Cuba: au paradis communiste, il n'y a plus rien à bouffer.....
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Monsieur Trololo
Jeannot Lapin
Revanchisti
André de Montalembert
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Cuba: au paradis communiste, il n'y a plus rien à bouffer.....
Hé, le plariste.... tes amis politiques, les cubains, meurent de faim !
Salauds de capitalistes étrangers... qui bouffent hors de Cuba le pain des cubains !
Le pouvoir a mis en garde contre "des terroristes basés aux Etats-Unis" et "les ennemis de la Révolution" qui exploitent selon lui la vague de colère contre les longues coupures de courant et les pénuries alimentaires dans le pays. Bahhh... c'est évident, la pénurie chez les cubains est le fait de ces salauds de ricains, qui, de Washington ou New York, créent la pénurie, la famine et le misère sur l'île de la prospérité socialiste....
A Santiago de Cuba (510.000 habitants), "les gens criaient +nourriture et électricité+", a raconté par téléphone à l'AFP un habitant ayant requis l'anonymat.L'électricité est revenue plus tard dans la journée et "deux camions de riz" ont été acheminés.
Les longues pannes de courant et les pénuries alimentaires ont poussé les gens à "sortir dans la rue", a expliqué une esthéticienne âgée de 28 ans, vivant dans un autre quartier de Santiago et qui a également souhaité garder l'anonymat."Tout est cher et les salaires sont bas".
Le système de production d'électricité de Cuba se compose de huit vieilles centrales thermoélectriques, ainsi que de générateurs et de huit bateaux-générateurs loués à la Turquie, également affectés par le manque de carburant.
Salauds de ricains.... ils ruinent "l'île de la liberté", jaloux qu'ils sont de sa prospérité !!!
https://portail.free.fr/actualites/monde/a-cuba-ou-la-colere-monte-contre-les-les-penuries-le-pouvoir-denonce-une-destabilisation/
Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
- Messages : 11689
Date d'inscription : 03/12/2021
Re: Cuba: au paradis communiste, il n'y a plus rien à bouffer.....
Depuis combien de temps existe l'embargo ?
Par contre l'Europe fait appel à leurs médecins!
Au fait, il n'y a pas de régime communiste à Cuba ils ont un capitalisme d'Etat et même des millionnaires.
Par contre l'Europe fait appel à leurs médecins!
Au fait, il n'y a pas de régime communiste à Cuba ils ont un capitalisme d'Etat et même des millionnaires.
André de Montalembert- Vénérable
- Messages : 10554
Date d'inscription : 13/12/2022
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Localisation : Lucciana
Re: Cuba: au paradis communiste, il n'y a plus rien à bouffer.....
Bah c'est ça que de privatiser des secteurs stratégiques (tain ces cons...)
Mais bon, soit les cubains crèvent dans la rue sous le joug d’une dictature mafieuse pilotée depuis les USA, soient ils se prennent un embargo dans la gueule.
La résistance est al seule voie digne.
Mais bon, soit les cubains crèvent dans la rue sous le joug d’une dictature mafieuse pilotée depuis les USA, soient ils se prennent un embargo dans la gueule.
La résistance est al seule voie digne.
Revanchisti- Vénérable
- Messages : 10026
Date d'inscription : 04/09/2022
Re: Cuba: au paradis communiste, il n'y a plus rien à bouffer.....
Tu parles d'embargo. Ils n'y a d'ailleurs que les US qui les mettent sous embargo et il ne couvre pas tous les domaines. L'ancien maire de NY, De Blasio, était démocrate mais en fait communiste pro-soviétique en privé. Il s'est marié avec sa compagne à Cuba, était un ami de Fidel Castro, a prononcé à Cuba des discours pro-Iran et Pro-Nicaragua dans les années 80 et 90, laissait échapper des slogans communistes des temps soviétiques pendant ses campagnes (par mégarde parce qu'ils s'était acheté une conduite de gentil Démocrate pour être élu). Cuba est en plus aidé par la Chine et la Russie, financièrement et industriellement. Vous me direz, il y a pire : Haiti. Mais seulement économiquement, et Haiti a au contraire été sciemment continuellement saboté par la guerre permanente d'influence entre les USA et la France, ne reçoit que des pourboires alimentaires et les aides des églises suite aux dons (ce qui n'est pas bien lourd).André de Montalembert a écrit:Depuis combien de temps existe l'embargo ?
Par contre l'Europe fait appel à leurs médecins!
Au fait, il n'y a pas de régime communiste à Cuba ils ont un capitalisme d'Etat et même des millionnaires.
Voilà : donc Cuba n'a aucune excuse pour ne pas être un pays libre et riche. Ce n'est ni l'un ni l'autre et au niveau du PIB, ils truandent parce qu'avec leur niveau affiché ils devraient pas nager dans la pauvreté crasse avec aucun entretien, vraiment nul du pays, bâtiments, routes, canalisations, depuis qu'il est devenu communiste.
Jeannot Lapin- Sage
- Messages : 9233
Date d'inscription : 31/07/2021
Re: Cuba: au paradis communiste, il n'y a plus rien à bouffer.....
Jean-Louis et si tu nous parlait de l'embargo Etat-unien sur Cuba ? Et de mesures de rétorsion prises contre les entreprises européennes qui auraient tort de commercer avec cette ile.
Monsieur Trololo- Vénérable
- Messages : 15509
Date d'inscription : 03/08/2021
Re: Cuba: au paradis communiste, il n'y a plus rien à bouffer.....
Revanchisti a écrit:Bah c'est ça que de privatiser des secteurs stratégiques (tain ces cons...)
Mais bon, soit les cubains crèvent dans la rue sous le joug d’une dictature mafieuse pilotée depuis les USA, soient ils se prennent un embargo dans la gueule.
La résistance est al seule voie digne.
.... soit il mettent le mouchoir sur l'idéologie qui les a ruinés et s'associent avec les ricains en virant au libéralisme total.
Avec la proximité de pays riches dans cette région du monde, Cuba pourrait exploiter le tourisme et ses dérivés à outrance et en retirer de substantiels bénéfices. C'est d'une évidence limpide, à condition qu'ils sortent de leur tronche la manie historique de l'idéologie communarde. S'ils refusent, tant pis pour eux, ils continueront à vivre en pays sous-développé et à crever de faim.
Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
- Messages : 11689
Date d'inscription : 03/12/2021
Re: Cuba: au paradis communiste, il n'y a plus rien à bouffer.....
Monsieur Trololo a écrit:Jean-Louis et si tu nous parlait de l'embargo Etat-unien sur Cuba ? Et de mesures de rétorsion prises contre les entreprises européennes qui auraient tort de commercer avec cette ile.
Oui, bien sûr, c'est la faute aux autres, c'est toujours la faute aux autres chez les médiocres ou les feignâsses.... y compris et surtout au niveau des citoyens.
Regarde les russes ce qu'ils ont fait de l'embargo....ils l'ont contourné, truandé et évité, de sorte que ça les gêne le moins possible et... l'embargo n'a pas empêché le PIB russe de progresser de 3% !
Les cubains n'ont qu'à appeler Poutine pour lui demander la recette des contournements et évitements.....entre pays ex-frères, on ne peut que s'aider.
Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
- Messages : 11689
Date d'inscription : 03/12/2021
Re: Cuba: au paradis communiste, il n'y a plus rien à bouffer.....
Un peu de sérieux Jean-Louis on parle d'une ile qui subit un embargo lourd depuis plus de 70 ans, et qui n'a pas de pétrole. Moi je trouve même ça assez remarquable qu'ils aient tenu si longtemps.
Monsieur Trololo- Vénérable
- Messages : 15509
Date d'inscription : 03/08/2021
Re: Cuba: au paradis communiste, il n'y a plus rien à bouffer.....
Jean-Louis de Toqueville a écrit:
Hé, le plariste.... tes amis politiques, les cubains, meurent de faim !
Salauds de capitalistes étrangers... qui bouffent hors de Cuba le pain des cubains !
Le pouvoir a mis en garde contre "des terroristes basés aux Etats-Unis" et "les ennemis de la Révolution" qui exploitent selon lui la vague de colère contre les longues coupures de courant et les pénuries alimentaires dans le pays. Bahhh... c'est évident, la pénurie chez les cubains est le fait de ces salauds de ricains, qui, de Washington ou New York, créent la pénurie, la famine et le misère sur l'île de la prospérité socialiste....
A Santiago de Cuba (510.000 habitants), "les gens criaient +nourriture et électricité+", a raconté par téléphone à l'AFP un habitant ayant requis l'anonymat.L'électricité est revenue plus tard dans la journée et "deux camions de riz" ont été acheminés.
Les longues pannes de courant et les pénuries alimentaires ont poussé les gens à "sortir dans la rue", a expliqué une esthéticienne âgée de 28 ans, vivant dans un autre quartier de Santiago et qui a également souhaité garder l'anonymat."Tout est cher et les salaires sont bas".
Le système de production d'électricité de Cuba se compose de huit vieilles centrales thermoélectriques, ainsi que de générateurs et de huit bateaux-générateurs loués à la Turquie, également affectés par le manque de carburant.
Salauds de ricains.... ils ruinent "l'île de la liberté", jaloux qu'ils sont de sa prospérité !!!
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Y a encore des cubain à Cuba ? Je croyais qu il était tous à miami moi
J adorai la façon qu il s habillait à cette époque les gens était classe quand tu étais fringuer à la mimi Vice j adore je m achetait des le pantalon comme ca en tissu de ce genre j adorai . J ai eux une époque un peu comme ça
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Edgar de Phelps- Vénérable
- Messages : 10346
Date d'inscription : 13/12/2022
Re: Cuba: au paradis communiste, il n'y a plus rien à bouffer.....
Toqueville
doit préferer Cuba du temps de batista et ses joyeux bordels !!!!
Mars 1952, Fulgencio Batista prend le pouvoir par la force et instaure une dictature marquée par la corruption, une répression féroce des opposants, des tortures et des exécutions.
Son pouvoir est reconnu par les États-Unis car il encourage les intérêts américains.
Cuba devient alors l’une des destinations de vacances des Américains où règnent la prostitution, la vente d’armes, les casinos et le blanchiment d’argent.
La révolution qui balaiera la dictature de Batista en janvier 1959 n’est pas un accident.
Le pays est mûr pour le changement.
Rubén Fulgencio Batista y Zaldívar
doit préferer Cuba du temps de batista et ses joyeux bordels !!!!
Mars 1952, Fulgencio Batista prend le pouvoir par la force et instaure une dictature marquée par la corruption, une répression féroce des opposants, des tortures et des exécutions.
Son pouvoir est reconnu par les États-Unis car il encourage les intérêts américains.
Cuba devient alors l’une des destinations de vacances des Américains où règnent la prostitution, la vente d’armes, les casinos et le blanchiment d’argent.
La révolution qui balaiera la dictature de Batista en janvier 1959 n’est pas un accident.
Le pays est mûr pour le changement.
Rubén Fulgencio Batista y Zaldívar
VOLOG .2.- Disciple
- Messages : 32
Date d'inscription : 18/03/2024
Re: Cuba: au paradis communiste, il n'y a plus rien à bouffer.....
Ce que lautoproclamecadresup veut nous cacher.
Fulgencio Batista instaura en 1952 la dictature la plus sanglante et la plus corrompue jamais connue à Cuba au cours de son histoire avec, pour seul précédent, celui du satrape Gerardo Machado et de son casier judiciaire criminel.
Batista est connu pour ses actions antérieures à la tête du pays, tant en raison de son passé de putschiste que de son zèle pro-Washington – avérés depuis sa collaboration avec l’ambassadeur Sumner Welles en 1933 – et le coup d’État de 1952 bénéficia du plein soutien du gouvernement des États-Unis.
Il fut un pion de Washington et mit en œuvre, pour la région, les politiques conseillées par ses mentors. Ses maîtres lui offrirent un solide appui matériel et une assistance militaire, un procédé semblable à celui qu’ils utilisèrent, bien des années plus tard, avec la gouvernance illicite de Pinochet, au Chili, après le coup d’État contre Allende.
Les investissements des États-Unis pourraient avoir atteint les mille millions de dollars. La visite du vice-président d’alors, Richard Nixon, au début de février 1955, et celle d’Alan Dulles, directeur de la CIA, deux mois plus tard, permirent de renforcer les programmes économiques et idéologiques de l’empire dans la Grande Île.
Le chef de la ténébreuse agence exposa au tyran l’inquiétude de son gouvernement quant à l’activité communiste à Cuba, et en conséquence le dictateur créa, en quelques semaines, le Bureau de répression des activités communistes (le terrible BRAC).
En accord avec le non moins effrayant Service d’intelligence militaire (SIM), la Police nationale et l’Armée, la « créature » fit du pays un État policier dans le tourbillon duquel les gens vivaient dans une angoisse permanente et où les désaccords politiques étaient punis de mort.
Pendant ce temps, la mafia nord-américaine transformait le business de la nuit et des jeux en un autre empire à La Havane, sujet sur lequel de précieuses enquêtes littéraires ont été publiées.
Fulgencio Batista instaura en 1952 la dictature la plus sanglante et la plus corrompue jamais connue à Cuba au cours de son histoire avec, pour seul précédent, celui du satrape Gerardo Machado et de son casier judiciaire criminel.
Batista est connu pour ses actions antérieures à la tête du pays, tant en raison de son passé de putschiste que de son zèle pro-Washington – avérés depuis sa collaboration avec l’ambassadeur Sumner Welles en 1933 – et le coup d’État de 1952 bénéficia du plein soutien du gouvernement des États-Unis.
Il fut un pion de Washington et mit en œuvre, pour la région, les politiques conseillées par ses mentors. Ses maîtres lui offrirent un solide appui matériel et une assistance militaire, un procédé semblable à celui qu’ils utilisèrent, bien des années plus tard, avec la gouvernance illicite de Pinochet, au Chili, après le coup d’État contre Allende.
Les investissements des États-Unis pourraient avoir atteint les mille millions de dollars. La visite du vice-président d’alors, Richard Nixon, au début de février 1955, et celle d’Alan Dulles, directeur de la CIA, deux mois plus tard, permirent de renforcer les programmes économiques et idéologiques de l’empire dans la Grande Île.
Le chef de la ténébreuse agence exposa au tyran l’inquiétude de son gouvernement quant à l’activité communiste à Cuba, et en conséquence le dictateur créa, en quelques semaines, le Bureau de répression des activités communistes (le terrible BRAC).
En accord avec le non moins effrayant Service d’intelligence militaire (SIM), la Police nationale et l’Armée, la « créature » fit du pays un État policier dans le tourbillon duquel les gens vivaient dans une angoisse permanente et où les désaccords politiques étaient punis de mort.
Pendant ce temps, la mafia nord-américaine transformait le business de la nuit et des jeux en un autre empire à La Havane, sujet sur lequel de précieuses enquêtes littéraires ont été publiées.
VOLOG .2.- Disciple
- Messages : 32
Date d'inscription : 18/03/2024
Re: Cuba: au paradis communiste, il n'y a plus rien à bouffer.....
la suite pour instruire le bipolaire adorateur de batsista et de ses joyeux bordels.
Tout le monde étant content au nord, y compris la pègre, Batista avait open bar ici. C’est ainsi qu’il adopta de grands assassins de l’histoire de l’Amérique latine (Conrado Carratalá, Pilar García, les frères Salas Cañizares — Rafael, Juan et José María — et Esteban Ventura Novo) et des cohortes de criminels subalternes.
Tous étaient « des hommes de bas instincts, des criminels nés, des monstres porteurs de tous les atavismes ancestraux revêtus d’une forme humaine », pour le dire avec les mots de Fidel, qui maintinrent le pays dans la crainte et particulièrement la jeunesse, laquelle mourut les yeux arrachés, sans ongles, les testicules éclatés, ou violée dans des fossés, des terrains vagues, des rivières, des mers.
Dans son royaume « de sang et de pillage » - termes utilisés par le maître Enrique de la Osa – la corruption dépassa tous les standards historiques d’une nation experte dans ce domaine. Batista, de lui-même, augmenta ses émoluments présidentiels de 26 400 à 144 000 dollars, supérieurs notamment à ceux du président des États-Unis, Truman, qui avoisinaient les 100 000 dollars.
Pourtant, 35 % de la population cubaine étaient au chômage alors que presque 60 % des paysans vivaient dans des baraques au toit en guano et au sol en terre battue, dépourvues de sanitaires ou d’eau courante. Et 90 % d’entre eux n’avaient pas l’électricité.
Ainsi que l’indique l’enseignant français Salim Lamrani dans son indispensable essai « 50 vérités sur la dictature de Fulgencio Batista à Cuba », l’économiste anglais Dudley Seers affirme que la situation en 1958 était intolérable : « […] dans les campagnes, les conditions sociales étaient très mauvaises. Près d’un tiers du pays vivait dans la saleté […], habitant dans des baraques, généralement sans électricité ni latrines, victime de maladies parasitaires et sans aucun service de santé. L’instruction lui était refusée (ses enfants allaient une année au maximum à l’école). La situation des personnes précaires, installées dans des cabanes provisoires sur les terres collectives, était particulièrement difficile […]. Une proportion importante de la population urbaine était aussi très misérable. »
Arthur M. Schlesinger Jr., conseiller personnel du président John F. Kennedy, a écrit : « La Havane m’enchantait mais j’étais horrifié par la façon dont cette ville adorable s’était hélas transformée en un grand casino et un grand bordel pour les hommes d’affaires nord-américains […]. On se demandait comment les Cubains, en voyant cet état de fait, pouvaient considérer les États-Unis autrement qu’avec haine. »
URL: https://www.cubaperiodistas.cu/inde...
Tout le monde étant content au nord, y compris la pègre, Batista avait open bar ici. C’est ainsi qu’il adopta de grands assassins de l’histoire de l’Amérique latine (Conrado Carratalá, Pilar García, les frères Salas Cañizares — Rafael, Juan et José María — et Esteban Ventura Novo) et des cohortes de criminels subalternes.
Tous étaient « des hommes de bas instincts, des criminels nés, des monstres porteurs de tous les atavismes ancestraux revêtus d’une forme humaine », pour le dire avec les mots de Fidel, qui maintinrent le pays dans la crainte et particulièrement la jeunesse, laquelle mourut les yeux arrachés, sans ongles, les testicules éclatés, ou violée dans des fossés, des terrains vagues, des rivières, des mers.
Dans son royaume « de sang et de pillage » - termes utilisés par le maître Enrique de la Osa – la corruption dépassa tous les standards historiques d’une nation experte dans ce domaine. Batista, de lui-même, augmenta ses émoluments présidentiels de 26 400 à 144 000 dollars, supérieurs notamment à ceux du président des États-Unis, Truman, qui avoisinaient les 100 000 dollars.
Pourtant, 35 % de la population cubaine étaient au chômage alors que presque 60 % des paysans vivaient dans des baraques au toit en guano et au sol en terre battue, dépourvues de sanitaires ou d’eau courante. Et 90 % d’entre eux n’avaient pas l’électricité.
Ainsi que l’indique l’enseignant français Salim Lamrani dans son indispensable essai « 50 vérités sur la dictature de Fulgencio Batista à Cuba », l’économiste anglais Dudley Seers affirme que la situation en 1958 était intolérable : « […] dans les campagnes, les conditions sociales étaient très mauvaises. Près d’un tiers du pays vivait dans la saleté […], habitant dans des baraques, généralement sans électricité ni latrines, victime de maladies parasitaires et sans aucun service de santé. L’instruction lui était refusée (ses enfants allaient une année au maximum à l’école). La situation des personnes précaires, installées dans des cabanes provisoires sur les terres collectives, était particulièrement difficile […]. Une proportion importante de la population urbaine était aussi très misérable. »
Arthur M. Schlesinger Jr., conseiller personnel du président John F. Kennedy, a écrit : « La Havane m’enchantait mais j’étais horrifié par la façon dont cette ville adorable s’était hélas transformée en un grand casino et un grand bordel pour les hommes d’affaires nord-américains […]. On se demandait comment les Cubains, en voyant cet état de fait, pouvaient considérer les États-Unis autrement qu’avec haine. »
URL: https://www.cubaperiodistas.cu/inde...
VOLOG .2.- Disciple
- Messages : 32
Date d'inscription : 18/03/2024
Re: Cuba: au paradis communiste, il n'y a plus rien à bouffer.....
Phelps aussi doit adorer le cuba corrompu des années 50. Quelle honte ces gens d'extrême droite.
Mais qu'ils partent dans un pays facho, ça nous fera des vacances.
Mais qu'ils partent dans un pays facho, ça nous fera des vacances.
VOLOG .2.- Disciple
- Messages : 32
Date d'inscription : 18/03/2024
Re: Cuba: au paradis communiste, il n'y a plus rien à bouffer.....
Toqueville
mais tais toi donc, tu ne connais pas l'histoire de Cuba, tu ne sais que faire des sujets uniquement lorsque ces articles défendent ta cause, celle de l'extrême droite.
Comme tu le dis aux autres,
cass'toi pov ...
mais tais toi donc, tu ne connais pas l'histoire de Cuba, tu ne sais que faire des sujets uniquement lorsque ces articles défendent ta cause, celle de l'extrême droite.
Comme tu le dis aux autres,
cass'toi pov ...
VOLOG .2.- Disciple
- Messages : 32
Date d'inscription : 18/03/2024
Re: Cuba: au paradis communiste, il n'y a plus rien à bouffer.....
[quote="VOLOG .2."] Toqueville
doit préferer Cuba du temps de batista et ses joyeux bordels !!!!
Mars 1952, Fulgencio Batista prend le pouvoir par la force et instaure une dictature marquée par la corruption, une répression féroce des opposants, des tortures et des exécutions.
Son pouvoir est reconnu par les États-Unis car il encourage les intérêts américains.
Cuba devient alors l’une des destinations de vacances des Américains où règnent la prostitution, la vente d’armes, les casinos et le blanchiment d’argent.
La révolution qui balaiera la dictature de Batista en janvier 1959 n’est pas un accident.
Le pays est mûr pour le changement.
Tiens, tu reviens déjà toi... on t'a viré par la porte pour un bannissement bien mérité et voilà que tu reviens par la fenêtre, avec la formule .2 !!!!
Rassure-moi, t'es bien une version du vrai volog, celui que j'aime bien essorer, assaisonner et mettre devant ses contradictions.
Sinon, sur Cuba, c'est un petit pays misérable que ton socialisme a ruiné, surtout depuis la chute du grand frère et mère nourricière qu'était l'ex-URSS. Le temps de l'URSS est bien terminé pour l'île et les privilèges aussi.
Cuba doit apprendre à se démerder seul, mais il ne savent pas faire.... Leur PIB a été divisé par 5 entre 2020 et 2022 et il n'est que de 27 Md$ en 2023 pour ... 11 millions d'habitants. Quand tu mets ces deux chiffres en comparaison, tu as la définition de la misère. Après, tu pourras dire ce que tu veux, mais les chiffres et les faits sont là et ils sont têtus comme on dit.
L'histoire que tu as copiée sur Cuba est hors sujet mon vieux, le sujet, celui que j'ai évoqué, c'est la misère et la famine que connaît Cuba pour des raisons exclusivement idéologiques. Mais comme c'est un des rares pays dit socialiste de la planète qui tient encore debout (provisoirement...), il a bien évidemment grâce à tes yeux de communard !
Si les dirigeants de Cuba étaient moins cons et moins idéologisés, ils pactiseraient avec les USA, vireraient libéral et ce pays très bien situé géographiquement pour le tourisme connaîtrait un essor économique fabuleux, qui profiterait à tous et éradiquerait pauvreté et famine.
Mais comme ils sont bornés comme tous les communards, ils vivront avec l'effigie de Castro dans leur taudis et crèveront la gueule ouverte ! Triste sort...
doit préferer Cuba du temps de batista et ses joyeux bordels !!!!
Mars 1952, Fulgencio Batista prend le pouvoir par la force et instaure une dictature marquée par la corruption, une répression féroce des opposants, des tortures et des exécutions.
Son pouvoir est reconnu par les États-Unis car il encourage les intérêts américains.
Cuba devient alors l’une des destinations de vacances des Américains où règnent la prostitution, la vente d’armes, les casinos et le blanchiment d’argent.
La révolution qui balaiera la dictature de Batista en janvier 1959 n’est pas un accident.
Le pays est mûr pour le changement.
Tiens, tu reviens déjà toi... on t'a viré par la porte pour un bannissement bien mérité et voilà que tu reviens par la fenêtre, avec la formule .2 !!!!
Rassure-moi, t'es bien une version du vrai volog, celui que j'aime bien essorer, assaisonner et mettre devant ses contradictions.
Sinon, sur Cuba, c'est un petit pays misérable que ton socialisme a ruiné, surtout depuis la chute du grand frère et mère nourricière qu'était l'ex-URSS. Le temps de l'URSS est bien terminé pour l'île et les privilèges aussi.
Cuba doit apprendre à se démerder seul, mais il ne savent pas faire.... Leur PIB a été divisé par 5 entre 2020 et 2022 et il n'est que de 27 Md$ en 2023 pour ... 11 millions d'habitants. Quand tu mets ces deux chiffres en comparaison, tu as la définition de la misère. Après, tu pourras dire ce que tu veux, mais les chiffres et les faits sont là et ils sont têtus comme on dit.
L'histoire que tu as copiée sur Cuba est hors sujet mon vieux, le sujet, celui que j'ai évoqué, c'est la misère et la famine que connaît Cuba pour des raisons exclusivement idéologiques. Mais comme c'est un des rares pays dit socialiste de la planète qui tient encore debout (provisoirement...), il a bien évidemment grâce à tes yeux de communard !
Si les dirigeants de Cuba étaient moins cons et moins idéologisés, ils pactiseraient avec les USA, vireraient libéral et ce pays très bien situé géographiquement pour le tourisme connaîtrait un essor économique fabuleux, qui profiterait à tous et éradiquerait pauvreté et famine.
Mais comme ils sont bornés comme tous les communards, ils vivront avec l'effigie de Castro dans leur taudis et crèveront la gueule ouverte ! Triste sort...
Jean-Louis de Toqueville- Vénérable
- Messages : 11689
Date d'inscription : 03/12/2021
Re: Cuba: au paradis communiste, il n'y a plus rien à bouffer.....
Comment tu peut savoir ce que j aime, tu es madame IrmaVOLOG .2. a écrit:Phelps aussi doit adorer le cuba corrompu des années 50. Quelle honte ces gens d'extrême droite.
Mais qu'ils partent dans un pays facho, ça nous fera des vacances.
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Edgar de Phelps- Vénérable
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Date d'inscription : 13/12/2022
Re: Cuba: au paradis communiste, il n'y a plus rien à bouffer.....
Edgar de Phelps a écrit:Comment tu peut savoir ce que j aime, tu es madame IrmaVOLOG .2. a écrit:Phelps aussi doit adorer le cuba corrompu des années 50. Quelle honte ces gens d'extrême droite.
Mais qu'ils partent dans un pays facho, ça nous fera des vacances.
Ben non, seulement tu as les mêmes propos que lautoproclamecadresup qui ne connait rien à l'histoire de Cuba.
Avant la révolution Cubaine, le peuple de Cuba était sous le joug du dictateur batista avec ses joyeux bordels, qui servait de refuge à la mafia ricaine, faut apprendre l'histoire mon gars.
Invité- Invité
Re: Cuba: au paradis communiste, il n'y a plus rien à bouffer.....
VOLOG .2. a écrit:Toqueville
mais tais toi donc, tu ne connais pas l'histoire de Cuba, tu ne sais que faire des sujets uniquement lorsque ces articles défendent ta cause, celle de l'extrême droite.
Comme tu le dis aux autres,
cass'toi pov ...
Invité- Invité
Re: Cuba: au paradis communiste, il n'y a plus rien à bouffer.....
VOLOG .2. a écrit: Toqueville
doit préferer Cuba du temps de batista et ses joyeux bordels !!!!
Mars 1952, Fulgencio Batista prend le pouvoir par la force et instaure une dictature marquée par la corruption, une répression féroce des opposants, des tortures et des exécutions.
Son pouvoir est reconnu par les États-Unis car il encourage les intérêts américains.
Cuba devient alors l’une des destinations de vacances des Américains où règnent la prostitution, la vente d’armes, les casinos et le blanchiment d’argent.
La révolution qui balaiera la dictature de Batista en janvier 1959 n’est pas un accident.
Le pays est mûr pour le changement.
Rubén Fulgencio Batista y Zaldívar
Invité- Invité
Re: Cuba: au paradis communiste, il n'y a plus rien à bouffer.....
Jean-Louis de Toqueville a écrit:Revanchisti a écrit:Bah c'est ça que de privatiser des secteurs stratégiques (tain ces cons...)
Mais bon, soit les cubains crèvent dans la rue sous le joug d’une dictature mafieuse pilotée depuis les USA, soient ils se prennent un embargo dans la gueule.
La résistance est al seule voie digne.
.... soit il mettent le mouchoir sur l'idéologie qui les a ruinés et s'associent avec les ricains en virant au libéralisme total.
Avec la proximité de pays riches dans cette région du monde, Cuba pourrait exploiter le tourisme et ses dérivés à outrance et en retirer de substantiels bénéfices. C'est d'une évidence limpide, à condition qu'ils sortent de leur tronche la manie historique de l'idéologie communarde. S'ils refusent, tant pis pour eux, ils continueront à vivre en pays sous-développé et à crever de faim.
Vivi, avec un retour de Baptista et de prostitution de mineurs pour les clients de Epstein, c'est sur que cuba c'est moins loin que la thaïllande.
Revanchisti- Vénérable
- Messages : 10026
Date d'inscription : 04/09/2022
Re: Cuba: au paradis communiste, il n'y a plus rien à bouffer.....
Monsieur Trololo a écrit:Un peu de sérieux Jean-Louis on parle d'une ile qui subit un embargo lourd depuis plus de 70 ans, et qui n'a pas de pétrole. Moi je trouve même ça assez remarquable qu'ils aient tenu si longtemps.
Quel pays capitaliste aurait pu tenir ça? Aucun.
Revanchisti- Vénérable
- Messages : 10026
Date d'inscription : 04/09/2022
Re: Cuba: au paradis communiste, il n'y a plus rien à bouffer.....
Rien qu'a voir comment l'UE est à genoux quand les russes coupent le gaz ...
Monsieur Trololo- Vénérable
- Messages : 15509
Date d'inscription : 03/08/2021
Re: Cuba: au paradis communiste, il n'y a plus rien à bouffer.....
Revanchisti a écrit:Jean-Louis de Toqueville a écrit:Revanchisti a écrit:Bah c'est ça que de privatiser des secteurs stratégiques (tain ces cons...)
Mais bon, soit les cubains crèvent dans la rue sous le joug d’une dictature mafieuse pilotée depuis les USA, soient ils se prennent un embargo dans la gueule.
La résistance est al seule voie digne.
.... soit il mettent le mouchoir sur l'idéologie qui les a ruinés et s'associent avec les ricains en virant au libéralisme total.
Avec la proximité de pays riches dans cette région du monde, Cuba pourrait exploiter le tourisme et ses dérivés à outrance et en retirer de substantiels bénéfices. C'est d'une évidence limpide, à condition qu'ils sortent de leur tronche la manie historique de l'idéologie communarde. S'ils refusent, tant pis pour eux, ils continueront à vivre en pays sous-développé et à crever de faim.
Vivi, avec un retour de Baptista et de prostitution de mineurs pour les clients de Epstein, c'est sur que cuba c'est moins loin que la thaïllande.
Et ça pourrait intéresser de Toqueville ????
Od.T- Disciple
- Messages : 27
Date d'inscription : 02/01/2024
Localisation : Paris
Re: Cuba: au paradis communiste, il n'y a plus rien à bouffer.....
Cuba, zone hispanique, bof. Maintenant, avec le communisme c'est bien évidemment pire.
Jeannot Lapin- Sage
- Messages : 9233
Date d'inscription : 31/07/2021
Re: Cuba: au paradis communiste, il n'y a plus rien à bouffer.....
Jeannot Lapin a écrit:Cuba, zone hispanique, bof. Maintenant, avec le communisme c'est bien évidemment pire.
Pourquoi c'était mieux du temps de batista et ses joyeux bordels ????
Invité- Invité
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