La grève générale en Argentine contre le plan d'austérité de Javier Milei a débuté hier.

[Vladimir de Volog]

La grève générale en Argentine contre le plan d'austérité de Javier Milei a débuté hier.


La grève générale en Argentine contre le plan d'austérité de Javier Milei a débuté hier. La grève rassemble toutes les plus grandes fédérations syndicales des secteurs public et privé. Il s'agit notamment de la CGT, du CTA et du CTA-Autónomo.

Cette grève survient 45 jours seulement après l'entrée en fonction du « libertaire » Javier Milei, établissant un nouveau record.

Il surpasse celui du président de droite Fernando de La Rua, qui a fait face à une grève générale trois mois après le début de son mandat en 1999.

Les travailleurs se mobilisent contre le plan d'austérité de « thérapie de choc » de Milei, qui réduira les dépenses sociales ainsi que les subventions à l'alimentation et aux transports publics.

Les syndicats de travailleurs argentins, hautement organisés, vont tester leur force aujourd'hui face à une éventuelle répression annoncée par la ministre de l'Intérieur Patricia Bullrich, qui a laissé entendre que les syndicats seraient obligés de payer le coût du maintien de l'ordre et pourraient faire l'objet de poursuites si les manifestations bloquaient les routes publiques aujourd'hui.


La situation économique du pays s'est détériorée depuis que Milei a pris le pouvoir début décembre.

L'inflation annuelle a atteint 211 %, contre 160 % en novembre.

Si le plan d’austérité est approuvé par le Congrès, les travailleurs craignent que les biens de première nécessité ne soient pas à la portée de la majorité de la population.

[Vladimir de Volog]

Argentine : le nouveau président, Javier Milei, fait face à sa première contestation et à une grève générale

[Jeannot Lapin]

Attention, ceux qui vont pas travailler ne recevront pas de salaire. Ca se passera pas comme avec les péroniste de mèche avec les syndicats pour imposer leur politique sociale.
Les flemmards en seront pour leur frais.

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