Comment le travail des immigrés contribue à limiter la pénurie de main-d’œuvre en France.

[Vladimir de Volog]

Comment le travail des immigrés contribue à limiter la pénurie de main-d’œuvre en France.

Agents de sécurité, aides-soignantes, médecins hospitaliers… Les travailleurs venus d’autres pays sont essentiels pour faire fonctionner de nombreux secteurs. Enquête sur un déni français, loin du fantasme de la submersion démographique agité par l’extrême droite.

Eboueur dans la petite couronne parisienne, Bakary (il préfère ne pas donner son nom) pensait que les gestes de solidarité envers sa profession durant la pandémie de Covid-19 avaient changé les choses. « Soudain, on nous célébrait, nous, les premières lignes et les immigrés, sans qui le pays ne tient pas debout », raconte cet Ivoirien de 43 ans, arrivé en France il y a quinze ans.

[Jeannot Lapin]

Ouep, une minorité.

[Edgar de Phelps]

Comment le travail des immigrés contribue à limiter la pénurie de main-d’œuvre en France.

Agents de sécurité, aides-soignantes, médecins hospitaliers… Les travailleurs venus d’autres pays sont essentiels pour faire fonctionner de nombreux secteurs. Enquête sur un déni français, loin du fantasme de la submersion démographique agité par l’extrême droite.

Eboueur dans la petite couronne parisienne, Bakary (il préfère ne pas donner son nom) pensait que les gestes de solidarité envers sa profession durant la pandémie de Covid-19 avaient changé les choses. « Soudain, on nous célébrait, nous, les premières lignes et les immigrés, sans qui le pays ne tient pas debout », raconte cet Ivoirien de 43 ans, arrivé en France il y a quinze ans.

Lui a une carte de résident, mais il s’inquiète pour ses collègues, nombreux, qui n’en ont pas. « Parfois, je suis en colère, parfois, je pleure. Entre les patrons bien contents d’exploiter les sans-papiers et ceux qui voudraient nous mettre dehors, où sont passés ceux qui applaudissaient les héros du Covid ? ».

Depuis sa présentation en conseil des ministres, début 2023, le projet de loi relatif à l’immigration, qui devrait être examiné par le Sénat début novembre, déchire la classe politique, et plus encore :

il met en lumière les tabous et crispations de la société française sur le sujet. En particulier l’article 3, qui propose de créer un « titre de séjour » pour les métiers en tension, afin de régulariser temporairement les sans-papiers y travaillant.

Mon grand père maternel est venu en Belgique pour travailler dans les mine , les travailleurs belge voulait de meilleurs condition de travaille alors le patronna a fait venir des jeune étranger qui avait pas d avenir dans leurs pays pour profiter d eux. Eux était content bon ils ont foutu leurs santé en l aire et ce retrouver comme mon grand père avec des trou dans les poumon et différent maladie et problème de santer mais ils ont pu avoir un petit quelque chose ce que leurs pays d origine était incapable de leurs donner et les patron eux ce sont remplie les poche et ont profiter de leurs santé et travaille.
Mais avec tout les chômeurs qui a est ce qu on devrai pas plutôt les mettre au travaille plutôt que d aller chercher de nouveau étranger pour les exploiter . Peut être que leurs pays ont besoin d eux.  

[Edgar de Phelps]

Je comprends pas comment on peux ce dire de gauche et être pour ce système d exploitation du patrona ou on joue avec les personnes qui devienne des numéro pour chercher des personnes qui vont travailler pour le moins chère possible avec des condition de travaille les moins bonne .
La logique serai de mettre les personne sans emploie au travaille avec de bonne condition de travaille, comme de
1 ils seront plus une charge pour les autre travailleurs qui paie des impôts
2 il rapporteront de l argent car ils travailleront et payeront des impôts

Ça me semble logique

[Vladimir de Volog]

[Edgar de Phelps]

Tu peux répéter la même chose , ces immigre ont des pays d origine il ferai mieux de bosser pour leurs pays à la place. Et nous on ferait mieux de mettre ceux qui veulent pas travailler à ses place. Tout le monde serai gagnant . Moins de chômeurs plus d argents dans les caisse de l Etats pour faire autre chose

[Vladimir de Volog]

Comment le travail des immigrés contribue à limiter la pénurie de main-d’œuvre en France.

Agents de sécurité, aides-soignantes, médecins hospitaliers… Les travailleurs venus d’autres pays sont essentiels pour faire fonctionner de nombreux secteurs. Enquête sur un déni français, loin du fantasme de la submersion démographique agité par l’extrême droite.

Eboueur dans la petite couronne parisienne, Bakary (il préfère ne pas donner son nom) pensait que les gestes de solidarité envers sa profession durant la pandémie de Covid-19 avaient changé les choses. « Soudain, on nous célébrait, nous, les premières lignes et les immigrés, sans qui le pays ne tient pas debout », raconte cet Ivoirien de 43 ans, arrivé en France il y a quinze ans.

Lui a une carte de résident, mais il s’inquiète pour ses collègues, nombreux, qui n’en ont pas. « Parfois, je suis en colère, parfois, je pleure. Entre les patrons bien contents d’exploiter les sans-papiers et ceux qui voudraient nous mettre dehors, où sont passés ceux qui applaudissaient les héros du Covid ? ».

Depuis sa présentation en conseil des ministres, début 2023, le projet de loi relatif à l’immigration, qui devrait être examiné par le Sénat début novembre, déchire la classe politique, et plus encore :

il met en lumière les tabous et crispations de la société française sur le sujet. En particulier l’article 3, qui propose de créer un « titre de séjour » pour les métiers en tension, afin de régulariser temporairement les sans-papiers y travaillant.

[Crapouille la vinasse]

Comment le travail des immigrés contribue à limiter la pénurie de main-d’œuvre en France.

Agents de sécurité, aides-soignantes, médecins hospitaliers… Les travailleurs venus d’autres pays sont essentiels pour faire fonctionner de nombreux secteurs. Enquête sur un déni français, loin du fantasme de la submersion démographique agité par l’extrême droite.

Eboueur dans la petite couronne parisienne, Bakary (il préfère ne pas donner son nom) pensait que les gestes de solidarité envers sa profession durant la pandémie de Covid-19 avaient changé les choses. « Soudain, on nous célébrait, nous, les premières lignes et les immigrés, sans qui le pays ne tient pas debout », raconte cet Ivoirien de 43 ans, arrivé en France il y a quinze ans.

Lui a une carte de résident, mais il s’inquiète pour ses collègues, nombreux, qui n’en ont pas. « Parfois, je suis en colère, parfois, je pleure. Entre les patrons bien contents d’exploiter les sans-papiers et ceux qui voudraient nous mettre dehors, où sont passés ceux qui applaudissaient les héros du Covid ? ».

Depuis sa présentation en conseil des ministres, début 2023, le projet de loi relatif à l’immigration, qui devrait être examiné par le Sénat début novembre, déchire la classe politique, et plus encore :

il met en lumière les tabous et crispations de la société française sur le sujet. En particulier l’article 3, qui propose de créer un « titre de séjour » pour les métiers en tension, afin de régulariser temporairement les sans-papiers y travaillant.

C'est le Medef qui a écrit cet article ??

[Edgar de Phelps]

Comment le travail des immigrés contribue à limiter la pénurie de main-d’œuvre en France.

Agents de sécurité, aides-soignantes, médecins hospitaliers… Les travailleurs venus d’autres pays sont essentiels pour faire fonctionner de nombreux secteurs. Enquête sur un déni français, loin du fantasme de la submersion démographique agité par l’extrême droite.

Eboueur dans la petite couronne parisienne, Bakary (il préfère ne pas donner son nom) pensait que les gestes de solidarité envers sa profession durant la pandémie de Covid-19 avaient changé les choses. « Soudain, on nous célébrait, nous, les premières lignes et les immigrés, sans qui le pays ne tient pas debout », raconte cet Ivoirien de 43 ans, arrivé en France il y a quinze ans.

Lui a une carte de résident, mais il s’inquiète pour ses collègues, nombreux, qui n’en ont pas. « Parfois, je suis en colère, parfois, je pleure. Entre les patrons bien contents d’exploiter les sans-papiers et ceux qui voudraient nous mettre dehors, où sont passés ceux qui applaudissaient les héros du Covid ? ».

Depuis sa présentation en conseil des ministres, début 2023, le projet de loi relatif à l’immigration, qui devrait être examiné par le Sénat début novembre, déchire la classe politique, et plus encore :

il met en lumière les tabous et crispations de la société française sur le sujet. En particulier l’article 3, qui propose de créer un « titre de séjour » pour les métiers en tension, afin de régulariser temporairement les sans-papiers y travaillant.

Moi aussi je pleure j aimerai arriver à la NASA et être le directeur et aller dans l espace ,mais bon voila y a des règles un pays c est pas une ONG chaque pays doit défendre en priorité ses nationaux sinon nos pays deviendrons des pays du tiers monde ou ce serait les jeune européen qui devront migrer pour avoir un avenir , parce que on leurs aura volé leurs avenir et pas jouer le rôle de transmission comme ça c est toujours fait durant des siècle ou millénaire entre les générations  .

[Edgar de Phelps]

Après faut laisser une porte ouverte , dans une proportion raisonnable et pas dans la démagogie. Et faut mettre les gens au travaille organiser la société les aider à avoir un travaille bien payer quitte à donner une partie d aide social et l autre par le patron . Mais c est pas normal que certain passe une vie sans travailler à ce promener pendant que d autre travaille paie et s abime la santer , pour finir ceux qui travaille tout leurs vie ce chope des maladie a 55 ,60 ans et ceux qui ont jamais bossé eux vivre 70 ou 75 ans , c est pas juste nos société encourage la fainéantise

[Couillatris Mouchabière]

Les étrangers sont deux fois plus au chômage que les Français.

Chez les Algériens, on compte plus de 40% d'inactifs dans la population en âge de bosser.

On met déjà ces nuisibles au boulot, et le problème sera réglé.

S'ils ne veulent pas bosser, c'est Richtung le bled !

[André de Montalembert]

Après faut laisser une porte ouverte , dans une proportion raisonnable et pas dans la démagogie. Et faut mettre les gens au travaille organiser la société les aider à avoir un travaille bien payer quitte à donner une partie d aide social et l autre par le patron . Mais c est pas normal que certain passe une vie sans travailler à ce promener pendant que d autre travaille paie et s abime la santer , pour finir ceux qui travaille tout leurs vie ce chope des maladie a 55 ,60 ans et ceux qui ont jamais bossé eux vivre 70 ou 75 ans , c est pas juste nos société encourage la fainéantise

Tu fais le constat et la conclusion de Marx.

[Edgar de Phelps]

Après faut laisser une porte ouverte , dans une proportion raisonnable et pas dans la démagogie. Et faut mettre les gens au travaille organiser la société les aider à avoir un travaille bien payer quitte à donner une partie d aide social et l autre par le patron . Mais c est pas normal que certain passe une vie sans travailler à ce promener pendant que d autre travaille paie et s abime la santer , pour finir ceux qui travaille tout leurs vie ce chope des maladie a 55 ,60 ans et ceux qui ont jamais bossé eux vivre 70 ou 75 ans , c est pas juste nos société encourage la fainéantise

Tu fais le constat et la conclusion de Marx.

C est peu être lui qui fait le même constat que moi

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