, tous partis confondus (et le RN n’est pas en reste là-dessus, tant s’en faut). Nous ne vivons pas les années folles mais les années des folles ! Dans ces conditions, le « réarmement démographique » n’est certainement pas pour demain.

Bravo. Je n'aurait pas dit autre chose.

Je rajouterai à l'insécurité que Macron ne fait rien pour faire de la France un pays où on se sente en sécurité. Il y a une insécurité intérieure avec un laisser aller total avec une impunité pour les malfrats et une atmosphère de guerre des gangs et d'intifada dans les écoles, sans oublier les guerres récentes contre le privé (seul endroit encore sûr), que la Macronie laisse oeuvrer. Et il y a une insécurité internationale : Macron a remplacé les diplomates par des militants LGBT+, il ne soutient pas militairement la sphère francophone des attaques, à la limite de la lâcheté, et ne fait aucun effort militaire, alors que le monde entier se réarme (par contre il n'arrête pas de le dire mais sans aucune suite), et implique la France dans le feu de l'action alors qu'on n'a pas de moyens et qu'on attend des autres (Etats-Unis) de nous assurer les arrières, alors qu'ils semblent se dérober... et je rajouterai une inexistence notamment des Renseignements Généraux et de nos service d’espionnage face à la désinformations organisée massive contre la France par plusieurs états. En plus de sa politique anti-familliale, on a l'impression que Macron n'arrive à rien faire et qu'il n'y aucune direction à part un mot d'ordre du genre "réindustrialisation" ou "réarmement" mais suivi d'aucune effet
Face à ce type de perspective et d'environnement, il est normal que la perspective du mode de vie familial de couple avec enfants se délite; un parcours bien plus difficile que d'organiser sa vie seul, parsemé de jouissances personnelles.

[Edouard de Montmonrency]

Si l'infertilité était si importante que ça, il n'y aurait pas tous ces avortements tous les ans.

[Minos de Rhadamanthe]

Pourquoi une politique nataliste ?
On a 6 millions de chômeurs, donc 6 millions de gens inutiles que la collectivité doit prendre en charge !!!
C'est 6 millions de gens en TROP !!!
Faire des enfants, c'est bien, mais si c'est pour en faire des RSA ou des chômeurs, l'IVG doit en effet être utilisée !!

Les aides de l'Etat pour les enfants devraient être supprimés à partir de 2 enfants !!
Vous voulez des gosses : pas de pb ! Mais ASSUMEZ VOS CHOIX !!! Pas la collectivité !!!

[Monsieur Trololo]

Pourquoi une politique nataliste ?
On a 6 millions de chômeurs, donc 6 millions de gens inutiles que la collectivité doit prendre en charge !!!

Bin pour en avoir 9 millions qui vivront à vos crochets !

Faire des enfants, c'est bien, mais si c'est pour en faire des RSA ou des chômeurs, l'IVG doit en effet être utilisée !!

Les aides de l'Etat pour les enfants devraient être supprimés à partir de 2 enfants !!
Vous voulez des gosses : pas de pb ! Mais ASSUMEZ VOS CHOIX !!! Pas la collectivité !!!

Nan mais OK vous voulez vieillir sans que personne paie vos retraites, et vous torche le cul, assumez votre choix l'Euthanasie ...

[Minos de Rhadamanthe]

Faire des enfants, c'est bien, mais si c'est pour en faire des RSA ou des chômeurs, l'IVG doit en effet être utilisée !!

Les aides de l'Etat pour les enfants devraient être supprimés à partir de 2 enfants !!
Vous voulez des gosses : pas de pb ! Mais ASSUMEZ VOS CHOIX !!! Pas la collectivité !!!

Nan mais OK vous voulez vieillir sans que personne paie vos retraites, et vous torche le cul, assumez votre choix l'Euthanasie ...

Parce que vous croyez VRAIMENT que les millions de chômeurs et de RSA cotisent pour nos retraites ?!
Vous n'avez toujours pas compris comment fonctionne le système par répartition ?!
Et vous pensez que des branleurs durant toute leur vie, vont tout d'un coup être ok pour nous torcher le cul ?

Soit vous êtes l'être le plus naïf que j'ai rencontré, soit celui avec la plus mauvaise foi !!

[Monsieur Trololo]

Parce que vous croyez VRAIMENT que les millions de chômeurs et de RSA cotisent pour nos retraites ?!

Déjà je ne suis pas persuadé qu'il y ai des millions de chômeurs au RSA comme vous dites, moi par exemple je suis inscrit à pôle emploi et j'ai droit à quedalle. et Secondo on ne reste généralement que quelques mois au chômage. (Je précise je travaille quaand même encore à temps partiel)

Vous n'avez toujours pas compris comment fonctionne le système par répartition ?!

Bin si justement c'est pour ça que j'en parle

Et vous pensez que des branleurs durant toute leur vie, vont tout d'un coup être ok pour nous torcher le cul ?:

Pourquoi j'ai écrit ça quelquepart ?

Je ne suis responsable que de ce que j'écris pas des interprétations que vous en faites !

[Frère Barnabé]

1 emmanuel macron n'a pas voulu faire des gosses , donc il est déja un mauvais excemple !
2  avec l'IA  qui va remplacer le travail des  humain(e)s c'est pas la peine !
3 rien n'est fait pour l'amélioration  et l'attachement sentimental aux enfants !!!
en résumé  c'est enfants de la patrie contre l'union familiale !

[Monsieur Trololo]

2  avec l'IA  qui va remplacer le travail des  humain(e)s c'est pas la peine !

A mon avis c'est pas pour demain ... je parle du travail utile biensûr.

3 rien n'est fait pour l'amélioration  et l'attachement sentimental aux enfants !!!
en résumé  c'est enfants de la patrie contre l'union familiale ![/b]

Oui mais non, du moins faut être précis c'est plutôt une histoire de :

- on ne construit pas de logements du moins pas assez, et ils sont hors de prix
- les bagnoles ont envahi tout l'espace urbain,
- les squares les aires de jeux pour enfant sont minables
- les employeurs sont des gros connards qui ne veulent pas entendre parler des mômes de leur employés

[Jeannot Lapin]

2  avec l'IA  qui va remplacer le travail des  humain(e)s c'est pas la peine !

A mon avis c'est pas pour demain ... je parle du travail utile biensûr.

Tout à fait d'accord. Du moins en substance. Dans le détail, il y en a qui devront faire évoluer leur travail et compétences mais ça a toujours été comme ça.

3 rien n'est fait pour l'amélioration  et l'attachement sentimental aux enfants !!!
en résumé  c'est enfants de la patrie contre l'union familiale ![/b]

Oui mais non, du moins faut être précis c'est plutôt une histoire de :

- on ne construit pas de logements du moins pas assez, et ils sont hors de prix
- les bagnoles ont envahi tout l'espace urbain,
- les squares les aires de jeux pour enfant sont minables
- les employeurs sont des gros connards qui ne veulent pas entendre parler des mômes de leur employés

Là je suis pas d'accord avec vous deux.
D'abord pour Bernabé, ça n'a rien avoir avec une politique. Je pense plus que les dérives, avec le sexe, la violence crue à tous les niveaux sur les supports média enfant, nuisent à une atmosphère sereine, comme beaucoup de polémiques futiles, du manque de courtoisie et de tenue qui se généralise etc etc.
Pour le gloubi-boulga Trololo écolo et les espaces publics façon cités années 60, stop. On y déjà eu droit et on a vu. Là on subit le retour des 68ards ignares dont le monde idéal c'est le plan Voisin du centre de Paris.
Stop ! Assez ! Il suffit !

La natalité des 30 glorieuses s'est faite dans du Haussmanien et des vieilles maisons surpeuplées, dans des villes propres et pendant une explosion de l'usage de la voiture (par défaut de construction à cause du non versement autorisé des loyers aux propriétaires entre les deux guerres). Les squares et les parcs étaient gardiennés et tout le monde s'y rendait dans la discipline. Proposez à un enfant d'aller jouer dans un parc ou alors aux jeux vidéo et vous allez voir qu'il va chialer si vous l'emmenez au parc qui par ailleurs vous fera perdre du temps. C'est tout. Si les parents veulent emmener les enfants au parc, il faut tout simplement qu'ils y soient pas seuls et surtout pas leur demander. Quant au gardiennage, il faut demander à des maires genre Hidalgo, pourquoi les rats et les trafiquants de drogue (qu'elle encourage avec les salles de shoot) se sentent mieux dans les parcs devenus sales et non entretenus, que les parents accompagnant leurs enfants.

[Minos de Rhadamanthe]

Parce que vous croyez VRAIMENT que les millions de chômeurs et de RSA cotisent pour nos retraites ?!

Déjà je ne suis pas persuadé qu'il y ai des millions de chômeurs au RSA comme vous dites, moi par exemple je suis inscrit à pôle emploi et j'ai droit à quedalle. et Secondo on ne reste généralement que quelques mois au chômage. (Je précise je travaille quaand même encore à temps partiel)

Ben, SI !! des millions !!
Et chômeurs ou RSA, votre participation à la collecte pour les retraite est plus que succincte puisque c'est ceux qui bossent qui participent pour vous !

Vous n'avez toujours pas compris comment fonctionne le système par répartition ?!

Bin si justement c'est pour ça que j'en parle

Ben, non !!
Je suis certain que vous faites partie de ces gens convaincu qu'ils "ont droit à la retraite" !
C'est FAUX !!! Vous n'aurez de retraite que si des gens BOSSENT et COTISENT pendant que vous serez à la retraite !!
Même si vous avez cotisé toute votre vie, s'il n'y a plus personne pour bosser à cotiser pour vous, vous n'aurez RIEN !!!!

Et vous pensez que des branleurs durant toute leur vie, vont tout d'un coup être ok pour nous torcher le cul ?:

Pourquoi j'ai écrit ça quelquepart ?

Je ne suis responsable que de ce que j'écris pas des interprétations que vous en faites !

JUSTEMENT, je vous cite :

Nan mais OK vous voulez vieillir sans que personne paie vos retraites, et vous torche le cul, assumez votre choix l'Euthanasie ...

Mémoire à court terme M. Trololo...
En effet VOUS êtes RESPONSABLE de CE que VOUS écrivez !!

[André de Montalembert]

Mesdames vous avez été violées, et bien assumez si vous êtes enceinte, car pas question de vous faire avorter!
Bravo les intégristes de Civitas.....
...et de France Chrétienne ? ?

[Minos de Rhadamanthe]

Mesdames vous avez été violées, et bien assumez si vous êtes enceinte, car pas question de vous faire avorter!
Bravo les intégristes de Civitas.....
...et de France Chrétienne ? ?

A quel moment l'IVG a-t-elle été remise en cause ?
QUI a demandé sa suppression ? PERSONNE !!
Va falloir se calmer les papys !!

On refuse juste de la mettre dans la constitution !!!
Si l'IVG passe dans la constitution, alors pourquoi pas le code de la route ou les normes sur le lait ?!!!
Ce type de chose n'a RIEN à foutre dans une constitution !!

Vous mettriez le règlement intérieur ou la convention collective dans les statuts de d'une boite vous ?!

[André de Montalembert]

Si çà reste une loi, il suffit qu'une LePen passe au pouvoir et hop interdit l'IVG et vive la Manif pour Tous!
Il est vrai que ;

https://www.lemonde.fr/politique/article/2022/11/22/sur-l-ivg-marine-le-pen-change-de-position-et-propose-de-constitutionnaliser-la-loi-veil_6151030_823448.html

« Pourquoi pas ». Puis non. Puis oui mais. Marine Le Pen semble, cette fois, avoir arrêté son avis quant à la constitutionnalisation de l’interruption volontaire de grossesse (IVG). Lundi 21 novembre, à trois jours de l’examen dans l’Hémicycle d’une proposition de loi de La France insoumise (LFI) destinée à graver dans le marbre constitutionnel le droit à l’IVG, la cheffe de file du Rassemblement national (RN) a déposé un amendement visant à consacrer les dispositions actuelles – en mentionnant spécifiquement le délai maximal de quatorze semaines de grossesse pour le recours à une IVG, un délai auquel elle s’était opposée lors de la législature précédente, jugeant que « l’acte [changeait] complètement de nature ». Avec cet amendement d’équilibre, dévoilé par RTL et France Inter, Mme Le Pen espère réconcilier un groupe où cohabitent des sensibilités très diverses en ce qui concerne les questions de société, entre partisans du mariage homosexuel et catholiques « provie ».
Une loi c'est facile à changer....pas la constitution!
Pour sa nièce et Zemmour c'est NON sinon c'est l'Enfer de Satan!

[Edouard de Montmonrency]

Mesdames vous avez été violées, et bien assumez si vous êtes enceinte, car pas question de vous faire avorter!
Bravo les intégristes de Civitas.....
...et de France Chrétienne ? ?

A quel moment l'IVG a-t-elle été remise en cause ?
QUI a demandé sa suppression ? PERSONNE !!
Va falloir se calmer les papys !!

On refuse juste de la mettre dans la constitution !!!
Si l'IVG passe dans la constitution, alors pourquoi pas le code de la route ou les normes sur le lait ?!!!
Ce type de chose n'a RIEN à foutre dans une constitution !!

Vous mettriez le règlement intérieur ou la convention collective dans les statuts de d'une boite vous ?!

Il n'y a qu'a mettre ça dans la constitution européenne (le fourre-tout des pays membres).

[Jeannot Lapin]

Mesdames vous avez été violées, et bien assumez si vous êtes enceinte, car pas question de vous faire avorter!
Bravo les intégristes de Civitas.....
...et de France Chrétienne ? ?

A quel moment l'IVG a-t-elle été remise en cause ?
QUI a demandé sa suppression ? PERSONNE !!
Va falloir se calmer les papys !!

On refuse juste de la mettre dans la constitution !!!
Si l'IVG passe dans la constitution, alors pourquoi pas le code de la route ou les normes sur le lait ?!!!
Ce type de chose n'a RIEN à foutre dans une constitution !!

Vous mettriez le règlement intérieur ou la convention collective dans les statuts de d'une boite vous ?!

Il n'y a qu'a mettre ça dans la constitution européenne (le fourre-tout des pays membres).

Vu les machins absurdes qui y figurent ça fonderait dans la masse.

[Revanchisti]

https://politique.forum-actif.net/t42420-le-climat-eocnomique-et-culturelle-tue-la-france#671780

Celà fait parti d'un tout.

Il faut une politique familiale qui accompagne la politique nataliste et se donner les moyens de l'appliquer.
L’interdiction de l'avortement dans le but d'une politique nataliste ça s'est fait, en URSS après la seconde guerre mondiale par exemple.
Le problème c'est que ça ne suffit pas, si vous êtes dans un monde qu n'incite pas à faire de gosse les gens vont soit arrêter de baiser soit pratiquer l'avortement en scrède soit utiliser de la contraception en masse.

Surtout aujourd’hui où les moyens de vivre une vie intime totalement décadente et de débauche tout en étant dans le célibat sont partout.


Il faut qu'ils puissent bien vivre.

[Monsieur Trololo]

Pfff .....

T'y connait quoi en gosses Revanchisti ?

Pourquoi t'en as pas ? Ta vie sexuelle serait-elle décadente à ce point ?

Nan biensur la vérité il te faut l'assumer :

Aucune meuf ne veut de toi car t'est un looser qui rapporte pas de fric à la maison pour se permettre d'élever les mômes, et t'est même pas assez fute pour faire homme au foyer d'une gagneuse.

Voilà la vérité Revanchisti fout la paix aux LGBT STP car certain-e-s d'entre eux bossent durement et sont bien plus dignes que toi d'avoir des enfants.

[Edouard de Montmonrency]

Pfff .....

T'y connait quoi en gosses Revanchisti ?

Pourquoi t'en as pas ? Ta vie sexuelle serait-elle décadente à ce point ?

Nan biensur la vérité il te faut l'assumer :

Aucune meuf ne veut de toi car t'est un looser qui rapporte pas de fric à la maison pour se permettre d'élever les mômes, et t'est même pas assez fute pour faire homme au foyer d'une gagneuse.

Voilà la vérité Revanchisti fout la paix aux LGBT STP car certain-e-s d'entre eux bossent durement et sont bien plus dignes que toi d'avoir des enfants.

Pour avoir des gosses, et la femme qui va avec, si on est au RSA il faut gagner le gros lot au Loto Troloto ;-)

[Frère apOTRE]

pourquoi n'ont il pas inclus en même temps  le don du sperme  avec l'IVG , dans le marbre de la constitution  ???

[Monsieur Trololo]

Pour avoir des gosses, et la femme qui va avec, si on est au RSA il faut gagner le gros lot au Loto Troloto  ;-)

Ou sinon il suffit d'interdire l'avortement ...

[Frère apOTRE]

Pour avoir des gosses, et la femme qui va avec, si on est au RSA il faut gagner le gros lot au Loto Troloto  ;-)

Ou sinon il suffit d'interdire l'avortement ...

serais tu capable de donner ton sperme,sais tu aussi que le taux de spermatozoïdes baisse??

[Monsieur Trololo]

serais tu capable de donner ton sperme

Oui mais directement dans la cliente, hors de question de passer par des intermédiaires.

[Frère apOTRE]

serais tu capable de donner ton sperme

Oui mais directement dans la cliente, hors de question de passer par des intermédiaires.

certains te paye pour ce don si tu ne le savais pas !!!

[Edouard de Montmonrency]

Pour avoir des gosses, et la femme qui va avec, si on est au RSA il faut gagner le gros lot au Loto Troloto  ;-)

Ou sinon il suffit d'interdire l'avortement ...

lol ... dès que tu n'as plus d'arguments pertinents, c'est tout de suite la ritournelle de radicalité chez toi ;-)

[Contenu sponsorisé]